Un soir de l’année dernière ma femme, Rachelle, me demande si c’est moi qui ai fouillé dans ses slips, car me dit elle il lui en manque deux, un tanga jaune et un rouge, et depuis quelque temps elle en retrouve certain qui ont l’apparence d’avoir était portés. Je lui réponds que ce n’est pas moi, mais que c’est peut être Cynthia, notre fille de 20 ans qui lui en emprunte en douce( je dois préciser que ma femme aime beaucoup porter des slips brésiliens et qu’elle en possède une grande collection, de quoi se changer quatre fois dans la journée), et j’ajoute va lui poser la question. Sur ce elle va trouver Cynthia dans sa chambre et lui demande si elle ces servis de ses affaires récemment, Cynthia lui répond que non.
Ma femme décide alors pour en avoir le coeur net d’aller demander à Arthur notre fils si par hasard il n’a pas une petite idée sur le sujet.
Arrivée devant sa porte de chambre elle constate que celle ci est fermée, mais non loquetée, alors elle frappe sur la porte puis l’ouvre et pénètre dans la pièce, et la, elle découvre Arthur allongé sur son lit, ayant comme seul vêtements son tanga rouge d’où sortait sa bite en érection qu’il masturbait frénétiquement avec le tanga jaune. Pour la suite je laisse la parole à ma femme.
J’étais immobile au milieu de la pièce mon regard fixé sur lui, plus exactement sur son sexe, je ne savais plus quoi faire, une chaleur commençait à envahir mon corps, j’avais envie de sentir ce sexe dans mon ventre et en même temps la raison me commander de m’en aller, c’était mon fils tout de même. Tout absorbé par sa masturbation il ne m’avait pas aperçu, et au moment ou j’allais partir nos regards se sont croisés, et la j’ai senti que j’allais faire une bêtise. Arthur c’est levait puis il est venu vers moi, il m’a pris les mains et m’a entraîné vers le lit. Là il m’a allongeait auprès de lui et il a commençait à me caresser, je voulais parler, lui dire que cela n’était pas bien, qu’il faisait une bêtise, mais mon corps frémissait sous ses caresses. Il passa sa tête sous ma jupe et entrepris de me bouffer la chatte, à travers mon slip, c’était tellement bon que je me morde les lèvres pour ne pas crier, puis doucement, il fit glisser mon slip qui était trempée de mouille le long de mes jambes, puis me l’enleva en me disant celui là je le garde. Il remonta ma jupe sur mon ventre puis il plongeât sa tête entre mes jambes et se mit à me sucer mon clito, je mouillais comme une folle, et le contact de sa langue fouillant mon intimité ne faisait qu’accentuer mon état, et plus je mouillais et plus sa langue se faisait insistante. C’était tellement bon que j’avais les
cuisses tout écartées et que j’appuyais avec force sur sa tête pour qu’il continue, je sentais mon orgasme venir et lui aussi était tout près de jouir, car il arrêtât de me sucer, pour me pénétrer. IL mit mes jambes sur ses épaules ce qui m’obligeait à me soulever légèrement puis il insinua sa verge toute violacée dans mon antre humide et me ramona avec force jusqu’à ce que dans un cri rauque il me balance tout son foutre.
Il resta ainsi quelque secondes puis il se retira dans un bruit de sussions épouvantable, me laissant les cuisses ouvertes le con dégoulinant
de sperme. Mais à cette age là on récupérer vite il rebandait déjà et il en voulait encore ce cochon, il était bien comme son père. Avec ses
doigts il récupérait du foutre de mon con qu’il étala sur ma rosette, puis après y avoir insinuer un doigt ou deux pour le distendre un peu il
s’allongeait sur le lit et me demandait de venir m’empaler sur son pieux. Je me positionnais au-dessus de lui et pendant que de main droite je guidais son sexe dans mon trou, je me laissais coulisser dessus jusqu’à ce que ses couilles touches mes fesses puis j’entrepris des mouvements de va vient jusqu’à ce qu’il explose en moi, ce qui me procura à moi aussi un orgasme violent. Puis j’ai basculé sur le coté et nous sommes restées ainsi quelque minutes moi la chatte béante et le cul en feu, lui la bite, toute flasque. Avant d’aller retrouver mon mari je me suis essuyais avec mon slip, puis j’ai lui dit que j’étais désolée de ce qui c’était passé, mais il m’à répondu qu’il avait envie de me baiser depuis quelque temps et que plus d’une fois il avait souhaitait être à la place de son père.
Je dois préciser qu’avec mon mari nous avons une sexualité assez libre qui fait qu’il lui arrive souvent de me prendre dans la maison en présence des enfants ou pas, et ce quelle que soit ma tenue pantalon ou jupe. Après une discussion avec mari nous nous sommes dit qu’après tout, que si Arthur le souhaitai il pourrait continuer à me prendre, mais que cela serait bien aussi qu’il essaye avec sa soeur, comme cela dans le cas ou je ne serais pas disponible(mon mari ayant la priorité) il pourrait toujours décharger.
Georges