’Assurance’
Bonjour je m’appelle Michel et j’ai 19 ans. Vous avez pu faire connaissance dans les épisodes précédents.
Cet après-midi, ma mère, une encore belle femme de 54 ans, très bien conservée par trois séances de gym hebdomadaire, m’a demandé de venir la chercher à notre agence d’assurance, dans un bourg voisin, ayant été emmenée à l’aller par mon père qui se rendait à son travail. C’est mercredi et je suis en RTT, j’ai du temps libre, je vais donc la chercher en fin de matinée. Nous sommes au printemps, le beau temps est de retour. Ma mère porte une jupe noire qui lui arrive juste au dessus des genoux et un t-shirt blanc, on devine par transparence que son soutien gorge est blanc aussi.
moi : – Salut maman, alors tu as réglé la paperasserie ?
maman : – Oui, c’est pour l’assurance habitation, on a fait une modification.
moi : – On va à la maison ? Pas de courses à faire ?
maman : – On rentre oui. Laisse-moi conduire stp.
moi : – Oui bien sûr, tiens voilà les clés.
On prend place dans la voiture. Lorsqu’elle s’assoit, sa jupe remonte très haut sur les cuisses, pratiquement à ras de sa moule. Elle est obligée d’écarter un peu les jambes pour accéder aux pédales, je mate discrétement son entrejambe qui me dévoile sa culotte noire. Nous avons environ 30 minutes de route pour regagner la maison. Au bout d’un court instant ma mère s’aperçoit que je mate ses cuisses, je ne peux détacher mon regard de cet endroit, des idées lubriques me passent dans la tête, je trique dur. Elle a encore la peau blanche, elle n’a pas pu encore bronzer au doux soleil de printemps. Le noir de sa jupe et de culotte contraste fortement avec cette blancheur. Mon ’jean’ assez moulant, ne peut cacher mon érection.
maman : – Qu’est-ce que tu regardes Michel ?
moi : – Heu…. rien maman.
C’est alors, tout en conduisant qu’elle me prend le poignet gauche et pose ma main sur son entrejambe. Merde ! J’ai la main entre les cuisses de maman, juste sur sa fente.
maman : – C’est ça qui te rend tout dur, mon petit chéri ?
Je sens à travers le tissu de sa culotte le renflement de sa touffe très fournie et très drue. Ca fait vraiment une motte. Je ne sais trop quoi faire, laisser ma main ainsi ? la retirer ? caresser ma mère ? je suis tellement surpris que je reste un court instant sans bouger. Puis le désir prenant le dessus, je passe lentement mon médius sur sa fente à travers le tissu de sa culotte, je masse sa moule ainsi lentement, la culotte,elle, devient très vite humide. Mon ’jean’ ne peut plus contenir ma bite en rut, je le dégrafe et sors ma queue par dessus mon caleçon de ma main libre.
moi : – Ohh maman tu es merveilleuse, c’est tout mouillé.
maman : – Humm oui chéri, je mouille, on va s’arrêter quelque part dans cette traversée de fôret.
Nous nous garons dans un petit sous bois au bout d’un chemin de terre qui mène dans les champs déserts.
maman : – Hé bien Michel, toujours à me mater hein ? A fouiner sous ma jupe ?
moi : – Bin oui, ça m’excite.
Maman prend ma bite bien raide en main et commençe à me branler. Elle écarte bien ses jambes, je m’empresse d’écarter les lèvres de sa chatte, avec ma main droite que j’ai glissée dans sa culotte. Elle est toute trempée, elle mouille abondamment commence à râler. Fougueusement je la branle, faisant aller et venir mes doigts de son clito tout dur à sa chatte que je pénétre de deux doigts, allant et venant longuement. On se regarde, elle m’astique la bite, sa main est douce, mon gland est tout rouge d’excitation. Maman approche son visage du mien et nos lèvres se joignent, on se roule des patins en se branlant, nos langues s’entourent l’une l’autre, je lui suce la sienne qu’elle me met au fond de la bouche. Brutalement, elle jouit, et, quittant mes lèvres elle crie son plaisir.
maman : – Ouiiiiiiiii je jouis, je jouiiiiis !!!!!
Elle reste quelques instants pantelante, toujours au volant, je sors de la voiture, j’ouvre sa portière et amène ses jambes à l’extérieur.
maman : – Mais que…..?
moi : – Je t’enlève ta culotte maman, je veux la lécher.
Je lui fais descendre sa culotte le long des jambes, je m’accroupis, j’ai une vue superbe sur sa fente rose, entourée d’une forêt de poils touffus. Je renifle son slip, me le passe sur le visage, je lèche l’endroit de la fente pour recueillir toute sa mouille, toute sa jouissance, c’est tiède et sucré. Maman me regarde en souriant.
J’enroule sa culotte autour de ma bite et je me branle.
moi : – Montre-moi tes gros nichons m’man !
Sans rien dire elle relève son t-shirt, excitée elle aussi, sort ses nénés par dessus son soutien gorge et, les tenant chacun par dessous, mes les offre. Je me mets debout, ma bite est à leur hauteur, je la mets entre deux, toujours avec la culotte autour et je me fais une branlette espagnole. En quelques mouvements j’explose en cinq giclées de foutre qui arrivent jusque sur le front de maman. Le jus descend sur son visage, les coulées qu’elle peut récupérer avec la langue sont avalées, celles qui couvrent ses nénés sont recueillies avec les doigts qu’elle se met à lécher aussi.. La culotte est pleine de mon jus qui n’est pas parti en giclées.
moi : Tiens lèche ta culotte, elle est pleine de mon foutre.
maman : – Humm donne chéri, donne.
Elle passe la langue avidement partout pour lècher mon jus, j’approche ma bite de son visage, elle me la prend immédiatement en bouche pour la nettoyer de coups de langues vicieux. Je suis en train de me faire sucer par ma mère, c’est extra. Sa langue experte me lèche partout, ma bite devient toute propre et luisante, cette fois de sa salive. Je bande de nouveau. Je pose mes deux mains sur la tête de maman et lui donne la cadence. Elle pousse de petits gémissements, sa bouche prend la forme de ma bite, quand elle aspire ses joues se creusent, elle suce divinement.
Je sens sa langue sur mon frein, s’enrouler autour de la hampe de ma queue, dans l’excitation je lui tire les cheveux, je donne des mouvement de reins, je baise la bouche de maman. Elle se met un doigt dans la chatte et se branle en même temps, jupe troussée, quel spectacle ! De l’autre main, elle me caresse les couilles, les masse, les lèche aussi, subitement je sens un doigt s’insinuer dans mon cul.
maman : (laissant ma bite) – Tu aimes ?
moi : Hummmm oui m’man vas-y, suce, suce, t’arrête pas, ouiii ton doigt, salope ! C’est extra, je vais jouir.
Elle me reprend en bouche et son doigt me pénétre le cul en cadence, j’arrive à la jouissance rapidement. Je lui envoie trois bonnes giclées dans la bouche.
moi : Ouiiiiiii ca y est ! Je viens ! Je viens ! Tiens ! Tiens, je gicle !
Maman me fait éjaculer dans sa bouche, elle avale les deux premiers jets mais une partie du troisième lui coule sur le menton, elle ne peut tout avaler en une fois.
maman : – Hummmm mon petit chéri, maman boit tout ton bon jus.
Elle continue en me nettoyant une nouvelle fois la bite avec la langue jusqu’à ce qu’elle soit propre. Elle me prend avec les mains derrière la nuque et approche son visage du mien pour me rouler un bon patin. On recommence à se manger la bouche et à jouer avec nos langues. Je goûte un peu de mon foutre qui est resté dans sa bouche, ce n’est pas désagréable.
moi : – Ohhh maman quel pied, quelle suceuse !
maman : – C’est gentil chéri, j’ai bien aimé te sucer.
moi : – Excuse-moi maman si je t’ai traitée de salope.
maman : – Tu sais mon petit chéri, ça n’est pas grave, dans le plaisir, il faut s’exprimer.
Maman commence à se rajuster. Elle a remis ses nichons dans son sous-tif, replacé son t-shirt correctement et ramasse sa culotte sur le sol. Je mate ses fesses quand elle se baisse. Je trique de nouveau.
moi : – M’man !
maman : – Oui ?
moi : – J’aimerai bien te voir complétement à poil…..mais…… te déshabiller moi-même.
Je n’ai pas encore remis mon pantalon et ma bite est à la verticale.
maman : – Tus as encore envie hein, mon petit chéri ? Tu veux voir maman toute nue ? D’accord, déshabille-moi.
Nous sommes maintenant debout, et nous nous faisons face, au niveau de la portière arrière gauche que nous avons laissée ouverte. Maman prend ma bite dans la main droite et me masse les couilles de la gauche. Je saisis son t-shirt au niveau de la taille et le fait remonter, dévoilant ses gros nibards dans le soutien-gorge, sa tête est cachée dans le t-shirt à ce moment, elle lève les bras pour finir l’opération ; j’en profite pour poser mes lèvres sur ses aisselles très bien épilées que je lèche. Je dépose quelques baisers sur le galbe supérieur de ses nichons, je finis par ôter le t-shirt. Maintenant je l’enlace pour dégrafer son sous-tif. Elle pose ses lèvres sur les miennes et me roule un patin, elle décolle sa bouche et laisse sa langue sortie, yeux fermés, j’enroule la mienne autour puis je la lui aspire. Je fais descendre les bretelles de son soutien gorge et le lui enlève, libérant ses gros nichons blancs. Les auréoles des têtons sont d’un petit diamètre tandis que ceux-ci, pointent d’excitation. Je pelote les nénés de maman à pleine main, je les masse, les malaxe. Elle a déboutonné ma chemise et légèrement penchée en avant me suce les têtons. Je regarde sa langue tourner autour, mes têtons se dressent, cette caresse m’excite. Je dézippe sa jupe qui tombe au sol. Ca y est maman est à poil, elle n’avait pas remis sa culotte. Tout en me suçant les têtons, elle me branle, je peux maintenant lui caresser tout le corps. Je commence par le dos, le cou, ensuite ses fesses, puis je reviens lui malaxer les nichons. J’enlève ma chemise et me retrouve moi aussi à poil.
maman : – Ohhh mon petit salaud, tu triques encore !
moi : – Oui m’man, tu es merveilleuse. Tu sais, tout à l’heure je t’ai enlevé ta culotte maintenant ton soutien gorge, tu es nue devant moi, tout ça ce sont mes fantasmes, c’est incroyable comme ça m’excite.
Maman en posant ses mains sur mes épaules, me dirige sur la banquette arrière où je m’allonge, laissant mes jambes à l’extérieur de la voiture. Elle se place sur moi, à califourchon, me faisant face ; ses genoux reposent sur la largeur de la banquette (pas très confortable comme position), elle prend ma bite en main, la dirige vers sa fente et s’empale sur toute la longueur de ma queue jusqu’aux couilles. Ca rentre tout seul, c’est bien lubrifié par son jus de moule.
maman : – Baise-moi, mon salaud, maman a envie de ta queue !
Une fois empalée, elle monte et descend sur ma bite en gémissant, ses gros nichons suivent ses mouvements. Je les pelote encore et encore, je serre fort, la peau devient rouge aux endroits où je serre le plus fort. Je donne aussi des coups de reins pour la pénétrer bien à fond.
Elle me masse les couilles en passant une main derrière elle.
maman : – Oui chéri, tu es bien raide, tu me remplis bien la chatte.
moi : – Ahhhh ma salope, tiens, empale toi bien sur ma queue ! Tu mouilles ma chienne, ça coule sur mes couilles.
maman : – Hummm tu as raison chéri, je suis ta salope, comme c’est bon.
Tu me fais trop mouiller, c’est incroyable.
moi : – Donne-moi ton cul de grosse salope, je veux t’enculer.
Maman change de position, sort de la voiture et se retrourne, me tournant le dos, le cul offert. J’écarte bien les jambes pour qu’elle se mette bien en position. Elle prend ma bite en main, en approche son anus et s’assoit dessus, elle descend lentement. Je sens que mon gland se fait un passage, qu’il élargit son intestin, la peau du conduit frotte sur ma queue, c’est plus serré que sa chatte. Arrivée en butée sur mes couilles, avec les pouces j’écarte ses fesses pour bien regarder ma bite entrer et sortir de son cul. Elle pose les mains sur ses cuisses, juste au-dessus des genoux, en position semi-assise et commence a se faire ramoner.
moi : – Ahhhh m’man tu la sens ma bite dans ton cul de salope ?
maman : – Hummmm ouiiii je me défonce le cul sur ta queue, petit salaud, c’est bon, bourre moi la rondelle !
Je suis en admiration devant le trou du cul de maman qui se prend ma bite sur toute sa longueur, j’accélère le mouvement, je tourne un peu la tête pour mater aussi ses gros nénés qui dans cette position pendent, telles des mamelles. je la tiens fermement par les hanches maintenant et je l’aide à monter et descendre sur mon pieu, ainsi je donne le rythme.
moi : – Je t’encule à fond maman, tiens salope ! Chienne ! Tu aimes te faire bourriquer le cul par ton fils hein, ma petite pute chérie !
maman : – Ouiiiiiii, encore petit salaud, défonce la rondelle de maman, je vais jouir, c’est trop bon.
Elle prend son nichon droit en main et porte son têton à la bouche, elle se le suce, de l’autre main elle me masse les couilles. Elle s’agrippe à la poignée de maintien qui se trouve au dessus de la portière et enfonce son anus de plus en plus en vite sur ma queue, elle arrive à l’orgasme.
maman : – Ahhhhhh je jouis ! Je jouis ! Ouiiiiiiiiiiii ! Je jouis du cul ahhhhhhhhhh !
J’attrape ses nénés et dans un dernier mouvement de bassin je lui largue tout dans son cul.
moi : – Ouiiiiiiiii tiens maman ! Tiens ! Salope je giiiiiiicle ! Je te mets tout dans le cul, tiens !
On reste un court instant collés, reprenant ses esprits, maman se relève laissant couler sur ma queue mon foutre gluant mêlé à ses sécrétions. Le même liquide dégouline de sa rondelle élargie sur les cuisses. Maman reste cependant penchée en avant.
maman : – Bouffe moi cul salaud ! Tu en as profité, eh bien nettoie avec ta langue.
Elle se penche encore un peu plus et je me mets à lécher mon foutre et le reste sur sa rondelle défoncée, j’y introduit ma langue pour ne rien laisser, puis je léche ses cuisses pour en terminer de ce nettoyage.
Dans l’excitation du moment je ne trouve pas ça mauvais. C’est le prix à payer pour une bonne partie de cul avec maman. J’aurai aimé qu’elle me nettoie la bite aussi mais c’est vrai qu’il est presque midi et il faut rentrer.
maman : – Allez, rhabillons-nous maintenant, rentrons.
Nous reprenons donc la direction de la maison, elle n’a pas remis sa culotte, c’est donc sa moule que je regarde tout le reste du trajet .
Voilà une bonne journée qui commence pour moi, je viens de branler maman jusqu’à l’orgasme, elle m’a sucé à fond, je l’ai baisée et enculée ; comme dans mes fantasmes.
Une fois rentrés, nous prenons notre repas sans parler de notre ’partie’ du matin. Mon père ne rentre jamais pour déjeuner le midi. Je me mets ensuite devant la télé, ma mère va à l’étage faire du rangement me dit-elle. C’est à ce moment qu’arrive Phil (19 ans, mon copain de toujours), il me ramène mon cd WRC pour playstation II.
Phil : – Salut Mich ! Je te ramène ton jeu, je le trouve super.
moi : – Salut Phil, j’ai rien de prévu cet aprème, on se fait un match ?
Phil : – D’accord.
On s’installe dans les fauteuils du salon et on branche le jeu (Solberg pour moi, Sainz pour lui). Après deux ou trois rallyes, on entend l’aspirateur en haut de l’escalier qui mène aux chambres. C’est presque en face de nous, on a qu’à lever les yeux, ma mère est au boulot. Elle est de dos par rapport à nous, en haut de l’escalier donc, penchée en avant avec l’aspi en main. Elle ne s’est pas changée, sachant qu’elle devait travailler un peu, elle a du préférer se doucher après avoir fait le ménage. On la regarde avec Phil, passer l’aspirateur sur le palier qui mène au couloir des chambres, évidemment dans cette situation, on a les yeux rivés sous sa jupe, elle a remis une culotte, blanche cette fois. On se regarde avec Phil d’un oeil complice et on continue de mater, on en a oublié le rallye. Par dessus son épaule, tournant la tête vers le salon en bas, elle s’aperçoit que Phil est là.
maman ( arrêtant l’aspirateur) : – Bonjour Phil, ça va ?
Phil : – Oui, très bien madame Maryse et vous ?
maman : – Bien merci. Et tes parents ? Tu les salueras pour moi.
Phil : – Ca va aussi, ce sera fait.
maman : – Je termine mon ménage, Michel, sers à boire voyons.
Je sers des sodas au salon tandis qu’elle continue à descendre l’escalier avec l’aspi. Avec Phil, on ne se concentre que sur le dessous de la jupe de maman en faisant semblant de jouer avec les manettes au cas où elle jeterait un oeil vers nous. Elle en termine avec l’escalier et arrive vers nous pour un passage sur le tapis du salon. Alors qu’elle se trouve, entre la table basse et le canapé, elle stoppe l’engin et nous regardant tous les deux :
— Mais … vous regardez sous ma jupe depuis tout à l’heure non ?
moi : – Heuu.. oui m’man, on mate un peu, tu nous fait bander.
maman : – Et toi Phil ?
Phil : – Heu.. excusez, moi aussi, ça me fait…..
maman : – Tu mates ta mère aussi alors.
Phil : – Ne lui dites rien Maryse svp.
moi : – J’ai dit à Phil que peut-être on aurait pu te mater dans la douche mais tu n’y es pas allée.
maman : – Dis-moi Phil, toi aussi tu aimes les femmes mûres ?
Phil : – Je ne rêve que de ça Maryse.
maman : – Toi aussi tu regarde tes parents faire l’amour ?
Phil : – Oui ça arrive de temps en temps.
maman : – Vous êtes de petits salauds tous les deux.
Et moi Phil, je te plais ? Tu aurais envie ?
Phil : – Vous savez, depuis des années qu’on se connait, et que je viens chez vous, je fantasme sur vous.
maman : – Hé bien les jeunes, dicuter de sexe avec vous m’émoustille aussi.
Quest-ce qui te plairait Phil ?
Phil : – Bin…. voir vos nichons.
Nous sommes donc tous trois dans le salon, ma mère, face à nous, debout, commence par enlever son t-shirt, dégrafe son soutien gorge et l’enlève aussi, ses gros nichons nous apparaissent dans leur splendeur, massifs, assez fermes quand même.
maman : – Voilà Phil mes nichons comme tu dis. Et maintenant ?
Phil : – Bin… j’aimerai bien baisser votre culotte.
Maintenant ça y est, la séance a commencé, Phil se lâche, je trique dur, je suppose que lui aussi. Je crois que ma salope de mère a envie de se faire prendre par deux jeunes.
maman : – Oh oh ! Bon, mais vous vous mettez tous les deux à poil, je veux voir vos queues mes chéris.
Pendant qu’on se déshabille complétement, maman se caresse les seins toute seule. Phil a une bite plus grosse que la mienne, surtout le gland qui me parait anormalement gros. Il bande sec également.
maman : – Viens Phil, viens enlever la culotte de Maryse, comme tu en rêves.
Elle retrousse sa jupe à la ceinture, Phil s’accroupit et tenant la culotte par l’élastique supérieur la fait descendre jusqu’aux genoux.
Phil : – Quelle touffe madame Maryse ! Encore plus fournie que celle de ma mère ! Incroyable.
Il passe une main sur cette touffe, les poils glissent entre ses doigts.
Je me caresse la bite en évitant de trop accélerer pour ne pas jouir.
Phil : – Restez troussée comme ça, culotte baissée et branlez vous.
Maman s’assoit dans le canapé écarte les cuisses et se met un doigt dans la chatte. Elle se caresse le clito, s’enfonce deux doigts, gémit, écarte encore plus les cuisses, elle va déchirer la culotte hyper tendue. Maman est déchainée, elle s’excite toute seule, elle fait sa salope devant devant deux jeunes qui se branlent aussi, ça lui plaît de s’astiquer devant nous.
maman : – Hum venez mes petits chéris, venez teter mes nichons, donnez moi vos queues.
On s’assoit aussi à côté d’elle, elle arrete un instant de se toucher pour prendre nos queues en main nous branler. Phil tete son nichon gauche tandis que je m’occupe de l’autre. Ce salaud de Phil a déjà mis un doigt dans la chatte de maman et la branle, il lui roule maintenant des patins toute langue sortie. Je continue à malaxer les nichons de maman et à les teter. Phil saisit la nuque de maman et l’amène à se pencher jusqu’ à sa bite, elle ouvre la bouche et engobe ce gros gland qu’elle se met à pomper.
Phil : – Suce moi salope ! Suce !
Il parle cruement et ça plait a maman, elle lui taille un bonne pipe.
Dans la position actuelle, maman assise à cote de Phil à le sucer dans le canapé, je ne suis pas en situation confortable pour la peloter. Phil s’aperçoit que je suis un peu gêné dans mes mouvements.
Phil : – Continue à me pomper et mets toi en levrette, ton fils va te baiser, pute que tu es !
Sans lacher la bite qu’elle a en bouche, elle place un genou sur le canapé en levrette, l’autre jambe tendue reposant au sol. je pose mon gland sur sa fente rose qui se détache bien de ses poils bien noirs et j’enfonce lentement. Ca rentre tout seul, je commence à la bourriquer tout en regardant Phil se faire sucer.
moi : – Hummm tiens m’man, t’es trempée cochonne.
Ca fait un bruit de ’floc flac’ quand je la lime, sa mouille coule sur mes couilles.
Phil : – Ca l’excite ca, prendre des queues, hein que ça t’excite chienne ?
maman : – Ouiiiiii encore mes petits chéris, encore, je suis votre salope, j’ai envie de vos queues.
Phil : – A moi de la baiser maintenant ! Assieds-toi sur ma bite Maryse.
Maman docilement, vient se placer à califourchon sur la queue de Phil, toujours assis sur le canapé. Elle lui fait face. Elle prend sa bite dans la main et la dirige vers sa fente, lentement elle s’enfonce dessus jusqu’aux couilles.
maman : – Ahhhhh que c’est bon, une bonne queue dans la chatte.
Phil : – Allez ma garce, ramone toi dessus.
Maman monte et descend sur ce pieu tendu. Sa mouille coule sur les couilles de Phil. D’une main il s’aggripe à un nichon et de l’autre il lui tire les cheveux en arrière. Maman gueule et rale de plaisir et de douleur, son nichon devient tout rouge tellement Phil presse dessus. Je n’ai jamais vu ma mère dans un tel état, ce n’est plus qu’une chienne lubrique.
moi : – J’en peux plus m’man, je vais t’enculer. Tu vas prendre deux bites en meme temps.
maman : – Ouiiiii Ouiiii chéri encule maman, mettez moi vos queues, salauds !
Elle se couche un peu sur Phil et plaque sa bouche sur la sienne, ils se roulent des patins. Je me place derrière elle, je fléchis un peu les jambes et je pose mon gland sur son anus.
moi : – Ca y est m’man je te rentre ma bite dans ton cul de grosse salope. Tiens !
maman : – Aieeeeeeee ! Mon cul, tu me déchires.
Phil : – Ta gueule, chienne, tu te fais enculer par ton fils alors que tu as déja la bite de son copain dans la chatte. Il a raison t’es qu’une grosse salope !
Je m’enfile dans son conduit anal et je commence à la ramoner. Phil reprend son limage de chatte, on est en train de défoncer les trous de maman et elle adore ça. Phil ne fait que l’insulter, ça l’excite encore plus. Nos trois corps ne font plus qu’un, ce ne sont que gémissements de plaisirs, cris de douleur pour maman qui se fait litteralement défoncer.
Phil – A moi de l’enculer maintenant. Hein, que tu la veux ma grosse bite dans ton cul ma pute !
maman : – Ouiii Phil, vas-y, mets-moi ton gros gland ! Michel t’as fait le passage.
Phil : – Fais un 69 avec ton fils sur le tapis, et montre moi ton trou du cul de poufiasse.
Je m’étends donc sur le tapis et maman se met en 69 sur moi. J’ai le visage dans sa foret noire, il y a de la mouille partout : dans les poils, sur les cuisses, elle est inondée. Je sens qu’elle me prend en bouche en massant mes couilles et commence à pomper. Ses gros nénés reposent sur mes cuisses. Je comence à la licher, à bien nettoyer toute la mouille extérieure puis je rentre ma langue dans sa moule. Son trou du cul est un orifice ocre déformé à la dimension de ma bite. Phil à genoux derrière elle, place son gland sur l’anus de maman. Il a un gland impressionnant, il appuie et glisse lentement dans le cul ma mère. Ses couilles glissent sur mon nez et mon front.
maman : Ahhhh ! le salaud quel gland énorme, il me défonce le cul !
Salaud !
Phil : – Ta gueule ma chienne ! Prends ca dans ton cul et suce ton fils !
Phil saisit maman par les hanches et maintenant la lime à fond.
J’alterne les passages de langue sur son clito et dans sa fente, elle bouge du cul, elle va jouir. Je sens que j’arrive moi aussi, les couilles de Phil qui me caressent le visage m’excitent. Maman ne fait que gueuler maintenant, elle dit même qu’on va la faire mourir, elle devient dingue de plaisir.
maman : – Ahhhhhhhhh je viens ! ouiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiis !!!
hummmmmmmm Phil et moi jutons en même temps en gueulant comme elle. Je mets quelques giclées dans la bouche de maman, qui me lèche et m’astique jusqu’à la dernière goutte. Phil laisse sa bite dans le cul de maman, il laisse débander un peu, son foutre dégouline de l’orifice distendu sur ses couilles et tombe sur mon visage. J’ai quant à moi la bouche pleine de la mouille de maman qui a eu un orgasme violent et a plaqué fortement sa chatte sur ma bouche au moment de sa jouissance.
maman : – Ohhhh j’ai les trous en feu, vous m’avez défoncée, petits salauds.
Phil : – Tu les aimes nos bites hein ?
maman : – Vous êtes merveilleux mes petits chéris.
Merde, je suis trop dilatée, je n’ais pas senti venir, je pisse, je pisse ! Ohhh Michel bois, bois, maman, je te pisse dessus.
Toujours en 69, maman lache sa pisse sur mon visage, j’ouvre la bouche et bois quelques gorgées, j’enfonce ma langue dans sa chatte, ça coule tout le long et finit dans ma gorge. c’est tiède, le goût est acide mais je suis tellement excité que je bois volontiers. Quand elle a terminé elle se relève s’assoit dans le canapé et invite Phil d’un geste à venir lui lecher et nettoyer la chatte. A genoux entre ses cuisses il termine de sucer les dernières gouttes de pisse. On s’assoit ensuite de chaque côté d’elle et on reprend nos esprits. Après quelques instants de récupération on se rhabille, maman part à la douche.
Phil : – Bon au revoir madame Maryse et merci. Excusez moi pour les insultes mais c’est trop bon.
maman : – Au revoir Phil, salue tes parents pour moi. On les invitera un de ces jours.
moi : – Salut Phil, j’espère qu’un jour on pourra…. avec ta mère ?
Phil : – On verra, je ne peux rien promettre.
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Eusèbe (d’autres aventures ? Le lecteur en décidera…STOP OU ENCORE ?? )
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