Une journée tranquille
Le réveil est un peu pénible à cause de la nuit passée et aussi de lalcool consommé sans excès, mais qui me fait rapidement tourner la tête. Comme à laccoutumée, notre réveil, cest câlin, un ptit coup dans les fesses, et cest parti pour la journée ! Pat et moi allons dans la salle de bain ; les filles ont mobilisé la baignoire. Après la bise à tous, nous passons sous la douche tout en étudiant le programme de la journée déjà bien entamée. Nous optons pour un brunch, la plage naturiste pas celle des cochons et pour le soir, balade resto simple, au port, puis un coucher pas trop tard de façon à repartir chez nous demain matin de bonne heure pour que les filles puissent profiter du calme et de la piscine car elles repartent après-demain.
En regardant laffichette sur la porte de notre chambre, Pat découvre que lhôtel propose des brunchs ; il nous renvoie linformation. Après tout, pourquoi ne pas le prendre ici, sur la terrasse de notre chambre ? Pat passe commande, et un quart dheure plus tard une serveuse nous apporte un chariot garni de victuailles diverses. Je ne fais pas trop attention à la serveuse quand :
Mademoiselle, je suppose quon a dû vous dire que vous êtes magnifique ? lui demande Élodie.
Oui, bien sûr, Madame.
Et vous a-t-on déjà proposé un câlin entre filles ? reprend Élodie avec son air joueur et taquin.
Euh mais je Non, répond-elle, les joues rouge écarlate,
Cest vrai quon pourrait sen faire un casse-croûte, hein, les filles ? propose Élodie, toujours aussi chahuteuse.
Est-ce que tu as déjà fait ça avec des filles ? senquiert Tatiana.
Euh Non, jamais. Mais il faut que jy aille : je suis en service, je dois rendre des comptes, et
Sil ny a que ça, ma belle, on te couvre sans problème ! je la rassure.
Oui, jy ai bien pensé, mais voilà (elle marque un temps darrêt) Dans cinq minutes, jai une demi-heure de pose ; il faut que je pointe.
Va, ma belle ; et si ça te tente, en une demi-heure on peut te faire jouir au moins trois fois : à toi de voir.
La belle serveuse senfuit. Jinstalle la table quand on frappe à la porte. Jouvre, et découvre la serveuse accompagnée dune autre personne. Je suis inquiète, mais la belle me lance un joli clin dil. Oh, elle est maline, la coquine !
Bonjour ! Je vous demande pardon, mais Anaïs me dit que vous avez besoin de ses services. Je suis surpris de cette demande car cest la première fois que cela arrive.
Moi, dans le genre, jai de la répartie. Je trouve la solution à la vitesse de léclair ; je my connais
Eh bien, Monsieur, il y a un début à tout. Effectivement, nous aurions voulu quelle refasse les lits des deux chambres et mettre un peu dordre.
Oui, mais on le fera quand vous serez sortis.
Sauf quon ne sort pas ; donc
Oui, mais elle prend sa pause ; je vais donc vous envoyer quelquun dautre.
Cest pas grave, Monsieur ; je vais le faire sur mon temps de pause. Vous nous dites toujours quil faut satisfaire le client, et je serais très heureuse de satisfaire ces messieurs-dames.
Très bien ; jen tiendrai compte pour votre notation. Dans ce cas, allez-y ; prenez le temps quil faudra, et notez la durée : ce sera payé en heures supplémentaires. Excusez-moi pour le dérangement, et bonne suite de séjour chez nous.
Au revoir, Monsieur, et merci pour votre amabilité. Ah, faites-nous monter du champagne, sil vous plaît.
Je ferme la porte et regarde notre jouet.
Dis-donc Toi, tu sais y faire. Et payée, en plus ! Bravo, bien joué. Et en plus, « Prenez le temps quil faudra. » Au boulot, maintenant ! je dis à Anaïs.
Je dois faire quoi alors ?
Te mettre toute nue, pardi ! Te faire un câlin habillée, cest pas top, hein, les filles ?
Pendant quelle se déshabille et pose soigneusement ses affaires sur une chaise, je vais voir les filles.
Et pourquoi du champagne ? demande Tatiana.
Vous connaissez le nyotaimori ? Au Japon, cest utiliser une femme nue en guise de plat. La petite, on la met sur le lit puis on la décore avec les fruits, les crèmes, un peu de champagne ; je vous jure quelle va prendre son pied ! Et toi, Pat, si elle en veut plus, tu ten charge ?
Cest toi qui me demandes ça, ma chérie ?
Hier, tu mas bien laissée me faire
OK. On a des capotes ?
Toujours, mon chéri.
Tu es prête, ma belle ? Ah oui : habillée, tu es top, mais toute nue, une vraie poupée toute bronzée. Jolie petite poitrine ! Tourne. Humm beau petit cul ; eh bien, ton copain doit être ravi. Tu vas encore rougir, mais tu es à croquer. En parlant de ça, allonge-toi sur le lit, viens.
Je nai pas de petit copain ; et quest-ce quon va faire ?
Du nyotaimori. Tu connais ?
Non.
Tant mieux. Allonge-toi comme ça, les bras le long du corps ; écarte un peu les pattes. Humm, tu mouille déjà !
Toutes les trois nous garnissons notre plateau royal puis, lorsque cest fait :
À table ! Regardez-moi ce chef duvre Une photo, on peut ?
Oui, mais jen veux une ou deux, nous répond-elle
Je prends quelques photos avec mon portable et les lui montre ; à leur vue, elle écarquille les yeux.
Ah oui, je ne suis pas mal Et cest très agréable comme sensation.
Nous mangeons sans les mains pour le moment. La crème sur ses petits tétons est délicieuse, surtout quand on y ajoute un peu de champagne. À chaque bouchée elle frémit ; les yeux fermés, elle savoure ce moment. Les filles soccupent des ses seins, chacune le sien ; elles les lèchent, lui aspirent les tétons garnis de crème et de champagne que Pat verse à la petite cuillère.
Moi, je moccupe de sa minette ; fraise et champagne : un brunch royal ! Jai mangé la fraise ; il me reste la fleur juvénile à la corolle rosée. Elle est délicieuse, tendre et fraîche. Et dire quelle na pas de petit copain Quel gâchis ! Je fais pénétrer ma langue le plus profond possible, puis les doigts. Elle est serrée, mais pas vierge. Je lui masse lintérieur, et lorsque je touche son point G, elle vibre instantanément. Les filles lon senti. Un coup dil : Tatiana lui prend la bouche, lembrasse dans une galoche étourdissante ; Élodie soccupe dun sein, Pat prend possession de lautre, et moi je la travaille.
Elle gémit dans la bouche de Tatiana, roule sous les câlins dÉlodie et de Pat, et ondule sous mes doigts puis se cabre, secouée par les spasmes du plaisir. Nous décalons dun cran : Élodie a sa minette ; moi, le sein droit ; Pat, la bouche ; et Tatiana, le sein gauche. Crème, bisous, câlins, doigts, langues ; et pour finir, orgasme. Puis on décale encore, orgasme.
Dernier tour ; le plat est vide, nous avons tout mangé, tout sucé. Nous insistons encore ; les parties intimes sont traitées par tous les un après les autres, avec la langue, les doigts avec et sans champagne. Elle sagite un peu, ondule, gémit. Elle est caressée par les quatre paires de mains en même temps. De temps en temps elle ouvre ses yeux remplis de bonheur puis les referme ; elle jouit de plus en plus fort. Voilà trois quarts dheure que nous la câlinons ; nous faisons une pause, et avec une coupe de champagne bien méritée, nous trinquons tous les cinq.
Elle ne peut détacher son regard du sexe de Pat.
Anaïs, il te fait envie ? lui demande Tatiana.
Oui, répond-elle simplement.
Mon chéri, tu as une mission capitale à accomplir : cette demoiselle voudrait goûter à ton pivot ; cest une question de vie ou de mort. Il y a urgence ; alors au boulot, mec !
Pat lui pratique un cunnilingus denfer ça, je peux le garantir elle glousse, couine, miaule. Il remonte de son pubis à ses seins quil aspire en entier, puis lui roule une pelle impressionnante. À bout de souffle, elle se dégage avec un « Prends-moi, maintenant ! » en prenant Pat par le cou. Il lui passe les mains sous les fesses pour la soulever ; elle enroule ses jambes autour de sa taille et se laisse glisser pour que le sexe de Pat la pénètre en douceur. Anaïs laisse échapper un « Ah, ouiii » doux et sensuel. Elle rayonne de bonheur, accrochée à lui comme un bébé singe à sa mère. Pat lemporte jusqu’à la table et la couche dessus en douceur. Je moccupe de sa bouche tandis que les filles lui sucent les seins. Il entame un mouvement de va-et-vient lent et régulier, faisant monter le désir lentement pour que lorgasme soit plus long à venir, donc plus intense. Je le sais, cette technique est terrible : tu sens le plaisir venir tout doucement, et quand lorgasme arrive, cest une tornade.
Ses gémissements laissent présager une arrivée proche. Pat la besogne ; il la prise par la taille pour lattirer mieux en lui. Elle se tord dans tous les sens, souffle vite et crie un « Ouiii » long et puissant. Pat continue au même rythme, elle nous fait un joli « Oh ouiii Encore Ouiii »
Elle vient davoir un second orgasme. Elle transpire puis elle sapaise ; le calme revient, son visage rayonne de bonheur. Pat la libère.
Heureuse, elle prend une douche ou plutôt nous lui donnons sa douche ce qui va lui procurer encore un autre orgasme. Elle me donne son numéro de portable pour que je lui envoie les photos puis part, heureuse, reprendre son service avec les draps un peu salis par un mélange de crème, de fruits et de champagne.
Après cet exercice salutaire, nous partons à la plage naturiste pour parfaire notre bronzage. Élodie, comme toute vrai blonde qui se respecte, est recouverte dun joli hâle doré ; avec leffet de la mer et du soleil, ses cheveux sont passés au blond doré. Tatiana, brune, est plus bronzée ; manque laccent, et on dirait une Marseillaise. Nous passons notre après-midi à lézarder au soleil. Pat, toujours en mouvement, a dû faire trois fois la distance dici à Marseille à la nage. Pat, quoi !
Nous nous changeons pour aller dîner dans un restaurant au port du cap dAgde ; nous y allons en robe sans rien dessous, au cas où La mienne, largement déboutonnée en haut comme en bas, fait ce quelle a envie ; je sais que le vent la ouverte plusieurs fois pour le plaisir des uns et la joie des autres. Pour ceux qui nont pas apprécié, ce nest pas grave. Nous avons mangé en terrasse sans se soucier de savoir si lon voyait notre minette ou pas ; mais à la vue de certains regards et de pauses prolongées non loin de notre table, je peux dire que bon nombre de gens se sont régalés.
[ à suivre ]