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Une nuit de sexe brutal avec Sabrina – Chapitre 2

Une nuit de sexe brutal avec Sabrina - Chapitre 2



On sort de la boite sans traîner, j’ai besoin d’air frais. Les quelques zigues qui nous regardent le font avec de gros yeux. Faut dire que Sabrina a une sacré dégaine. Toute rouge, sa chevelure frisée aurait besoin d’un bon coup de peigne, elle est comme moi trempée de sueur et on voit clairement ses nichons adhérer à son haut, collé au tissu par la transpiration et le sperme. Elle dégage une odeur mêlée de foutre, de cyprine et de sueur. Sa démarche aussi n’est pas très assurée, elle a les jambes un peu flageolantes, faut dire que j’ai pas ménagé sa chatte et encore ce n’est rien à côté de ce que je compte encore lui faire subir.

J’enserre dans mes bras la petite pute au moment de croiser les vigiles et lui dit de m’embrasser le cou afin qu’ils remarquent pas sa gueule.

"Je te suis en voiture?" me demande t’elle à la manière d’une gosse timide une fois arrivés sur le parking, ce qui m’arrache un sourire.

"Non, je te ramènerai demain matin, suis-moi".

"Attends alors s’il te plait, faut que j’aille chercher quelque chose, ça te plaira, fais-moi confiance" me supplie t’elle en appuyant sa demande d’un regard où se lit l’envie de luxure totale.

"OK je te suis" et elle m’amène à sa petite Twingo dont elle sort un sac de sport du coffre.

"Ce sont mes sex-toys" me confie t’elle en souriant, "je les ai toujours dans ma voiture au cas où".

Vraiment dépravée cette nana ! J’espère qu’il y a là menottes, fouets et autres badines afin de pimenter encore plus la soirée même si j’ai aussi quelques gadgets fort utiles à la maison.

"Tu me montreras ça plus tard salope, ramènes ton cul. J’ai une de ces envies de pisser.

Je lui prend le sac des mains et amène la pute à ma BMW. "Monte salope et fais gaffe à rien dégueulasser sinon je te fais nettoyer toute la caisse avec ta langue et tes nichons, intérieur et extérieur compris".

La femelle rentre précautionneusement dans l’habitacle pendant que je m’installe au volant.

"Tu mets pas la ceinture, je veux pas qu’elle pue et soit imprégnée de sperme" lui dis-je en balançant son sac de sport sur la banquette arrière.

Je démarre et sors du parking de la boite qui a bien commencé à se remplir. J’engage la conversation, j’ai envie d’en savoir un peu sur cette incroyable salope:

"Pourquoi t’as un collier slut girl espèce de traînée ?"

Elle me répond "Parce que ça me correspond, je suis une vrai salope".

Je ne peux qu’aquiescer à ses dires !

"Tu t’appelles comment sinon slut girl ?"

"Sabrina mais je préfère que tu me traites de tous les noms que tu veux, j’adore être insultée, ça m’excite. Et puis désolé mais je ne tiens pas en dévoiler plus sur moi, mon corps est à toi pour la nuit, je garde tous mes petits secrets pour moi".

Je lui foutrais bien une volée dans sa gueule à celle-là pour lui apprendre le respect mais je suis occupé à doubler un vieux papy crispé au volant de son vieux tas de boue alors je réponds juste de manière sèche:

"Bientôt ton corps n’aura plus de secrets pour moi sale conne et tu te souviendras longtemps de cette putain de nuit où tu t’es donnée à moi. Fous-toi à poil maintenant qu’on est sorti de la ville, une pute dans ton genre doit toujours être à poil.  Doigte toi sauvagement comme la chienne que tu es, joue méchamment avec ton clito et griffe toi les seins. Fais-toi mal sale pute maso !"

Sabrina obéit, je la regarde faire d’un oeil et commence à me caresser l’entre-jambes mais putain j’ai trop envie de pisser. Il me vient alors une idée.

J’engage la BMW sur un chemin de campagne et j’arrête la caisse sur le bas-côté près d’un bosquet.

"Viens ma pute, tu vas me tenir la queue pour pisser".

Je fais descendre la pute et lui dis de baisser ma braguette et sortir mon engin.

"Pousse toi stupide femelle ou je te pisse dessus" car la conne est restée devant moi, ayant peut-être envie de me sucer !

A moins que l’uro soit son truc, c’est pas le mien mais elle, elle a peut-être tous les vices !

Non, car elle se pousse vite fait et j’envoie mon jet de pisse taquiner les feuilles des arbres.

Bordel ça soulage et je vais pouvoir à nouveau utiliser ma queue sur la pétasse.

J’y pense elle a peut-être envie de se soulager aussi la meuf.

"Si t’as envie de pisser aussi, fous-toi au milieu du chemin, si jamais un paysan revenait des labours au volant de son tracteur, ça lui ferait un beau spectacle de voir une fille à poil en train de pisser!"

Pendant que Sabrina va se soulager, je vais chercher un sac plastique et une lampe torche dans le coffre et commence à examiner les fourrés.

J’ai trouvé ce que je cherchais, je gueule à la pute "ramène tes nibards ici ma salope, j’ai du boulot pour toi".

Sabrina arrive, je l’éclaire avec le faisceau de ma lampe, elle est vraiment désirable à poil comme ça, jouant à la timide. Le genre de minette qu’on penserait voir acoquinée à un millionnaire qui la choirait, la couvrirait de dentelle et de parfums de luxe mais non elle son truc, tout au moins ce soir, 

c’était la dépravation la plus totale, la soumission à ma queue de sadique, que je sens d’ailleurs durcir rien qu’à cette pensée.

La chienne a mes côtés je lui montre avec ma lampe: "regarde ici c’est plein d’orties. Prends cette poche et fais-moi un beau bouquet bien garni. Je sais pas si taimes les fleurs, moi je t’offre juste des orties mais crois-moi celles-là elles sont bien piquantes et je suis sûr que ton vagin et tes seins vont 

adorer".

J’ai fini ma phrase en regardant Sabrina droit dans les yeux et là je la sens légèrement vaciller. Il faut que je brise sa volonté car je pense avoir atteint une de ses limites. Je la prends par les cheveux et la fait se mettre à genoux brutalement.

"Obéis putain de slut girl ou je te balance dans les orties et je te les fais bouffer. Tu m’as dis que ton corps était à toi pour la nuit qui est encore jeune alors respecte ton engagement et tu as la promesse que je te libérerai à l’aube. N’essaie pas de me défier sinon je m’occuperai de ton putain d’anus et 

 je te promets que je te ferai détester et craindre la douleur une bonne fois pour toutes!". 

Je lui file une bonne paire de taloches dans les gencives ainsi qu’un bon coup de pied au cul.

La pisseuse sanglote un peu puis se met en devoir de ramasser précautionneusement les orties. Evidemment elle ne peut éviter de se piquer aux chevilles et aux mains, essaie à multiples reprises de revenir vers moi mais je lui fais comprendre que je veux que la poche soit bien remplie.

Une fois sa tâche correctement effectuée, je tends la main à Sabrina pour qu’elle me rejoigne et la raccompagne à ma voiture.

On repart, je fais marche arrière et revient sur la route. On sera chez moi dans 10 mn. Je regarde la pute qui a l’air hagard et semble fatiguée d’un coup, une fois l’excitation du sexe retombée.

Ses poignets et ses chevilles sont couverts de petits boutons qui la démangent, elle n’arrête pas de se gratter.

"Timagines, je lui dis en plaisantant, quand je t’enfournerai une bonne poignée d’orties dans le vagin comment ça va être bon ?".

Elle me regarde mais n’ose rien dire, elle semble dans un état second. Elle commence à frissonner aussi et je vois qu’elle a la chair de poule. Faut que je la rassure et elle a besoin de se requinquer un peu.

"Rhabille toi je lui dis, tu vas prendre froid. On est bientôt chez moi. Je te laisserai te reposer une demi-heure, tu pourras te doucher. Je te ferai un café et à manger si tu veux, tas besoin de reprendre des forces. J’ai un baume chez moi, ça te soulagera des piqures d’orties.

J’ai dis tout ça gentiment et la pute a l’air de se calmer. Rhabillée, elle ferme les yeux et fait mine de dormir, je la laisse tranquille.

On est arrivés, je secoue la salope pour lui faire comprendre qu’elle doit bouger son cul.

"J’ai hérité du domaine familial à la mort de mes parents il y a 3 ans, de vrais fumiers qui ont crevé dans un accident sur l’autoroute. Je vais pas te raconter ma vie mais sache que c’est eux qui m’ont enseigné la violence ces bâtards et tu vois la baraque est bien isolée, tu vas pouvoir gueuler comme une truie qu’on égorge, ça ne dérangera personne".

Je fous un coup de pied au cul de la trainée pour la faire avancer et je l’amène direct à la douche.

"Refais toi une beauté pétasse, je te veux fraîche et sexy, j’aime pas baiser les souillons qui ressemblent à rien comme tu l’es actuellement. Je vais te chercher un baume pour les piqûres. Quand tauras finis de te pouponner, tu viendras prendre un café et manger un morceau si ten as envie. Tas 30 mn en tout pour te préparer sale pute".

Je profite de ce temps pour me rafraîchir et me changer. 

C’est l’été, il fait chaud, je garde juste un caleçon et mes Nike, elles pourront servir pour donner des coups de pieds à la salope.

Ensuite je prépare du café et je fais des pancakes, j’ai la dalle. C’est pas parce que je suis un obsédé sexuel que je sais pas faire à bouffer !

Sabrina revient enfin, elle a les traits tirés mais la douche lui a fait du bien. Elle empeste le baume mais au moins ne se gratte plus. Elle a le maquillage léger, c’est dommage j’aurais aimé qu’elle se la soit jouée pute fardée à outrance mais elle n’a peut-être pas envie de m’exciter tant que ça ! Juste un trait d’eye liner, du crayon noir mais ça lui va bien et de toute façon rien qu’à la voir je sens une bosse déformer mon caleçon.

"Assieds-toi et restaure-toi, pendant ce temps je vais voir ce qu’il y a dans ton sac à malices!"

Je vais chercher le sac de sport et examine son contenu.

"Bon, voyons voir ce qui te fait tripper ma pute. Des boules de geisha, un gode, un vibromasseur, un oeuf vibrant, ouais que des conneries quoi, je crois qu’on a passé le stade des apéritifs, je veux du concret moi. Ah, enfin quelque chose d’intéressant, des pinces-téton et des pompes à tétons, ça c’est déjà plus ma came ! Des menottes love cuffs avec la moumoute, que c’est naze, j’ai des vraies menottes de flics moi, tu verras, c’est autre chose. 

Une tapette plumeau, c’est pour faire le ménage connasse ? Un martinet, oui ça c’est mieux même si les lanières ont pas les bouts cloutés, je pourrai quand même m’amuser un peu avec. Un baillon boule, ouais je vois pas trop l’utilité sauf dans les chiottes dans la boite ça aurait pu servir, ah une cravache, enfin quelque chose de bien !

Bon, c’est pas l’extase tout ça, tavais dit que ça me ferait plaisir mais je suis plutôt frustré. Tes une 

petite joueuse Sabrina, mais t’en fais pas, j’ai ici de quoi pallier tes lacunes et te faire passer en première division".

"S’il vous plait, me répond la pute qui a l’air d’avoir avalé une crêpe de travers, allez-y progressivement. Je vous demande juste de la patience, vous pourrez tout me faire mais excitez-moi et transformez-moi en la pire salope qui soit, vous ne le regrettez pas".

"OK, je lui dis, je suis pas mauvais bougre et je te préfère salope prête à tout accepter plutôt que femelle brisée qui passera son temps à chialer. Je te propose de commencer soft avec tes gadgets pour gamines comme les boules de geisha et l’oeuf vibrant afin de t’exciter ta chatte de putain et ensuite je t’amènerai vers un état de soumission totale ou tu me réclameras de t’infliger les pires sévices et humiliations. Ca te va bouche à bites ?"

"Je suis déjà excitée rien qu’à vous entendre, allons-y, ne perdons plus de temps".

A croire que mon café et mes pancakes sont de vrais aphrodisiaques !

"Fous-toi à poil sac à foutre, garde juste tes talons et enfourne-toi les boules de geisha dans ton vagin de femelle dégénérée." Je lui tends les boules en même temps que je lui donne cet ordre.

Sabrina la pute me les prends et tout en se caressant d’une main, titille son clitoris avec une des boules. Le clitoris grossit et la salope joue avec en ayant enduit ses doigts de salive. Elle ferme les yeux et commence à s’enfoncer une boule dans le vagin puis l’autre. Ensuite elle se met à marcher en se caressant la vulve et commence à pousser de petits gémissements. Elle prend plaisir à se masser la chatte en marchant pendant que ses déplacements lui procurent un délicieux massage interne. "C’est bon, dit-elle". Moi je collerais bien des épines à ces boules de geisha afin que le massage soit bien moins délicieux ! 

La grosse salope s’approche de moi et me dit:

"Je mouille, je veux autre chose dans ma chatte".

Je lui colle une gifle dans la joue et je lui tends l’oeuf vibrant. "Enfourne ça dans ton trou de pute que je vais faire vibrer à puissance max". 

Sabrina retire les boules en tirant sur le cordon et prend l’oeuf qu’elle s’enfonce dans ses chairs intimes.

J’ai comme promis mis la puissance au maximum parce que les conneries ça va deux minutes, et Sabrina laisse échapper un glapissement car la conne devait penser que je plaisantais ! Elle fait mine de vouloir retirer l’oeuf mais je lui tiens fermement ses poignets et la femelle se met à danser la gigue en me suppliant d’arrêter ou de baisser l’intensité des vibrations, j’en rigolerais tellement elle est ridicule ! 

"C’est toi qui a voulu autre chose alors ferme ta putain de sale gueule de truie en chaleur et prends ton pied!" 

Sabrina continue à couiner alors je lui lâche un poignet et lui assène une volée de claques sur le visage et la poitrine. La volée fait son effet car la pute se calme et commence à se caresser les nichons.

"C’est mieux, je lui dis et pour te faire comprendre que c’est ton intérêt d’être obéissante, je vais baisser l’intensité de l’oeuf à moitié".

Sabrina me balbutie un remerciement et continue à se caresser en prenant ses pointes de seins, qu’elle étire et fait rouler entre ses doigts, elle joue avec les lèvres de sa chatte, suce ses doigts imprégnés de sa cyprine tout en laissant échapper des "oui " et des "que c’est bon". 

J’ai enlevé mon caleçon et bien assis sur mon fauteuil je me branle nonchalamment en regardant le spectacle de cette dépravée. Je ne veux pas m’exciter trop vite pour que le jeu dure longtemps et je ne suis pas capable de rebander en 30 secondes après avoir éjaculé.

D’un coup elle me dit "puissance max s’il vous plait, faites vibrer ma chatte à fond!".

Je ne me le fais pas dire et j’accède en sa demande dare-dare. Je me lève et prends le martinet dans la main droite.

"Triture tes gros nichons de salope ma pute, je vais m’occuper un peu de ta chatte."

Sabrina obéis et je lui donne du martinet en visant bien sa vulve, son clito. Au début les coups sont peu appuyés et la pute se trémousse chaque fois que les lanières cinglent son sexe. 

Je l’entends dire "plus fort !"

"OK stupide slut girl, je n’attends que ça, punir ta chatte!"

Je mets de plus en plus de force dans mes coups qui claquent contre son pubis glabre devenu tout rouge.

"Souffre sale pute!", je lui gueule. La chienne malaxe ses nibards de plus en plus fort et je vois la sueur commence à perler sur sa peau.

Elle se mord les lèvres et je la vois frissonner de plaisir. 

Je prends alors la cravache et assène une vicieuse pluie de coups sur le sexe de Sabrina qui se met à hurler un "OUI" qui me vrille les oreilles et je suis obligé de laisser tomber la cravache pour retenir la pute qui allait s’effondrer sous la puissance de son orgasme.

Sabrina me regarde de ses beaux yeux marrons "C’était si bon, je suis vidée mais j’ai faim de votre queue. J’ai envie de manger votre bite, insultez-moi s’il vous plait".

"Bouffe, vulgaire sac à sperme", je lui dis en lui enfonçant mon pénis à fond dans sa bouche à bites.

La pute a dit qu’elle voulait me bouffer la bite alors elle va avoir de quoi remplir son gosier. Je reste enfoncé dans sa gorge sans bouger et je lui demande "tu l’aimes ma queue grosse salope ? Tu veux bouffer mes couilles aussi ? Alors essaie de les faire rentrer dans ta putain de bouche à bites. Si t’y arrives pas je te ferai bouffer des orties !".

Sabrina entreprend de faire rentrer mes bourses dans sa bouche. Elle bave comme un chien malade, elle a des hoquets et comme elle vient de bouffer des pancakes elle risque de se mettre à dégueuler ! Mais ça me donne pas vraiment envie, c’est dégueulasse et je veux pas pourrir mon putain de canapé !

Je me retire vite fait avant que l’irréparable ne soit commis et laisse la chienne reprendre son souffle en la traitant de plus mauvaise suceuse de queues de l’univers. Je lui envoie un mollard dans la gueule en lui disant de bien le tartiner sur sa gueule de putain.

"On va attendre que t’ais un peu digéré avant de te refaire un skull fuck sale pute. En attendant on va jouer un peu avec tes nichons. J’adore maltraiter les beaux nibards comme les tiens".

Je prends les pinces-tétons et les pompes à tétons dans le sac posé sur le canapé. Plus tard j’utiliserai les orties mais je sais que la putain n’est pas encore prête pour ça.

Par contre se prendre des taloches sur son joli minois je sais qu’elle aime ça alors je lui envoie une dizaine d’allers-retours dans les joues qui rougissent sous les impacts.

"Stupide femelle dépravée tu aimes ça, avoue ?", je lui gueule en même temps ?

"Oui, c’est bon, j’aime qu’on me défonce la gueule" !

Je la prends alors par les cheveux et la soulève, je la traîne et la fait marcher en lui donnant des coups de pieds dans la chatte. "Misérable femelle, t’es la salope la plus dégénérée que j’ai jamais baisé et tu vas te souvenir de cette nuit toute ta putain de vie!".

Je balance la pute sur le canapé où elle se vautre en beauté et je lui donne une fessée bien sentie sur sa croupe rebondie. J’ai envie de prendre la pute dans cette position alors je monte sur elle et pénètre sa chatte humide d’un coup brutal. Je reprends sa tignasse de la main gauche et lui tire la tête en arrière. Elle est cambrée au maximum, ce qui me donne accès à sa poitrine du côté droit. J’empoigne son sein de ce côté en faisant rentrer mes ongles dans la chair et je tire dessus tout en appuyant comme une brute. 

La salope se met à hurler de plaisir et de douleur mêlés pendant que je lui pilonne sa chatte à lui défoncer les ovaires. "Bordel je vais t’arracher le sein sale pute, dis-moi que c’est ce que tu veux stupide connasse, j’en ai envie tu peux pas savoir !".

"Non s’il vous plait, ils sont jolis mes seins" me supplie t’elle. 

Putain ça me met en rogne, faut que je la frappe cette pétasse !

Je la lâche des 2 mains, ce qui la fait s’affaler brutalement sur le canapé et tout en continuant de la ramoner, je lui plante mes ongles dans les fesses, je les pince, je les tire, je les claque et je leur donne même des coups de poing !

Sous ce traitement sadique, il n’en faut pas plus à Sabrina pour ressentir un nouvel orgasme que je devine à son hurlement d’un "OUI" tonitruant en même temps que son corps est traversé de spasmes.

"Jouis sale pute", je lui crie, et je couvre sa bouche et son nez de mes mains pour qu’elle ait la respiration coupée pendant son orgasme et au-delà. Evidemment je continue à la sauter pendant ce temps et je compte mentalement les secondes dans ma tête. Au bout d’une trentaine elle commence à s’agiter et à vouloir parler mais je renforce mon emprise sur elle. Au bout de 45 je la sens suffoquer, elle essaie de me mordre et elle se débat dans tous les sens. Je libère sa tête et retire ma queue de son vagin défoncé puis je la retourne sur le dos pour lui asséner une 

volée de coups sur la tronche et les seins alors que la pute toute tremblante essaie de reprendre son souffle et a des hoquets convulsifs.

"Tu jouis toujours reine des putes ? Ca te plait ce traitement ? Taimes la violence, tu as ta dose ?" je lui gueule ? J’attends pas sa réponse et je lui prends le cou avec les 2 mains que je serre pour lui couper à nouveau la respiration. Je la soulève par le cou et je me mets à la malmener pendant que je l’insulte, que je lui donne des coups de pieds et de genoux dans le sexe et que je lui crache au visage. 

Je vois que Sabrina est dans un état second, elle ne se débat plus mais tremble de tout son corps, elle est devenue toute blanche, en contraste des zones frappées qui sont toutes rouges. Je la sens flageoler alors je la balance à nouveau sur le canapé et la retourne pour qu’elle puisse respirer. Elle se met à hoqueter comme une malade, sa respiration est très saccadée et elle a les larmes aux yeux. Je prends le martinet et commence à la fouetter sur le visage, puis les seins en augmentant progressivement la force de mes coups. Je la sens suffoquer alors je la tire du canapé par la main, je la traîne par terre jusqu’à la cuisine, je la relève et lui asperge le visage d’eau froide. Je l’assois ensuite sur une chaise, elle s’accroche à la table et je la vois lentement reprendre son souffle et des couleurs pendant que je la sèche avec une serviette.

J’ai débandé et je laisse la pute tranquille. Je vais chercher une bouteille de vodka et remplit 2 verres.

La salope boit le sien cul sec sans demander son reste !

"Plus jamais ça, me souffle t’elle d’une voix peu assurée. J’ai cru crever, je me suis sentie partir, j’étais dans une autre dimension. Et en même temps, c’était si bon, j’ai jamais ressenti ça. J’ai eu 2 orgasmes d’affilée dont un pendant que je me sentais mourir, c’est dingue ! Un autre verre s’il vous plait !"

Je ressers la pétasse qui s’enquille à nouveau la vodka d’un trait alors que j’ai pas encore entamé mon verre. 

C’est qu’elle encaisse la boisson la pute ! Et je crois qu’elle a particulièrement envie de se saoûler !

Après, dire qu’elle allait mourir, faut pas déconner mais je la laisse dans sa conviction. Je suis diplômé en premiers secours et au pire je l’aurais réanimée si elle était tombée inconsciente.

Par contre avec tout ça j’ai bien débandé et j’espère que la petite chienne est restée chaude elle, sinon va encore falloir que je recommence tous les préliminaires. Par contre si je la saoûle…

"Tiens ma pute prends la bouteille, tu as l’air d’apprécier, fais toi plaisir si t’aimes ça et reprends des forces, ça va te mettre le feu partout ça."

Sabrina se le fait pas dire et poursuit sa descente de la bouteille directement au goulot pendant que je sirote mon verre tranquillement en petit buveur du dimanche que je suis.

Mais en fait la salope s’arrête rapidement et me lance:

"Qu’est ce qu’on attend pour continuer ? J’ai les ovaires en feu moi, je suis pas venu ici pour rouler sous la table mais pour sucer votre bite et me prendre des dégelées !"

Je ne peux m’empêcher de rigoler, elle en veut cette garce ! 

Physiquement c’est à nouveau une souillon, son maquillage a disparu, ses cheveux sont défaits et mouillés, elle a des bleus sur la tronche, ses nichons portent les marques de griffures et d’ecchymoses mais le stupre qui rayonne de son regard et ses paroles me font immédiatement rebander.

"OK, on retourne au canapé, à mon tour de m’affaler. Tu te mets à genoux et tu me fais une bonne pipe pour recommencer en douceur. Mais je vais pas rester inactif pour autant ma salope."

En effet en m’installant sur le canapé, je récupère les pinces-tétons et les pompes à tétons inutilisées jusqu’à présent.

Sabrina se met à genoux en face de mon sexe et entreprend de le réveiller avec sa langue, ses lèvres, sa bouche et ses mains. Tout autant que ce délicieux traitement buccal c’est la vue sur ses seins martyrisés qui me procure une nouvelle érection. Avec celle-ci se réveillent à nouveau mes pulsions sadiques et je fixe une pince-tétons sur le bout du sein gauche de Sabrina. Celle-ci approuve en lâchant un petit grognement et je la vois me regarder d’un air qui me fait comprendre que je dois continuer. Je pince alors un bout de peau du même sein au niveau de l’aréole, je tire  

et j’y agrippe la 2ème pince. En effet je compte utiliser une pompe à téton sur l’autre sein de la salope qui a accéléré la cadence de sa fellation sur ma queue raide comme un I.

A suivre…

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