La boutique du quincaillier devient un lieu de rendez-vous, ses perversions n’ont plus de limites..et mes mercredis sont inattendus, insolites, ses inventions sont à la mesure de ses envies, de la recherche constante d’un plaisir nouveau, ne se limitant plus au sous-sol, il imagine des scenarii pervers, vicieux, allant de la simple exhibe se transformant en voyeur, jusqu’à de la simulation de gang bang forcé qui ressemble plutôt à du viol…
Il me fait peur et dispose de moi dans un cercle d’où je ne puis sortir, menacée par les photos et courtes vidéos prises par son smartphone, les siennes ou celles transmises par les autres pervers, et il vient de le prouver en m’envoyant par courrier une photo visage masqué avec une appli de son téléphone, malgré que je sois nue et visage masqué sur la photo je me reconnais, et cela m’étant destinée je l’ai ouverte mais imagine qu’il envoie cela sans masquer mon visage à mes parents ou à ceux de copines de lycée, il connait tout le monde dans le quartier depuis qu’il y est installé, il y était même avant que je naisse..
Là, je suis dans une position où je suce volontiers sans contrainte apparente, à plat ventre sur l’établi, jambes tenues ouvertes de part et d’autre d’un homme debout en train de me prendre par derrière au bord de l’établi, et autour l’on voit des hommes qui attendent leur tour en se masturbant, l’on ne voit que jusqu’à hauteur de leur ventre…le type qui a pris la photo devait être à la droite de celui que je suçais, attendant son tour peut-être, prenant en photo mon visage avec la queue dans la bouche, et de ce fait tout ce qu’il se passait derrière moi et le long de l’établi à ma droite..des ventres nus, et les mains tenant leurs queues impatientes..
Et puis j’aime ça quand même..pas toujours évident à 16 ans de se trouver coincée pas plusieurs adultes dont souvent des vieux retraités, ou dans une arrière salle de bistrot Arabe..
mais…au bout de peu de temps que les mains me fouillent, je n’ai plus de volonté…tout à mon plaisir je reste là les yeux fermés à subir, sentir, m’ouvrir et…gémir…
Bref, pleins de choses à vous raconter..
Il aime ce qu’il me faisait déjà faire régulièrement, mais désormais il a trouvé des variantes…lexhibe d’apparence involontaire, en plus de me faire ranger les rayons du bas, il m’a fait faire différents essais et a opté, pour l’instant, toujours celui du bas, accroupie, ma blouse offre une belle vue entre mes cuisses…mais aussi penchée sur celui du dessus, si ma blouse n’ est pas boutonnée trop haut, l’on peut apercevoir mes seins qui pendent par lentrebâillement, et..l’escabeau..pas tout en haut pour m’obliger à lever le plus possible les bras pour pousser ou ranger un produit, cela lève un peu ma blouse, et quand le voyeur est bien en train de regarder, je peux aussi monter tout en haut et aussi me pencher pour attraper un produit pour le mettre en haut…la personne étant dans mon dos peut tranquillement regarder sous ma blouse..ça, je dois dire, ça m’amuse et m’excite un peu…
Il ne veux plus que je mette quoique ce soit sous ma blouse grise, bien boutonnée en haut et en bas cela ne se voit pas, sauf au niveau de la poitrine et encore, la blouse est large, mais voilà, dans certains cas je la déboutonne un peu..
Les hommes viennent plus souvent, ils trouvent toutes sortes de produits à acheter chez nous qu’ils doivent prendre habituellement au super marché, et puis ils oublient quelques fois quelque chose et reviennent, dans l’espoir de me voir dans un coin, ou à travers un rayon, entre deux produits..et je joue avec eux..pendant que mon patron mate..le mateur est maté…
Justement, quand on parle du loup..ah non, c’est une visite, je vois entre les produits d’une étagère l’ex employé en retraite du quincaillier et son ami le patron du bistrot Arabe où j’avais été très occupée dans l’arrière salle par ses clients.. ils sont à la caisse en train de parler avec mon patron, ils se retournent, ils me cherchent du regard il lui a dit que j’étais dans les rayons sûrement..j’ai pas envie qu’ils m’ennuient, et puis il va être midi, je voudrais bien partir à l’heure..
L’un d’eux sort dans la rue, puis revient accompagné de deux autres Arabes..ceux-là sont en tenue de travail, dans le bâtiment on dirait, leurs pantalons sont sales, ils ont des grosses chaussures de sécurité..
Ils approchent, je recule vers le fond du magasin mais je suis arrêtée par le mur au bout du dernier rayon, je fais semblent de ranger en espérant qu’ils passent pour atteindre l’escalier et descendre au sous sol…non…ils me cherchaient et viennent vers moi..
Le patron du bistrot s’approche en terrain conquis, il tend ses bras et m’attrape par les épaules, me plaque contre lui et m’embrasse à pleine bouche..j’essaie de le repousser mais il me tient la tête appuyée contre son visage, il est répugnant..son autre main est déjà en train de défaire quelques boutons au niveau de ma poitrine, sa main passe et me prend un sein, le malaxe sauvagement…il lâche ma tête et recule un peu pour me regarder, la blouse ouverte jusqu’à la taille, il attrape les deux manches et avant que je réagisse, il tire les tire vers le bas…le haut de la blouse suit le mouvement me dénudant jusqu’à la taille….
Les 3 autres et mon quincailler me regardent …le patron du bistrot passe derrière moi, termine de déboutonner un à un doucement le reste de la blouse…qui tombe à mes pieds, me laissant totalement nue devant leur regard, l’homme derrière moi stoppe mon réflexe de cacher ma chatte en me tenant les poignets en arrière..en les invitants à me toucher..les deux nouveaux hésitent, comme à chaque fois mon âge apparent les subjuguent..mais l’envie prends le dessus et les 4 paires de mains s’approchent, le quincaillier également…excité..
Les bras retenus en arrière je ne peux rien faire, et toutes ces mains commencent à me palper, me toucher, me tripoter…les seins, les cuisses…la chatte..oh…je sens que je faiblis, mes jambes me trahissent, mes genoux se plient et je me laisse glisser à terre prête à tout..
Je reste quelques secondes en attente, assise…appuyée contre une étagère..ouverte…mais rien..je lève les yeux et ils sont là à me regarder..le patron du bistrot Arabe leur dit, "vous voyez bien qu’elle aime ça, allez on l’emmène..on y touche pas maintenant, il faut qu’elle ait envie!.."
Tout se bouscule…l’on me relève, me remet la blouse, les deux ouvriers sortent dans la rue, moi je sors de mes émotions et je demande au quincaillier si je peux rentrer chez moi, mais il a l’air de ne plus contrôler la situation…me dit pas tout de suite…les deux autres arabes sont de part et d’autre de moi, presque à me tenir, je me rends compte qu’il se passe quelque chose…je leur demande, le patron du bar me répond que l’on va faire un tour en voiture..je veux pas, mais il me répond que j’ai pas le choix et que je vais être contente..je demande à me rhabiller, je suis en blouse et nue dessous…mais je dois rester ainsi…
Les deux ouvriers sont revenus en double file devant la boutique dans un gros 4×4, les deux autres me font monter à l’arrière, le quincaillier ne vient pas et reste sur le pas de la porte à nous regarder partir, mon cur s’affole, j’angoisse…même s’il est coupable dans toutes les histoires qu’il a provoquées intentionnellement, même s’il a été souvent débordé, il a toujours été là….maintenant il me laisse à la merci de ces 4 arabes comme s’il m’avait vendue..
Assise entre l’ex employé et le patron de bistrot je n’en mène pas large…je demande où nous allons, mais ils me répondent que je ne m’inquiète pas, ils me ramèneront avant 18h…il doit être près de 13 heures, j’ai faim et leur dit, ils s’éclatent de rire en me disant que je vais pas tarder à manger..je ne vois pas pourquoi ils rient sur le moment..
Nous roulons sur le périphérique en direction nord, les deux près de moi ne peuvent s’empêcher de me passer les mains sous la blouse, puis la déboutonnent, tirent les pans de chaque coté..je ne dis rien, ils sont quatre, je les laisse me sucer les seins, aspirer les tétons…ça me fait du bien…l’autre a glissé deux doigts dans la chatte et commence un doux va et vient….je laisse aller ma tête en arrière et ouvre les cuisses…
Celui qui est sur le siège passager se retourne tout le temps…et se décide aussi à passer un bras pour me caresser où il peut…
Le conducteur rouspète en disant qu’il faut que j’ai envie pour ne pas faire de difficultés tout à l’heure, ça fait deux fois que j’entends cela et ça me fait revenir à la réalité et je demande ce qu’il va se passer tout à l’heure?..ils répondent que je serai comblée, mais ces mains qui continuent…me laissent reprendre la position initiale pour me laisser faire…mais ils y vont doucement…suffisamment pour être excitée mais pas assez pour avoir un orgasme…c’est bon…je reste mi-consciente, ouverte, mouillée…celui qui s’occupait de mes seins a relevé mes jambes pour passer ces doigts dans mes fesses…c’est délicieux, ma chatte et mon petit trou sont visités…il tournoie, me dilate….me pénètre…ils ont tous deux laissé ma chatte maintenant…et s’occupent de mes fesses, l’un me lèche et crache dans l’anus, l’autre introduit ces doigts..je sens ce qu’il va m’arriver.. j’aime tellement ça, je mouille terriblement…
Ils m’ont fait mettre à genoux sur le siège le visage tourné vers la lunette arrière pour mieux s’occuper de mes fesse, penchée, cambrée pour mieux leur offrir je ne regrette pas le voyage, quoique étonnée de l’intérêt, et c’est à ce moment que je constate que nous ne sommes plus sur le périphérique, nous sommes même en train de rentrer dans un chantier de plusieurs immeubles en constructions, il y a une gadoue incroyable, nous sommes secoués tellement la route est défoncée..
Nous ralentissons et arrivons près de plusieurs baraques de chantiers…il y a des ouvriers, de tout, des blacks, des blancs, des arabes, des turcs je pense aussi, la voiture s’arrêtent au milieu de tout ça.. devant trois baraques accolées, reliées entre-elles on dirait..mais les deux ont lâché mes fesses, et c’est là que je réalise que je suis presque nue dans cet endroit avec ces gens autour qui s’approchent de la voiture, ils s’appellent les uns et les autres, ils crient…..j’ai peur de comprendre, les ouvriers descendent, et parlent à l’un d’eux qui semble être un chef, il calme tout le monde mais ne les disperse pas..
Le patron du bistrot, tire complètement la blouse, et je n’ai pas le temps de réagir que je suis tirée hors de la voiture, nue, juste mes tennis dans la boue, au milieu de je ne sais combien de personnes qui me regardent déchainés, effarés aussi, ils regardent ma petite chatte lisse, complètement épilée, je suis emmenée dans les baraques…
Je ne veux pas, je demande pourquoi ils me font ça, ils m’expliquent qu’ils ont payé cher le quincaillier pour me prêter un après midi, les ouvriers du chantier ont des horaires très importants pour un salaire de misère et ils ne pourraient les retenir si ils n’avaient pas ce genre de plaisir de temps en temps..et il en avaient assez des vieilles putes à routiers, ils avaient été obligés de trouver une solution…et c’est moi la solution, j’avais déjà fait mes preuves dans l’arrière salle du bistrot arabe, ce chantier serait proche de son resto, et le patron du chantier mange chez lui le midi et avait participé à mon gang bang…et m’avait sollicitée au patron du bistrot, pour calmer ses gars..voilà pourquoi je suis là..
J’ai froid, j’ai peur, je tremble…ils m’ont fait entrer dans une des baraque contigu à une autre, il y a un matelas par terre au milieu de la pièce…deux en vérité, deux matelas l’un sur l’autre…l’étonnant c’est qu’il y a un drap propre dessus, une couverture pliée au pieds, je ne veux pas rester…je pleure, au bistrot ce n’était pas à froid, les deux qui était avec moi au bar avaient commencé a me masturber entre les pans de mon imper, j’avais envie….là j’ai froid, je suis dans un site de constructions, dans cette baraque préfabriquée, et ils sont combien?..j’en ai bien vu une vingtaine autour de la voiture..
Mais il est trop tard pour reculer, ils narriveraient pas à me faire sortir maintenant qu’ils attendent dehors…
Il y a un chef qui s’occupe de garder la porte et de les faire entrer par trois paraît-il…ça va plus vite, sinon il faudrait la journée, et certains ne font rien et regardent et photographient ou prennent une vidéo, pour en profiter seul à loisir, ça me rassure pas…
Les trois premiers entrent..je me suis recroquevillée dos contre le mur, dans la couverture…sur une table il y a une corbeille remplie de préservatifs, au sol une poubelle ouverte garnie d’un sac plastique, prés de la tête de lit deux serviettes de bains, pour moi je pense…
Un black et deux Turcs, ils restent quelques instants à me regarder, ils attendent…ils pensent que je suis une pute et que je devrais être allongée les cuisses ouvertes…mais je bouge pas.
Un s’approche, s’assoit près de moi et tire la couverture violemment qu’il jette à l’autre bout de la pièce, je reste assise repliée, les bras autour de mes genoux, mais en faisant cela j’ai oublié la superbe vue que je leur offre sur ma chatte…un autre s’assoit de l’autre coté, le troisième vient à mes pieds, les prend et tire, je me retrouve allongée sur le dos, les deux autres de chaque coté me prennent les bras…tout s’accélère, le black qui m’a tiré les jambes me les écarte et reste à genoux entre pour que je ne les referme pas..
Ses mains sont déjà sur ma chatte, il trouve mon petit bouton se penche et met sa bouche, l’aspire, le lèche activement….oh…à ce train là je ne vais pas résister longtemps, les autres me tiennent toujours les bras, un chacun, ils s’occupent de mes seins qu’ils caressent, mes mamelons sont malmenés, mes tétons tirés, pincés…le black a pénétré ma chatte de ses doigts, il commence un va et vient tout en continuant à me lécher le clito…je commence à me détendre…caressée partout je commence encore à faiblir, mes cuisses s’écartent involontairement au grand plaisir du black qui le fait remarquer aux autres qui me lâchent les bras du coup…
Le black se redresse et déboutonne sa braguette pour en sortir un engin pas possible…aussitôt il se couche sur moi.. j’ai pas le temps de lui dire de mettre un préservatif qu’il m’a déjà enfilée…doucement mais d’un coup, me faisant émettre un petit cri de surprise…pour sa grande joie…il s’active…j’aime comme il me remplit…entre et sort entièrement pour me bousculer à chaque entrée…il est gros, il est dur…..les autres regardent, puis l’un à coté de ma tête sort sa queue, place ma tête de coté sur sa cuisse et entre sa verge dans ma bouche..
Le black me pilonne, il accélère…l’orgasme monte, je m’excite sur la queue du turc tellement le plaisir monte, je le branle dans ma bouche, lui aspire le gland, lui presse les couilles…je suis folle…il éjacule dans ma bouche presque au moment où le black se lâche en moi, j’ai encore envie…je ne suis pas arrivée au bout, j’appelle l’autre qu’il me termine, il se place et entre de suite, je repars mais il ne tient pas tellement il est excité…. tout les trois ont jouit, se réajustent et sortent en bouclant leurs ceintures…trois autres entrent, je suis encore sur le dos les cuisses écartées non assouvie…ils prennent le parti d’oublier aussi les préservatifs, cela va très vite, dehors, ils voient ce qu’il se passe, il y a des fenêtres devant et derrière les matelas, ils rentrent déjà hyper excités et s’assouvissent sans ménagement l’un derrière l’autre, je n’ai plus le temps à la montée suffisante du plaisir pour me combler, mais j’ai de plus en plus envie, restant à chaque fois pas loin mais pas suffisant pour l’orgasme…
Ils sortent en se rhabillant et encore trois entrent, là, l’un me prend et me fait mettre à plat ventre sur les matelas, les genoux sur le sol, les deux matelas représentent ensembles la hauteur d’un lit, j’attends ainsi les fesses vers la porte dentrée…il veut me sodomiser, je suis sèche, mais il force, j’ai mal et je crie, j’entends crier aussi dehors, ils sont déchainés de voir ça…mais il insiste et à force d’entrée et sortir pour revenir plus loin à chaque fois, il finit par être totalement entré, j’aime être enculée, et là je commence à ressentir cette sensations extraordinaire que seules celles qui aiment ressentent, il me tient par les hanches et revient en éjaculant dans mes reins…
L’idée a fait son chemin et le suivant prend sa place, la pénétration est plus,aisée, lubrifiée par le sperme du précédent, le troisième fait de même rapidement…je reste comme ça, la tête sur le matelas en attendant les fesses en l’air..
Je ne me retourne plus, d’autres sont entrés, le sperme qui coule de mes fesses et de ma chatte les décident à mettre un préservatif..sauf un qui s’assoit sur le lit à la place de ma tête et la replace sur sa queue, j’ouvre la bouche machinalement pendant qu’un autre commence à me sodomiser assez violemment, chacun de ses coups me fait rentrer la verge au fond de la gorge…il jouit dedans rapidement provocant une quinte de toux, derrière aussi c’est fini, il sort de mes fesses, et le troisième choisit ma chatte, je me cambre un peu plus pour lui faciliter l’entrée de mon petit cur encore inassouvie…cet autre plaisir à l’avantage de pouvoir se libérer par la jouissance.. alors que la sodomie, quand on aime…j’aime l’être en file…à n’en plus,finir, n’en plus finir..
Ma petite chatte recommence à mouiller abondement, et mon bonhomme y va bien, il claque sur mes fesses tellement il me pistonne…j’ai envie de queues, pleins de queues, pourvu qu’il tienne….mais il a déjà fini……
J’attends, je veux de la bite! ils rentrent, tous ceux qui attendaient leur tour dehors sont entrés, ils ne peuvent plus attendre à force de regarder, ils sont déjà en train de se masturber, ils sont autour de moi, je suis toujours dans la même position…j’en vois devant, je ne vois pas derrière, ils n’en peuvent plus, une bite entre dans mes fesses, oh!…je fais….ils rient, combien? je sais pas, derrière il bouge vite, et sort vite, un autre et moi qui attend la chatte en feu, tous dans mon derrière avec ou sans capote…je suis secouée…deux types s’assoient sur le lit devant mon visage et regardent en se masturbant réciproquement…ça m’excite encore plus de voir chacun branlant la queue de l’autre, je leur dit d’en mettre une dans ma bouche, un le fait, je le suce activement, ma chatte attend mais mes fesses reçoivent beaucoup…je compte plus, et pendant que je suce le type, le second s’est mis a genoux sur le coté de l’autre qui a pris sa queue à son tour…le sucé suce son copain en même temps, je mets les bouchées doubles…dans mon délire..
Mes fesses sont en feu…la.plupart maintenant dégoutés du sperme qui coule de mes fesses, mettent des préservatifs, mais beaucoup veulent m’enculer, un beau petit cul de fille de 16 ans…et pour pas mal de ceux qui défilent, c’est un peu dans leurs gênes ce coté là…mais sans sperme je commence à avoir mal…heureusement, l’un me reprend la chatte par derrière toujours…je monte bien, toute cette excitation et cette débauche de queue à l’air devant moi, qui se,masturbe en attendant d’entrer…certains éjaculent tout seuls, sur mon dos, le type sort de ma chatte…j’étais près de l’orgasme, je le dis fort…que je veux être baisée, que je veux jouir!!
Je profite de la surprise pour me hisser sur le lit et m’allonger confortablement sur le dos, cuisses écartées abusivement en leur disant de venir de suite….dans cette position je vois la pièce…je pense que ceux qui sont passés sont restés pour mater un peu plus, ou que d’autres sont arrivés…
il sont bien une quinzaine encore ici, et les queues qui sortent me laissent penser que je devrais bien arriver à mon orgasme..
L’un me couvre, me défonce dans aucune retenue, comme une pute que je suis…mes jambes lui enserre les reins, mes.pieds entre croisés sur son dos l’empêche de se relever, il faudra qu’il aille au bout, il est sur le.point d’y arriver, mais l’envie a ses raisons et il capitule, un autre me couvre à son tour, très vite derrière…et enfin je crie….je crie…déchaînant encore plus de réactions dans la foule…et un autre….et un autre…et un autre me fait jouir….je suis éreintée, mais j’accueille chaque nouvelle entrée avec un petit rire de gorge, les enserrant de mes jambes, pieds croisés sur leurs reins pour les empêcher de partir, les enfoncer plus en moi, les conserver, plus et encore plus….le sperme s’insinue entre mes fesses en coulant de ma salope de chatte…je relâche mes jambes, restant très écartée accueillant qui veut encore, là ou plus bas, ou dans ma bouche, jusqu’à la dernière goutte du dernier des derniers….
Camille