Mercredi 3 août. Le jour du départ. Lever vers 7h. Suivent toilette, petit-déjeuner et démontage des tentes. Vers 9h, après le passage au bureau pour les formalités de sortie, nous nous retrouvons sur le parking d’entrée. C’est un moment qui compte, car dans quelques minutes, nous partirons dans des directions opposées : les parents, accompagnés de Jana, iront vers le sud, en direction de Varna, refaisant ainsi, en sens inverse, le même chemin qu’à l’aller. Quant à Eva et moi, nous allons vers le nord, en direction de la frontière roumaine.
La raison de cet itinéraire détourné ? J’ai projeté de revoir une amie roumaine, rencontrée deux fois en 70 et 71. Celle-ci a donné son accord, même lorsqu’elle a su que je serai accompagné d’une amie tchèque, que, dans ma lettre j’avais qualifiée de « très chère ».
Eva, bien sûr, est ravie de cette escapade d’une semaine, qui va lui donner une certaine liberté dont elle compte bien user. Jana, beaucoup moins. Même si elle ne laisse rien paraitre, on la sent un peu triste. Nous avions établi une complicité à trois, et, pour elle, tout cela s’arrêtait.
Pour ce voyage, Eva a adopté une tenue plutôt sage : un short, relativement long et un t-shirt vert. Je remarque que Jana est habillée de la même façon. Quant à moi je suis vêtu classiquement : jean et chemisette.
Après les recommandations d’usage sur la conduite, délivrées par son père (après tout, je prenais sa fille en charge durant une semaine), je m’apprête à prendre le volant. C’est alors que Jana s’approche de moi, et me remet un petit sac en papier. Le geste est accompagné d’un petit sourire et d’un doigt sur ses lèvres. Je me contente de déposer le tout sur la banquette arrière, au moment où Eva s’installe sur son siège. Puis nous démarrons. Derniers gestes de la main, au moment de s’élancer sur la route, dans des directions opposées.
« C’est parti pour la grande aventure ! » dis-je, en pensant à cette semaine de liberté qui s’annonçait.
« C’est vrai, mon chéri, l’aventure pour nous deux ! » répond-elle, en posant sa main gauche sur mon épaule.
Il est à peine plus de 9h30, lorsque nous arrivons au poste-frontière bulgaro-roumain. Les opérations de douane prennent un peu plus d’une demi-heure et il est presque 10h15, lorsque nous entrons en Roumanie. Je m’apprête à redémarrer, quand Eva, me suggère de garer la voiture sur le parking du « bufet » roumain, qui jouxte la douane.
« Nous avons de quoi manger, mais pas grand-chose à boire ! On doit pouvoir trouver ça ici ! » Et elle affiche un grand sourire, en disant cela.
Quand je reviens, 10mn plus tard avec deux bouteilles d’eau, je remarque la porte du coffre ouverte, et Eva en train de fouiller dans sa valise.
« Tu cherches quelque chose, chérie ? » dis-je, tendrement.
« Je voudrais me mettre à l’aise. Il va faire chaud aujourd’hui ! Si je me suis habillée comme ça en partant, c’est plutôt pour satisfaire mes parents ! »
« Et que désires-tu mettre ? »
« Quelque chose qui ne colle pas au corps tiens la minirobe verte, par exemple ! Ce sera parfait pour le voyage, et comme je l’a déjà mise » Eva s’en empare et s’installe sur son siège, pour se changer. Quand elle a fini, le short, le t-shirt ainsi que le soutien-gorge se retrouvent sur la banquette arrière.
« Elle est vraiment courte, cette robe, et en plus sans soutien-gorge Tu crois que » Je cherche plus à la tester qu’à la dissuader.
« Pourtant c’est comme que tu adores me voir, non ? Tu as peur de la réaction de ton amie ? » Répond Eva avec une pointe d’ironie.
« Et encore, tu le vois, je garde ma culotte ! » Ajoute- t-elle, tout sourire, en retroussant légèrement sa robe.
Puis après un bref moment de silence :
« C’est quoi ce sac en papier ? Je l’ai vu en posant mes vêtements ! »
« Ah oui, C’est Jana qui me l’a donné au moment du départ. Je ne sais pas ce que c’est »
« Hé bien nous allons le découvrir ensemble ! Il n’y a pas de secret entre nous, nest-ce pas ? » Répond-elle en prenant le sachet.
Eva éclate de rire : « Je crois que Jana et toi avez des petits secrets ! » Et elle tient dans ses mains, une culotte bleu ciel, taille basse
« C’est vrai qu’elle voulait m’en faire cadeau ! Elle a tenu parole ! » Dis- je, un peu embarrassé.
« Ne te fais pas de problème ! Je ne suis pas jalouse de ma sur ! Tiens, même que je pourrais la mettre ! Nous avons la même taille ! Je suis sûre que ça te plairait, et même plus, de savoir que je porte la culotte de Jana. Avoue ! »
L’emballement d’Eva devient communicatif, si bien que je finis par dire :
« Si tu pouvais la mettre, maintenant ! »
Eva n’hésite pas. Elle se soulève, fait glisser sa culotte, tout en maintenant le tampon en place, puis enfile celle de Jana (un peu plus petite que la sienne).
« Je te plais, comme ça, mon chéri ? » fait-elle, tout sourire.
« Tu es adorable ! » dis-je, en redémarrant.
Il est maintenant un peu plus de 10h30. Nous roulons en direction de Constanta.
« Nous avons 400km à faire jusqu’à Pitesti, puisque c’est là qu’habite mon amie. On devrait arriver vers 18h ! Ca te va ? »
« Bien sûr, Bob, nous pouvons faire ce que nous voulons, ou presque ! » me dit-elle avec entrain.
Parvenus à Constanta, nous filons vers l’ouest, en direction de Ploiesti, à 200 km. Parvenus à mi-chemin de cette ville, vers 13h, nous décidons de nous arrêter pour manger un peu et se reposer. Un petit parking un peu ombragé avec un banc fera l’affaire. Nous y passons une demi-heure. Eva semble aux anges. Même, durant notre périple à Prague, elle n’était pas comme ça.
« Alors, Bob, je te plais comme ça nest-ce pas ? Tu aimes voir mes cuisses mes « jolies » cuisses comme tu dis ! »
Elle se fait chatte, elle croise ses jambes, laissant voir sa culotte :
« Tu peux les toucher, maintenant que tu ne conduis pas ! » S’amuse-t-elle, en prenant ma main pour la poser sur sa cuisse. Comme nous sommes seuls sur ce parking, nous échangeons quelques baisers coquins, tandis que je caresse ses cuisses avec envie.
« Tu es amoureux Bob ! Mais nous verrons cela ce soir ! J’espère que ton amie a un grand lit pour nous deux ! »
Elle m’adresse un sourire complice, et je réalise que nous n’avons pas encore dormi ensemble.
Vers 15h, nous atteignons Ploiesti, la cité du pétrole. Encore 150 km et nous atteignons Pitesti. Nous sommes aux abords de la ville un peu avant 18h. Avisant une station-service, je décide de m’y arrêter, faire le plein devenant nécessaire. Une femme à l’allure un peu rustre assure le service. Pendant que je surveille la pompe (tricherie possible), Eva a ouvert la portière en grand et laisse pendre ses jambes dehors, les exhibant entièrement. La femme ne voit rien, le réservoir se trouvant de l’autre côté, mais il y a un homme d’un certain âge, dans le petit bureau, qui se trouve juste dans l’axe, et il voit donc tout ou presque !
« Hé oui, mon grand ! J’ai une culotte ! Désolé, mais j’ai mes règles en ce moment, et je ne peux pas t’en montrer plus ! » J’entends Eva, bien qu’elle dise cela à voix basse, et son audace m’amuse. Puis je vais payer au bureau, à l’homme, qui m’adresse un petit sourire, tandis que la femme, passant de l’autre côté de la voiture, a juste le temps de voir les jambes nues d’Eva, avant qu’elle ne se rassoie sur le siège ! Je redémarre aussitôt, ne tenant pas à savoir ce qui allait se passer ensuite
Puis nous entrons dans Pitesti. Je connais l’adresse, mais pas le chemin pour s’y rendre ! Je me gare en bordure de trottoir et nous marchons. Eva m’adresse un si joli sourire, que je l’enlace spontanément et que nous marchons ainsi, tous les deux. Je finis par demander mon chemin à un jeune couple. Le jeune homme parle un peu français, et il s’offre même à nous y amener.
« Ce n’est pas très loin, peut-être un quart d’heure à pied ! » dit-il, en marchant devant avec sa compagne. Il nous conduit dans une rue assez calme, devant une porte verte. Il frappe. On ouvre et une jeune fille brune apparait : je reconnais Daniela.
« Ah ! C’est Bob ! Et elle, c’est Eva, nest-ce pas ? » Dit-elle, tout en nous invitant à entrer. Il est un peu plus de 18h30.
Nous y passons une demi-heure, le temps de boire et de faire connaissance. Daniela, 21ans, une brunette, mince, et plutôt mignonne. Sa peau brune offre un saisissant contraste avec celle, laiteuse, d’Eva.
Vers 19h, je fais savoir à Daniela que je désirerai ramener ma voiture devant chez elle. Finalement, nous y allons tous les trois, à pied. Et une fois la voiture retrouvée, Daniela me suggère de la garer dans la cour qui jouxte son domicile. Plus pratique et plus sûr aussi. Une fois installés, Daniela nous offre un dîner sur le pouce. C’est qu’à partir de demain, nous passerons le reste du séjour, tous les trois, chez ses parents, à Slatina, petite ville, à 70 km à l’ouest de Pitesti.
Puis après avoir bavardé un moment, nous nous retirons pour la nuit. Daniela nous laisse sa chambre, mais le lit est assez grand pour deux. Nous avons pu prendre une douche réparatrice auparavant. Comme il fait chaud, Eva ne porte qu’une culotte, de couleur blanche.
« Eh bien oui, j’ai changé de culotte ! » s’amuse- t-elle, en me voyant jeter un coup d’il dessus.
« Sois sage, s’il te plait j’ai encore mon petit problème ! » dit-elle, en sentant ma main se poser sur son ventre.
« Et je t’excite toujours autant, on dirait ! » reprend-elle, en se tournant vers moi, tandis que sa main droite palpe mon slip.
« C’est joli que tu bandes pour moi, chéri ! » Eva sort ma queue du slip et la saisit à pleine main. Puis elle me masturbe lentement.
« C’est notre première nuit complète ensemble, sais-tu ? »
« Bien sûr que je le sais, mon amour ! » Je me tourne un peu vers elle, et ma main gauche caresse ses seins. Sa lente masturbation m’excite et je finis par lui demander :
« Viens sur moi ! Allonge-toi, à plat ventre sur moi ! » Après une brève hésitation, elle le fait. Je sens sa peau soyeuse contre la mienne, et elle doit sentir ma queue dure. Je lui caresse les fesses à travers la culotte, avant de glisser mes mains dessous, sur ses doux globes.
« J’aime ton joli cul ! C’est fou ce qu’il m’excite ! » Dis-je avec passion, tout en appuyant sur ses fesses, pour qu’elle sente bien ma queue.
« Calme-toi un peu, Bob ! Je vais te donner du plaisir, puisque tu en as envie ! Et ta chérie ne demandera rien en échange ! C’est joli, non ? »
Eva se relève, descend du lit, pour se positionner au pied de celui-ci, à plat ventre. Je sens vite ses cheveux glisser sur le haut de mes cuisses, puis sa langue qui passe sur ma queue.
« Bob ! Moi j’aime ta bite ! Elle me plait ! Elle me donne du plaisir, comme hier soir ! Je l’ai eu dans mon petit trou et j’ai adoré ça ! Mais ce soir c’est un peu compliqué, non ? » J’entends son petit rire.
Puis elle prend ma queue dans sa bouche et se met à sucer, lentement, très lentement.
« Tu aimes, chéri ? C’est bon que ta petite Eva suce ta jolie queue, n’est-ce pas ? Et je vais la sucer jusqu’au bout ! »
Je commence à être très excité, j’essaie de ne pas respirer trop fort. La porte de la chambre est fermée, mais sait-on jamais ? Et en plus, ces affolants petits bruits de succion
Je finis par lâcher un grognement étouffé, et je sens mes couilles se vider. Je jute. Eva, de son côté, est en train d’avaler mon foutre. Puis je sens sa langue, nettoyer consciencieusement ma bite.
Puis elle se relève, et avant de revenir s’allonger près de moi, elle boit le verre d’eau que Daniela a déposé, par prévenance, sur la table de nuit.
« Tu as aimé, chéri ? » murmure-t-elle avant de me donner un langoureux baiser où les effluves de mon sperme persistent.
« Maintenant nous allons dormir, puisque demain nous devons encore voyager ! » Chuchote-t-elle, avant de se tourner.
Jeudi 4 août, 8h. Nous nous levons. Des bruits parviennent de la cuisine : Daniela doit être en train de préparer le petit-déjeuner. Après la toilette, je m’habille, tandis qu’Eva se contente d’enfiler un t-shirt, que je reconnais être celui de Jana, le fameux t-shirt blanc avec le logo de Split sur le devant.
« Jana te l’a prêté aussi ? Et tu ne mets que ça ? On voit la pointe de tes seins. Franchement, moi j’adore ! Mais tu sais qu’il y a aussi mon amie »
« Justement, mon chéri, c’est pour qu’elle sache que je sais faire ce qu’il faut pour te garder ! Et parce que j’ai pu voir aussi comment elle est habillée, en ce moment. Si elle cherche à te séduire prends garde à toi ! » C’est gentiment dit, mais je saisis l’avertissement.
Quand nous entrons dans la cuisine, je comprends les propos d’Eva : Daniela porte un débardeur un peu moulant, qui laisse apparaitre le creux de ses seins (plus petits que ceux d’Eva) et un short en toile. Et il est visible qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
« Vous avez bien dormi ? » Daniela nous accueille avec le sourire, mais je vois bien que son regard s’attarde sur l’affriolante tenue d’Eva ; celle-ci dévoilant la totalité de ses cuisses, et même un bout de sa culotte une fois assise.
« Tu sais, Daniela, c’est l’habitude en Tchécoslovaquie, quand on est à la maison » Dis-je, voyant bien où va son regard.
Eva m’adresse un regard amusé. Elle sait qu’elle me tient, la fine mouche ! Et comme nous sommes côte à côte à table, elle se permet même de me faire du pied !
Au moment du départ, cependant, Eva a revêtu une tenue un peu plus décente, à savoir une minirobe de couleur orange, mais toujours aussi délicieusement courte. Daniela, étant toujours habillée d’un short et d’en débardeur.
Le trajet est assez court, environ 70 km. Aussi, partis vers 10h, nous arrivons peu après 11h, à Slatina. La maison des parents se trouve à la périphérie de la ville. Une maison entourée d’une cour et d’un jardin.
Une fois les présentations faites, Daniela nous conduit vers un petit chalet, situé dans le jardin, et à l’écart de la maison.
« Ici, c’est votre chambre ! Un grand lit, une armoire, une table, deux tabourets ; et là, un petit lavabo avec un réservoir d’eau et un robinet, si vous en avez besoin ! La salle de bain se trouve dans la maison, et pour les toilettes, c’est dans la cour, juste à côté. Bien, je vous laisse vous installer ! Je viendrai vous chercher pour le déjeuner, vers 13h. »
« Cela nous laisse un bon moment pour nous reposer un peu, nest-ce pas, chéri ? Et puis, tu ne trouves pas qu’il fait un peu chaud, ici ? Le bois ça attire la chaleur » Fait Eva, en déboutonnant sa minirobe, qu’elle va ensuite pendre dans l’armoire.
Elle a juste sa petite culotte et je peux deviner l’absence de tampon. Je suis assis sur le bord du lit et elle a suivi mon regard :
«Ouf ! Je me sens mieux comme ça ! Eh oui, Bob, tu vois que tout est en ordre » Et elle fait glisser sa culotte sur ses jambes, puis la lance sur le lit :
« Presque deux jours que tu ne m’as pas vue toute nue ça doit te manquer, nest-ce pas ? » dit-elle, tout en se regardant dans un grand miroir ovale, accroché au mur.
Mon regard s’attarde sur son corps, ce corps joliment potelé, cette peau laiteuse Sublime. Elle me tire de ma rêverie :
« Tu ne te mets pas à l’aise, comme moi ? Nous avons du temps, chéri, et quand je vois ton regard »
Voilà qui ressemble à une invite ! Aussi, il ne me faut guère de temps pour me retrouver nu aussi.
« Ah ! Quand même ! dit-elle en se retournant- Daniela est bien aimable, mais sa présence ne doit pas retenir nos désirs ! »
Elle s’approche de moi. Je suis toujours assis sur le bord du lit. Je regarde ses beaux seins. Ma queue est déjà toute dressée :
« Humm ! Je vois que je te fais toujours bander, mon chéri ! Bien sûr, tu sais déjà que tu n’es pas le seul L’homme au chien, Mirek, Hans, ont bandé pour moi. Hans a même mis sa grosse queue dans mon petit trou. Heureusement que tu avais préparé le passage ! Mais c’est ta belle queue qui compte le plus pour moi ! »
Tout en disant cela, elle se met à genoux entre mes jambes et ses mains jouent avec mon sexe : sa main droite masse le phallus, tandis que sa main gauche tripote les bourses. La coquine échauffe mes sens. Je me mets à palper ses seins :
« J’adore tes beaux nibards ! Avec tes fesses, ce sont eux qui me font le plus triquer ! Eva j’ai envie de te baiser, de visiter tous tes jolis trous ! »
Je suis excité
Eva se relève, elle a les joues en feu. Elle me sourit :
« Mets un préservatif, Bob ! Je pense que tu en as ici Je te sens si excité, que je préfère que tu en mettes ! Tu sais que je ne prends rien pour »
Je me lève. Les préservatifs sont dans une trousse qui contient aussi tous mes documents de voyage. Eva m’aide à en enfiler un.
Je passe ma main droite sur sa vulve : « Hum ! Ma belle petite cochonne ! Tu mouilles déjà, hein ? »
Je l’entraîne vers la table, et la fais assoir dessus, juste au bord, les cuisses bien ouvertes :
« Ton joli minou ! Je l’embrasse Je le lèche ! Ton puits d’amour ! »
Me voici à genoux, à mon tour. Ma langue lape sa vulve, passant sur les lèvres, puis sur le clitoris. Eva commence à frémir :
« Mmmmm ! Bob ! C’est bon ! C’est booon ! »
Je lèche avec ardeur, cherchant à l’exciter au maximum. Je sens que chaque passage de ma langue sur son clitoris déclenche chez elle une onde de plaisir. Elle se met à gémir :
« Bob ! Ouiii ! J’adoore ! Continue ! Ne t’arrête pas ! » Et joignant le geste à la parole, elle plaque ses mains sur ma nuque, m’attirant fermement sur sa vulve.
Ses halètements sont de plus en plus saccadés. Ma langue s’active aussi vite qu’il est possible sur sa vulve, son clitoris. Dire qu’au départ je voulais ramoner son minou avec ma bite !
Ses yeux sont mi-clos, la bouche entrouverte, sa respiration hachée, elle bave, elle gémit. Puis elle a une sorte de hoquet suivi d’un gloussement. Je sens sa cyprine couler sur mes lèvres. Eva vient de jouir. Puis je lèche avec application sa liqueur d’amour.
« Humm ! Maintenant tu le fais bien! J’ai vraiment joui très fort ! » Puis elle regarde mon sexe :
« Tu bandes, mon chéri, tu as envie de jouir toi aussi, nest-ce pas ? »
« Oh, ça oui ! Et je voudrais jouir dans ton petit trou ! Une envie folle de t’enculer, chérie ! » Elle me sent très excité.
« C’est un peu délicat à faire ici, et dès notre arrivée, en plus ! Tu sais que je suis assez bruyante. Et ça peut attirer du monde »
« Que je t’encule devant des voyeurs ? Après tout, c’est ce qui s’est passé avant-hier, non ? Je l’ai fait en présence de Hans et de Jana ! »
« Oui, mais là, c’était prévu d’avance et les voyeurs étaient toujours les mêmes ! » Malgré ses objections, je sens Eva très tentée par cette sodomie que je lui propose.
« Viens, chérie, face à ce miroir ! Il est assez grand pour que je puisse te voir en entier ! » Elle descend de la table et vient se mettre face au miroir. Je me place derrière elle.
« Penche-toi en avant, mon amour, offre-moi ton joli cul ! » Je vois Eva sourire, tandis qu’elle-même écarte ses fesses avec ses mains.
« Ton joli petit trou ! » Je glisse l’index droit dessus. Eva a un léger frémissement.
« Ma petite chatte ! Je mets mon doigt dans ton mignon trou du cul comme ça ! » Elle accuse la pénétration du doigt en tressaillant ; doigt que je tourne ensuite dans son orifice anal. J’ai toujours le préservatif enfilé sur mon sexe, puis qu’il n’a pas servi. Je retire mon doigt de son anus.
« Je vais mettre ma queue dans ta chatte ! Mouillée comme elle est, ça va bien lubrifier le préservatif ! » Elle se retourne, je la prends aux hanches et enfourne ma queue dans sa vulve encore humide, faisant plusieurs aller-retour à l’intérieur.
« Parfait, chérie ! Tourne- toi et penche-toi en avant ! »
Je vois son visage dans le miroir. Je pose le gland sur l’orifice et je pousse, lentement. Eva essaie de contrôler ses réactions, évitant de crier. Je la sens crispée ; elle se mord les lèvres ; cependant le préservatif, bien lubrifié, parvient à s’engager dans le conduit anal.
« Doucement, doucement, chériça fait un peu mal . »
« Je peux arrêter si tu veux » dis-je, voulant être prévenant.
« Non, non, chéri ! Continue ! Ne t’arrête pas ! Tu sais que l’excitation viendra après ! »
Maintenant, mon sexe est bien encastré dans son anus. Encore quelques petites poussées, ponctuées de ses gémissements, et j’atteins le fond. Mon bas-ventre est en contact avec ses fesses. Puis je commence à faire des aller- retour. Les gémissements, agrémentés de quelques petits cris se font entendre. Dans le miroir, je vois ses yeux mi-clos, sa bouche entrouverte, son visage qui exprime la félicité.
« Humm ! C’est bon, maintenant ! Ouiii ! Ca m’excite de nouveau ! Ramone-moi le cul, chéri ! Ramone-moi, mon amour ! »
Ces mots ont le don de m’exciter. Je commence à accélérer le pistonnage de son cul. Je me cramponne à ses hanches. Son corps est secoué chaque fois que mon ventre tape sur ses fesses. Je vois ses seins balloter. Je suis fou d’excitation. Je la ramone avec frénésie :
« Salope ! Tu aimes te faire enculer ! Tu aimes avoir une bite dans ton cul ! Tiens ! Tiens ça encore ! »
Elle a chaud, elle gémit, elle crie même, mais de plaisir. Puis elle émet un gloussement, tandis qu’au même moment, je sens mon foutre gicler dans le préservatif. Je reste un moment comme ça avant de me retirer de son anus. Puis elle se retourne, se plaque contre moi et, tendrement enlacés, nous échangeons des baisers fougueux.
Puis, nous nous regardons, en silence. Après quoi, machinalement, elle regarde par-dessus mon épaule. Elle se rend compte que la fenêtre qui lui fait face est restée entrouverte, et que les rideaux sont ouverts :
« Bob nous avons oublié de fermer la fenêtre ! Tu crois qu’on a pu nous voir … et nous entendre ? »
A suivre …