Les deux Arabes ont demandé du renfort à trois copains noirs, Annie.
Suite de : Ma femme me fait taper la honte.
Annie :
Je n’aurais jamais dû leur céder la première fois mais il faut dire que je n’avais pas tous mes esprits.
Maintenant, je n’ose plus leur dire non de peur qu’ils ne racontent tout à tout le monde.
Ce soir, Rachid et Mohamed viennent me chercher profitant de l’absence de mon mari retenu pour son travail. Mais ils m’ont affirmé que cette une soirée dont je me souviendrai longtemps.
Contrairement aux autres fois, ils veulent m’emmener dans un grand loft prêté par des amis. J’aurais préféré l’intimité de nos appartements mais qu’y faire ?
Je commence à m’inquiéter de la tournure des choses. Je m’attendais à un bel appartement dans les quartiers chics mais désillusion, on se retrouve dans l’endroit le plus mal famé de la ville.
Le loft est un vieil atelier aménagé sommairement, il n’y a que deux choses correctes dans ce boui-boui, un énorme lit rond qui traîne au milieu de la pièce avec de nombreux fauteuils et un chauffage poussé à fond. Au moins, je n’aurai pas froid.
A peine rentré dans la pièce, Rachid fait tomber au sol mon manteau, puis consciencieusement et avec lenteur fait suivre ma robe.
Je me retrouve en petite tenue bas culotte devant eux et leurs mains me tripatouillent comme un morceau de viande à l’étal du boucher aux souks de Marrakech.
Rachid m’attrape la main droite pour me faire jauger de l’effet produit sur sa bite, Mohamed fait de même avec mon autre main.
Rachid est déjà raide mais pourtant la longueur de sa queue n’est à peine plus grande que celle de Mohamed qui comme à son habitude tarde à trouver son plein essor.
Je ne sais pas ce que je préfère… Avec Rachid, c’est très intense mais aussi très rapide.
Mohamed est beaucoup plus doux (enfin, par rapport à son comparse), mais il faut pouvoir supporter la chose monstrueuse qu’il a entre les jambes. Je ne sais pas si je suis maso ou folle pour accepter d’être prise par un tel jeune homme ? Et pourtant…
Rachid insinue ses doigts dans ma petite culotte et les glisse entre mes lèvres vaginales.
Un petit tour de chauffe, tu vas connaître ce soir bien mieux que quelques doigts, tu vas devoir assouvir plusieurs queues en même temps !
— Après ce soir tu seras notre vraie esclave, une bonne salope bien soumise qui tient ses engagements.
Il continue de me doigter, il a des mouvements brusques et je lui demande de faire attention.
Ils ont sorti leurs verges et se paluchent, Rachid s’exclame :
— Qu’est-ce que tu attends ?
Je les lèche un moment à tour de rôle avant de gober l’un après l’autre ces deux chibres si différents. Mohamed apprécie de se faire bouffer les couilles et son gourdin atteint enfin sa plénitude mais il a un si grand engin, si lourd, que la gravité lui fait baisser la tête dès que ma main l’abandonne.
Je le branle régulièrement pour entretenir sa forme.
Il y a quand même une chose que je leur concède, tous nos rapports sont non protégés
On fonctionne comme ça un moment, mais Rachid, toujours aussi pressé se désape et s’affale sur un fauteuil.
Il m’attire à lui, je prends les choses en main pour guider la queue dans ma chatte, je m’empale sur lui appréciant le vit qui investit mon vagin.
Il me suce les seins tandis que je monte et descends sur son pieu dressé.
Mohamed s’est installé sur le fauteuil d’à côté après s’être dévêtu et se paluche en nous regardant, attendant son tour.
Mais il commence à s’impatienter et attire mon attention sur son obélisque qu’il astique avec sa main droite.
L’instant tant redouté est arrivé, je me désaccouple de ce chevron pour le remplacer par la poutre imposante de Mohamed.
Encore heureux qu’il me laisse toujours m’échauffer sur la teub de son complice avant de m’obliger à me farcir un organe pareil !
Je contrôle néanmoins la pénétration en enserrant la base de son manche de pioche avec une main et vu la taille de l’engin je peux vous dire que c’est plus prudent.
J’accélère le rythme de ma chevauchée et mes gémissements montent crescendo.
Mais Rachid se sent délaissé, il se lève et se positionne derrière moi, il pose une main sur ma hanche, stoppant mes aller- retour sur le bambou de Mohamed.
Il cherche la position idéale pour placer ses pieds et guide de son autre main son dard.
Je sens son gland frapper côté pile et il s’enfonce assez aisément dans le trou resté libre.
Je le sens bien dans mon anus dilaté, il reste un instant immobile avant de commencer à bouger.
Il me lime de plus en plus vite. Je peux vous dire qu’il ne faut pas être une petite nature quand deux Arabes bien montés et pleins de vigueur croisent leur fleuret en vous uniquement séparés par une cloison très-très mince !
Je ne suis qu’un jouet entre leurs mains (ou plutôt leurs queues) et ne peux réagir quand trois noirs entrent dans la pièce.
Je veux protester mais Mohamed me bâillonne la bouche de sa main droite :
— On t’avait promis une surprise, tu ne vas pas refuser nos cadeaux j’espère ?
Je suis tombée dans un traquenard, je descends de plus en plus bas dans la luxure et la dépravation, je sens que je vais passer à la casserole et que la nuit sera longue.
C’est décidé, demain je parlerai à mon mari, il faut que tout ça s’arrête !
Ils viennent nous encercler et défont leurs pantalons exhibant pour certains devant moi des engins de bonnes tailles, quels morceaux !
Je n’ai jamais été confronté à des pines de noirs, ça va du café au lait à un ébène très foncé.
L’un des nouveaux venus a l’air bien jeune, Rachid, me voyant le regarder m’annonce :
— Il s’appelle Youssouf, il n’a jamais eu de Blanche, sois gentille avec lui !
Il a un épi assez épais mais pas très long, autant commencer la dégustation par lui.
Entre temps, Rachid, comme à son habitude a vite terminé sa petite affaire et s’est retiré, ma chatte était pleine. Quant à Mohamed, il continue son Marathon.
Youssouf est très nerveux, il me pelote les seins avec hésitation pendant que je suce son caramel au goût exotique tout en branlant les deux autres.
Curieusement l’un des deux derniers s’appelle Améde et est presque aussi bien membré que Mohamed, ça promet !
Le troisième larron se prénomme Ben et est « monté normal ». Ils m’obligent à prendre leur teub dans ma bouche à tour de rôle, je lèche, j’avale, je mordille, je suce suivant les calibres et la dureté du fût.
Malgré l’horreur de ma situation, je me régale, pensant à mon mari qui doit se morfondre dans une chambre d’hôtel pendant que j’ai cinq belles queues pour moi toute seule.
Ben s’est « équipé » et a pris la place de Rachid et c’est reparti pour un tour de manège !
Youssouf n’a pas pu se retenir sous mes caresses buccales et a déchargé sa semence juvénile dans ma bouche, elle a un léger goût sucré que j’ai tout avalé.
Améde avec son morceau de réglisse, veut sa part et remplace Ben dans mon petit trou déjà bien dilaté et je remercie en pensée le locataire précédent qui m’a préparé à l’intromission de ce défonce-cul.
Je suis doublement godée par deux énormes dards et je peux vous dire que je lâche des larmes qui ne sont pas de plaisir et que je serre les dents.
Mohamed et Rachid m’ont prévenu de ce qu’ils projetaient avec Annie.
Je leur ai donné mon accord à condition que je puisse jouir du spectacle. C’est bizarre comme terme mais il risque de se réaliser au propre comme au figuré.
J’ai trouvé un coin discret ou je peux mâter sans être vu.
Je croyais qu’elle allait rechigner à l’apparition des trois nouveaux participants mais je n’en reviens pas de la vitesse à laquelle elle a accepté la chose.
Elle fait bien de temps en temps la grimace quand elle n’a pas la bouche pleine, mais son visage rayonne de plaisir. Je croyais en faire une femme aux murs plus libres mais je n’aurais jamais cru la voir se comporter ainsi. Ne suis-je pas allé trop loin ?
Les couilles énormes marron et noires s’entrechoquent de chaque côté de son périnée, blanc laiteux.
Elle glisse une main et attrape les couilles de l’un puis de l’autre qu’elle pétrit avec ardeur.
Le noir fait ressortir son énorme mandrin de l’anus et tente une pénétration double dans le vagin de ma salope de femme qui hurle.
Je suis prêt à intervenir mais il se ravise et fait replonger son organe dans le trou resté dilaté qui l’absorbe au plus profond d’elle.
Les autres ne restent pas inactifs, l’un s’affaire sur ses seins faisant rouler les bouts sous ses doigts. Je sais que ça l’excite :
— Pince-moi les bouts, j’aime ça, ça me rend folle !!!
Les deux autres larrons se masturbent frénétiquement devant le spectacle, tentant à tour de rôle de se faire sucer.
La scène dure quelques minutes avant qu’ils éjaculent les uns après les autres. Qui dans sa bouche ou sur ses seins ou son visage.
Améde vient lui aussi de libérer le cul dAnnie, en laissant tout son sperme à l’intérieur comme ces deux autres comparses, rentrent leur (matériel) et quittent la pièce sans chercher à en obtenir plus. Je suis pourtant sûr que ma salope de femme n’aurait pas dit non à quelques prolongations …
J’avais presque oublié Mohamed, toujours chevauché par ma salope. Il a un os entre les jambes celui-là !
Elle reprend lentement sa cavalcade sur cette poutre infatigable.
A chaque va-et-vient, un râle toujours plus sonore monte de ses lèvres, rythmant la montée de son plaisir.
Un liquide blanchâtre macule le sexe de l’arabe. Il y a longtemps que j’avais sorti Popaul pour me masturber tellement le spectacle était trop bon. Mais je ne peux plus tenir et pars en couilles en quelques jets qui sortent de ma cage se répandent sur le sol.
Mohamed se redresse, ma salope toujours embrochée sur son gourdin, il se désaccouple avant d’expulser sur ma salope de femme une dose aussi énorme que sa verge.
Il l’a tellement maculé de son jus qu’elle va prendre une douche pour retrouver un peu de décence.
Il lui faut un bon moment avant de réapparaître, une serviette de bain autour d’elle comme si elle avait encore quelque chose à leur cacher.
Rachid qui a repris un peu de prestance côté sexe, lui caresse les seins et le cul à travers le tissu éponge.
Il la pousse sur le grand lit et remonte le bas de la serviette pour plonger la tête entre ses cuisses.
Il lui dévore la fente, son sexe a pris une couleur rouge assez prononcée suite à l’interminable limage de Mohamed.
Il en rigole, le lui faisant remarquer:
— Tu l’as tellement limée que sa chatte s’est transformée en écrevisse !
Avant de plonger sa langue sur son bouton d’amour, histoire de bien la faire mouiller. Il admire un instant la vulve béante prête à l’accueillir de ma femme soumise à ses envies.
Il se redresse et présente son soc à Annie puis approche ce sexe très dur de sa matrice, frotte la fente avec son gland, et en une poussée continue, il s’enfonce en elle sous son regard un peu perdu.
Il la pistonne un instant avant de la retourner pour la prendre en levrette.
Elle est devenue si sensible qu’il ne lui faut peu de temps pour qu’elle reparte, lâchant des cris d’animaux.
Je bande à nouveau comme un taureau profitant à plein du spectacle.
Elle en redemande encore, j’ai fait de ma salope de femme une accroc du sexe :
— Prends-moi comme une chienne… Oui comme çà, encore plus fort !
— Chienne de blanche, on voit bien que ton mari n’est pas à la hauteur, tu étais mal baisée mais on est en train de remédier au problème !
— Ouiii, bien à fond, crache ton jus tape bien au fond, ouiiii, encore !!!
Il ne se ménage plus, se déchaînant en elle, lui arrachant des cris de truie qu’on égorge.
Il faudra que j’ai une conversation avec lui pour ses propos, j’avais presque envie de me montrer pour lui casser la gueule.
Il ne peut plus se retenir, cet éjaculateur précoce, il se crispe en elle le plus loin qu’il peut pour se vider dans le condom.
Mohamed lui aussi veut remettre le couvert, il se rapproche de ma femme et il ordonne :
— Fais-moi bander, et ne ménage pas ta peine !
Ma femme s’exécute, jouant avec cette verge qui même au repos a une grosseur fantastique, elle doit employer tout son art s’aidant de la langue et des mains.
Mohamed est toujours aussi lent à bander mais petit à petit les mains de ma salope paressent ridicules sur cette tige pharaonique.
Il pose ses deux mains sur les cheveux de ma femme et introduit la colonne de chair dans sa bouche. Elle le suce sans rechigner avec des haut-le-cur quand il va trop loin.
Des filets de bave coulent au coin de ses lèvres et pendent de son menton sur au moins 20 centimètres.
Lorsqu’il se juge au top, il la couche sur le lit, prend les jambes dAnnie qu’il remonte sans ménagement contre sa poitrine et s’installe dans le compas ainsi ouvert.
Il ne prend pas de gants dirigeant son rostre vers le cul offert qu’il est le seul de la soirée à n’avoir pas visité.
Les mains sur ses cuisses, il pénètre d’un coup de reins lent et puissant l’anus si fréquenté ce soir le plus loin possible.
Les gémissements de ma femme montent dans les aigus montrant son plaisir. Il va doucement au début mais la ramone de plus en plus vite après un moment d’adaptation.
Il varie les positions passant d’un trou à l’autre ce qui déclenche un véritable délire érotique de ma salope.
Il la pistonne, c’est magnifique de la voir embrochée sur cette bite monstrueuse qui fouiller ses reins.
Et elle en redemande :
— Plus fort, fais-moi mal au cul, éclate-moi le fion, ouuuiii c’est trop bon !!!
J’entends leur souffle, il transpire sous l’effort :
— T’es trop bonne salope !!!
Elle jouit sans retenue comme une salope en chaleur sous le pilonnage de la grosse bite.
Soudain, sous l’excitation de ma femme, il accélère encore pour arriver lui aussi à sa jouissance. Quand il se retire enfin d’elle, en laissant une énorme quantité de foutre qu’il vient encore de lâcher.
Je ne peux moi aussi me retenir et éjacule quelque goutte dans mon coin.
— Bon, c’est pas tout ça ! S’exclame Rachid, mais on n’a pas que ça à faire, tu te resapes vite fait et on te ramène !
Elle voudrait bien aller dans la salle de bain pour se laver, usée par les assauts puissants de tous ces hommes. Mais il ne lui en laisse pas le temps.
— Allez dépêche-toi, tu feras ça chez toi et maintenant tu sais ce qui t’attend !
J’attends un moment après qu’ils soient partis et sors subrepticement moi aussi.
Que vais-je faire ? Arrêter les frais ou la laisser encore un peu en baver ?
Mais je trouve qu’elle commence vraiment à trop aimer ça.
Et si maintenant qu’elle a goûté aux grosses cylindrées, elle ne voulait plus de mon petit piston ?