Toute nouvelle sur le site, pour ma première publication j’ai décidé de me mettre dans la peau de Marie, une mère de famille de 40 ans.
L’histoire qui va suivre est donc une pure fiction puisqu’en réalité j’ai bientôt 19 ans et que je ne suis pas maman ou est-ce totalement l’inverse, à vous d’imaginer !
"Les 18 ans ans de Camille"
Je m’appelle Marie et j’ai 40 ans depuis peu. Restauratrice d’oeuvre d’art, je me déplace dans différents musées nationaux en France et en Europe. Passionnée par l’art et la littérature, je sais être également un peu rock’n’roll et j’aime profiter de la vie.
Nous vivons à Lyon avec notre petite famille, mes 3 filles et moi seule car je suis séparé de mon mari
En effet, J’ai toujours aimé les filles, mais j’avais enfouit profondément ce "penchant" pendant de trop longues années, jusqu’à ce que je ne puisse plus faire figure d’hétéro.
On dit de moi que je suis plutôt agréable à regarder, 51 kg pour 1,65m – un fier et ferme 85 B – blonde aux yeux noisettes. Je suis un peu dingue et toujours souriante je crois que je plais aux femmes.
Mais aujourd’hui je préfère rester célibataire et avoir quelques aventures pour me consacrer à mes filles. J’ai donc eu un certains nombres d’expériences depuis que je suis une lesbienne affirmée. Comment j’ai pu m’en passer autrefois ? Car j’adore faire l’amour avec mes partenaires féminines, je suis même devenue très coquine. Je ne croise pas énormément de filles, donc très portée sur l’érotisme (et la pornographie). Ce qui me vaut pas mal d’heures de lecture duvres plus ou moins littéraires, de différents mangas et autres, et de surf sur le web
Les plaisirs solitaires sont pour moi récurrents, je fantasme beaucoup et je pratique aussi les relations virtuelles j’aime cette liberté de penser, et de m’exprimer sans tabou.
Très impressionnée par le pouvoir érotiques des mots, je décide donc de me confier afin de partager mes émotions. Petite, mon rêve était de devenir romancière, je vais donc débuter par cette nouvelle qui je l’espère provoquera en vous quelques belles sensations et peut être une certaine excitation.
L’intérêt que portent certains d’entre-vous aux "histoires au sein de la famille" va me permettre enfin de vous confier ma propre expérience, et l’un de mes nouveaux fantasmes, avec la personne qui m’est la plus proche, la chair de ma chair : ma choupinette adorée (Je préviens tout de suite que les hommes auront du mal à se projeter car dans cette confession il n’y a que des filles).
Ma choupinette, c’est ma fille Camille qui vient de fêter ses 18 ans. Camille est arrivée quand j’avais 22 ans pendant mes études d’histoire de l’art
6 ans et 10 ans plus tard, deux autres puces sont arrivées (mais évidemment elle ne font pas partie de l’histoire)
J’élève donc mes filles seule depuis 8 ans ! Après la naissance de ma dernière, mon mari avait compris, le pauvre, que nous ne partagerions plus aucune intimité physique.
Camille et moi avons toujours été très fusionnelles. Je toujours consacré beaucoup de temps à l’écouter, à l’accompagner, à l’éduquer, à lui apprendre pleins de choses. Je l’aime beaucoup et j’ai toujours senti la nécessité d’être très tendre et affectueuse avec elle. Les câlins et les baisers ne m’ont jamais lassé et j’ai répété chaque jour, chaque instant mes gestes d’amour ; câlins le matin, câlins le soir, câlins tout au long de la journée pendant les vacances, câlins le nuit même quand elle venait se réfugier dans mon lit. Camille est elle même très tendre, c’est une "crème sucrée" qui aime les autres,
adores ses petites surs, aime s’occuper des animaux. C’est une grande rêveuse, c’est une "petite confiture" à l’abricot, douce et intelligente, timide mais passionnée, une choupinette quoi !
Pour être plus précise encore, je dirais que j’ai toujours été, plus que tendre. J’ai été tactile et sensuelle avec Camille et elle est devenue également très sensuelle et tactile.
Il faut dire que je suis très "soixante-huitarde" dans ma façon d’éduquer. J’ai beaucoup lu les psychologues et médecins, qui ont écrit des livres aujourd’hui très tabou sur l’éducation et le développement.
J’ai essayé de suivre les conseils sur l’apprentissage et la découverte, l’épanouissement personnel pour que ma fille puisse profiter au mieux de sa vie et dispose pleinement de son corps.
Les questions sur la sexualité n’ont jamais été tabou, à la maison il n’y pas de pudeur et nous pratiquons parfois le naturisme en club. La retenue n’était pas de mise et les bains et les massages entre nous étaient courants.
D’ailleurs Camille à vite posé beaucoup de questions, notamment après le départ de son papa mais surtout en découvrant mes étagères de mangas.
J’ai été élevée au "club Dorothée" et aux dessins animés japonais. Je suis très intéressé par la culture japonaise et je lis beaucoup de BD japonaise.
Les dessins "sexy", tout le monde le sait, sont très courante dans les mangas même les plus soft. Qui n’a pas le souvenir d’avoir vu des dessins très impudiques, des fesses et des nichons dans nos bons vieux "animes" de jeunesse ? Bref, cela m’a bien aidé à aborder un grand nombre de sujets.
Ado, je n’ai pas tardé à laisser échapper quelques mangas très osés afin d’ouvrir un peu le champ des questions. Ainsi je pu engager des discussions sur "toutes" les formes que peuvent prendre la sexualité et l’érotisme pour la prémunir face à de futures surprenantes découvertes.
La sexualité des filles et des garçons fut abordée sous l’angle du plaisir, et ainsi je pu lui apprendre qu’avant toute autre pratique l’on pouvait se faire plaisir toute seule et de quelle manière (avec le soucis du détail et les mimes maladroits qui vont avec)
Ce qui a provoqué quelques crises de fou rire – je compris vite qu’elle s’était déjà essayé au jeu car elle comprenait un peu trop vite mes explications parfois lourdes et cochonnes. L’homosexualité et toutes les "tendances" lui furent présenté, puis l’érotisme, l’existence de la pornographie Les pratiques sexuelles un peu rock’n’rolletc.
Un jour Camille découvrit même les relations incestueuses dans un mangas érotique racontant des histoires d’amour entre filles – que j’avais laissé trainer sans le faire exprès ; Une histoire entre une professeur et une élève.
— "c’est comme si nous on se faisait l’amour toutes les deux maman, dans ton bouquin"
Puis en éclatant de rire :
-"moi, je veux faire l’amour avec toi maman"
Je lui expliquais alors que ce n’était pas possible et qu’elle ne pouvait faire cela qu’avec ses camarades, filles ou garçons de son âge.
Puis ma fille s’est épanouie normalement. Je le compris en la voyant parfois pousser un peu plus la porte de la salle de bain, alors que chacune de nous se promène aisément à poil à la maison.
J’avais alors acheté un génial pommeau de douche avec de multiples jets "modernes, pratiques et non-conventionnels", et, dans l’entrebâillement de la porte je pouvais constater qu’elle aimait jouer avec ,au moins autant que moi. Tel mère, telle fille.
Je remarquais qu’a cette époque elle lisait de plus en plus des mangas destinées aux lesbiennes et homos. Je fut souvent surprise de découvrir en contrôlant son historique internet beaucoup de sites de "filles", et je compris un beau jour que ma fille se retrouvais dans l’homosexualité.
Ma fille lesbienne ? j’en eu la preuve lors de son premier chagrin d’amour. Lorsque je découvrit que celle que je pensais être sa meilleure amie, était en fait son premier flirt.
Effectivement en y repensant mieux, je ne lui avais jamais connu de petit amoureux !
Pendant cette période, je la consolait et je lui fit comprendre que j’avais bien compris vers qui se portaient ses désirs et que son épanouissement me réjouissais. Ce point commun nous rendit encore plus complice et en grandissant nous pûmes commenter ensemble les filles que l’on voyait dans la rue ou dans nos séries préférées. Un autre point commun, qu’elle devina vite est que j’ai un faible pour les filles jeunes 🙂
Quelques temps avant que n’arrivent ses 18 ans nous parlions de plus en plus et de plus en plus librement de sexe ensemble. Je découvrit que ma fille si timide et si tendre, était tout comme moi pourvue d’une grande imagination et cultivait ses fantasmes.
Ma choupinette : Un "petit gâteau" avec du piquant à l’intérieur.
Comme sa maman elle dévorait la littérature érotique, relisant sans cesse mes vieux livres et mes mangas les plus explicites. Son imagination, comme la mienne, était le lieu du dépassement de ses désirs et de ses limites. Elle avait également beaucoup de partenaires virtuelles et malheureusement encore assez peu de vraies partenaires de jeu.
Passons à ce qui nous intéresse, car je vois que je suis un peu longue à entrer dans le vif du sujet. Même si cela parle de "filles" j’invite les garçons, comme les filles à venir me lire et à prendre du plaisir:)
C’était il y a quelques semaines, en juillet, un très bel été comme vous pouvez le constater. J’avais pris des vacances (je les termines par l’écriture de cette nouvelle, pas très loin de ma Camille).
Son anniversaire approchant je me devais de lui offrir un très beau cadeau dont elle se souviendrait pour ses 18 ans.