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Tu l'as cherché – Chapitre 7

Tu l'as cherché - Chapitre 7



TU LAS CHERCHE 7

La copine de Bob rapporte assez fidèlement comment il ma rencontrée à la piscine

puis entraînée dans les bosquets du bord de lautoroute et sétend sur ladultère de ma mère offerte par mon père à Gérard. Doù tient-elle le rôle de mon père ainsi devenu souteneur ? De Bob, bien sûr ! Elle relate aussi lépisode des vêtements dérobés et lutilisation quen a fait Bob pour soumettre ma mère et lamener à coucher avec lui. Mon intervention pour les séparer aurait permis à Bob de me déflorer et dêtre mon amant jusquau jour où il a préféré Jeanne la narratrice. Ca cest fortement exagéré !

Doris commente. Jappartiens à une famille sans foi ni loi. Le père a bâti sa carrière en prêtant sa femme au patron et garantit son avenir en offrant sa fille dévergondée au futur chef dentreprise.

— Tous des pourris; ils doivent payer !

Les trois femmes jurent de séduire Alain, le PDG Gérard et mon père pour les compromettre et dénoncer le harcèlement sexuel en vogue dans cette entreprise. Jouvre la porte de mon WC et je me trouve entre Doris, Jeanne et Sophie. Mon apparition les rends muettes. Je profite de leffet de surprise et de leur confusion pour leur ordonner de me suivre. Je demande à Doris de mattendre à la porte de mon bureau et je fais entrer les deux autres.

— Laquelle sait taper une lettre ? Toutes les deux, parfait. Toi, prends place et frappe :

« Nous soussignées, (au pluriel nom, prénom, service pour toi et pour elle) Sophie et Jeanne, attestons avoir entendu Doris . menacer de saboter la formation de Lucie, lassistante de direction de monsieur le directeur financier »

— Cest tout, vous signez

— On ne peut pas faire ça à notre amie.

— Comme vous voulez. Vous signez et joublie de répéter à votre hiérarchie respective ce que jai entendu aux toilettes concernant toutes les personnes dont vous avez parlé et vos serments de nuire à la direction ou

Elles se regardent et apposent leur signature sur les quatre copies.

— Faites entrer ma secrétaire.

Lair penaud Doris se demande à quelle sauce je vais la manger. Je lui tends une copie, elle lit, blêmit et baisse les yeux.

— Mesdames ou mesdemoiselles, vos propos mont évidemment choquée. Ce sont des histoires que je tiens à rectifier en partie. Accepteriez-vous que je défende mon honneur maltraité. Ce serait justice si je décidais de passer léponge. Oui ? Est-ce que vous le voulez ?

Trois « Oui » répondent aussitôt. Les visages se détendent.

— Nous sommes entre filles, tutoyons-nous, afin de ne pas tout embrouiller à cause du protocole. Le permettez-vous?

Le nouveau « Oui » est plus léger. Elles soufflent car elles espèrent mon indulgence.

– Commençons par Jeanne. Crois-tu tout ce que ta rapporté Bob ? Il prétend mavoir déflorée et prise comme maîtresse, cest bien ça ? Veux-tu que je te prouve quune grande partie de son récit est pure vantardise ? Et tu pourras alors te poser des questions sur la part de vérité contenue dans ce quil ta raconté. Lune de vous est-elle vierge? Vous estimez que cela ne me regarde pas et vous avez raison ! Oh! Ne vous offusquez pas, je cherche une personne capable de dire si je le suis ou non. Alors Qui ?

— Moi, je suis mariée, dit Sophie, je saurais, mais il faudrait

— Cest parfait. Voyons, Doris tu as eu une liaison avec mon fiancé, pourrais-tu montrer que tu as eu des rapports sexuels avec un homme ?

— Ah ! Tu ne me crois pas, bien sûr. Tu crois quAlain est un saint ? Merci de me donner loccasion détablir le contraire. Je peux ?

Doris pousse les dossiers étalés sur mon bureau, empoigne le bas de sa jupe, baisse sa culotte sous ses genoux, sassied sur mon bureau, écarte les cuisses et commande:

— Vas-y, Sophie, examine ma chatte, ouvre-la et constate que je ne suis pas une menteuse. Alors, je suis trouée ou pas ? Jeanne, veux-tu confirmer. Allez, naie pas peur de toucher, ouvre mes lèvres et regarde, tu ne verras pas ça tous les jours. A vous Lucie, pardon , à toi. Tu places deux doigts en bas de ma fente, de chaque côté, tu tires et tu observes. Tu vois, je ne suis pas une dégonflée. Allez, regarde bien, maintenant. Tu vois ?

— Cest parfait Doris. Je te crois.

— Hé, hé ! Serais-tu capable de nous montrer ton sexe et de faire comme moi.

— Cest justement à ça que je voulais en venir. Moi, je suis vierge et cest à vous de le constater. Cède-moi la place.

Je prends place, jimite Doris, je dégage mon pubis, jécarte les jambes et jattends. Doris se précipite, passe le dos de sa main sur ma vulve encore serrée, exécute quelques mouvements en aller retour. Mon sang converge vers ses caresses, mes grandes lèvres enflent. Des mains les séparent, un doigt creuse son chemin entre mes nymphes, Doris sexclame :

— Ce nest pas possible, elle a encore son hymen. Jeanne regarde. Sophie

Je suis un peu gênée de montrer sans pudeur mes parties intimes mais aussi troublée dêtre palpée, touchée et caressée. Heureusement nous sommes entre filles!

— Oh ! Que cest merveilleux, si Bob tavait planté son dard, cela aurait fait sauter ton pucelage. Oui, tu es vierge. Il faut que je tembrasse.

Dit Jeanne. Elle plonge sa bouche sur mon sexe de vierge et mapplique une longue succion qui me secoue de frissons.

— Moi aussi je veux donner mon avis dépouse expérimentée , réclame Sophie.

A son tour elle me touche, explore la surface de ma foufoune de plus en plus humide. Ce tripotage me bouleverse. Le baiser qui le conclut me met au supplice. Doris ne veut pas être seule à ne pas avoir embrassé le sexe dune vierge et singénie à doubler mon émotion en suçant mon clitoris pendant que Jeanne et Sophie sembrassent sur la bouche en riant. La scène finirait en rencontre de lesbiennes. Je me redresse et repousse ma secrétaire, il en est temps; Doris a du mal à délivrer mon bouton prisonnier de ses lèvres. Je prends une longue respiration pour retrouver mes esprits.

Jeanne en profite pour proposer de laisser voir les ravages des ramonages de Bob. Elle me succède sur le bureau avant que je ne puisse la retenir. Son pubis est rasé, « pour plaire à Bob ». Le mot « ravages » est justifié, les petites lèvres débordent des grandes, en bas le vagin esr encore rouge des derniers frottements du monstre.

— Quoi, vous ne voulez pas donner un bisou à mon abricot. Il est moche, hein, mais je laime. Ce nest pas juste. Venez.

Jai déchaîné une catastrophe. Le mieux est de presser le mouvement. Je vais lui donner le plaisir réclamé. Je me penche, je dépose un rapide bisou, elle dit

— Lucie, tu triches. Mets tes doigts, écarte, lèche mon conin, passe ta langue dans le trou.

Je suis pressée de mettre fin à cette séance imprévue. Je lèche, je fouille de la langue, le ventre se lève vers ma bouche, je me retire avec le menton couvert dun liquide à forte odeur. Jétais la première, Doris et Sophie samusent successivement à faire gémir Jeanne. Je tremble, pourquoi ? La nouveauté et la folie de linstant me bouleversent. Mon excitation augmente quand Sophie exige une égalité de traitement

— Je nen parlerai pas à mon mari. Mais je voudrais savoir ce que ça fait entre filles. Je ne lai jamais fait. Soyez justes, faites-moi la même chose, sil vous plaît. Lucie, je ten supplie, je ne dirai plus de mal de toi et je ne provoquerai pas Alain, je le jure.

Comment ne pas me réjouir de cette promesse ? Jen ai embrassé deux, la troisième est une formalité. Oui, mais jy prends goût. Soudain mes doigts, ma bouche et ma langue se lâchent et je savoure le suc de cette baie mûre de femme, je lèche, je suce le clito, je me barbouille le visage de cyprine et je ne lâche prise que lorsque le ventre se met à bondir et au milieu des gémissements de Sophie.. Dieu ! Quai-je fait suis-je devenue folle? Doris et Jeanne sont encore plus folles, Sophie connaît avec elles un orgasme violent.

-Jamais mon mari ne ma autant fait jouir. Merci vous trois. Il faudra recommencer.

Mon rouleau de papier sert à essuyer les visages et les bas-ventres trempés. Nous nous regardons, surprises davoir renversé les barrières ordinaires de la pudeur . Dans un élan étrange, je déchire les attestations. Les trois filles métreignent, me jurent amitié et fidélité. On nen parlera plus. Quelle journée !

Il me reste une question importante. Quel avenir me réserve Alain ? Quel époux sera-t-il ? Sera-t-il comme son père porté sur le sexe et coureur , mari volage ? Son aventure avec Doris devrait me faire peur. Mais cela est antérieur à nos fiançailles. Il aurait pu mais il ma choisie, cest moi lélue. Ce qui sest passé avant ne compte pas.

Par ailleurs, dautres avant moi ont déjà connu cette situation. La mère dAlain par exemple subit les écarts de conduite de Gérard. Mon père pose aussi question, sait-il que ma mère lui fait ou lui a fait des cornes ? A-t-il poussé ma mère dans les bras du patron ? Ma mère enfin sest-elle dévouée par amour de son mari ou sest-elle livrée par concupiscence ? Et puis zut, allons de lavant.

Le hasard aujourdhui a transformé en amies de redoutables adversaires. Tout bien pesé, je nai pas de raison de désespérer de lavenir. Si quelque chose doit minquiéter, cest plutôt ce plaisir étrange que jai ressenti avec les filles, à câliner les minous ou à recevoir leurs caresses dans mon entrejambe. Quel vent fou sest mis à souffler sur la recherche dune vérité simple ? Il y a en moi des forces instinctives que jignorais.

La déclaration damour dAlain et la demande de ma main faite officiellement à mon père ont été spontanées. Je ne me sens pas « vendue ». Jai su poser mes conditions. Je suis lassistante de direction de mon futur mari. Ce gage ma permis daccepter la magnifique bague de fiançailles. Mon bureau jouxte celui dAlain, il ne pourra plus culbuter les employées si près de moi. Je garderai mon sang froid jusquau mariage.

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