Ophélie 2
Précédemment : Après un été maussade, Ophélie profite d’une journée chaude et ensoleillée de septembre, pour ce prélasser dans son jardin, elle finit par se mettre nue, et se caresse intimement, mais soudain un cri, suivi d’un bruit de chute qui vient de derrière la haie, la ramène à la réalité, c’est son jeune voisin Paul qui l’épiait, qui a perdu l’équilibre, prise de panique elle rentra dans sa maison ne sachant pas qui avait fait ce vacarme, ni si celui-ci avait aperçue quoique ce soit de son intimité…
Quelques jours passèrent, Ophélie anxieuse de ce qui c’était passé, n’osait plus sortir dans le jardin, croyant avoir deviné l’identité de la personne qui était derrière la haie, mais comment en être sûr, mais surtout comment savoir ce que cette personne avait pu voir.
Depuis quelques jours aussi, Paul n’arrivait pas à se sortir ces images érotiques de la tête. A chaque fois qu’il voyait une silhouette féminine, que ce soit en photo à la télé ou dans la rue, il ne pouvait s’empêcher de penser, voire de fantasmer sur Ophélie. Les images de sa jolie voisine n’arrêtaient pas de tourner dans sa tête.
Depuis cet évènement, toute sorte de scénario se déroulait dans ses rêves, mais à chaque fois son rêve se finissait dans les bras d’Ophélie.
Ce matin il se réveilla difficilement, avec une drôle de sensation au niveau de son bas ventre, après quelques minutes où il s’efforça d’ouvrir les yeux afin de revenir à la réalité, il comprit que cette nuit, durant laquelle son rêve était d’une grande intensité émotionnelle, il finit par lâcher sa semence qui finit dans ses poils, cette drôle de sensation, était en fait ses fluides corporels qui collait sur son bas ventre ce qui lui procurait la gêne ressentit.
Il tenta de se remémorer son rêve, cela se passait un dimanche après-midi chaud et étouffant, Ophélie voulait prendre une douche pour se rafraichir, lorsqu’elle entra dans la douche pas moyen de mettre l’eau à la température souhaitée. Elle dût se rendre à l’évidence le chauffe-eau ne devait plus fonctionner. Elle tenta tout de même de prendre une douche, mais l’eau était bien trop froide pour que la douche soit agréable, Ophélie abandonna cette idée et se résigna.
Elle retourna dans sa chambre, prit le parti de s’habiller mais très légèrement, elle opta pour un tout petit string blanc avec une légère dentelle sur le dessus, elle aime bien ce string, il est agréable à porter lui laissant une sensation de légèreté, de plus il mettait son corps en valeur, révélant les détails des courbes de ses fesses, et valorisant son triangle intime par-dessus elle mit un mini short en jean, accentuant encore ses courbes, puis un léger teeshirt échancré de tous les côtes, laissant entrapercevoir, les formes de ses seins.
En repensant à ces images, Paul sentit son sexe se réveiller, celui-ci commençait à reprendre vie.
Ophélie se demanda quoi faire pour résoudre son problème d’eau chaude, étant un dimanche elle ne pouvait faire appel à un plombier, celui-ci n’hésiterait pas à appliquer les tarifs de week-end, et financièrement elle ne pouvait pas se le permettre. Mais alors que faire, tant pis elle attendrait le lendemain pour appeler un plombier. L’après-midi suivit son cours, Ophélie passa quelques heures à lire un roman, mais la chaleur devint vraiment insupportable, la sueur rendant son corps tout collant. Soudain elle réalise que le lendemain elle doit s’entretenir avec son directeur régional, mais comment se trouver présentable sans pouvoir prendre de douche ?
Quelques minutes de réflexion, et si elle allait demander à son voisin s’il pouvait jeter un il à son chauffe-eau, après tout elle le savait bricoleur, il pourrait certainement résoudre son problème.
Elle se rendit chez Roger son voisin, mais c’est Paul son fils qui ouvrit la porte. Ophélie lui expliqua son problème, et demanda si son père pouvait venir voir s’il pouvait la dépanner.
Paul fut surpris de la voir ainsi débouler chez lui toute stressée, malheureusement il informa la belle que ses parents étaient partis pour la semaine et ne rentreraient que le dimanche suivant. La jeune femme lui parut fortement émue à son annonce, elle se sentit défaillir, et commença à repartir vers sa maison, lorsque Paul lui proposa de l’accompagner afin de peut-être réparer son chauffe-eau. Ophélie se sentit remonter, elle accepta avec une grande joie. Quelque temps après, Paul s’avoua vaincu, il ne trouva pas la panne, Ophélie fut toute retournée, tout l’espoir qu’elle avait mis en lui venait de s’envoler.
Voyant sa jolie voisine toute déconfite, Paul eu une idée, il propose donc a Ophélie de venir prendre une douche chez eux, aujourdhui, et ce jusqu’à ce que son chauffe-eau soit réparé.
Ophélie réfléchit quelques secondes, et accepta l’offre de Paul. Juste le temps de réunir quelques vêtements et ils repartirent chez Paul, celui-ci prépara la salle de bain en sortant quelques serviettes et lui proposa différents shampoings et gels douches.
Ophélie fut agréablement surprise par les gentilles intentions de Paul, celui-ci s’éclipsa pour laisser la belle profiter de sa douche, quelques minutes s’écoulèrent, elle appela Paul, pour le remercier.
Paul entra dans la pièce, et s’arrêta net, comme paralysé, devant lui se trouvait cette splendide jeune femme, elle avait ôté ses vêtements et ne portait plus que son léger string, elle était tournée vers la douche lui laissant loisirs d’observé ses jolies fesses.
Ophélie se retourna ce qui eut pour effet de faire jaillir ses seins devant les yeux de Paul qui resta immobile, bouche bée, son bon sens lui commandait de sortir à toutes jambes de cette salle de bain, mais ses yeux lui intimaient l’ordre de rester à observer cette déesse.
La belle le regarda en souriant, elle s’approcha de Paul tout doucement pour ne pas le brusquer, la situation parut échapper au garçon, encore quelques centimètres et elle serait a porté de main. Elle continuait de se rapproché, centimètre par centimètre, lorsqu’elle fut assez prêt de lui, tout en lui lançant un regard provocateur, elle franchit les derniers centimètres d’un bond en se jetant à son coup, et fini par poser ses lèvres sur celle de Paul, qui celui-ci restait toujours pétrifié.
Bientôt une suite …
