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Jerome,Virginie et…… – Chapitre 2

Jerome,Virginie et...... - Chapitre 2



Il est vrai que j’avais suffisamment bu, le repas avait été excellent, Colette était charmante et l’envie de déballer mes déboires d’avec maman ne m’enchantait guère et ma tendre cousine se faisant de plus en plus câline me dit…. ’Tu sais mammy n’a été guère prolixe sur la naissance de Carole, au fait sais tu toi qui est son père.’

…’ Pourquoi me poses-tu cette question tu sais bien que cela s’est passé lorsque j’étais chez mammy en pension ’

—’ Non pour rien mais aussi bien ta mère que Virginie n’en ont souffler mot sur ce sujet’

—’ Et toi même Colette, nous ne te connaissons pas de petits copains doit on en conclure que cela reste un mystère ?’.

—’ Non tu as raison, mais je peux t’assurer qu’il n’y a jamais eu d’homme dans ma vie ’

—’ Ne me dis pas que tu es toujours vierge ma chère cousine’

—’ Et oui mon cher Jérôme je le suis toujours, quoiqu’on en dise personne n’a encore eu l’honneur de visiter ma grotte d’amour hormis tes doigts lors de mes vacances chez toi’.Et tout en disant cela elle se lova contre moi.

—’ Mais toi même je pense que tu as dut avoir pas mal d’aventures avec ton physique les femmes ne doivent pas te manquer’ et tout en disant cela ses doigts défirent les boutons de ma chemise et sa main se glissa à l’intérieur pour caresser mon torse. La réaction ne se fit pas attendre ma verge se durcit aussitôt et moi de mon côté j’entrepris de caresser sa poitrine. nous nous laissions aller, nous n’étions plus les gamins d’antan ma main partit fureter sous sa robe et s’insinua entre ses cuisses chaudes et douces pour atteindre son entrejambes et se plaqua sur son sexe que je sentais bouillonnant au travers de son string, je me mis à le masser au travers du fin tissu de dentelle elle mit son bassin en mouvement et se frotta énergiquement à mon doigt et en même temps m’offrit ses lèvres pour un fougueux baisers. Puis elle me dit.

— ’Allons dans ma chambre nous y serons plus à l’aise tu veux bien?’.Nous nous levames et nous dirigeames vers sa chambre tout en nous carressant,arrivés dans la chambre nous fumes nus en deux temps trois mouvements et chutames sur le lit. Ma bite était énorme et pointait vers le plafond.

— ’Mon dieu quel morceau, je crois que je vais avoir du mal à l’accepter’

— ’Ne t’inquiette donc pas je serais très doux tu le sentira à peine détends toi’.Couché sur le dos elle se mit à m’embrasser sur tout le corps et arriva à ma bite qu’elle embrassa lécha sur tout la longueur de la colone,le gland complètement décaloté était aussi gros qu’une petite pèche, pendant ce temps je carressrais sa fente du clito à l’entrée de son vagin, mon doigt était trempe de sa mouille, je la pris par la taille et la renversa sur le dos et moi aussi je me mis à la couvrir de baisers tout en lui caressant la chatte que j’atteignis de mes lèvres et enfin de ma langue qui s’attardait sur le petit bourgeon lui arrachant des petits cris de bonheur. Puis je remontais pour prendre ses lèvres et en même temps je lui fis sentir mon sexe à l’entrée de sa grotte sans toutefois vouloir la pénétrer, je le frottais contre son clitoris, les yeux fermés elle se laissait faire tout en envoyant des petits coup de bassins pour sentir la pression sur son bouton. je triturais ses seins et ses mamelons, je glissais ma main vers sa chatte et me mis à lui agacer le clito et l’entrée de sa grotte son sexe était trempe sa mouille ruisselait dans le sillon vers son autre petit trou à qui j’allais aussi rendre visite ce qui eut pour effet de d’affoler Colette qui serra les fesses pour m’interdire l’intromission de mon index. Je repris mon engin et je frottais son bourgeon de mon gland, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, quant à moi j’avais les bourses dures comme de la pierre et ma queue démesurément enflée me faisait mal. Alors ne pouvant plus souffrir cette situation je m’allongeais sur Colette l’écrasant de mon poids je collais mes lèvres aux siennes pendant que mon gland se frayait un passage entre les lèvres de sa chatte baveuse et brûlante comme une fournaise, je poussais doucement et butais sur son hymen de ses mains elle essaya de me repousser mais elle ne faisait pas le poids je continuais d’avancer dans son ventre, la porte du vestibule résistait et d’une violente poussée elle explosa lui arrachant un cri de douleur, je m’arrêtais afin de lui laisser le temps de s’acclimater à la chose qui était fichée en elle et se fut Colette qui m’invita à reprendre la cavalcade chose que j’entrepris aussitôt, je la pilonnais à grands coups de reins elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler, de mon côté je sentais monter la sève et accentuai le pilonnage mon gland buttait au fond de sa chatte et dans un moment de lucidité elle essaya de me retenir mais trop tard je l’inondais de toute la semence qui gonflait mes bourses en m’écroulant sur elle. Quelques instants plus tard après avoir repris notre souffle elle réalisa que je m’était vidé en elle et elle s’exclama

— ’Mon dieu j’espère ne pas m’ètre fait engrossé comme ma tante et Virginie’

— ’Que dis tu là comme sottises ?’

— ’Crois tu que ce sont des sottises ? Pourquoi grand mère aurait elle dit des sornettes et puis as tu bien regardé Carole n’est ce pas ton portrait ?’

— ’Oui il est vrai que cela est arrivé, D’ailleurs c’est aussi pour cela que je suis ici’

— ’Si tu veux tu peux rester ici chez moi pendant quelques jours le temps de faire le point avec toi même’.

— ’Non tu es bien gentille mais il va falloir que je rentre et puis je me ferais une raison il faut que je les laissent tranquilles.’Mon sexe étant toujours fièrement dressé Colette s’amusait le branlotter doucement.

— ’ Dis donc mine de rien tu profites de la chose’ et je me repositionnais entre ses cuisses et la repris à nouveau. La nuit fut extèmement courte.

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