Chapitre 2 : Un amour fraternel
Cette masturbation incestueuse avait éveillé en Adèle des sensations inconnues. Elle retourna dans sa chambre et essaya de trouver le sommeil, nue sous un léger drap. Son corps était bouillant, et la chaleur nocturne n’arrangeait rien. Elle sentait qu’elle était encore sous l’effet de l’excitation extrême de ce moment intime avec son frère. Son frère. Adèle avait branlé sous frère. Elle avait branlé son propre jumeau avec qui elle a grandi, juste après avoir découvert qu’il l’espionnait et qu’il se masturbait sur des photos et vidéos d’elle. Son jumeau, son double masculin, son confident depuis toujours. Plus elle y pensait, nue sur son lit, plus son niveau d’excitation grimpait et lui donnait des envies de plaisirs encore inconnus. Une partie de sa conscience lui rappelait la morale et la punissait gravement pour ces plaisirs incestueux, mais le reste de son corps et de son esprit criaient l’inverse.
Les tétons de ses petits seins étaient tout durs. Elle se surprit à les caresser et à y trouver du plaisir. Ses mains descendirent d’elles-même vers son entre-jambe humide. Elle n’avait jamais aimé se masturber. Lorsqu’elle en parlait avec ses copines, elle ne comprenait pas les émotions qu’elles ressentaient en caressant leur intimité. Ses amants avaient bien essayé de la doigter ou de lui offrir un cunnilingus, mais ces pratiques ne lui procuraient aucun plaisir.
Néanmoins, branler son frère avait réveillé quelque chose en elle. Elle avait des envies nouvelles. Elle passa ses doigts sur son intimité. La douceur, la sensualité du contact la fit frissonner. Elle caressa ses lèvres humides et enfonça prudemment son index dans son vagin.
Surprise de la petite décharge électrique qu’elle ressentit, elle commença un léger va-et-vient. Puis elle ajouta son majeur. Guidée par ses pulsions, elle alternait entre doigter son vagin et caresser ses lèvres. Elle exprimait par des gémissements et des petits cris le plaisir nouveau qu’elle ressentait. Lorsqu’elle accéléra ses doigts, elle fut prise dans un tourbillon de sensations inédites. Elle perdit conscience de ce qui l’entourait. Son corps s’agitait de lui-même, prit de spasmes. Elle cria sa jouissance pour la première fois de sa vie.
Lorsqu’elle reprit ses esprits, toute essoufflée et encore étourdie par le plaisir, elle crut entendre une respiration haletante différente de la sienne, et le bruit de quelque chose tombant sur le parquet de sa chambre. Elle attendit quelques instants de reprendre totalement possession de ses moyens, puis se leva pour vérifier si elle n’avait pas imaginé ces bruits. Elle s’apprêta à sortir de sa chambre lorsqu’elle marcha sur un liquide visqueux. Elle regarda sous son pied et sur le parquet. Elle reconnut facilement du sperme, elle connaissait suffisamment la texture du jus d’amour des garçons pour savoir que c’en était. Ainsi donc, son pervers de frère avait profité du spectacle interdit
Adèle n’avait pas envie de le punir comme elle le faisait avec ses amants. Elle aurait pu jouer avec son plaisir et retarder le plus possible sa jouissance comme elle savait si bien le faire. Adèle voulait profiter de son frère. Elle se dirigea vers la chambre fraternelle et entra sans frapper.
Arno ? On peut discuter ? Je sais que tu ne dors pas.
Oui, entre Adèle. Oh sérieux, t’aurais pas pu t’habiller avant de venir ?
En effet, la jeune fille était entièrement nue.
Désolée, il fait trop chaud. Et puis ça va, on a déjà fait des câlins tout nus je te rappelle
Ouais, quand on avait 8 ans, après on a arrêté Bon allez tu peux venir.
Adèle se blottit dans les bras de son frère, tout aussi nu qu’elle. Leurs deux corps nus étaient en contact direct. Les jumeaux étaient allongés sur le côté. Adèle appréciait la chaleur protectrice des bras de son frère. Elle colla tout son corps au sien. Aussitôt, elle sentit le sexe de son frère se durcir contre sa peau. Elle fit mine de l’ignorer, mais elle sentit Arno rougir.
Tu ne m’en veux pas Adèle ? Pour les photos et tout je veux dire. Je suis vraiment désolé
C’est plutôt flatteur tu sais. Je te dirais bien que je t’en veux, mais la vérité, c’est que ça m’excite terriblement.
Vraiment ? Tu es ma sur Adèle, on peut pas faire ça
Tu crois ? Pourtant, je n’ai jamais été autant excitée qu’avec toi
Pour affirmer sa parole, Adèle saisit la main de Arno et la porta à son entrejambe humide.
Je sais que tu t’es tapé une queue en me matant tout à l’heure. C’était la première fois que je me masturbais, avoua la jeune fille en rougissant.
Arno embrassa sa sur avec douceur. Elle répondit tendrement à son baiser. Leurs langues se mêlaient dans un ballet ininterrompu. Arno s’enhardit et effleura les lèvres intimes de sa sur avec ses doigts. Pour seule réponse, elle rapprocha son bassin de son frère. Il entreprit alors de masturber sa sur tout en l’embrassant. Il introduisit d’abord un, puis deux doigts dans le vagin étroit de sa jumelle. La belle poussait des petits gémissements pendant leur baiser.
Arno mit fin à leur baiser et allongea Adèle sur le dos. Il l’embrassa dans le cou, puis descendit sur ses seins. Il entreprit de lécher un téton tout en la doigtant tendrement. Pas indifférente au traitement de son frère, Adèle poussa de petits gémissements. Après avoir suçoté l’autre téton, il descendit son visage au niveau du puits d’amour de sa sur qu’il doigtait activement depuis un certain temps. Il ralentit ses deux doigts et déposa un baiser sur l’intimité d’Adèle. Il jouait avec les lèvres intimes de sa sur à l’aide de sa langue, puis introduisit sa langue dans le vagin de la jeune fille. Adèle profitait pleinement du traitement de faveur que son frère lui faisait, et n’hésitait pas à exprimer oralement son plaisir. Lorsqu’il harcela son clitoris avec sa langue, Adèle fut submergée par des sensations encore inconnues. Un nouveau plaisir très intense l’envahit. Arno semblait savoir ce qu’il faisait. Il adaptait les mouvements de sa langue en fonction des réactions de sa sur.
Adèle était possédée. Arno pouvait manipuler son plaisir à sa guise. A cet instant, elle comprit ce que ressentaient ses amants lorsqu’elle jouait avec leur jouissance. Soudain, Arno accéléra. Prise dans une immense vague de plaisir, Adèle libéra son corps et laissa son orgasme la prendre totalement. Elle fut secouée par des spasmes pendant de longues minutes. Arno continuait de lui lécher la chatte, il ne s’arrêtait pas. Son corps réagissait positivement aux stimulations répétées de son frère : son orgasme s’en trouvait décuplé. Arno se redressa et présenta son pénis devant le vagin de sa sur jumelle. Il s’enfonça doucement dans sa surette pendant que celle-ci tremblait encore de son orgasme.
Les parois étroites du vagin d’Adèle enserraient la bite de Arno et lui procuraient beaucoup de plaisir. Il se pencha sur sa sur et l’embrassa. Il lui fit l’amour sensuellement, puis progressivement augmenta en intensité. Adèle gémissait, profitait de cette sensation nouvelle qui lui procurait enfin du plaisir. Son frère la baisait en missionnaire, et elle adorait cela. Arno positionna ensuite Adèle à quatre pattes. Il se délectait de voir ainsi sa sur cambrée devant lui, attendant son pénis avec impatience. Il ne se fit pas prier pour baiser ardemment Adèle en levrette. La coquine manifestait bruyamment son plaisir. Sentant qu’il ne pouvait plus continuer à ce rythme, Arno se retira. Adèle se retourna vers lui et ouvrit la bouche pour recevoir son aumône. Arno se masturbait frénétiquement devant le visage angélique totalement offert de sa sur. Il éjacula de copieuses giclées de sperme sur le visage d’Adèle. La brunette dégusta cette offrande et nettoya consciencieusement la bite de son frère. Les deux amoureux s’enlacèrent et s’endormirent dans la chaleur de Septembre …