Chapitre 3 : Tout le monde a ses petits secrets
Ça fait 20 minutes qu’on fait la queue sous un soleil de plomb. Aujourd’hui, parc aquatique pour fêter l’obtention du bac. Je discute avec Arthur et Tanguy pendant que les filles tentent de se rafraîchir à coup de brumisateur et d’éventails. La queue n’avance plus depuis un petit moment et on commence à mourir de chaud.
Tanguy se sépare de nous pour aller parler à Claudia et Natasha, en sueurs et assises (ou plutôt avachies) contre un mur. Je me retrouve seul avec Arthur et on peut parler plus librement sans Tanguy. Au final ce dernier n’est pas si emmerdant, il est plus sympa qu’à l’époque même si une certaine animosité plane entre nous.
Alors qu’Arthur me raconte l’action ou vérité qu’il a fait avec Claudia et Hugo, le copain Éléonore, je lui révèle ma petite aventure avec Éléonore mais aussi que je les ai aperçus.
— Quoi ? Elle t’as sucé en te prenant pour son mec ? S’exclame Arthur.
— Elle était consentante tranquille, répond-je.
— J’avoueAdmet-il.
— Bon là ou je veux en venir c’est que j’ai vu Claudia et Hugo prendre ce costume d’infirmière là. Le déguisement m’a foutue une sacré trique d’ailleurs haha, dis-je à mon meilleur ami.
— Ah ok, ils ont mis du temps en plus j’ai cru que…enfin bref et comment ça se fait que Hugo t’a pas surpris dans la chambre ? Interroge-t-il l’air suspicieux.
— Il était dans la penderie avec Claudia, dis-je.
— Quoi ?? pendant qu’elle se changeait ? Demande Arthur en écarquillant les yeux.
— Je l’ai entendu lui dire de se retourner, le rassuré-je un peu surpris par sa réaction.
— Les amoureux là, la queue avance, venez ! Nous appelle une voix mélodieuse.
C’est Cassandre. Une autre fille du groupe, une française dont les yeux bruns bridés trahissent des origines vietnamiennes et coréennes. Elle a les cheveux bruns mi-longs un peu bouclés style années 60, un visage aux traits fins et un corps en sablier ni trop mince ni trop gros. Elle pourrait avoir le même corps que Claudia avec un peu de sport pour avoir le ventre plus plat et le cul plus musclé. Quoiqu’il en soit elle reste un sacré un morceau, que beaucoup de mes potes ont voulus se taper.
Ils ont toujours étaient repoussés par son caractère de cochon. Trop sûre d’elle et donneuse de leçon. Mais si seulement ses capacités n’étaient pas à la hauteur de sa confiance en elle…Mais non, tout lui réussit : scolarité, chant, musique, danse. Ça fait longtemps qu’on a arrêté de jouer avec elle aux jeux de société, elle écrase toujours toute la bande.
Je disais donc que malgré son mauvais caractère elle est sacrément bonne. Mignonne de tête. Un cul rond assez gros qui donne envie de le lui claquer et une paire de seins hauts et qui tiennent bien en place (un 90B d’après mes informateurs).
Cassandre oblige donc Claudia, Natasha, Alicia (qui est là aussi j’ai oublié de le préciser) et Tanguy à se lever pour entrer dans le parc puis s’approche de nous pour nous rappeler à l’ordre. Elle fait ensuite volte-face en nous ordonnant de la suivre et moi et Arthur la suivons après un premier regard lubrique sur ses fesses moulées dans son jean puis un deuxième regard, complice cette fois, entre nous.
Vingt minutes plus tard nous voilà dans les douches avec Tanguy et Arthur. Les douches étant communes on attend les filles qui mettent plus de temps à se changer dans les cabines. Evidemment en tant que jeunes hommes matures on parlent de la conjoncture économique et…non je plaisante, on est en train de parler de qui on va mater en premier.
— On a déjà vu Natasha et Cassandre à la piscine donc c’est moins intéressant que les deux autres, explique Arthur à Tanguy.
Arthur fait un peu petit et maigrichon dans son maillot, surtout à côté de moi et Tanguy. Ce dernier est vachement musclé ! Plus que moi en tout cas. Il m’agace même lorsqu’il ne fait rien c’est fou. Oui bon c’est peut être de la jalousie de ma part je l’admet. Arthur a d’ailleurs une bosse sur son maillot à croire qu’il est déjà excité.
— Non mais clairement j’attend deux choses moi, voir ce que Alicia cache sous ses vêtements là parce qu’on sait tous qu’elle a des seins énormes. Et deuxièmement voir Claudia. On va pas se mentir, c’est la plus bonne des quatre non ? Rigole Tanguy.
— Oui euh…ça dépend des goûts on va dire, répond Arthur en détournant le regard.
On se dirige vers les bassins, lassés d’attendre les filles et surprise ! Elles y sont déjà. Finalement on est victimes des préjugés qu’on a sur le temps que mettent les femmes à se préparer…On les rejoint donc dans l’eau. On est dans une immense salle au plafond haut, avec un grand bassin au milieu et quelques petits sur les côtés et à l’extérieur. Il y’a des toboggans un peu partout et beaucoup beaucoup de monde. De tous âges, nageant, jouant, se disputant les tapis flottants.
Je marque un temps d’arrêt en voyant Alicia. En fait il y’a un tas de mecs autour de nous qui la matent déjà à la dérobée et on n’y manque pas non plus. Elle porte un deux pièce rose qui ressort sur sa peau laiteuse. Sa chevelure doré étincelante dans l’eau attire autant le regard que ses énormes meules. Son ventre, son dos, ses épaules et ses bras sont très fins en comparaison ce qui fait encore plus ressortir la taille de ses obus.
Mais à peine avons nous le temps de la mater que les regards se tournent vers le couloir menant au douche. Une silhouette bien connue de nos yeux approche.
— Oh putain mate cette bombe, murmure un jeune à côté de moi à son pote.
— Mec mais je la déglingue elle, répond ce dernier.
Claudia arrive au bord du bassin, attirant tous les regards, elle n’a pas l’air de se rendre compte de l’effet qu’elle produit. Elle porte un trikini noir serré sur son corps harmonieux. Tout en elle, que ça soit sa peau halé, ses longues cuisses galbés, le bracelet en or à sa cheville, ses obus remplissant bien son maillot et rebondissant à chacun de ses pas, tout en elle donc, donne envie de lui faire l’amour.
Elle s’approche du bassin, y trempe un de ses orteils vernis de rouge puis plonge gracieusement dans notre direction. Elle ressort de l’eau, jette la tête en arrière faisant voler sa chevelure mouillée tel une sirène puis ouvre ses grands yeux de saphirs en nous souriant. C’est limite si Tanguy et Arthur ne sont pas bouches bées.
On se réunit puis Tanguy propose une mêlée général pour tenter de mettre la tête des autres sous l’eau. Filles contre garçons. Il est malin, il va pouvoir les tripoter tout son saoul. Pendant le jeu je m’approche de Natasha. Après la branlette de la dernière fois je n’ai pas eu l’occasion de lui en reparler parce qu’elle a esquivé le sujet par messages. Mais cette fois je compte bien lui rappeler ce qui s’est passé. Après tout elle sait qu’elle me plaît et visiblement je lui plais aussi alors…pourquoi se contenter d’une branlette ?
Mais curieusement pendant tout le jeu cette dernière m’esquive. Aussi bien physiquement que du regard. Autant j’aime bien quand une fille me fuit, autant là cest agaçant. Surtout qu’avec son bikini noir dévoilant une grande partie de son corps svelte et notamment son petit cul bombé…difficile de gérer la frustration.
Après le jeu on va se poser dans le coin jacuzzi. Et pendant que Arthur et Tanguy un peu plus loin se livrent à un concours de massage sur Claudia je m’approche de Natasha. Elle me regarde approcher d’un il distrait.
— Tiens c’est marrant la dernière fois qu’on s’est retrouvé dans un jacuzzi…commencé-je.
Mais je n’ai pas le temps de finir.
— Toutes sur Mehdi ! S’exclame Natasha.
Aussitôt, Alicia et Cassandre, encore dans le jeu, me saute dessus pour essayer de me noyer. Natasha me lance un sourire goguenard et en profite pour s’en aller vers Arthur. Elle m’a eu.
Pour cette fois.
Peu après on fait la queue dans l’escalier du toboggan géant. On va glisser par paire et je marche juste derrière Cassandre, plongé dans l’analyse de son fessier délicieusement imposant. Puis en arrivant en haut, alors que jusque là je comptais glisser avec l’eurasienne, j’aperçois Tanguy qui est limite collé à Claudia pour glisser avec elle. Au moment où ils s’apprêtent à s’engouffrer dans le conduit, il me prend l’envie de jouer un tour à mon rival. J’attend que Claudia s’assoie à l’entrée du tube puis je me glisse devant Tanguy et glisse avec elle. J’entend Tanguy pousser un juron alors que j’éclate de rire en pénétrant le conduit. Claudia est assise entre mes jambes et je place mes mains sur son ventre plat.
Le toboggan amorce une courbe et les courbes de Claudia remuent alors qu’elle pousse un cri strident. L’eau nous éclabousse de toute part et Claudia attrape mes mains. Sans faire exprès elle se serre contre moi en serrant mais main contre elle et je me retrouve avec ses nichons ronds, chauds et fermes dans les paumes. Je resserre les mains dans le dernier virage et ses seins débordent de son décolleté, me révélant la naissance d’un de ses tétons, petit, rose et saillant. Puis on arrive à la sortie et on est projetés dans l’eau. Je nage un peu pour m’éloigner de la sortie du toboggan et m’approche de Claudia qui est train de rajuster ses seins dans son maillot, les faisant rouler dans son décolleté sous les regards appréciateurs des spectateurs masculins du coin.
— Désolé je me suis un peu agrippé au mauvais endroit c’était pas volontaire, m’excusé-je.
— Tranquille, c’est moi qui a mis tes mains là. Bon c’est surtout à Tanguy que tu devrais présenter des excuses il aurait rêvé d’être à ta place je crois, rétorque-t-elle en riant.
Elle s’éloigne alors que dans mon dos Tanguy et Cassandre jaillissent du tunnel. Tanguy se dirige vers moi l’air énervé.
— J’allais glisser avec Claudia pourquoi tu m’as piqué la place ? M’apostrophe-t-il.
— Elle est pas à toi à ce que je sache, je répond en haussant les épaules.
— Ouais pour l’instant mais j’y travaille, dit-il en souriant.
— Tu rêves trop mon gars, affirmé-je.
— Ah tu crois ? On en reparlera quand je l’aurais mise dans mon lit, rétorque-t-il.
— J’attend de voir ça vantard, lancé-je avant de m’éloigner de ce bâtard prétentieux.
Vers 13h on décide d’aller dehors pour manger. On trouve un coin de pelouse avec un peu moins de monde à côté d’un petit bois. Arthur est assis contre un arbre avec son téléphone mais je ne le rejoins pas, me mettant sur une serviette pas loin de Cassandre et Claudia qui bronzent toutes les deux. Elles ont détachés le haut de leurs maillots et voir leurs dos nus et leurs gros culs bombés ne tardent pas à me filer une érection. Je m’allonge sur le ventre pour la cacher. Alicia vient s’asseoir en face de moi et on discute. Mais je ne tarde pas à être distrait par autre chose. Je fixe mon téléphone sur lesquels s’affichent quelque chose de très très intéressant. Ma sex friend m’a envoyé plusieurs photos d’elle nue ou en sous vêtements sexy dans sa salle de bain ou dans le miroir de sa chambre. Accompagné du message On se voit demain avant le voyage au Portugal ? J’ai grave envie de te sentir…Tiens pour patienter.
Moi qui me suit mis sur le ventre en attendant que mon érection se calme c’est pas gagné
— Mehdi tu m’écoutes ?
Je relève la tête vers Alicia. Qu’est ce que…bordel de merde.
La blonde est à quatre pattes devant moi (décidément je la vois de plus en plus dans cette position !) Ses bras resserrés autour de ses pare-chocs prodigieux. La vision de son décolleté est tout bonnement incroyablement érotique et mon érection repart de plus belle. Elle remarque mon long regard sur ses seins mais ne dit rien et n’a pas l’air de s’offusquer, continuant juste à me fixer impassible même si maintenant elle rougit. On reprend notre discussion mais j’ai du mal à rester concentré. Enfin si, concentré je le suis, mais moins sur la conversation que sur le contenu de son maillot rose bonbon.
J’entend Tanguy demander.
— Claudia, tu veux que je te mette de la crème solaire ?
— Non ça ira, y’en a pas trop là, répond cette dernière l’air distraite.
A ce moment un groupe de garçons, pour la majorité africains s’approchent de nous. Je reconnais plusieurs d’entre eux, ils vivent dans ma cité ou sont dans notre lycée. Je les salue un par un et ils s’approchent de Natasha (apparemment l’un d’eux la connaît) pour lui proposer de jouer au beach volley. Ils partent jouer mais quelques uns restent avec nous. L’un d’eux, s’accroupit à côté de Claudia. Je le reconnais, Jean-Baptiste, que tout le monde appelle JB. Métis, beau garçon, grand et aux muscles bien dessinés, il a un regard très profond grâce à ses yeux gris clairs. Il est au lycée avec nous.
— Claudia, comme on se retrouve…dit-il en s’asseyant à côté d’elle.
— Salut, ça va JB ? Répond-elle en se redressant un peu pour lui faire la bise, serrant son maillot contre elle vu qu’il est détaché. Elle porte des lunettes de soleil donc difficile de déterminer son expression. Par contre il n’est pas difficile de voir l’expression agacé de Tanguy qui regarde d’un mauvais il son nouveau rival.
— Ça va, ça va, t’es toujours aussi sublime dis moi, glisse-t-il en scannant Claudia du bout des orteils au sommet du crâne avec un regard lubrique.
— Ouais et toi toujours aussi beau parleur haha…mais je te retourne le compliment, rétorque-t-elle en souriant et en le matant de même.
— Oh mais je suis sincère. Il faut entretenir tout ça par contre, ça serait dommage de perdre ce corps…magnifique.
Les potes de JB debout derrière lui sont tous en train de mater Claudia sans vergogne, ses fesses parfaites et son dos cambré. Cassandre elle, écoute d’une oreille distraite ce que lui raconte le garçon à côté d’elle, toute occupée qu’elle est à mater Jean.
— Je fais du sport à la maison et je cours souvent, dit Claudia les yeux cachés derrière ses lunettes de soleil.
— Tu devrais t’inscrire à la salle avec nous, je m’occuperai bien de toi, déclare JB.
— Oula ! J’ai pas envie de devenir aussi gonflé que toi non plus, rit la jeune fille.
— C’est pas de la gonflette Clauclau, c’est du muscle, tu veux vérifier ?
— Ok…c’est vrai que ça a l’air dur.
Claudia tâte alors les pectoraux du métis sous le regard furieux de Tanguy. Elle s’attarde un peu dessus en caressant son ventre du bout des doigts puis pousse un petit sifflement.
— Je crois qu’il y’a autre chose de dur là ! Rigole nerveusement Cassandre.
Les regards se tournent vers l’entrejambe de JB qui s’orne d’une bosse de taille très honorable. Ce dernier ne se décontenance pas et s’assoit plus confortablement.
— Habitude il m’en faut plus pour en arriver là je vous rassure…mais là difficile de lutter avec ce que j’ai sous les yeux.
Claudia rougit, Tanguy aussi est rouge mais de colère, Cassandre a l’air totalement subjuguée pour ne pas dire affamée et quand je tourne la tête vers Alicia cette dernière a l’air super gênée et un peu choquée.
— Du coup je ferais mieux de rester un peu ici en attendant que ça parte pas vrai ? Les gars allez donc jouer avec les autres.
— Si c’est moi la cause ça risque pas de partir non ? Demande Claudia innocemment.
JB ne répond et se contente d’un clin d’oeil. Ses potes s’en vont sauf un qui continue d’essayer de parler à Cassandre. Tanguy veut reprendre le contrôle de la conversation mais au moment ou il ouvre la bouche pour parler JB le tacle.
— Tu va abîmer ta belle peau en restant comme ça Clauclau, je vais te mettre de la crème solaire.
— D’accord, répond-elle immédiatement.
Je remarque que JB contrairement à Tanguy tout à l’heure n’a pas posé de question, il a juste déclaré ce qu’il allait faire. Cette fois ci, le brun s’offusque.
— Mais tu m’as dis non à moi t’es sérieuse là ?? s’exclame Tanguy.
— C’est parce qu’il faut de grandes mains comme les miennes pour tout recouvrir, lui répond JB.
— Dis tout de suite que je suis grosse, glousse l’italo-portugaise.
— Non t’as juste était gâtée par la nature, tout ce qu’il faut là ou il faut.
JB se saisit du tube de crème solaire, le place devant son bassin comme un pénis et le fait gicler sur la peau dorée de Claudia en lâchant un clin d’oeil à Tanguy. La jeune fille étant allongée elle ne voit pas la simulation d’éjaculation qu’elle vient de subir.
— He ho je t’ai parlé Claudia ! s’emporte Tanguy.
— Oui ba j’ai entendu mais qu’est ce que tu veux que je te dises, fais pas l’enfant un peu, déclare Claudia en haussant les épaules.
— Ouais Tanguy fais pas l’enfant, renchérit JB en tirant d’un coup sec sur le maillot de Claudia pour le lui rentrer dans la raie des fesses, nous dévoilant une large portion de ses mappemondes rebondies.
Tanguy se lève et part vers les bassins. Cassandre qui semble en avoir marre du mec lourd qui la drague lance à Claudia et JB Bon je vous laisse un peu d’intimité ! et elle vient vers moi et Alicia.
— Mehdi, sois donc un gentleman et file moi ta place sur la serviette.
— Tu rêves, on peut se serrer à deux à la limite mais c’est tout, rétorqué-je à cette impudente.
— Ok.
Cassandre vient s’allonger, la tête posée sur mon ventre, ma main se retrouve sur son bras. Alicia fais alors une tête bizarre et s’éloigne de nous, partant voir Arthur. Je discute un moment avec Cassandre en lui massant le bras.
— Toi aussi t’es pas mal niveau musculature Mehdi…mais du coup tu fais pas un super coussin.
— Du coup je dois le prendre comme un compliment ou pas ?
L’eurasienne me répond par un sourire et avec sa main vient me toucher le ventre. Alors que je caressais jusqu’alors son bras, je glisse vers ses flancs puis remonte vers le haut de son ventre.
— Je te proposerai bien de me mettre de la crème mais j’en ai déjà, dit-elle l’air pensive.
— Le garçon de tout à l’heure aurait aimé t’en mettre je crois.
— Oh il aurait surtout aimé me recouvrir d’un autre type de crème à mon avis. Comme JB avec Claudia d’ailleurs haha.
Je remarque alors que la serviette de Claudia est vide. Pas de trace d’elle et JB.
— Ils sont où les deux là ? Demandé-je, intrigué.
— Ils se sont levés y’a quelques minutes pour aller discuter dans le bosquet là. Ou bien Claudia va goûter à sa crème faite maison hahaha, se marre Cassandre.
A ce moment Natasha appelle Cassandre pour lui proposer de jouer avec elle. Cassandre se lève donc. Il n’y a plus que moi et Alicia et Arthur discutant à une dizaine de mètres. Je remarque qu’Arthur tient Alicia entre ses jambes, je vois qu’il commence enfin à prendre confiance en lui je suis fier de mon gars là. Bon puisque je suis tout seul…autant découvrir ce que font Claudia et JB
Je me lève et me dirige entre les arbres. Ces derniers sont resserrés je ne vois donc pas très loin. Je me faufile entre deux buissons quand j’entend un bruit devant. J’aperçois une petite clairière. JB est adossé contre un arbre et Claudia est face à lui. Il a une main posée sur sa taille et l’autre sur sa hanche. Ce n’est pas elle qui est coincée dos à l’arbre donc ça m’étonne qu’elle se laisse toucher comme ça. JB a l’air sûr de lui. Les deux discutent.
Je n’entend pas ce qu’ils disent donc je me baisse et me rapproche doucement…en relevant les yeux je m’aperçois que je ne suis pas le seul à m’être rapproché…
Jean a attrapé Claudia par les hanches et est en train de l’embrasser fougueusement. Claudia se laisse faire puis passe ses bras autour du cou de JB. Le baiser se fait plus ardent et intense et une des mains du métis remonte le long du dos de la jeune fille, il palpe son corps mince mais pulpeux et attrape soudain un de ses seins ronds. Il se met à le malaxer sans délicatesse et Claudia pousse un gémissement.
JB échange d’un coup de position avec elle et elle se retrouve dos à l’arbre. Il la plaque contre, relève une de ses cuisses et vient plaquer son bassin contre le sien. Il lui embrasse ensuite le cou.
Claudia a les yeux à demi clos, levés en l’air.
Il continue à la dévorer en descendant vers son décolleté. De là ou je suis il me cache la vue de ses seins parfaits qu’il ne va sans doute pas tarder à sortir du maillot. Vu les gémissements de Claudia elle est plutôt du genre sensible. JB fais glisser sa main le long de la cuisse de l’italo-portugaise et atteint son entrejambe, qu’il tente de frotter à travers le maillot.
Soudain elle le repousse.
Elle respire fort et a l’air gênée alors qu’elle se recoiffe en rajustant son maillot, se redonnant une contenance.
— Tu veux me faire croire que t’en a pas envie Clauclau ? En plusieurs mois de relations tu m’avais même pas laisser aller jusque là. Tu vas pas rester vierge toute ta vie quand même, s’exclame JB.
— C’est sensé être fini entre nous, tu peux pas revenir comme ça et profiter de moi. C’était bien Baptiste, mais c’est du passé maintenant. Rétorque-t-elle d’une voix sérieuse.
Jean-Baptiste semble hésiter un instant puis il éclate de rire.
— T’as raison désolé ! Je deviens toujours trop entreprenant avec les jolies filles, tu m’as trop excité mais j’aurai du me contrôler.
— Pas grave t’inquiète, répond Claudia en souriant.
— Bon j’y vais, je te laisse te calmer t’es toute rouge haha, annonce JB en s’éloignant.
Claudia reste seule au milieu de la clairière en fixant un point invisible devant elle, l’air pensive.
— Et bien et bien, je m’attendais pas du tout à ça, dis-je en m’avançant vers elle avec un sourire goguenard.
Elle sursaute d’un coup puis pose sa main sur son cur en me fixant les yeux écarquillés.
— Putain Mehdi tu m’as fais peur t’es con…ah merde t’as…vu ? Oh mon dieu c’est tellement gênant, dit-elle en se cachant le visage avec les mains.
Bizarrement je n’arrive pas à savoir si c’est sincère ou si elle surjoue.
— Qu’est ce que vous racontiez à la fin là ? C’est ton ex ? Quand est ce que ?…
— Oui, pendant l’année de première quand on était dans la même classe mais on l’avait dit à personne parce que j’avais déjà assez de rumeurs chiantes sur moi. Et du coup on a jamais rien fait de…sexuels lui et moi et je crois que ça lui est resté en travers de la gorge, m’explique-t-elle.
— Du coup il voulait se rattraper c’est ça ? Je demande.
— Oui et…une minute pourquoi tu joues les voyeurs toi ?? S’interrompt-elle.
Je cherche une excuse mais je n’en trouve pas. Du coup j’affiche un grand sourire et hausse les épaules.
— Puisqu’on aborde le sujet, je peux te dire que je t’ai vu à la soirée d’Éléonore.
— Je vois pas de quoi tu parles, minaude-t-elle.
— Quand t’es rentré dans une penderie avec Hugo là. J’ai entendu des bruits assez chelou. Il s’est passé quoi là dedans au juste, demandé-je en la fixant jusqu’à ce qu’elle détourne le regard.
Ses grands yeux bleus reviennent vers moi et elle explique.
— Bon puisque tu sais déjà presque tout…il a insisté pour entrer dans la penderie avec moi pour me donner le déguisement et c’est tout.
— C’est pas ce que j’ai entendu, insinué-je.
— Ok ok il m’a…aidé à enlever ma robe et après ça il m’a embrassé, je l’ai repoussé bien sur. Au bout d’un moment, explique-t-elle.
— Aaahh mais il t’as fait un suçon ! C’est pour ça que tu cachais ton cou avec la petite cape, deviné-je.
Elle hoche la tête et tout devient clair, leur dialogue, son comportement
— Tu garderas ça pour toi hein ? Demande-t-elle en jouant avec une mèche de ses cheveux.
— Ouais t’inquiètes mais tu m’en dois une, réponds-je en souriant.
Elle soupire puis s’en va entre les arbres, je regarde ses fesses divines rouler dans son trikini noir.
De retour dans les bassins intérieurs on joue avec les tapis flottants, s’amusant à nous pousser les uns les autres pour monter dessus. Évidemment un grand nombre de mains baladeuses se perdent. Notamment avec l’arrivée du groupe de JB qui s’acharnent un peu sur Natacha et Claudia (qui est presque prise en sandwich entre JB et Tanguy). Surtout la première en fait, j’ai l’impression que leur match de volley les a rapproché. Du coup je traîne plutôt avec Cassandre que j’ai rarement vu aussi sympathique et enjouée, elle ne me lance quasiment pas de piques et le fait qu’elle soit assez tactile n’est pas pour me déplaire.
Finalement on laisse le groupe à JB pour quitter le parc, dans les douches il se passe un truc assez marquant. Comme je l’ai déjà dit ce sont des douches communes, du coup les fille se douchent avec nous, mais il y’a une différence de taille entre Claudia et Alicia d’un côté et Cassandre et Natasha de l’autre. Tandis que la blonde et la portugaise se douche pudiquement en nous tournant le dos quand elles passent leurs mains sous le maillot, je crois que l’eurasienne et la sportive brune s’amusent à nous chauffer, en se touchant exagérément les seins notamment. Ou comme le fait Natasha à se pencher en se cambrant pour se nettoyer les mollets tout en gardant les jambes tendues, pointant son petit cul ferme vers nous.
Et c’est là que Natasha en se relevant regarde derrière moi et écarquille les yeux. Elle s’approche des autres filles, leur murmure quelque chose et elles se tournent toutes vers nous. Je me retourne pour voir ce qu’elles regardent et…putain qu’est ce que ?
Quand on a pris notre douche au début je pensais qu’Arthur bandait déjà. En fait non il était au repos. Et visiblement là il bande. (Normal vu le spectacle que nous offre les filles) Mais ce qui me surprend totalement c’est la taille de la bosse sur son maillot. Il porte un maillot large mais pourtant on devine une longue protubérance comme s’il cachait une matraque dans son maillot. Je n’avais jamais remarqué qu’il en avait une si grosse ! Elle semble totalement dépareillée avec son corps fluet. Les filles continuent à le fixer et il rougit avant de partir vers les vestiaires, prétextant avoir fini sa douche.
Passé ce moment, Natasha m’adresse finalement la parole.
— He Mehdi tu peux me mettre du gel douche sur le dos, demande-t-elle en battant des cils.
— Ouais moi aussi tu seras gentil, ajoute Cassandre en se rinçant les cheveux.
Natasha me fixe avec un sourire moqueur. Elle m’a pris pour son toutou ou quoi ? Elle m’évite depuis tout à l’heure et revient comme une fleur. Tu veux jouer on va jouer ma grande
— Désolé Cassandre m’a demandé la première tout à l’heure, réponds-je à Natasha sans que la concernée n’entende et puisse donc nier. Je passe donc à côté de Natasha qui me regarde bouche bée et m’approche de Cassandre qui me sourit.
Cassandre se met dos à mois. Elle porte un une pièce mais qui laisse le dos à l’air libre. Je prend du gel douche dans mes mains avant de commencer à lui masser les épaules et les omoplates. Je jette un coup d’oeil à Natasha qui fait maintenant mine de m’ignorer.
— Dis donc Mehdi tu savais que Arthur avait…enfin tu vois ? Demande Cassandre sur un ton conspirateur.
— Il avait quoi ? Je réponds.
— Ben…on va pas parler chinois, il en a une grosse, une très grosse. Et on devinerait jamais ça en le voyant quoi.
Je descends sur le bas des côtes de l’eurasienne et je continue à la laver, puis je frotte sa colonne vertébrale en la grattouillant ce qui lui arrache un frisson.
— Non je l’avais jamais vu peu habillé ou en train de bander et je m’amuse pas à le regarder à cet endroit, je répond d’un ton neutre.
— C’est limite…impressionnant, marmonne-elle d’une petite voix.
Bon elle commence à m’agacer, je me retiens de lui dire qu’elle n’avait qu’à demander à Arthur de lui nettoyer le dos dans ce cas mais je me retiens.
Je descend les doigts sur ses reins et j’appuie un peu fort sur ses lombaires. Elle se cambre vers moi et mes mains glissent sous le tissu de son maillot dans la région juste au dessus de ses fesses. Je me tourne vers Natasha pour voir ce qu’elle fait et je m’aperçois que les autres sont partis dans les vestiaires, avec le bruit de l’eau qui coule je n’ai rien entendu. Il reste Natasha qui est en train de ramasser les tubes de shampoing en rougissant. Au regard méprisant qu’elle me lance avant de sortir je comprend sa rougeur. Putain je la comprend pas du tout…ah les femmes. (désolé mesdemoiselles les lectrices)
Je continue à masser plus qu’à laver Cassandre qui est déjà propre de toute manière.
— Hé mais attend, tout à l’heure t’as dis d’Arthur que ça se devinerait pas en le voyant ? c’est moi ou t’as charié mon pote ? (Et oui même avec une jolie fille entre les mains il faut pas oublier les frères)
— Non non mais…enfin tu m’as compris, en voyant un intello pas très grand et pas très musclé en s’attend pas à ce qu’il en ait une grosse. On s’y attend plus lorsqu’on voit des mecs comme JB ou…enfin bref, se rattrape-t-elle en rougissant.
— Ou…?
En disant ça je me colle à elle, sachant qu’elle était déjà toute cambrée je n’ai pas une grande distance à faire avant que mon pénis bandé ne vienne se caler entre ses fesses. Waw elle a vraiment un beau cul, rond et large comme je les aime. Un peu plus rebondi et il serait parfait.
Cassandre ne répond pas à ma question mais se tourne légèrement vers moi. Nos regards se croisent et l’espace d’un instant elle quitte son apparence de première de la classe arrogante. Mais au lieu de voir une fille timide et peu sûr d’elle comme je m’y attend je vois…une fille coquine au regard langoureux
Venez y’a personne ici ! Crie une voix derrière nous.
On se retourne en sursautant et en s’écarte rapidement alors qu’un groupe entre dans les douches. Cassandre se redonne contenance et quitte les douches alors que je la suit silencieusement. Si les autres savaient qu’elle n’est pas du tout la fille si sage qu’elle fait semblant d’être
Une fois arrivés aux vestiaires il y’a une queue monstre pour entrer dans les cabines. Une partie de nos amis a réussi à entrer dans les cabines mais Arthur, Claudia, Natasha et Cassandre attendent toujours. Claudia qui tape aux portes pour trouver des cabines vides en ouvre soudainement une et s’engouffre dedans suivie par Cassandre (il n’y a pas la place pour 3 filles)
— Désolé Nat, premières arrivées, premières servies, lui lance Claudia l’air désolé en refermant la porte alors que derrière elle je vois déjà l’eurasienne de dos retirer le haut de son maillot.
Un silence gêné et gênant s’installe entre Natasha et moi. Je m’approche des cabines et pousse les portes pour en trouver une et surprise !
La cabine à côté de celle des filles est libre. J’entre dedans tout content, parfait, je vais peut être pouvoir jeter des coups d’oeil dans la cabine d’à côté…avant de refermer la porte j’hésite toutefois. Je me retourne et vois qu’Arthur a disparu il a donc trouvé une cabine. Par contre Natasha est toute seule dehors au milieu d’inconnus et elle me fait de la peine.
Je lui fait un signe de la main.
— Natasha si tu veux venir y’a de la place pour deux.
Elle semble étonnée.
— Euh d’accord merci…c’est sympa, me dit-elle en entrant. A son passage sa chevelure brune mi longue me caresse le visage, le parfum de son shampoing me chatouillant les narines.
On se retrouve un peu à l’étroit, nos affaires récupérés dans un casier un peu plus tôt posées sur un banc étroit sur le côté. On se fixe un moment puis perturbé par ses yeux verts je lâche.
— Bon à quoi tu joues ?
Je me mord aussitôt la joue. Merde c’était pas très subtile ça.
— Toi à quoi tu joues ? C’était plutôt immature ce que t’as fait avec Cassandre. Répond-elle en souriant, moqueuse.
Rraaa elle m’énerve.
— Tu veux parler d’immaturité ? Tu m’évites depuis tout à l’heure et tu débarques de nulle part me demander un service. Je suis pas à ta disposition.
Elle ne répond pas puis s’adosse contre la paroi de la cabine. Je dois me concentrer pour ne pas baisser les yeux vers son corps délié.
— Bon j’avoue désolé. C’est juste que j’étais un peu…gênée après le dérapage de la dernière fois. Je savais pas trop comment réagir et tout à l’heure dans les douches c’était une tentative d’approche pour pas que tu crois que je t’évites ou un truc comme ça, explique-t-elle.
— Et ba c’est raté le dérapage tu dis ? Ah donc…tu veux rien ? Entre nous je veux dire, dis-je essayant de cacher ma déception.
— Justement je suis gênée parce que je sais pas trop. Tu me plais bien Mehdi mais…c’est compliqué. Je t’expliquerai en détails une autre fois si tu veux.
Ok, Donc là elle vient de me recaler non ?
— Je vois, mais je trouvais ça juste gênant qu’on ait pas parlé de ce qui s’est passé à la soirée, dis-je en changeant de sujet.
— Oh ça tu me connais je suis pas frigide ça m’arrive à chaque soirée, et là c’était rien, dit-elle en éclatant de son rire plein d’énergie si caractéristique.
Ok, En effet je me suis fait recalé.
Il y’a un instant de flottement puis Natasha demande.
— Bon tu veux que je me retourne pour que tu te changes ?
— Euh, c’est pas à moi de te demander ça ? Réponds-je en plissant les yeux.
— Moi je m’en fou je suis pas pudique. Dit-elle en commençant à se changer devant moi sans me laisser le temps de me retourner.
Elle retire son haut de maillot, dévoilant deux seins fermes, droits et ayant l’air de tenir dans la main. Ses tétons et ses aréoles sont petits et bruns clairs ce qui tranchent avec la couleur blanche de sa peau. Elle me regarde l’air de rien puis croise les bras.
Ok, elle aurait pas fait ça si elle m’avait recalé…si ?
Bon dieu de…je n’arrive plus à regarder autre chose que ses seins resserrés l’un contre l’autre et gonflé par la position de ses bras. Moi qui adore les seins ronds et rapprochés je suis comblé. Elle a la chair de poule, c’est vrai qu’il fait plutôt froid maintenant.
— Donc là tu vas me dire que t’es pas en train de me chauffer ?
— Ba si ça suffit à te chauffer c’est pas ma faute, je chauffe jamais les mecs moi, c’est eux qui font le premier pas s’ils comprennent les invitations.
Ok, maintenant je doute. Elle m’a recalé ou pas ? Peut être que…ou non peut être qu’en fait…oh et puis merde.
Je m’approche d’elle, l’attrape par la taille et l’approche de moi avant de l’embrasser. Elle passe ses bras autour de mon cou et je sens ses seins froids s’écraser contre mon torse chaud. Elle m’embrasse avec fougue et je lui rend son baiser. Mes mains descendent sur ses fesses musclées que je malaxe sous son maillot. J’adore son cul, je met une petite claque dessus et il produit un son très excitant. Elle recule un peu et tout en m’embrassant elle attrape mon sexe déjà bandé contre son ventre et le sort de mon maillot pour le branler énergiquement.
Soudain elle me mord la lèvre assez fort. J’écarquille les yeux en reculant, on ne m’a jamais fait ça. Elle me regarde avec un sourire coquin alors que je sens le goût de mon propre sang dans ma bouche. Je grogne et l’attrape par les cuisses, elle comprend tout de suite et saute sur moi en croisant les jambes au dessus de mes fesses. On recommence à s’embrasser et je la plaque violemment contre la paroi en bois pour lui rendre la monnaie de sa pièce, elle pousse un petit cri étouffé dans ma bouche. J’ai fait un boucan monstre et si quelqu’un est dans la cabine d’à côté il comprendra rapidement ce qu’il se passe.
Natasha gémit encore et commence à frotter son bassin contre mon sexe tout en m’attrapant les fesses, mon maillot étant baissé sur mes cuisses. J’en fait de même, en la coinçant entre la paroi et ma queue. Je simule des vas et vient pour l’exciter et la seule chose qui me sépare de son intimité c’est son bas de maillot noir que j’ai maté tout l’après midi.
Soudain je la sens planter ses ongles dans mes fesses et je pousse un petit glapissement alors qu’elle rigole en me lançant un regard intense de ses yeux émeraudes. J’attrape alors son sein droit et le malaxe sans délicatesse, elle se frotte contre moi avec plus d’ardeur alors que je tire sur son téton. Finalement, fatigué de la porter, je me retourne et la pose sur le petit banc.
— Ah…on aura…pas le temps, dit-elle essoufflée entre deux baisers.
— J’ai le temps pour ce que je vais te faire, je répond en me mettant à genoux devant elle.
Je prend son sein droit en bouche, l’embrassant, suçant son téton tout en agaçant son sein gauche avec mon autre main. Puis je descend, j’embrasse son ventre plat et lève les yeux vers elle. Elle respire fort et me lance un regard brûlant d’envie en me caressant les cheveux des mains. Je fais glisser ma langue vers son bras ventre et elle tire les ficelles sur les côtés de son maillot ce qui le fait tomber. Je prend un peu de recul, on se regarde, puis elle me sourit en écartant les cuisses.
Elle me présente son sexe qui m’attire irrésistiblement, il est complètement rasé et je vois sa mouille qui a commencé à couler sur le banc. Je m’en approche en caressant l’intérieur de ses cuisses de mes doigts et elle frémit lorsque mes mains se rejoignent sur ses lèvres. Après avoir un peu massé ses lèvres pour les écarter j’approche ma bouche de son abricot et je laisse mon souffle chaud lui caresser cette partie si sensible.
Je fini par écarter totalement ses lèvres et je la lèche, de l’intérieur des lèvres en remontant sur son clito, sa cyprine a un goût plutôt agréable et je m’en délecte en envoyant ma langue laper les moindre recoins de son sexe.
Natasha resserre les cuisses autour de ma tête en gémissant tout en s’agrippant plus fort à mes cheveux. Je fais tourner ma langue autour de son clito mes mains caressant ses fines hanches alors que ses cuisses fuselés sont posés sur mes épaules. Je retourne glisser ma langue entre ses lèvres tout en agaçant son clitoris avec mon pouce.
A ce moment quelqu’un toque à la porte pour vérifier si la cabine est vide mais on l’ignore. Ma position étant gênante je pose un pied par terre et garde l’autre jambe pliée ce qui me redresse un peu, tout en redressant les cuisses de Natasha qui bascule un peu arrière, elle est sur le point de glisser du petit banc mais je pose une main sous ses fesses pour l’en empêcher.
Tout en continuant mon cunni j’enfonce le majeur de ma main libre dans son vagin, elle n’est pas très serré (je vois que du monde est passé par là) mais elle mouille abondamment. Je caresse l’intérieur de son intimité en raclant le bord extérieur dans la zone de son bouton d’amour, qui se retrouve titillé de l’intérieur par mon doigt et sucé à l’extérieur par ma bouche. L’ukrainienne pousse un petit cri puis pose un pied par terre pour que je n’ai plus besoin de la tenir, puis elle pose l’autre pied sur le banc, elle est presque en grand écart et elle s’empare de ma main nouvellement libre pour la poser sur ses seins que je masse d’abord doucement puis voyant qu’elle serre ma main avec la sienne je comprends qu’elle veut que je les malaxe avec plus de force en continuant mon oeuvre en bas.
— Ah…oui continues putain c’est bon…halète-t-elle.
A ce moment quelqu’un toque à la porte extrêmement fort, avec le poing. Je tourne la tête vers la porte, la mouille de Natasha recouvrant encore ma bouche et mon menton.
— On s’en fout Mehdi bouffes moi la chatte là ! S’exclame-t-elle.
Je ne me fais pas prier et repart à l’attaque. Soudain Natasha pousse un petit cri et a un spasme, elle ne va pas tarder à jouir. Elle se plie en deux et en reculant je me retrouve la tête entre ses seins que je suce avec empressement avant de reprendre mon cunni. La belle brune me griffe le dos laissant des sillons brûlants qui me font gémir à mon tour. Et le concert de gémissement ne semble pas prêt de s’arrêter vu les petits cris qu’elle pousse.
Au final elle repose ses cuisses sur mes épaules et je décide de la finir de manière originale, je la soulève d’un coup, la faisant pousser un petit cri de surprise et je la lève en la faisant glisser contre le mur en bois, je me retrouve debout avec Natasha sur mes épaules, mes mains et mes épaules soutenant ses cuisses et ses fesses et ma tête entre ses jambes, sa tête à elle dépasse le haut de la cabine et si des gens s’amusent à regarder par dessus la leur ils pourront voir son visage exalté et ses yeux révulsés de plaisir.
Cette position n’est pas pratique au long terme mais elle est légère et surtout elle n’en a plus pour longtemps. Je fini par alterner rapidement entre les moments ou je dévore son puits d’amour et ceux ou je suçote son clitoris, au moment ou je commence à mordiller ce dernier Natasha contracte ses abdos et ses cuisses et est prise de convulsions, elle pousse un cri en mettant la main sur bouche alors que sa mouille m’éclabousse la bouche.
Une fois son orgasme terminé je la refait glisser le long de la paroi pour la poser sur le banc, elle est essoufflé mais a le regard brillant. Je me relève, un peu courbaturé, sa cyprine coulant sur mon torse et mon chibre pendant entre mes cuisse face à son visage. Elle louche dessus en humectant ses lèvres (celles de sa bouche cette fois hein) mais à ce moment on entend une voix se plaindre à l’extérieur puis une autre voix nous dire de sortir.
Fais chier ! Lâché-je.
Je tourne les yeux vers Natasha qui commence à me branler avec un regard borné, je reprend vite de la vigueur. Mais quelqu’un toque à la porte.
Pas la porte par lequel on est entrés mais l’autre. (Comme dans les piscines il y’a deux portes dans les cabines celle menant aux casiers et aux bassins et celle menant au couloir vers la sortie ou l’on est habillé).
— Oui on sort ! Crié-je à la personne qui toque, sans doute un employé du parc, puis plus bas je soupire, putain dommage on aura pas eu le temps
— Désolé, en tout cas j’ai pris mon pied c’était super, me dit-elle l’air désolé en enfilant son soutien gorge puis son tee shirt.
— Pas grave on finira une autre fois, je répond.
— Euh…on verra, rétorque-t-elle d’une voix hésitante.
Puis en voyant mon regard suspicieux, elle attrape ma queue et dépose un baiser sur le gland. On se rhabille vite sans rien dire mais j’ai compris le message, c’était un dérapage et il n’y aura peut être pas de prochaine fois. Bon je vais pas faire le connard en disant qu’elle en a plus profité que moi au final (depuis quand une branlette vaut un cunni ?) mais quand même je reste sur ma faim. Puis on rejoint les autres et on rentre.
Fin.
***
Je plaisante.
— Et du coup ça s’est fini comme ça et j’arrive pas trop à la comprendre, expliqué-je à mon interlocutrice.
— Oh tu sais, même moi en étant sa pote je la comprend pas toujours alors…Me répond la jeune femme.
On est en train de marcher près de notre quartier, après la journée d’hier au parc aquatique pas de sortie de groupe, j’en profite pour voir quelqu’un en cette fin d’après midi. Le ciel est nuageux et il n’y a pas beaucoup de vent, l’air est donc lourd surtout avec le soleil qui réchauffe agréablement la peau. On s’arrête dans une rue vide, une barrière nous sépare et elle se penche vers moi par dessus posant les seins et les bras sur le métal pour me parler. J’essaye de me concentrer pour l’écouter sans regarder son décolleté. Dieu quel paire de loches ! Ils dépassent de loin ceux de Natasha. Elle porte un jean déchiré,