Bonjour, je m’appelle Antoine, j’ai 21 ans.
Je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivée il y a peu de temps.
Je suis un joueur invétéré, je fréquente le casino de ma ville qui est une ville balnéaire.
Je suis un habitué de ce casino, tout le monde me connait. J’ai dépensé des fortunes. Mais comme on me connait et que l’on croit que mon père est riche, alors on me fait crédit. Mais mon vice est terrible et je suis arrivé un débit de près de 50 000 euros.
Le patron m’a alors demandé de rembourser. Sauf que cet argent, je ne l’ai pas. Comment rembourser une telle somme.
Mes parents sont aisés mais je ne peux pas leur demander une telle somme. Alors je n’y suis plus retourné, j’ai fait le mort.
Jusqu’à cet après midi où je me trouvais seul avec ma mère chez nous. Mon père était au boulot.
On sonne à la porte, ma mère va ouvrir. Je n’ai pas prêté attention mais ma mère est venue, toute guillerette, en me disant qu’il y avait des amis pour moi. Deux personnes lui emboitaient le pas, le directeur du casino, un homme d’une quarantaine d’années bien sur lui, qui m’a tant prêté d’argent. Le deuxième homme était un homme de main, baraqué.
Le directeur était tout aimable et souriant. Ma mère est allée dans la cuisine en nous laissant dans le séjour. Ils se sont assis sur le canapé. Je me suis assis aussi, j’étais tétanisé.
"Alors ça va Antoine ? ça fait longtemps que l’on ne t’a pas vu."
J’ai balbutié quelques mots, je ne voulais pas que ma mère entende.
Il a continué à parler comme si nous étions des amis mais je voyais qu’il regardait fréquemment vers la cuisine et je constatais bien qu’il regardait les fesses de ma mère, qui était de dos par rapport à nous.
Elle n’était pas spécialement à son avantage, elle portait un pantalon noir qui ne la moulait pas spécialement et un pull blanc.
Je pense que lorsque ma mère leur a ouvert, il avait dû remarquer sa poitrine opulente et ses fesses certes un peu empattées mais encore très correctes.
Ma mère a 54 ans. Elle est blonde, les cheveux courts et les yeux bleus. C’est une bonne mère de famille.
Il a continué comme ça à la regarder de manière que j’ai trouvée salace.
A un moment, au bout de 10 minutes de discussion fantaisiste, il m’a demandé de les raccompagner à la porte, ce que j’ai fait.
Ils ont dit au revoir à ma mère qui leur a répondu très agréablement.
Une fois dehors, le directeur m’a dit :
"Ecoute Antoine, tu as deux solutions : soit tu me rapportes les 50000 euros d’ici trois jours, soit tu fais en sorte que ta mère tourne un petit film pour moi. Tu sais que je produis des films ?
Je ne comprenais pas, je commençais à avoir le tournis.
"Comment ça ?" lui dis-je
Ils se sont regardés et ont commencé à sourire :
"Ben oui, un film où elle aura le rôle principal en plus"
Et d’un coup il n’a plus souri et m’a dit :
"Ecoute petit con, tu me dois un paquet de fric, donc soit tu rembourses, soit tu fais en sorte que ta mère tourne un porno pour moi."
J’étais désespéré, je balbutiais..
Il a enchainé "soit c’est toi qui lui expliques à ta façon soit c’est moi qui m’en occupe maintenant"
J’ai tout de suis dit : ’non ça va je vais m’en occuper"
"’Très bien Antoine. Donc, d’ici trois jours, soit 50.000 euros, soit ta mère m’appelle et on s’organise, ok ?
Et il sont repartis après que son gorille m’a mis une petite claque à la figure.
Je suis rentré à la maison, ma mère m’a dit : "ils ont l’air sympas tes amis" tout en vaquant à ses occupations
J’ai passé la soirée à ruminer, la nuit aussi. Le lendemain matin, après que mon père soit parti, j’ai parlé à ma mère.
J’ai raconté toute mon histoire et le chantage fait par le directeur du casino. Ma mère s’est tout de suite mise à pleurer. Elle était effondrée. Elle est partie dans sa chambre. Environ deux après, elle est ressortie, et m’a dit :
"Ecoute Antoine, on ne va pas en parler à ton père, on va régler ça tous les deux, donne moi son numéro"
Ma mère a pris le téléphone fixe, a mis le haut parleur et a téléphoné au directeur.
"Bonjour Monsieur, je suis Monique Latour, la maman d’Antoine".
"Ah bonjour Madame Latour, si vous m’appelez c’est que vous voulez devenir célèbre" tout en riant.
"Non pas spécialement, mais je ferai ce qu’il y a faire pour sortir mon fils de cette situation."
"Très bien vous êtes une bonne maman. Bon voilà, vous allez venir demain 15 h à mon bureau au casino, on va évaluer un peu ce que l’on peut faire avec vous. Vous venez apprêtée et équipée"
"Comment ça ? Apprêtée, je vois mais équipée ?.. En même temps elle me regardait, interrogative.
"Alors, ça veut dire maquillée, ongles des mains et pieds vernis. Et vous viendrez en jupe ou en robe, avec bas, porte-jaretelles et escarpins, vous avez certainement ça".
En me regardant, l’air gêné, elle répondit "oui j’ai ça"
"Eh ben très bien à demain Madame Latour, et venez avec Antoine", dit il en riant.
Ma mère n’a plus rien dit de la journée.
Le lendemain, elle est restée une bonne partie de la matinée dans la salle de bains.
Vers midi, elle a fait à manger. Elle était en peignoir de bain, pas encore habillée.
Après le déjeuner, elle est partie s’habiller. Quand elle est sortie, elle portait une jupe noire moulante qui lui montait au dessus du genou, un chemisier noir, des bas noirs (je supposais en fait que c’était des bas car je ne pouvais pas le voir) et des escarpins noirs. Elle était maquillée, elle était très belle. Ils avaient voir la différence par rapport à la dernière fois.
J’ai pris le volant. Je la sentais stressée à côté de moi.
Nous avons été conduits au bureau du directeur qui nous a reçus tout sourire.
"’Asseyez vous, vous êtes ravissante", dit il à ma mère.
En fait je vous ai fait venir pour savoir un petit peu quel rôle on peut vous faire jouer et quelles sont les pratiques que vous êtes prêtes à faire. Sachant que plus vous serez "ouverte", plus le remboursement sera rapide."
Ma mère écoutait, ne disait rien.
"Bon alors madame Latour, je suppose que vous faites des fellations ?
"Oui"
’Très bien, c’est un début, vous acceptez aussi le cunilungus et l’anulingus ?
"oui"
"Accepteriez vous un partenaire black ?
Elle m’a regardé, gênée : "oui"
"Et une bonne sodomie Madame Latour ?"
Je ne savais plus où me mettre. Ma mère restait digne.
’"Oui"
"Très bien tout ça, Et….. deux… ou trois hommes ?….
"Je ferai ce que j’ai à faire".
"Parfait. Et… petite touche finale, mais c’est accessoire, vous faire insulter, cracher au visage, et bien sûr vous faire éjaculer sur le visage ou dans la bouche ?
Elle restait droite "oui"
Le directeur se tourna vers moi : "Alors là, ta mère est géniale, j’espère que tu sauras la remercier."
Il appela quelqu’un à l’interphone, un certain Julio.
C’est un homme de 30 environ qui entra. Le directeur nous a présentés. Il m’a d’abord serré la main et ensuite celle de ma mère. Il s’est attardé.
"Madame Latour c’est ça ?"
Julio se tourna vers le directeur : "elle va être géniale, en plus elle a une bonne gueule de salope"
Julio à fait lever ma mère, l’a fait tourner sur elle même tout en la reluquant de la tête au pieds.
Il a dégrafé son chemisier, lui a enlevé. Il était absorbé par ses seins.
’T’as vu Michel cette paire de meules ??? Sans déc, tu vas me donner le rôle pour que je puisse la baiser."
Michel le directeur, riait : "Peut être Julio, je ne sais pas encore. Mais si tu y tiens, je te ferai peut être plaisir"
Julio s’adressa à ma mère : "penche toi sur le bureau, regarde michel"
Ma mère obtempéra. Julio se mit derrière et a relevé doucement la jupe de ma mère jusqu’en haut des fesses. On voyait ses jambes couverts de bas, son string noir.
Julio lui donna quelques bonnes claques sur les fesses. Il lui écarta ensuite le string et s’exclama "quel trou du cul magnifique !!"
Ensuite Julio la releva et la fit s’assoir sur le bureau, en lui faisant écarter les jambes. Il lui écarta encore le string par devant cette fois.
’Putain elle a la chatte complètement épilée cette chienne !!
Michel rigolait mais a contourné son bureau pour venir voir.
’Tu as vu Antoine c’est une coquine ta mère"
Michel le directeur a dit ensuite :
"Bon Julio c’est fini, tu en as assez pour cette fois, tu valides ?
"Putain bien sûr que je valide et plutôt deux fois qu’une !!" repondit Julio
"Bon très bien. Madame Latour, je réflechis au scénario. Je vous tiens au courant. Je pense que cela pourra se faire d’ici une semaine."
Julio dit "Et j’espère que ce sera moi l’acteur masculin principal"
Ma mère ne disait rien, elle s’était rhabillée. Elle demanda : "Après ce film, on sera quitte ?
Michel reprit :"Madame Latour, ça va dépendre, 50000 euros, c’est une somme. Allez rentrez chez vous maintenant, je vous appellerai.
Avant de partir, Julio pris le menton de ma mère et lui roula une grosse gamelle. Il lui dit : "A très bientôt ma belle"
Bientôt la suite, peut-être…
