C’était l’une de ces magnifiques journées de la fin du printemps, début de l’été. Il faisait environ 24C, le genre de température que nous n’avons pas souvent dans lest a cette période de lannée, jétais en vacance chez ma grand mère et je mennuyais ferme. Je devais donc trouver quelque chose à faire pour passer le temps.
J’ai donc décidé d’aller me promener le long de la rivière, il y a un lieu peu fréquenté avec de belle pièces deau formées par les virages du cour deau. C’est un coin isolé et avec de grands peupliers et des buissons, un bel endroit pas très loin de chez ma grand mère. Au moins, me disais-je, j’allais me retrouver dans un endroit tranquille pour lire un peu et me bronzer.
Jai rempli mon sac à dos avec une serviette de bain de la crème a bronzer deux barres chocolatés, un bouquin, un gourde deau fraiche et je suis parti.
Je me suis vite retrouvé marchant en bordure de la rivière. Il faisait chaud et j’ai donc retiré mon polo. Je ne sais pourquoi, je me suis mis à penser a mon cousin et au vacance lorsque javais quatorze ans, mon sexe qui était déjà gonflée se durcit un peu plus encore, et poussait désespérément au travers de mon short en jeans.
Les légers flots semblaient tellement invitant, jai donc décidé de me baigner, ça ne ferait pas de mal, et la température de l’eau me rafraîchirait les idées !
D’un autre côté, n’ayant pas mon maillot, j’allais devoir me baigner nu, et ce fut assez pour m’exciter. Je ne m’étais jamais baigné nu avant, et cette nouvelle sensation semi-érotique de mes parties flottant librement dans l’eau m’a vite transporté dans un fantasme masturbation des plus profond. Je devais me trouver un petit coin à l’écart, ainsi, je pourrais prendre tout mon temps pour me satisfaire.
Non loin d’où j’étais, il y avait une petit plan deau crée par un coude de la rivière, cétait assez profond et entouré de larges feuillages de fougères. J’allais pouvoir rester complètement nu et personne ne me verrait. Je m’y suis donc rendu au bord du plan deau, là jai ôté mes basquettes, puis j’ai ensuite tout doucement enlevé mon short et mon slip.
La sensation était des plus plaisante – totalement nu, une petite brise jouant avec mes poils pubiens et glissant autour de mon sexe qui se tenait maintenant bien droit. Je me suis doucement avancé dans leau, elle était plus chaude que je ne le croyais.
Aussitôt ma queue sous l’eau, je sentais plus que jamais l’urgence de venir. La sensation que me donnait l’eau fraîche autour de ma queue bandée et chaude sera une sensation que je n’oublierai jamais – je me sentais tout à coup complètement libre, totalement libéré de tout vêtement, j’en devenais presque fou. Je me sentais un homme plus que jamais, dans tous les sens du terme…
J’ai nagé un peu plus loin, dans la rivière, pour me confirmer que j’étais vraiment seul sur en bordure de cette dernière. J’étais seul, et libre de faire ce que bon me semblait. J’ai nagé pour revenir sur la berge puis jai sorti mon drap de bain du sac a dos et la crème a bronzer, puis je me suis allongé sur le drap de bain, et j’ai commencé à me masturber. Je ne pouvais m’en empêcher, cette sensation de liberté mexcitait plus que je ne l’avais jamais été.
J’étais sur le point de jouir quand j’ai soudainement entendu du bruit dans les feuillages. Jai alors sauté à leau et je suis mis vite à nager pour méloigner loin du bord, espérant que quiconque venait n’allait pas voir que je nageais complètement nu, ou encore voir mon érection qui s’étendait fièrement en dessous de l’eau.
Un homme sortit de derrière les arbres, et il vit rapidement mon amas de vêtements qui reposait sur un billot de bois non loin de là. Il me sourit.
On dirait que tu as déjà pris la place, dit-il.
Mon excitation tombait, j’avais du mal à garder un air naturel et à continuer a nager, toute la misère du monde me tombait sur la tête je me demandais si il allait partir.
L’eau est chaude, me demanda til ?
A cette demande de nai pas répondu.
Ça te dérange si je me joins à toi? Me demandait-il en défaisant les boucles de ses espadrilles.
J’étais là, clignant des yeux, mais j’ai finalement trouvé le courage de répondre:
Non!
Le gars enlevait maintenant son short..
Au fait, moi c’est Paul, on est voisin. Je t’ai déjà vu à l’arrière de la maison chez ta grand mère passant dans la rue. J’habite dans la maison jaune, à l’extrémité de la rue.
N’ayant jamais rencontré d’autres personnes que nos voisins immédiats, je ne pouvais faire autrement que de faire un signe de la tête. Le short de Paul reposait maintenant sur ses chevilles et son slip blanc le suivait. Il était dos à moi, et la première chose que j’ai vue, c’est sa forêt de poils, il en avait même sur les épaules, on aurait dit un ours éclairé par les rayons de soleil qui perçaient.
Paul s’est ensuite retourné, me donnant l’opportunité de voir son corps. Il était mince, pas vraiment musclé. En fait, nos proportions étaient très similaires. Son torse était d’un blanc, tout comme le mien, avec deux beaux tétons déjà durcis par la douce brise qui les caressait. Une forêt de poils poils fins s’étendaient entre ses deux pectoraux. J’étais jaloux de son beau torse.
Mes yeux se promenaient de haut en bas, suivant les lignes masculines de son corps sans même réaliser ce que je faisais. Le poil au-dessus de sa verge formait une touffe fine, impeccablement taillés autour de la base de celle-ci. Et puis son sexe! Il était au moins aussi gros que le mien, et presque bandé. Contrairement au reste de son corps, son gland décalotté était d’une teinte presque violacée.
Je n’en croyais pas mes yeux. C’était mon fantasme qui devenait réalité. J’ai à peine pu faire un signe d’acceptation de la tête qu’il sautait déjà dans l’eau, et il sest mis a nager dans ma direction. Il me dis je viens souvent ici, jaime car il ny a jamais personne. Nous avons nager un bon moment ensemble sous leau et en dehors, javais du mal à retenir mon excitation lorsquil me frôlait je pense quil sest rendu compte de mon émoi.
Paul s’est ensuite rapproché, et il ma murmuré viens on va se bronzer un peu, il ma pris par la main et nous sommes sortis de leau. Il se tenait à quelques centimètres de moi, après quelques secondes il a allongé le bras pour effleurer mon visage, ce qui brisa la glace entre nous. Puis il me pris l’arrière de la tête et m’attirait vers lui jusqu’à ce que nos lèvres se touchent. Il m’embrassait voluptueusement sur tout le visage. Mon sexe se frottait à ses cuisses, et de son autre main, il le saisi avec fermeté alors que mes mains découvraient son torse sublime. Nous nous sommes laissés tomber à genoux sur les draps de bain, Paul explorait avec ses mains mon dos, son corps en entier était pressé contre le mien: nos visages, nos torses, nos sexes, nos jambes. Il me semblais que nous ne faisions qu’un, nos corps s’imprégnant l’un dans l’autre. Puis nous nous somme allongés, mes pieds reposant toujours dans l’eau. Paul s’est ensuite penché et a engouffré mon sexe jusqu’au fond de sa gorge. Il suçait tellement fort que j’aurais pensé que ma verge s’en détacherait et serait aspirée par sa bouche. Je jouissais comme jamais, explosant dans bouche, je ne voulais pas faire cesser cette sensation. Paul continuait de me sucer jusqu’à ce que plus rien ne sorte de ma queue. Le temps qu’il reprenne son souffle, ma queue s’était de nouveau raidie et en redemandait encore!
Il sest ensuite levé pour menjamber et se placer au dessus de ma verge il déroule le préservatif et me branle pendant vingt à trente secondes, pour bien le placer. Puis se mettant sur moi, il sempale dessus très progressivement, il sy reprend a plusieurs fois il joue avec, mais après plusieurs tentative mon sexe senfonce tout au fond de son anus. Je me prends au jeu et commence à la pilonner de par en dessous. Il mouille comme pas possible ça dégouline sur mes cuisses Alors que j’enfilais mon gland encore dégoulinant de sève dans son beau cul poilu, Paul me faisait face le visage déformé par la jouissance, les lèvres pincées les yeux a demi clôt il râlait doucement. Moi j’agonisais, je jouissais, j’étais dans un état d’extase totale. J’ai saisi son sexe à demi éveillé, que je désirais tellement depuis tout à l’heure, mais je narrivais pas à le masturber, je m’approchais de ma seconde jouissance, néanmoins j’accélérai la cadence de mes mouvements et de ma main sur sa queue.
Il faisait durer le plaisir cependant. Une fois sorti de son cul, je l’ai retourné et j’ai avalé son membre bien droit, tout comme il me l’avait fait quelques minutes plus tôt. Ses mains me jouaient dans les cheveux alors que je savourais chaque spasme de sa verge entre mes lèvres, nous étions l’un par-dessus l’autre, nos salives, nos spermes, formant un drôle de mélange aux effets aphrodisiaques dans cette passion entre adolescent et adulte. Alors que nous étions étendus sur lherbe après toute cette gymnastique, nos bras entourant le corps de l’autre, nos bouches à quelques centimètres, nous nous embrassions sans s’en lasser. Je sentais que ce fantasme que je venais de réaliser à dix sept ans en baisant avec un autre gars allait me poursuivre toute ma vie. Je suis venu plusieurs fois pendant ces vacances, mais je nai revu Paul que deux fois, mais chaque rencontre je lai aimé avec fougue et passion, comme si cétait la dernière fois. Nous avons longuement parler ensemble il ma avoué quil était marié et quil le regrettait, mais il avais des enfants et il était croyant et pour lui le divorce était interdit. Il ma dit tu est jeune si tu aime les hommes ne fait pas la même erreur que moi.