Je m’appelle Nadia, d’origine maghrébine, grande, cheveux bruns mi-longs, mince, 90b, et je plais beaucoup.
Avec mon mari, Patrick, nous formons un couple très libertin et nous avons vécu pas mal d’aventures très agréables.
Je vais vous raconter l’expérience qu’il m’a fait vivre lorsque j’avais 35 ans, il y a quelques années déjà.
Mon mari a eu un fantasme : m’offrir au plombier qui devait intervenir chez nous.
Il avait vu que je ne laissais pas celui-ci indifférent lorsqu’il était venu inspecter notre installation sanitaire, et avait donc eu une idée.
Alors que l’ouvrier devait venir commencer l’intervention le lendemain, mon mari a décidé que je l’accueillerais en nuisette noire transparente, seins nus dessous, et avec juste un string-ficelle, en hauts talons.
Je devrais prétexter, pour l’accueillir en cette tenue, une "panne de réveil".
Je trouvai que cela était trop "brutal" que la tenue faisait un peu "hard" et que ça allait lui donner de sérieuses idées !
Ce à quoi mon mari m’indiqua que c’était justement le but !!
Au coucher, nous avons eu l’occasion d’en reparler, mais mon mari est resté inflexible sur les conditions.
Inutile de vous dire que je n’ai pas beaucoup dormi de la nuit !
Le plombier avait à peu près 45 ans, brun, encore assez bel homme, et devait arriver pour 9 heures.
Le réveil sonne. 7 heures.
Nous nous sommes levés, j’ai pris ma douche, nous avons aéré la chambre, refait le lit.
De retour dans la chambre pour "m’habiller", je prend un soutien gorge noir et une culotte en dentelle de la même couleur.
Mon mari intervînt aussitôt et me retire les sous-vêtements des mains.
— Non, non, non, non, non !!
Il prend la nuisette transparente noire et un string ficelle de la même couleur.
-Enfiles ça !
— MaisJe ne peux pas lui ouvrir en cette tenue !
— Tu fais ce que je te dis.
J’obéis.
Ainsi habillée, j’étais pratiquement nue : seins nus et fesses à l’air.
Devant, un minuscule timbre poste tentait de cacher mon intimité.
— Eh bien ! Te voilà prête on dirait !
Je rougis.
— Quand il va te voir en cette tenue, je peux te dire qu’il ne va pas mettre longtemps à s’occuper de toi !
— Maisje ne veux pas coucher avec lui
— Tu vas voir, tu vas en redemander !
Nous prîmes le petit-déjeuner et le temps passa vite.
8h 45.
— Ne t’inquiètes pas, Nadia, il va bientôt arriver ma petite cochonne !
— Quand il sera entré, propose lui un café. Pendant que tu lui prépareras, il aura tout le temps de te mater.
Le quart d’heure passe très vite.
La camionnette se gare devant chez nous.
— Le voilà ! Enfile vite tes hauts talons rouges.
— Il arrive, je file.
Mon mari part se cacher au rez-de-chaussée.
Il sort du fourgon, chercha sa caisse à outils.
Il arrive à la porte-fenêtre de la cuisine, frappe au carreau.
— J’arrive monsieur !
J’ouvre la porte fenêtre.
La tête du plombier !!!
— Excusez-moi de vous recevoir en cette tenue, j’avais complètement zappé le rendez-vous et j’étais encore couchée !
Je referme.
— Asseyez-vous, je vais vous préparer un café.
Il s’assied, pose ses outils, tandis que je prépare la cafetière, le filtre
Face à l’évier, je sais le spectacle que je lui offre : mes fesses nues.
Je n’ose me retourner pour ne pas lui offrir la vue de ma poitrine.
Je verse le café dans le filtre.
— Tu sais que t’as un joli petit cul, toi ??
La phrase me tétanise.
Il me tutoie, et m’envoie une réflexion salace.
Je ne réponds pas.
— T’es une chaude, toi, ça se voit
Le café est prêt.
Je suis bien obligée de me retourner pour le servir.
— Monsieur, je vous en prie, je suis une femme mariée
— Femme mariée, mais qui se présente devant son plombier dans une tenue à réveiller un mort !!!
— T’es surtout une bonne salope, oui !!
Je retourne à l’évier, faisant semblant de laver quelque chose.
Il a fini son café, je le sens se lever et venir vers moi.
Soudain, il m’enlace avec son bras gauche et m’embrasse dans le cou.
— Mais vous êtes fou ! Je vous en prie !!
— Tais-toi donc, et laisse toi faire !
Sa voix est plus ferme, le ton plus direct.
Il commence à me caresser le ventre, puis les seins.
Je résiste, le repousse.
— Laisse-toi faire, Bon Dieu !!!
Ses mains caressent mes fesses
— Mais laissez-moi
— Je vous en prie
Il continue, m’embrasse dans le cou Cherche ma bouche Je me détourne
— Tu sais que tu commences à m’exciter sérieusement, toi ??
Il continue ses caresses, partout.
Tout à coup, il tire sur un pan de ma nuisette
— Allez ! Enlève moi ça !!
Le ton est direct, autoritaire.
Je ne bouge pas.
— Alors ? J’attends !!
Je ne bouge toujours pas, figée.
— Tu préfères que je te l’arrache ??
Je fais "non" de la tête.
— Alors dépêche-toi ! Vire moi ça !
La mort dans l’âme, je prends la nuisette, la relève, la fais passer par-dessus mes épaules et la pose sur le plan de travail près de l’évier.
— Eh bien voilà ! Ce n’était pas si difficile !!
Il me montre le string.
— Maintenant, vire ton string.
— Oh non ! Pas ça ! Je vous en prie !
— Ma parole, t’as pas encore compris !! Je te dis de virer ton string !
— Allez ! Plus vite que ça, du nerf !!
J’obéis. Le string rejoint la nuisette.
— Très bien Tu es en tenue Pour ce que nous avons à faire, ce sera plus facile.
Il vient vers mois.
Les caresses reprennent, plus précises.
Il me force à l’embrasser à pleine bouche. J’obéis.
Il me caresse les fesses, les reins, les seins..
Soudain, il m’embrasse et se met à me masturber
— Salope ! Tu es en train de mouiller
Il continue à me chauffer un bon quart d’heure.
Puis arrête, enlève sa cotte.
La bosse de son slip est révélatrice.
Il l’enlève.
— Tu vas voir mon gros robinet. Je te le laisse découvrir.
— A genoux, et suce moi !
J’obéis.
Je baisse son slip, la verge apparaît, tendue.
J’enlève le slip, il est nu.
Je commence à lécher le membre.
Puis l’engloutis en bouche.
— Huuumm.Ah.Oui !!!
Je sors rapidement le membre de ma bouche.
— Je vous en prie, je suis mariée Je ne veux pas tromper mon mari
— Ca tombe bien, j’adore baiser les femmes mariées ! Ca m’excite !!
— Pas moi, je ne veux pas tromper mon mari
— J’adore baiser la femme d’un autre, le rendre cocu !!
— Je vous en prie
— Tu commences à m’agacer à parler sans arrêt !!
— Continues à me sucer au lieu de raconter des conneries !
— Allez, pompe moi bien !!
Je recommence la fellation.
— HummmOui, comme çaBien dans ta boucheHuummm
Le sexe, luisant de salive est long, dur comme du ciment.
Je lèche le long de la verge, puis joue avec ma langue sur le gland.
-Humm Oui, bienComme ça, oui
— AhhhLèche moi les couilles !!….
Je m’exécute, embrasse et lèche ses bourses. Elle sont grosses, bien dures
Je le suce encore, le sexe bien en bouche.
Il se retire.
— Bon ! Maintenant, je vais te baiser
— Oh non ! Je vous en prie.
— Lève-toi !
Je m’exécute.
Il me met une claque sur les fesses.
— Allez ma grande ! Maintenant, direction le lit !
— Oh non pas ça !! Pas dans notre chambre !
— Tu commences à me faire chier avec ça ! Au lit j’ai dis !
Je passe devant lui, ouvre la porte de la chambre.
Il s’allonge sur le lit.
— Viens sur moi ! Allez, en 69 !
— Suce moi ! Moi, je vais te bouffer la chatte !
Je fais ce qu’il dit, engloutis son sexe en bouche.
Je sens sa langue qui s’insinue entre mes lèvres.
Au bout d’un moment, je laisse échapper quelques gémissements
— T’aime ça, hein !!
Il continue. Quant à moi, je vois le sexe dressé, dur, je le lèche partout.
— Bon, tu mouilles Tu es prête Je vais te baiser !!
— Allonge-toi sur le lit !
J’obéis.
— Mais Vous avez "ce qu’il faut" ??
— Comment ça "ce qu’il faut" ??
— EuhUn préservatif ?
— Ah non, pas de ça !! Pas de viande sous plastique !!
— Mais???
— Il n’y a pas de "mais" ! Je veux un rapport complet !!
— De toutes façons, c’est comme ça ! Chaque fois que je baise une femme mariée, la première fois, je veux lui mettre mon sperme dans la chatte, que son mari soit cocu jusqu’au bout !!!!
Il s’approche, vient au dessus de moi, prend sa queue dans la main, la dirige vers mon sexe
Il me pénètre
-Aahhh !! ..Ahhh !
Il est en moi, il commence le va et vient.
Je gémis.
Il lève mes jambes sur ses épaules.
— Tu vas voir ce que je vais te mettre, salope !!
Lentement, il accélère le rythme.
Je sens son sexe dur et gonflé me limer en cadence.
— Huumm Elle bonne, ta chatte !!
Il continue à me besogner, de plus en plus fort.
Je gémis, me met à crier.
— Ca te plaît, on dirait, salope !!
— Elle est bonne, ma queue ?
— AahhOui ! Elle est bonne.Ahhh.
Il continue un moment, puis se retire brusquement.
— En levrette, VITE !
Je me mets en position.
— Cambre-toi ! Tends ton cul ! Mieux que ça !!
Il me prend.
Accélère.
Son bas ventre et ses couilles battent en cadence sur mes fesses.
Il me tient par les hanches et quelquefois me pelote brièvement les seins
— Ahhhje te défonce bien, là Bien à fond
Je crie.
Ca a l’air de lui faire plaisir car il accélère encore.
Je crie Me cambre et jouis.
Il se retire à nouveau.
— Allonge toi sur le lit !
— Ecarte bien les cuisses !
Comme tout à l’heure, il me pénètre et lève haut mes jambes sur ses épaules.
— Je vais te "finir"
Il me lime de plus en plus vite
Me fait crier, crier, hurler
Mais ça ne l’arrête pas
Il me fait jouir à nouveau Je pars en transe, je hurle
— AhhhAhhh OUI !! OUI !! OUI !! Encore.Baise moi ! Baise moi bien OuiiiiENCORE
Il me prend furieusement.
Tout à coup
— Ahh, salope.Ahhhh.. Je vais jouir.
— Ahhhhhhh ! Ca y est ! Ahh Je jouisAh oui Tiens ! Tiens AhhTiens.Prends tout, oui..ahhhhh
Je sens les jets chauds envahir mon ventre, longuement
Il reste planté en moi un moment. Puis se retire.
Me demande où est la salle de bains.
Une fois sa toilette effectuée, il revient dans la chambre, je suis toujours dans la même position, allongée, indécente, nue, cuisses écartées, haletante
— Vas te laver !
— Avec ce que je t’ai mis, ça doit commencer à couler !!
Il rit.
Effectivement, il est temps que j’arrive à la douche.
Une fois lavée et essuyée, je retourne dans la chambre, prend des sous-vêtements, une robe.
— Qu’est-ce que tu fais ??
— Je m’habille
— Quoi ?? Pas question ! Tu restes à poil pour m’exciter !
— Tiens, tu peux remettre ton slip et ta nuisette, mais pas plus !
— Mais
— Il n’y a pas de "mais", c’est moi qui décide, COMPRIS ??
— Oui Oui.. J’ai compris.
Je retourne dans la cuisine, remet mon string et enfile la nuisette transparente.
— Bon, je continue le boulot.
— Tu me feras à manger à midi, comme ça je reste avec toi, et je t’en remet un coup vite fait après le repas.
— Mais non, pas ça ! Je vous ai déjà cédé une fois
— Je t’ai déjà dis que c’était MOI qui décidait ! Tu ne vas pas continuer à me faire chier, non ?
— Après le repas, je te BAISE, point-barre !
Il repart travailler. Je pense à mon mari qui est au rez-de-chaussée, qui a profité du son, mais pas de l’image !
Et qui ne pourra pas déjeuner, car l’autre s’incruste à midi.
Il est 10 heures. Le temps passe vite.
Vers midi, je vais le voir.
— Je vous propose une salade de tomates en entrée, bifteck-frites et une glace pour terminer.
— Parfait ! Et le dessert, c’est toi !!
Il arrête son travail, se lave les mains.
Boit un pastis en apéritif.