Je mappelle Eric,jai 23 ans et je vais vous parler de mes relations avec mon beau père. Ma mère a divorcé de mon père alors que jétais encore très jeune. Profondément marquée par cette rupture, elle est restée seule très longtemps. Pourtant, aux alentours de mes 16 ans, elle ma présenté un homme qui allait sinstaller chez nous et ainsi devenir mon beau père. Cet homme cest Gilles. Il a aujourdhui une petite 50 aine un léger bide et il a toujours été très sympa avec moi et même un peu plus depuis quelques temps !
Moi, je suis étudiant en informatique et je ne vis plus chez eux depuis un moment déjà. Je rentre à chaque vacances dété dans leur maison de bord de mer.
Jétais arrivé depuis quelques jours, lorsquun matin nous descendîmes tous les 3 à la plage. Les idées encore un peu embrouillées de la soirée de la veille javais accepté de les accompagner histoire de me rafraîchir dans leau de mer. Gilles et Nicole, ma mère, sinstallent côte à côte et moi à quelques distances deux. Allongé sur ma serviette, je recommençais à somnoler. Au bout dun petit moment, jentends ma mère se lever pour aller se baigner. Cest alors que Gilles sapproche de moi.
-Tu dors ? me demande t il ?
— Non, non.
— Fatigué de ta soirée ? trop dalcool et de filles ?
— On va dire ça ! En fait, je suis homo depuis mon adolescence, mais je nai jamais fait mon coming out en famille, non pas quils ne comprendraient pas, mais bon, loccasion ne sest jamais présentée.
-Tu tamuses bien quand tu es loin de nous pour tes études, nest ce pas ? tu as bien une petite amie là bas, non ? tu peux me le dire à moi, je saurai rester discret.
-Euh, non non pas du tout.
Cétait la première fois que Gilles me posait ce genre de question. Je me demandais un peu où il voulait en venir. Quelques minutes plus tard il reprit :
— Tiens jai rencontré Cyril hier et il ma parlé de toi.
Cyril était un vieux pote de Gilles dà peu près son âge. Nous avions été amants lété précédent. Javais gardé un excellent souvenir de lui, même si je navais plus de ses nouvelles. Et que ta t t-il dit ?
-Il ma dit que tu étais un amant formidable, que personne ne lavait baisé comme toi.
Je me redressai dun coup tout à fait réveillé cette fois.
-Et ? Lui répondis je un peu sur la défensive.
-Tu sais Eric, ça fait longtemps que je te regarde et je te trouve vraiment très beau. En fait je suis très attiré par toi et je sais que tu es homo.
-Mais toi tu es hétéro non ???
-En fait, jai parfois besoin dêtre dans les bras dun homme, de me laisser aller à ses désirs et quil me prenne comme une femme.
-Et Maman, elle est au courant ?
-Non, rassure-toi, elle ne sait rien. Tu auras peut être du mal à le comprendre, mais je laime profondément, en fait, je lui fait encore mieux lamour quand je me suis livré à un homme. Naie pas dinquiétude à son sujet, je prends toujours mes précautions.
Jétais totalement abasourdi par cette nouvelle.
Ma mère remonta du bain à point nommé. Elle prit sa serviette et sinstalla entre nous.
-Je ne vous dérange pas tous les deux ? Vous aviez lair en pleine discussion.
-Pas du tout Maman chérie, jallais aller me baigner lui dis en lembrassant .
Je me levai et me précipitai vers leau, histoire de reprendre un peu mes idées. Une fois mouillé, je nageai longuement pour faire le vide. En fait, je navais jamais regardé Gilles comme un amant potentiel, ne layant jamais imaginé avec un homme. Mais à bien y regarder il correspondait tout à fait à mon style dhomme. Jaime les hommes plus âgés que moi avec des kilos en trop. Jaime leurs fesses charnues ainsi que leurs poignées damour.
Je sortis de leau, me séchai rapidement et remontai à la maison, laissant Gilles circonspect. Je me précipitai sous la douche et laissai leau couler un moment sur mon corps. Je caressai mon sexe épais et de belle taille en repensant à ce que mavais dit Gilles.
Je fermais le robinet et sorti de la douche, et là surprise, je me retrouve nez à nez avec Gilles, qui était entré sans bruit. Il nosa pas regarder ma queue mais je le vis rougir.
-Tu men veux de ce que je tai dis ?
-Non pas du tout. Mais quattends-tu de moi ?
-Jaimerai que nous soyons amants me dit il droit dans les yeux. Je sais que tu es actif et moi jaime quun homme me prenne,me sentir femme dans ses bras. Cyril ma dit que tu las fait jouir comme jamais, fais de même avec moi.
-Je ne sais pas et Maman tu y a pensé ? La dernière chose que je voulais faire au monde était de blesser ma mère, elle avait déjà bien assez souffert comme cela et je laimais trop pour lui faire du mal.
-Evidemment ! nous resterions discrets et elle nen saurait rien et puis ça resterait en famille non ?
— Cest pas faux, vu comme ça ! Elle est où en ce moment Maman?
-Elle est restée à la plage, une de ses copines ly a rejointe.
Quelque peu rassuré et sans lui laisser le temps den dire plus, je mis ma main sur son épaule en le forçant à sagenouiller,
— Suce-moi lui dis-je. Je naurai jamais imaginé avoir une telle audace, mais ceci dit je naurais jamais non plus penser recevoir une telle proposition de mon beau père.
Un peu étonné, mais sans dire mot, il sagenouilla devant ma bite en semi érection. Il me prit en bouche, je voyais dans son regard quil était soulagé. Il suçait bien, me pompant avec vigueur, sa langue jouant avec mon gland. Il cracha sur ma bite et me repris en bouche. Sa langue glissait habilement sur ma hampe
-Tu suces bien, on voit que tu aimes la bite.
Il me répondit oui dun mouvement de tête et me pompa encore plus. Son va et vient mexcitait, mais je me retenais encore déjaculer. Il descendit sa langue sur mes couilles et les lécha avant de remonter vers mon sexe. Dune main, il commença à me malaxer les couilles doucement.
-tes une vraie salope, avale moi. Je lui pris la tête et enfonçai ma bite au plus profond de sa gorge. Il aimait ça.
-allez, bouffe-la. Nous ne nous quittions pas du regard. Je le tenai par les cheveux, le forçant à mavaler entièrement.
Je nen pouvais plus de cette magnifique pipe quil me faisait. Je ressortis ma bite de sa bouche au moment où je commençai à éjaculer lui répandant mon sperme sur le visage. Lui bouche ouverte, avalait les gouttes qui lui tombaient dessus.
A peine fini, je le laissai là tout habillé, du foutre plein le visage et je regagnai ma chambre sans un mot. Je savais dans quel état dexcitation il devait être, mais je le voulais vraiment en chaleur pour notre prochain rendez-vous, et je pressentais que ceux-ci seraient nombreux durant le mois quil nous restait à vivre sous le même toit.
La journée se passa agréablement sans que nous ayons loccasion de nous parler à nouveau en tête à tête. Malgré tout, nos regards se croisaient dès que nous le pouvions et exprimaient notre nouvelle complicité et notre désir.
Le soir, ma mère nous fit part de son intention daller rendre visite à une amie le lendemain toute la journée.
-Vous serez sages tous les deux, nous dit elle en riant. Ni lun ni lautre nosa répondre.
Le lendemain matin, jentendis la voiture de ma mère démarrer et rouler dans lallée. Je dormais encore nu sous mon drap. Jaime dormir nu, je trouve ça excitant. Jentendis à peine la porte de la chambre souvrir. Gilles sassit au bord du lit, repoussa mon drap et commença à me caresser le dos.
-Je ne te réveille pas Eric jespère ?
-Non. Tu es bien matinal Gilles lui dis-je avec un sourire amusé.
-Oui, jai passé toute la nuit à penser à toi, et je nen pouvais plus dattendre.
Javais envie de le laisser encore un peu languir et je restais allongé sur le ventre, le laissant me caresser les fesses. Cependant cette position ne fut pas très longtemps tenable car ses caresses de plus en plus appuyées me faisaient bander.
Je me retournai, la bite bien droite.
-Déshabille toi et rejoins moi.
Il nattendait que ça. Il était nu devant moi près du lit un peu gêné que je le regarde. En effet, je le détaillai, et pour la première fois le regardai avec désir. Il était un peu enrobé avec une bite pas très grande, mais des couilles de belle taille.
-Tourne toi lui demandais je. Javais envie de voir son cul. Jadore le cul des mecs un peu fort car il y a de quoi les prendre.
-Jaime bien ton cul Gilles, en fait tu es vraiment mon type de mec ! On a perdu du temps tous les deux durant ces dernières années. Il va falloir rattraper le retard !
Il se retourna une main sur la fesse, lair mutin.
-Je suis heureux de te plaire Eric, javais peur que tu me trouves trop vieux et pas très à ton goût.
-Viens approche toi du lit. Je lui pris la bite et commençai à le masturber pour la faire grandir un peu. Leffet fut rapide et je le pris rapidement en bouche. Je sentais le bas de son ventre qui retombait sur mon visage. Je lastiquai à pleine bouche,il gémissait déjà de plaisir, laissant échapper des petits soupirs. Je lui caressais les couilles en remontant vers son entre jambe grassouillette.
-Prends moi Eric, jai envie dêtre à toi comme une chienne en chaleur.
-Cest trop tôt mon tout beau, ta pas encore assez envie.
Je lâchais son sexe car je ne voulais pas quil éjacule tout de suite.
-Viens là, à côté de moi, mets toi à quatre patte sur le lit.
Il sexécuta tout de suite, me présentant son gros cul quil cambra au maximum. Je lui passais un doigt sur toute la longueur de la raie, partant du bas du dos jusquaux couilles ; je prenais mon temps, car je le voulais au summum de lexcitation. Finalement, je me plaçais sous lui pour un 69. Javais à peine recommencer à le sucer, que nen pouvant plus il me lâcha sa purée en pleine bouche ce qui me fit bander encore plus. Toujours dans la même position, de mon majeur je lui titillais la rondelle pour lassouplir. Voulant me préserver pour son trou, je me retirais de sa bouche pour passer derrière lui. Je lui écartai les deux jambons qui lui servaient de fesses. Jadore mettre ma tête dans le cul des mecs et les travailler avec ma langue, cest ce que je fis avec Gilles. Je lui léchai la rondelle pendant quelques minutes puis je lentrouvris avec ma langue.
-Ah, gémissait il cest bon. Prends mon gros cul maintenant.
Je ne voulais pas lui obéir tout de suite dautant que je voyais que sa bite reprenait doucement vie.
Son anus se dilatait très vite sous leffet de ma langue, je lui mis un doigt puis deux. En même temps que je le dilatai, jen profitai pour lui masser la prostate.
-Oh oui, Eric encore, je suis ta salope, mon cul est à toi.
Devant de telles déclarations, nen pouvant plus moi même, je me redressai et approchai mon gland bien luisant de son trou. Je mavançais en lui facilement, tellement son désir était grand.
-Et ben, on peut dire que tavais faim dune bite dans ta chatte ma salope.
-ça fait si longtemps, en plus la tienne est épaisse, je la sens bien.
Pour bien la sentir, il devait en effet bien la sentir, car joccupai pleinement son trou. Je le ramonai avec vigueur et ses petits gémissements presque féminins mexcitaient à chaque fois encore plus. Je le tenai par ses bourrelets dans un va et vient rapide.
Je le redressai contre moi, son dos appuyé contre mon ventre, le tenant par le cou. Quelques coups de bite encore et jexplosai en lui en plusieurs jets. Je restai encore un moment en lui, le temps de le masturber et quil jouisse à nouveau. Nous laissâmes échapper tous deux un grand soupir, puis nous nous allongeâmes lun contre lautre en nous embrassant longuement, chose que nous navions même pas pris le temps de faire auparavant tant nous étions pressés.
Il nétait pas encore 10h, la journée promettait dêtre longue.
Nous nous endormîmes quelques minutes dans les bras lun de lautre, puis je lui proposai de descendre à la plage naturiste toute proche après le petit déjeuner.
-La plage naturiste, tu es sûr ? Jai peur dêtre vu, je connais du monde ici.
-Mais non, il est encore tôt le rassurai-je.
La collation vite mangée et nous voilà partis, main dans la main dans le sentier côtier De temps en temps, je lui mettais une main aux fesses ce qui le faisait se tortiller.
-Arrête de bouger du cul comme ça, tu me fais bander lui dis-je.
Nous étions tous les deux encore très excités.
-Mon Chéri, je ne suis pas certain que la plage naturiste ce soit une bonne idée me dit-il. Jai peur davoir une super érection et que ça se voit.
-Et alors ? cest pas un problème mon chat, regarde la plage est déserte.
Nous nous installâmes dans le renfoncement de deux rochers. Lendroit était idéal pour sa discrétion et bien connu des amoureux. Ni une ni deux, et nous voilà à poil.
-Tu viens te baigner Gilles ?
-Jarrive tout de suite mon bébé, mais je vais mettre un peu de crème solaire avant.
-Oh mais attends, je vais taider.
Je lui pris dautorité le tube décran total des mains et commençais à le tartiner : les jambes, le dos, les épaules, je ne laissais pas un cm de peau sans caresse.
-Allez tourne toi, on fait devant maintenant.
Toujours debout, il se retourna, la main sur les parties.
-Je bande tes content ?
-Assez, lui répondis je en riant. Je continuai mon massage : les épaules, les bras,le torse Arrivé à son sexe, je me mis à genoux :
-Attends, cest un endroit sensible, jai une crème spéciale, tire tes mains.
A peine sa bite à découvert et je la lui bouffai.
Il hésita entre crainte et excitation. Mais il perdit très vite tout contrôle et je lastiquai de plus belle.
-Allez crache ma belle, javais senti les premières gouttes de sperme arriver dans ma bouche. Puis, je le poussai sans ménagement et lui plaquai les mains contre le rocher le plus proche en lui écartant les jambes.
-Oh non Eric pas ici, je ten prie.
-Ta gueule, Tu mas excité à mort, je vais te défoncer le cul.
Je le pénétrai sans ménagement, son trou enduit de crème. Jen profitai pour lui prendre les seins à pleines mains et les caresser en pinçant ses tétons.
-Ah non pas ça Eric, ça me rend complètement fou. De fait il commença à haleter et plus je lui travaillai les tétons plus il était excité. Il nen pouvait plus de plaisir et se mit à bouger le cul en un va et vient sur mon sexe bandé. Jabandonnai son sein gauche pour le prendre par la taille et menfoncer plus vigoureusement en lui.
-Oh Eric, je suis ta salope, bourre moi. Sen était fini de ses réticences de larrivée, peu lui importait le monde autour de lui. Je lastiquai encore plusieurs minutes jusquà éjaculer au plus profond de son trou dilaté.
Il se retourna et me prit dans ses bras. La tension sexuelle qui ne nous avait pas quittée jusqualors retomba. Nous allâmes nous plonger dans leau fraîche, puis nous allonger côté à côte sur le sable, détendus. Je laissais le soleil me sécher, la main de Gilles abandonnée sur mon ventre. Cétait les vacances et mon beau père était devenu mon amant. Lété serait trop court pour assouvir notre désir.