Je me mets donc en marche, vexée par ces 2 salauds, déçue par Bruno. Je leur ai certainement fait gagner beaucoup d’argent, et maintenant il me considère comme une merde. Je me pose une question tout de même : Pourquoi le fait que je me sois donné à un chien devant l’homme d’affaire, l’a-t-il convaincu ? Je repense alors au projet de Steeve et de Bruno au sujet de la création d’un site internet X. Et si j’en étais la vedette ?
Je ne préfère même pas y penser. J’ai pas envie que le monde entier me vois me faire prendre par un chien. Ouh là ! Je sens mon minou qui commence à se réchauffer rien qu’à cette idée. Il faut que je pense a autre chose.
Je rase les murs pour ne pas être repérer par des automobilistes dans cette tenue. Je marche tête basse, ruminant, ma colère. Alors que je marche le long de cette avenue, je remarque que les voitures ralentissent considérablement chaque fois qu’elles passent devant un petit groupe de personne. Je n’y prête pas plus attention que ça. Au bout de quelques secondes je vois une jeune fille, à peu près de mon âge. Elle est d’origine hispanique, elle marche avec une élégance extraordinaire et pas mal de provocation. Elle porte une robe transparente noire. On voit ses belles fesses et une belle culotte brésilienne. Elle a de très beaux seins nus sous la robe. Elle est vraiment très belle et j’en viens à me dire que ce doit être une prostituée pour s’habiller comme ça, la preuve en est de cette voiture qui vient de s’arrêter à coté d’elle. Elle dirige vers la porte du conducteur d’une démarche provocante
Et je me rends compte alors que les gens doivent penser que je suis également une pute puisque je suis encore moins habillée qu’elle.
Je ne peux m’empêcher d’observer le manège, cachée dans la pénombre. L’homme gare sa voiture et descend. C’est un vieux pas ragoutant du tout. La fille attend que l’homme vienne vers elle, puis elle le guide vers un immeuble. Discrètement, ils s’arrêtent sous l’immeuble. Je vois la fille tendre la main, l’homme y pose quelque chose dedans que la fille glisse sous son décolleté. Puis elle se tourne, prend appuie avec ses mains contre le mur. Elle trousse sa robe, fais glisser sa culotte brésilienne jusqu’a mi-cuisses puis attends. L’homme baisse son pantalon, et se colle à ses fesses. Je ne peux pas bien distinguer ce qui se passe, mais je vois l’homme bouger ses reins d’avant en arrière. Ca ne dure pas plus d’une minute. L’homme s’écarte de la fille. Elle se retourne, je vois sa main se diriger vers le sexe de l’homme. Elle fait quelque chose que je n’arrive pas à distinguer.
Puis les 2 repartent dans la même direction mais pas ensemble. Je les suis. L’homme remonte dans la voiture et la fille revient sur le trottoir et attends le prochain client. Elle semble n’avoir pris aucun plaisir. Il n’y a pas eu le moindre préliminaire, pas le moindre baiser, pas la moindre tendresse, pas la moindre violence. C’est comme machinal, organique, c’est tout.
Ca me rend triste qu’une aussi belle fille fasse ce métier. Pourtant elle n’a pas l’air malheureux car je l’entends rire avec ses copines.
Je repars après cet intermède instructif sur la vie des prostituées.
Alors que je marche d’un pas nonchalant, j’entends une portière se fermer et un homme marchant vers moi. Je continue de marcher sans même faire attention au mec. Tout ce que je vois c’est que la silhouette de l’homme est impressionnante. Il doit être balaise le mec. Au fur et à mesure que nous nous rapprochons je le distingue un peu mieux. Je constate alors que c’est un black, ma hantise. Comme les arabes , ils me font peur Je me souviens de quelques photos aperçues sur internet, de filles blanches se faire baiser par des blacks, se faire enculer et faire des pipes a des sexes gigantesques. Le pire c’est que ces folles semblaient y prendre un pied extraordinaire. Il faut dire que même si leurs sexes ne sont pas normaux, ils sont quand même magnifiques et je comprends que les filles de ces photos y prennent leurs pieds. Pour celles qui ne sont pas dégoutés par les blacks, qui ne sont pas racistes comme moi, ça doit être formidable d’être dans les bras de tels hommes musclés et bien fait. Car il faut reconnaître qu’en dépit du dégout que j’ai envers eux, je trouve que ce sont vraiment de beaux mecs physiquement et que ça doit être rassurant d’être dans leur bras. Elles ont de la chance finalement les filles qui ne sont pas raciste. Elles peuvent livrer leur corps sans arrière penser à ces hommes avec leurs bites énormes. Ca doit être bon d’avoir de si gros sexes dans la bouche, dans le minou ou dans le cul. Je me rappelle de celle qui avait les 3 trous bouchés par des bites blacks. Son visage était déformé par le plaisir.
Je constate alors que minou est tout trempée. Au moment où je vais croiser le black. Celui-ci attrape mon bras:
— Tu fais la pute ?
Il me sort sans me dire « bonjour » ni « merde ».
Moi j’ai un frisson de peur et réponds en dégageant mon bras :
— Mais ça va pas non !
Puis je m’éloigne. Il me rattrape par le bras, plus fermement :
— Si tu fais pas la pute ! Qu’est que tu fous sur le trottoir de mes filles !
La j’ai peur, je comprends que le mec est en fait le mac des filles que j’ai observé. Je me dégage à nouveau et pars en courant. Pour le semer je prends une petite rue sombre. Je regarde derrière moi, personne. Je suis rassurée le mac ne m’a pas suivi, sans doute pensait il que je voulais prendre la clientèle de ses filles.
Je marche au milieu de la rue puisque celle ci rue est étroite et qu’une seule voiture peut circuler. Une voiture ? En voilà une justement qui débouche et arrive face à moi plein phare. Je marche sur le coté pour la laisser passer, mais la voiture s’arrête à quelques mètres de moi et 2 hommes en descendent. Je me suis arrêté car j’ai peur. Un mauvais pressentiment m’envahit. Ma peur s’affirme lorsque je vois les 2 mecs s’assoir sur le capot de la voiture mais surtout quand je m’aperçois que les 2 mecs sont des grands blacks. Aussi grands et costauds que le mac. J’ai peur, je fais demi-tour et je pars en courant. Je me retourne pour regarder la réaction des 2 blacks et je respire en voyant qu’ils n’ont pas bougé d’un pouce. Mais ma peur devient encore plus forte lorsque je vois en face de moi, venant de l’autre bout de la rue, une autre voiture qui s’arrête. Je m’immobilise. Un grand black en descend et s’assoit lui aussi sur le capot. Je reconnais le mac.
Je suis désemparée, désespérée et ne bouge plus. De toute façon, je ne peux allez nulle part. J’ai beau regarder autour de moi, il n’y a aucun recoin ou je puisse me cacher, aucune porte a laquelle frappée pour me demander de l’aide. Je suis foutu, vraiment à la merci de ces 3 géants.
Le plus angoissant est que pas un ne bouge. Comme si ils attendaient que je me livre moi-même à eux. Ils peuvent toujours crever ces enculés.
Il se produit alors quelque chose d’insolite, je vois le mac retirer sa chemise. Oh putain ce corps, ces muscles saillants. Je me retourne pour jeter un coup d’oil aux 2 autres, eux aussi sont torses nus. Il se passe de drôles de chose dans ma tête et surtout dans mon ventre. Ma tête dit « non », dit « ces mecs sont écourants » mais mon corps dit « qu’ils sont beaux, qu’ils sont excitants ». Heureusement que ma tête dit « non ».
Le problème c’est que mon corps commence à dire « j’aimerais bien être nue contre un corps aussi beau ». Mais ma tête tient le coup en disant « Jamais je ne baiserais avec un black, un animal ».
Mon corps, lui, s’imagine se donner à ces blacks, s’imagine avoir leur sexe dans le minou. Il s’imagine être secouée de spasmes de jouissance sous les à-coups de si belles bites. Ma tête s’aperçoit qu’elle se contredit en disant qu’elle ne fera pas l’amour avec un animal, car elle se souvient qu’elle a jouie comme jamais avec des chiens
Ma tête est perturbée quand elle s’aperçoit que mon corps frissonne, que mon minou est trempée. Elle est encore plus perturbée lorsque lui reviennent les images sur internet de cette fille qui était prise par 3 blacks aussi balaises que ce qui sont la ce soir. Elle en avait un dans son minou, un autre dans son anus et la 3ème dans sa bouche. Elle grimaçait de plaisir. Elle avait l’air d’y prendre un pied formidable.
Mon corps lui est de plus en plus excité, mon minou est de plus en plus trempé, les tétons de mes seins sont hyper allongés et ma peau frissonne.
Mon corps a pris sa décision lui, il veut se donner a ces blacks, a ces si beaux hommes. Car oui, mon corps trouvent ces hommes immensément beaux.
Ma tête elle aussi a son mot à dire, c’est d’ailleurs elle qui décide de tout, c’est un sacré avantage. Le problème, c’est qu’elle n’est pas aussi solide qu’elle peut le croire. Elle n’arrive pas à se débarrasser de ces images de cette femme sur internet, de cette femme au 3 trous déformés par la grosseur et la longueur de ces beaux sexes. Ma tête trouve elle aussi, comme mon corps, que ces 3 sexes étaient beaux. Ma tête a l’impression de devenir folle. Elle devient folle car non seulement, elle n’arrive pas a se débarrasser de ces images internet, mais elle est a présent envahie par la vision des 2 bustes nus et musclées a sa droite et celui aussi beau à sa gauche. Oui elle vient de le dire. Elle vient de dire « beaux ». Ce n’est pas mon corps qui l’a dit, c’est ma tête. Mon corps est un enfoiré, car il parle maintenant à ma tête. Il lui dit « allez donne moi a eux, tu vois bien que tu les trouves beaux toi aussi, tu vois bien que tu en as envie ».
Ma tête essaie de se raccrocher à son idée première, le dégout. Essaie de se dire que le black est un animal. Le problème c’est qu’en pensant à animal, lui reviennent l’image du chien du clochard, l’image de Lucky, du batard du restaurant. Elle revoit son corps jouir comme jamais, sa chatte gicler de jouissance. Elle se souvient que son corps y avait pris un pied inégalé mais qu’elle aussi avait participé a ces merveilleux orgasmes.
« Allez va vers la voiture du mac, colle toi dans ses bras, embrasse le, donne toi à lui », dis mon corps a ma tête.
« Non, je ne peux pas » dis ma tête
« Tu ne les trouves pas beaux ? » rajoute mon corps.
Ma tête se secoue, mais avoue finalement : « oui »
« Alors donne-moi à eux » dis mon corps.
« Non, ils me dégoutent » dis ma tête
« Tu es sure » dis mon corps
Ma tête se secoue encore et ne répond pas.
Mon corps donne un ordre à ma tête
« Je te somme de marcher vers le mac et de donner à lui »
Ma tête appelle mon dégout à son secours, mais le dégout ne répond plus. C’est l’envie qui lui répond.
« Le corps à raison » dit l’envie.
Quand mon corps prend la décision de se mettre à marcher vers la voiture du mac, ma tête n’arrive plus à le contrôler, elle a cédé, à baisser les armes.
C’est en frissonnant d’envie que je marche vers la voiture du mac black. Désormais tout le monde est d’accord, mon corps et ma tête. Ma tête trouve désormais ces hommes beaux, excitants, pas dégoutant du tout. Elles les trouvent puissants, elle a envie que mon corps se soumette à leurs envies, elle a envie de se soumettre à eux. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle a trop résistée, mais désormais elle a encore plus envie que mon corps.
Ca y est, je suis devant le mac. Sans hésiter une seconde je me colle à son torse nu. Je me mets à le caresser de partout, je l’embrasse dans le cou.
J’entends sa voix qui me dit !
— Suce-moi la queue !
Alors je me penche entre ses jambes, dégrafe le bouton de son jean. Je plonge ma main à l’intérieur. Je sens alors une chose énorme dans ma main. Mon corps frissonne, c’est monstrueux, gros long, je l’extrait de son jean. Puis j’approche mon visage et caresse le monstre avec mes joues. Je mouille comme une dingue, jamais je n’ai été aussi excitée. Je comprends en fait que je rêvais de cette bite depuis les images que j’ai vu sur internet.
Je fais des petits baisers tout le long du manche, je descends un peu son jean, pour libérer ses couilles comme il faut, puis je me mets à les lécher, à les gober pendant que je masturbe le gros colosse qui se met à raidir entre mes doigts, alors je ne résiste pas. Je suis tellement excité par ce sexe qui vient de devenir raide, que je lève la tête, ouvre la bouche, et fais glisser le gland entre mes lèvres. J’ouvre ma langue le plus grand possible et j’arrive enfin, avec beaucoup de mal a enfoncer le sexe de ma bouche. Un grand frisson parcours mon corps, je suis tellement excitée que je crois que je pourrais jouir rien qu’en suçant le black.
Alors que je suce le mac, j’entends des pas qui s’approchent. Au bruit je devine qu’il n’y a pas qu’une personne qui s’approche. Je sais que ce sont les 2 blacks qui étaient assis sur la voiture à l’autre. Alors, sachant que ces ignobles nègres approchent, je me mets à sucer le mac avec encore plus de vigueur et en même temps, j’écarte les jambes, me cambre au maximum pour offrir ma chatte et mon cul aux 2 autres blacks. Comme la fille sur internet, je vais avoir trois énormes queues de beaux nègres hyper musclés pour moi toute seule. le pied.
Je n’entends plus les pas. Je sais que les 2 nègres sont derrière moi et je m’attends à recevoir une merveilleuse bite d’une seconde à l’autre. Oui ! Ils ont bien là, juste derrière moi car l’un d’eux dit :
— Passe moi la lampe torche !
Au bout de quelques secondes, je vois une lueur qui vient de derrière moi, puis 2 mains. 2 Mains qui écartent mes fesses. Puis une voix :
— Regarde comme elle mouille cette salope ! Bordel regarde son clito !
Je m’acharne alors sur la bite du mac, la léchant de toute part, la pompant comme une folle. Les 2 autres sont en train de loucher sur ma chatte avec une lampe torche et ça me rend folle. Je pousse un gémissement, me cambre encore plus pour qu’ils voient plus encore de mes intimités.
D’imaginer ces yeux loucher sur mon minou et mon trou du cul me rend dingue et je me sens mouiller comme une folle.
Je mouille beaucoup plus que je le pense car j’entends un des blacks dire :
— Putain regarde, il y a une goutte qui pend de son clito ! Jamais vu une meuf mouiller comme ça !
Je frémis, j’ai des stalactites sur mon clito. Je sens que je suis a 2 doigts de jouir, je me mets à gémir comme une dingue, je n’ai plus la force de pomper le mac tellement je suis prête à jouir. Alors j’extrais le monstrueux sexe de ma bouche, pour pouvoir pousser des petits cris de plaisir. J’ai le gros sexe dans la main et je le caresse tendrement plus que je ne le masturbe. De savoir cette lampe éclairée mon minou trempé, inondé, ne fait qu’accroitre mon envie de jouir. Je pousse des petits cris de plus en plus forts. Je respire très vite.
Je sens alors un doigt effleurer le bout de mon clito. Je comprends alors que l’un des 2 blacks vient de cueillir ma goutte de liqueur sur un doigt, et la, je ne peux pas me retenir, je suis secoué de frissons merveilleux et je jouis comme une dingue, je jouis en giclant, en éjaculant comme avec les chiens.
Comme une folle je reprends le sexe du mac dans ma bouche et le pompe a toute vitesse jusqu’au plus profond de ma bouche à la limite de m’étouffer, à la limite du vomissement.
Le black qui vient de me faire jouir avec le bout de son doigt dit :
— Génial man, une femme fontaine ! La pute m’a giclé partout sur le fut !
Moi je recommence a pousser des gémissements étouffés.
— Putain Jimmy ! j’ai envie de lui fourrer ma queue dans la chatte !
Puis je sens 2 mains écarter mes fesses.
— Oh putain regarde moi ce trou du cul j’y foutrais bien mes 30cm !
Moi ça me rend dingue et je me cambre attendant qu’il joigne le geste à la parole. Je sais que je vais souffrir, que mon trou du cul va exploser, mais je n’ai pas peur, je n’ai qu’une envie c’est d’avoir les 30 cm dans l’anus, je veux qu’elles y passent toutes les 3.
Mais le mac dit :
— Non ! Personne lui bouchera ses trous ! Elle n’en a pas envie !
Puis il prend mes cheveux et relève ma tête plongé entre ses cuisses, il me force à le regarder. J’ai les yeux hagards, bourrés de jouissance et d’envie et il me dit avec un air méchant :
— N’est ce pas que tu n’as pas envie de nos queues de nègres !
Moi en soupirant :
— Si j’en ai envie !
— Ah t’en as envie ! Mais qu’est ce que tu serais capable de faire pour les avoir !
— Tout !
— Vraiment tout ?
— Ouiii !
Le pire c’est que c’est vrai, dans l’état dans lequel je suis, je serais capable de tout pour les avoir.
Alors il me repousse, se lève du capot et me dit :
— Alors viens !
Et me voilà marchant dans la petit rue avec un black de chaque coté et un autre derrière moi. Je ne sais pas ce qui m’attend, mais je ne pense qu’a une seule chose ces 3 monstrueux sexes noirs rien que pour moi.
Nous marchons vers l’endroit ou se trouvait les putes tout a l’heure. Je me dis que les blacks doivent avoir leur appart dans le coin et j’ai vraiment hâte d’y être. Les putes sont occupées à négocier avec leurs potentiels clients. Les pauvres n’ont pas ma chance, elles sont obligés de se contenter de vieux pervers qui ne les ferons certainement pas jouir alors que moi, je suis avec mes 3 beaux nègres qui vont me faire hurler de plaisir toute la nuit.
Le mac m’attrape le bras et nous nous arrêtons.
Il se met face a moi, met sa main sous mon menton et le soulève pour que je le regarde dans les yeux, puis il me dit :
— Puisque t’es capable de tout ! Tu vas faire la pute pour moi !
Moi j’écarquille les yeux et je dis :
— Non non non ! Pas ça ! je veux pas me prostituer.
— Je crois que t’as pas bien compris ! Si tu veux nos bites il faut le faire ! T’en as envie hein de nos bites !
— Oui ! tout ce que tu voudras sauf ça !
Il s’énerve, d’un geste violent il me fait faire demi tour et colle mon dos contre son buste.
Puis il d’un geste aussi violent, il déchire les pans de ma nuisette. J’ai peur, je respire très fort. Le mac pose alors ses mains sur mes seins nus et se met à les masser avec fermeté. Moi qui est encore en tête, sa belle bite et dans la bouche, le gout de sa belle bite, ces caresses fermes, a la limite de la violence, me font gémir et m’excite de plus belle. Je ferme les yeux et me laisse caresser sans résister, c’est bon, tellement bon. Je sens une main ferme prendre mon avant bras droit et guider ma main vers… oh vers un énorme manche, j’ouvre la main sans hésiter et saisis la grosse bite a pleine main. Puis, le pied royal, une autre main prend mon avant bras gauche et le guide vers un autre manche. Là, connaissant la conclusion à l’ avance, j’ai ouvert la main et c’est instantanément que l’autre gros manche se retrouve dans ma main. Je gémis de plus belle en masturbant ces 2 gros manches noirs pendant que 2 mains me tripotent les seins. Deux ? non une seule. La 2ème main s’est échappée, mais ou donc est elle ? Je ne sais pas, par contre, ce que je découvre c’est que cette main s’est dirigé vers la braguette de son propriétaire et je sens quelque chose de dur et de gros frapper contre mon minou, et rester coller. La fameuse main vient de libérer le gros manche du mac qui bande comme un fou. Puis la main revient sur mes seins. Elle se met à les pétrir doucement, mais fermement, sans violence, alors lentement je me mets à onduler des reins en frottant mon minou dégoulinant contre ce manche démesuré. J’ai envie de jouir, j’ai envie de recevoir ces bites en moi, je m’acharne en les masturbant, je me frotte contre le manche du mac en poussant des petits cris. Puis en gémissant comme une dingue, d’une voix suppliante je dis au mac:
— Si je fais la pute pour toi ? Tu me promets que vous baiserez ?
— C’est promis !
Je suis folle, mais j’ai tellement envie de ces sexes énormes en moi que je suis prête à toutes les folies. Jimmy sait que je suis prête, Jimmy sait que désormais je ne résisterai pas et que je ferais ce qu’il veut. Il crie ;
— Graziella !
Tout en continuant à onduler et à gémir, je vois la pute que je trouve belle se retourner et venir vers nous. Je pousse des petits cris maintenant, je pousse des petits cris car cette fille me voit en train de prendre mon pied au milieu de ces 3 nègres. J’ai honte, mais plus j’ai honte et plus je suis excitée.
Jimmy retire ses mains de mes seins, son sexe d’entre mes cuisses et se décolle de mon dos pour rejoindre la jolie pute. Je continue de branler les 2 autres qui poussent des râles de plaisir. Leurs queues raides me rendent dingue, j’ai envie de désobéir à Jimmy, passer outre ses ordre, j’ai envie de plier les genoux pour mettre mon visage à hauteur de ses beaux sexes. Je suis sure que les 2 blacks n’attendent que ça, mais Jimmy est le patron et si je le trahis il voudra pas qu’ils me baisent. Ca m’arrache le cour, mais je résiste et me contente de les masturber.
Jimmy se retourne vers moi et me fais signe de venir. Je lâche les 2 bites et, la nuisette complètement ouverte je m’approche de lui et de la pute.
Il me demande :
— Comment tu t’appelles ?
Timidement je réponds :
— Katia !
Lui :
— Ca va ! Ca fait bien pute comme prénom ! Suis Graziella elle va te montrer !
Graziella me prend gentiment par le bras et nous marchons vers les autres putes. Nous n’avons pas fait 2 pas que Jimmy appelle :
— Graziella, attends ! Elle ne peut pas y aller fringuer comme ça ! Ca fait négliger avec cette nuisette déchirée !
Jimmy s’approche de nous, Graziella demande :
— Mais qu’est qu’on va lui mettre ?
Jimmy fais glisser ma nuisette sur mes épaules, je suis nue, totalement nue avec les talons aiguilles.
Jimmy :
— Rien justement ! Elle va y aller à poil !
Je vais pour protester, mais Jimmy me foudroie du regard. Je comprends alors que si je n’obéis pas, ça va chauffer pour moi, mais ce n’est pas ce qui m’ennuie le plus. Ce qui me gêne par-dessus tout, c’est qu’il risque ensuite de refuser de me baiser avec sa grosse queue.
Graziella à l’air très étonnée et même semble reprouver ce que veux Jimmy. Elle va pour lui faire comprendre.
— Mais Jimm.
— Ferme ta gueule et obéis !
Graziella baisse la tête, me reprend par le bras et nous marchons vers les putes.
Graziella me dit :
— Viens ! Je vais te montrer ou tu dois faire ça !
Je la suis.
Elle me guide vers un immeuble à quelques mètres de là. Nous nous arrêtons sous l’avancé de l’immeuble. Elle me dit :
— Voilà ! Si le mec a payé pour te baiser ! Tu lui tournes le dos, tu écartes les cuisses, tu te cambres et il te baise ! S’il a payé pour se faire sucer ! Tu le fais mettre le dos contre le pilier et tu le suces ! C’est pas compliqué ! Mais attention, ne le laisse pas te toucher ou t’embrasser !
— Mais je dois faire ça dehors, comme ça ?
— Quand Jimmy avait sa queue entre tes cuisses et que tu branlais ses potes tu étais bien dehors non ?
— Oui !
— Et en plus t’es à poil dehors devant tout le monde !Allez viens faire le tapin !
Rien que le mot me donne des frissons. C’est là que je me rends compte que je vais vraiment me prostituer, car faire la pute c’est comme faire la salope, c’est pas forcément vendre son corps, alors que faire le tapin, là oui, c’est être une prostituée, une gagneuse et moi, je suis la gagneuse à Jimmy. Ca me fait peur, parce que je ne sais pas comment tout cela va finir, mais de savoir que dans quelques secondes je vais faire le tapin et que Jimmy va gagner de l’argent grâce à moi, ca m’excite au plus haut point. Il y a quelques minutes j’étais une salope parmi tant d’autres, enfin peut être plus que les autres, et maintenant, simplement parce que Jimmy et ses potes ont de grosses queues qui me font rêver, je suis une prostituée sous le joug d’un mac.
Je demande :
— Heu Combien je dois demander ?
— T’inquiètes pas pour ça, je m’occupe de tout !
Nous nous joignons au groupe des autres prostituées et bien sur je me sens tout de suite mal à l’aise et pour cause, je suis la seule nue.
Graziella m’explique encore un truc :
— Tu vois, à l’autre bout du boulevard il y a une de nos copines. Et avec son portable elle nous prévient si les keufs arrivent ou si la voie est libre !
Graziella prend son portable et compose un numéro :
— Nina ? tu peux me dire si la voie est libre car nous avons quelque chose d’un peu spécial ce soir !
Nina doit lui demander ce qui se passe car Graziella répond :
— Une nouvelle à Jimmy qui va faire le tapin complètement à poil !
Puis :
— Oui je sais c’est la première fois mais celle là faut dire que c’est une drôle de salope !
Je mouille comme une chienne. De savoir que ces filles sont des enfants de chour à coté de moi m’excite terriblement.
— Bon ! la voie est libre ?
Puis elle raccroche en disant :
— OK !
Elle parle en espagnol à ses copines, et toutes se reculent pour. me laisser la voie libre. Je comprends que je vais être la seule à faire le tapin. Elles vont faire un break et je vais être obligée de faire la prostituée, toute seule, nue, au bord du trottoir. Pour me motiver, je me dis que le jeu en vaut « les chandelles », oui, au pluriel, puisque ces chandelles ne sont autres que celles a Jimmy et a ses potes. Je souris de ce jeu de mot tellement approprié.
Graziella me dit :
— Bon ! tu vas te mettre au bord de la route et tu vas poser tes fesses au bord du capot d’une voiture sans t’asseoir dessus. Tu vas replier une jambe et poser un pied sur le pare choc ! Ca c’est pour les hommes qui circulent à pied ! Comme ça ils voient bien que tu te prostitues ! Tu me diras dans ton cas tu n’as pas besoin de ça vu que t’es a poil, mais c’est pour les autres fois quand tu seras un peu plus habillée ! Les clients ne pourront pas s’y tromper !
— Mais il n’y aura pas d’autres fois… je fais uniquement parce que.
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, car Graziella me dit :
— Ne rêve pas chérie ! Tu es une prostituée à Jimmy, maintenant tu lui appartiens !
J’ai peur, dans quel engrenage me suis-je donc fourrée.
Graziella continue :
— Pour les voitures c’est différent ! Les chauffeurs doivent bien te voir ! Donc dès que tu en vois une, il faut que tu te mettes à marcher bien avant qu’elle arrive ! Tu marches d’abord de dos à la voiture pour que le client puisse reluquer tes fesses, puis tu fais quelques pas et tu fais demi tout pour montrer ton corps de devant et ton visage. Il faut que tu te cambres bien. En te voyant faire des allers et retours, le lient comprendra de suite que tu es une prostituée !
Moi, bien que j’ai écouté les consignes de Graziella, j’ai toujours dans la tête ce qu’elle m’a dit auparavant : « maintenant tu lui appartiens ».
Alors je dis à Graziella :
— Non ! Je suis désolée je ne peux pas faire ça ! Je ne suis pas une prostituée ! Je n’appartiens à personne, je veux récupérer ma nuisette et partir.
Graziella me regarde d’un air narquois et me dit :
— Ok ! Va demander ta nuisette à Jimmy !
J’abandonne Graziella qui ne me retient pas.
Je marche vers l’endroit ou se trouve Jimmy et ses potes et les rejoins. Timidement Je dis :
— Jimmy, je ne veux pas faire la prostituée, je suis désolée, est ce que tu peux me rendre ma nuisette et me laisser partir.
Jimmy pose ses 2 mains sur ma taille, me serre contre lui et pose ses lèvres sur les miennes. Je ne peux pas résister et ouvre la bouche. Il me roule une pelle magnifique qui m’émeut au plus haut point. Puis il se met à caresser tendrement mes fesses d’une main alors que l’autre caresse gentiment mon visage.
— Allons bébé ! Tu n’as plus envie de nos belles queues de nègres ! Tu n’as plus envie qu’on te prenne tout les 3 ? Imagine toi à califourchon sur Tom avec sa queue dans ta belle chatte.
— Arrête Jimmy.
J’imagine la grosse queue de Tom enfoncée au plus profond de la chatte. Je m’imagine monter et descendre sur ce magnifique manche en gémissant. Mais Jimmy ne m’écoute pas et continue :
— Imagine que Mamadou, lui, te sodomise en même temps en te faisant crier.
Je me love contre Jimmy, en me frottant à lui, embrassant son cou, son visage, mouillant comme une chienne.
— Jimmy, s’il te plait arrête.
Mais il continue :
— Et puis je te laisserais me pomper le jonc pendant que tu te fais prendre en sandwiches, t’aimerais ça non ?
— Ouii !
— Ca vaut bien un petit sacrifice.
— Ouiii !
— Et puis tu te décideras vite, plus tu auras droit à ça ! Allez vas y ! Va retrouver tes collègues !
Alors hypnotisée par le discours de Jimmy, je fais demi-tour, toujours à poil, et reviens vers Graziella et ses copines qui ont recommencé à faire le tapin. Je ne m’arrête pas pour parler à Graziella, je passe devant les filles, pose mes fesses sur le capot d’une voiture et pose un pied sur le pare choc comme indiquée par Graziella.
Je mouille comme une chienne.
2 phares au bout de la rue. Je frémis j’ai peur. Mais de suite je pense à la queue de Jimmy, de Tom et Mamadou, alors, je lève mes fesses du capot et commence à marcher au bord de la route, bien cambrée en ondulant des hanches. Puis je fais demi -tour et marche face à la voiture qui approche inexorablement. Graziella me crie :
— C’est bien ! Tu t’en sors comme une reine ! Quand la voiture s’arrête, tu me laisse faire, je m’occupe de tout, c’est moi qui vais parler au chauffeur !
Ca m’arrange car je sais que je vais paniquée et ne saurait pas quoi dire. Je vais à nouveau demi-tour, fais 10 pas et recommence dans l’autre sens. C’est interminable, ce boulevard est tellement long. Je retiens ma respiration. La voiture est tout près, je me retourne pour marcher de dos à la voiture, pour éviter le regard du chauffeur sur mon corps nu.
La voiture passe à une allure assez rapide et ne s’arrête pas.
Graziella me crie :
— Celui là, il roulait trop vite. C’était sur qu’il cherchait pas de p.
Elle s’arrête car on vient d’entendre un grand de frein La voiture qui vient de passer, vient de s’arrêter. Je frémis. La voiture fait marche arrière. Graziella me dit :
— Ils voulaient aller aux putes mais tu lui as tapé dans l’oil !
Cette fois ça y est. Je vais être bonne pour me faire baiser pour de l’argent. Pour de l’argent que va empocher un maquereau, mon maquereau.
En quelques jours, je suis passé d’une fille fidèle et amoureuse, en une prostituée de bas étage qui va se donner au premier venu pour un mac, pour que ce mac veuille bien honorer mon corps et le pire de tout, c’est que je ne le regrette pas.
La voiture est maintenant à ma hauteur, a à peine 2 mètres. La vitre électrique descend.
— C’est combien chérie ?
A ce moment là, Graziella s’approche de la voiture, passe la tète par la vitre et dit :
— 30 euros pour la pipe et 50 pour l’amour !
Le mec lui répond :
— Mais c’est elle que je veux ! pas toi !
Bien sur « elle » c’est moi. Ca devrait être vexant pour Graziella, mais elle a l’air de s’en foutre car elle répond :
— Rassure-toi ! C’est bien elle que tu vas avoir ! Alors tu veux la baiser pour 50 euros !
— D’accord ! Je vais me garer !
Pendant ce temps, Graziella me dit :
— Rappelle-toi ! il ne t’embrasse pas, il ne te touche pas, tu te penches et il te baise et c’est tout !
Je secoue la tête en signe d’approbation, alors que le mec marche vers nous.
Graziella, gentiment :
— Allez ! C’est à toi de jouer ! Si ça ce passe mal, crie, Je ne serais pas loin et Jimmy non plus !
Les jambes tremblantes je rejoins l’homme. Je n’ose même pas le regarder et une fois près de lui je lui dis :
— C’est par ici !
Nous marchons cote à cote vers l’endroit désigné par Graziella. L’homme en profite pour poser une main sur mes fesses. Je suis secouée par une décharge électrique. De suite ça me rappelle mon voisin qui m’a guidée de mon appart au sien avec sa main sur mes fesses. Je me souviens de ce délicieux sentiment de soumission.
Je repousse tout de même la main de l’homme en disant :
— Faut pas toucher !
— De toute façon pour te baiser, il va bien falloir que je le touche ton cul !
Je ne réponds pas, parce qu’il n’y a rien à répondre. Je trouve idiot de refuser de se faire toucher alors qu’on va se faire baiser, ce qui est bien pire.
Le mec doit lire dans mes pensées, car il repose sa main sur mes fesses, et les masse en même temps. Une nouvelle décharge délicieuse et cette fois, je ne le repousse pas et nous rejoignons l’immeuble sous lequel je vais me prostituer.
Je mouille comme une chienne. Je ne devrais pas car une prostituée ne prend pas de plaisir avec ses clients, mais c’est plus fort que moi. Je me retourne vers le mec. Il baisse son pantalon. Il bande comme un fou. Je prends la capote que m’a donné Graziella et la fait glisser sur son manche.
Je me retourne, prend appuie avec mes mains contre le mur de l’immeuble, je me cambre, ouvre les jambes et attends.
Puis, je sens un gland contre ma vulve, un membre s’enfoncer d’un coup dans ma chatte : Ca y est ! Je suis une pute !
Ca me refroidit. J’ai envie de m’enfuir, mais je ne le peux plus, j’ai commencé, je dois finir. L’homme me donne de grands coups de reins. Ca ne me donne aucun plaisir, puis au bout de quelques secondes, je l’entends pousser des cris rauques, il vient de jouir.
Je n’ai rien ressenti, je n’ai pas pu sentir sa sève gicler au fond de ma chatte, j’ai servi de vide couille : Je suis vraiment une prostituée.
L’homme se retire, je me retourne, retire sa capote. Puis je m’en vais en lui disant un simple « au revoir ». Je n’attends même pas qu’il se rhabille, je pars.
Je rejoins Graziella, qui m’attend un peu plus loin. Elle me dit :
— Alors ? Ca c’est bien passé ?
— Oui ça va ! mais je n’ai pris aucun plaisir !
— Il ne manquerait plus que ça ! Va voir Jimmy, il t’attend !
Je rejoins Jimmy et ses potes. Je suis heureuse, car je sais qu’enfin ils vont me baiser et m’enculer tout le restant de la nuit.
C’est avec un grand sourire que je me mets face à Jimmy, attendant qu’il m’emmène pour la suite des festivités.
Il dit :
— Je suis désolé mais il va falloir qu’on remette notre petite fête à demain, j’ai un truc urgent qui vient de me tomber dessus ! Reviens demain et je te promets que tu y auras droit !
J’ai envie de pleurer. Je viens de me prostituer pour avoir ses faveurs et il n’honore pas sa promesse. Mais je me dis que peut être il dit vrai. Jimmy me tend la nuisette et me dit :
— Mamadou va te ramener chez toi !
La tête baissée je suis Mamadou. Nous montons dans la voiture et partons. Au bout d’une minute je demande à Mamadou !
— C’est vrai ce qu’il a dit Jimmy ? Vous me baiserez demain ?
— T’inquiète ! tu vas en avoir pour ton grade !
Alors je me mets à imaginer « en avoir pour mon grade ». Je me vois prise par les 3 nègres. Je vois Tom en train de me baiser comme un fou, j’imagine Jimmy m’enculer au plus profond de mes entrailles. Je me vois, je m’entends hurler de plaisir, je me vois gicler mon orgasme. Mais il manque quelque chose. Ils sont 3 mes nègres et il n’y en a que 2 dans ma tête. Il en manque un et il me reste un trou, c’est la queue de Mamadou que je dois sucer. La queue de Mamadou qui est a proximité de mes mains, de ma bouche. Alors je lui dis :
— Mamadou, j’ai envie de te sucer
Il me répond :
— T’inquiètes pas tu va sucer !
Mais il rajoute :
— Mais pas ce soir ! Jimmy t’as dis de revenir demain ! Les autres filles commencent à 22h00, t’auras qu’à venir à ce moment là !
— D’accord ! Et vous me prendrez de suite !
— Tu rêves ou quoi ? Il faut que tu bosses d’abord !
Alors là, je crois devenir dingue. D’après ce que je comprends il va falloir que je me prostitue à nouveau. Enervée je dis :
— Ah non ! C’est bon là ! Vous deviez me baiser ce soir déjà ! J’ai fais la pute pour ça et j’ai pas eu ma récompense !
Impassible il répond :
— Tu es la gagneuse à Jimmy maintenant chérie ! Mets toi bien ça ans le crâne ! Fringue toi comme une pute demain et sois pas en retard, Jimmy à horreur de ça ! Et un bon conseil, t’as intérêt à venir !
Sur ces mots, il arrête la voiture le long du trottoir de mon appart. Oui, j’ai décidé de dormir à la maison et pas chez Virginie. Mamadou démarre en trombe, me laissant au bord du trottoir.
Je monte à l’appart plus triste que jamais. Que va-t-il m’arriver maintenant, comment vais-je me sortir de ce guêpier. Je me souviens des paroles de Bruno : « il y a toujours des salauds pour en profiter » C’est arrivé plus vite qu’il ne l’imaginait.
Je décide de me coucher dès mon arrivée, je n’ai envie de voir personne. J’ai l’impression que l’on joue avec moi, avec mon corps, que l’on profite de ma nymphomanie pour me faire faire n’importe quoi. Je me sens « jouet ». C’est vrai que j’aime ça, que j’adore me faire baiser, enculer, que j’aime sucer, mais c’est déprimant parfois de penser que l’on a aucune personnalité, aucune culture, aucune intelligence et que la seule chose qu’on sait faire, c’est donner du plaisir aux hommes en refoulant tous les tabous. Je suis dans cet état d’esprit. Les hommes se foutent de ce que veux, de ce que je pense, de ce que je peux ressentir. Pour eux je suis un vide-couilles, je suis devenue un vide-couilles ou plutôt j’ai découvert que je n’étais que ça. Je ne suis que trois trous par lesquels toutes les bites du monde sont prêtes à passer. Le pire, qu’à l’instant où je vous parle, bien que je déprime, je suis toujours prête à recevoir toutes les bites du monde. Si un mec rentrait dans l’appart maintenant pour me sauter, je me soumettrais sans résistance aucune.
Je ne suis pas bien, et comme chaque fois dans ces cas là, je fais appel à mon sauveur. Je prends mon portable et appelle mon petit chéri, mon amour et maintenant mon cocu: Jacques
Ca sonne 5 fois, je vais pour raccrocher pensant qu’il n’a pas son mobile sur lui, mais à ce même moment il décroche.
— Bonsoir Chérie ! Ca va !
Moi :
— Bof ! Ca va pas trop !
— Qu’est ce qui t’arrive mon cour !
— J’sais pas ! J’ai pas le moral ! Je voudrais que tu sois près de moi !
— Ne t’inquiète pas mon cour ! Je rentre demain en début d’après midi !
Je me sens mieux, j’ai le cour léger :
— Oh super mon amour ! Il me tarde vraiment de me blottir contre toi ! Je t’aime !
Lui :
— Moi aussi, je t’aime mon amour ! A demain !
Et nous raccrochons.
Bien qu’il n’aime pas que je n’aille pas bien, je sens tout de même une sorte de réjouissance dans sa voix, ou plutôt du soulagement.
Je comprends qu’il doit être heureux que je lui montre que je l’aime après ce qu’il s’est passé avec les 3 hommes qu’il m’a emmené. Peut être a-t-il eu peur de me perdre ? Il est bien loin de tout savoir le pauvre. Il ne pense même pas qu’il est cocu, et pourtant, il doit bien être l’homme le plus cocu du monde, même des chiens ont été mes amants, s’il savait. J’en ai honte.
Je n’ose même pas imaginer sa tête s’il m’avait vu faire, ou si on lui avait raconté. Déjà il faisait la gueule quand je me faisais sauter par les hommes qu’ils m’avaient emmené spécialement pour ça. Il faut dire aussi que je me suis lâchée. J’ai fais des pipes à ces hommes alors que jamais je n’ai pris son sexe à lui en bouche, Je me suis fais prendre en levrette alors que je lui ai toujours dit que j’avais horreur de ça et qu’il n’a jamais pu me prendre ainsi. J’ai jouie plusieurs fois avec beaucoup de force, de vrais orgasmes, alors que je n’en jamais eu avec lui, mise a part la dernière fois ou nous avons fait l’amour, mais c’était parce que j’avais Fabien en tête. Je me suis fais prendre dans des positions pas possible, alors qu’avec lui je m’allongeais sur le dos et le laissais travailler en simulant la jouissance pour ne pas le vexer.
Faut dire qu’il a un ridicule petit sexe mal foutu Jacques. Déjà qu’il était bien loin de me remplir avant toutes mes frasques, je préfère même pas imaginer ce que ça va être maintenant. Pour prendre du plaisir il va falloir que je pense a quelqu’un qui m’excite vraiment : comme Lucky par exemple !
Mon Dieu ! Ce serait la pire des humiliations pour lui, que je pense à un chien pendant qu’il s’évertue à me donner du plaisir.
Comble de malheur, il est éjaculateur précoce. Mais alors, vraiment précoce ! La première fois ou nous avons dormi ensemble, alors que nous nous embrassions comme des fous, alors qu’il me caressait avec douceur, je l’ai entendu gémir. Il a arrêté de me caresser et m’a dit « Excuse-moi ! »
Moi je n’ai pas compris tout de suite. Ce n’est que quand j’ai senti un liquide gluant sur ma cuisse que j’ai compris qu’il avait largué la purée.
Et pourtant, il ne m’avait pas pénétrée, son sexe n’avait même pas effleuré le minou, ni même le ventre. Sa petite bite s’était juste cogné à ma cuisse, c’est vous dire. Il a eu beau m’expliqué que c’est parce que c’était la première fois avec moi et ma beauté l’excitait trop, il n’a jamais réussi à tenir plus de 30 secondes dans ma chatte, et encore, il ne fallait surtout pas que je remue des reins sous peine d’explosion immédiate.
Comme je me contentais de ça et ne lui ai jamais fait un seul reproche, il n’a jamais fait aucun effort. Comme c’est mon premier mec, et que je n’avais jamais fait l’amour avec un autre avant, je pensais que faire l’amour c’était ça. jusqu’à il y a quelques jours de ça !
Je m’endors en essayant de ne plus penser à ça, car le fait d’imaginer la tête que ferait Jacques, s’il y savait ce que je fais, m’excite. Incroyable! Je m’aperçois que de l’humilier ça m’excite, que de le foutre cocu ça m’excite, de me conduire la plus grosse des putes derrière son dos ou même devant lui ça m’excite ! C’est terrible !
Peut être est ce mon inconscient qui me venge de tant de mois de gâcher sexuellement parlant ! Je ne sais pas !
Je souris en me disant que finalement, Jacques m’excite, à sa manière mais il m’excite, contre son gré mais il m’excite.
Je m’endors enfin, le minou inondé de cyprine !
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C’ est que le 13éme chapitre de ma longue histoire et je vais me faire un plaisir de vous raconter la suite.
Vos impressions et commentaires seront les bienvenus à : [email protected]
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