Histoires de non consentement Histoires érotiques au travail

elle 20 ans, lui 70 ans… – Chapitre 2

elle 20 ans, lui 70 ans... - Chapitre 2



20 ans, l’âge de ma petite Manon,

et certainement aussi celui de Justine.

50 années nous séparaient et nous étions pourtant tous les 2 blottis dans son canapé. Ma langue fut la première curieuse à oser découvrir son palais. J’avais oublié cet écart et Justine aussi.

Mon baiser ne fut pas refusé, bien au contraire, elle me le rendit avec gourmandise.

Ainsi encouragée, ma main se fait audacieuse et pelote par-dessus son chemisier sa menue poitrine. Mes doigts, devenus courageux, déboutonnèrent les premiers boutons de son corsage. Justine continuait à m’embrasser sans chercher à arrêter ce début d’effeuillage.

Rapidement, son chemisier fût totalement ouvert, ma main caressa sa peau nue

qui frissonna un peu sous le contact de mes doigts.

Sa peau était très douce ! Je m’étais un peu écarté d’elle pour enlever son chemisier. Elle avait fermé les yeux lors de ce baiser et la bouche encore entr’ouverte, elle cherchait encore mes lèvres.

Elle souleva un peu son buste pour me permettre d’enlever son chemisier. Elle avait un inutile soutien-gorge blanc. Ma main caressa sa poitrine par-dessus le tissu, puis libéra ses seins injustement embastillés.

Certes petits, mais fermes aux tétons érigés par leur excitation non feinte, ils la rendirent mère nourricière de mon désir.

Ma bouche se dirigea vers son sein droit et commença à le téter alors que ma main prenait sans difficulté son autre sein.

Un petit gémissement sortie de sa gorge, elle semblait aimer cela.  Mon sexe, qui hésitait jusqu’à maintenant à montrer l’envie qui inondait mon cerveau, se rappela l’époque où, pour un oui, pour un non, se dressait fier comme un scout.

— Toujours prêt ! Semblait-il me dire à l’époque.

Maintenant, mes érections étaient plus épisodiques, il faut dire qu’il était un peu comme moi : à la retraite.

Enfin, il lui arrivait de temps en temps de remplir son usage, et il ne m’avait fait que rarement faut bon, mais il ne se levait plus aussi facilement et il fallait bien plus qu’un baiser pour le faire réagir.

Mais il me faut aussi avouer que l’heureuse bénéficiaire de cet honneur était jusqu’à maintenant des femmes de mon âge ou presque. J’avais bien eu une aventure il y a 2 ans avec une petite jeune de 52 ans j’en avais alors 68. Cela n’avait duré qu’une semaine et nous n’avions fait que 2 fois l’amour.

C’était lors d’une croisière que mes enfants m’avaient offert. Elle était venue avec des « copines » à elle un peu plus vieille qu’elle. Elles étaient toutes veuves et elle l’avait emmené sur ce bateau pour lui changer les idées. Elle avait perdu son mari depuis moins d’un an et n’arrivait pas à se consoler. Ses copines, 3 pour être précis étaient plus proches de mon âge que du sien. Elles étaient toutes en retraite, elle, elle était simplement en vacances. Elles faisaient toutes les 4 du Yoga et s’est ainsi qu’elles avaient sympathisé. Elles étaient à fouiner dans les magasins du navire, je m’étais perdu et je leur ai demandé mon chemin en les croisant. C’est à elle que je m’étais adressé. Elle était timide et fut un peu surprise que je lui parle. Les autres ont éclaté de rire et se sont moqués d’elle. Nous avons discuté et nous nous sommes donnés rendez-vous pour prendre le repas du soir tous les 5. Elle était pas mal du tout, et elle aussi, comme Justine, était brune aux yeux verts. Bon, sa couleur ne devait pas être naturel, mais le brun auburn était très bien rendu et ne laissait nullement imaginer qu’il cachait certainement des racines annonciatrices d’une dépigmentation capillaire.

Bon, elle me plaisait et je fis en sorte de la croiser seul le lendemain matin et le soir même elle était dans ma cabine.

Comme une adolescente, elle n’avait rien répondu quand je lui avais donné le numéro de ma cabine et que je lui avais dit que j’aimerais la revoir seule pour discuter un peu avec elle sans avoir à supporter les gloussements de ses amies. Le soir, nous avions dîné tous les 5 comme la veille, puis je suis reparti dans ma cabine.

Je ne savais pas trop si elle allait venir, mais ne voulant pas qu’elle me trouve endormi, j’ai donc commencé à lire le bouquin que j’avais apporté.

2 chapitres plus loin, on frappa à ma porte, c’était elle.

Elle s’était changée et portait une ravissante robe. Rien de vraiment sexy, mais cela lui allait bien.

La porte de la cabine fermée, j’ai pris sa main en la regardant dans les yeux. Elle n’a pas cherché à s’écarter ni à fuir mon regard, je me suis approché d’elle et nous nous sommes embrassés.

Rapidement, nous nous sommes retrouvés nus dans mon lit. J’avais envie d’elle, mais mon érection était perfectible. Je commençais donc par un cunnilingus qu’elle apprécia beaucoup  son odeur intime ne laissait aucun doute, elle était excitée.

Ses gémissements retenus au début l’étaient de moins en moins et un petit cri s’échappa même quand ma langue l’acheva dans un véritable orgasme.

Cela m’avait aussi bien plu et excitait, mais mon sexe continuait à faire le difficile et il fallut qu’elle me fasse ensuite une fellation pour lui faire retrouver la vigueur de sa jeunesse.  Elle n’était pas experte en

fellation, je pense même que son mari n’a pas dû en avoir beaucoup, mais cela était suffisant pour que je puisse enfin l’honorer comme il se doit

Je me suis alors introduit en elle, nous avons fait l’amour pendant je ne sais combien de temps, mais assez pour lui offrir un nouvel orgasme avant de me libérer dans cette accueillante grotte intime.

Elle n’est pas revenue le lendemain, et nous n’en avons pas reparlé.

Je ne pensais pas la revoir seule et je fus donc surpris quand, la veille de la fin du séjour, elle vint frapper à ma porte. 

Là encore, sans rien nous dire,je me suis retrouvé entre ses cuisses à la faire jouir, là encore, elle excita mon sexe avec sa bouche et comme pour la première fois, je lui offris un nouvel orgasme avant une nouvelle fois de jouir en elle.

Avec Justine, le baiser avait presque suffi à dresser mon sexe.

Aucun artifice buccal n’avait été nécessaire, téter ses seins m’avait offert une belle érection. 

Ma main avait abandonné son sein. Elle caressa un peu son ventre et se glissa doucement vers ses jambes nues. Nos baisers étaient passionnés. Ma main remonta sous sa jupe, ses cuisses, involontairement s’écartèrent légèrement pour faciliter le passage. Mes doigts établirent le contact avec l’étoffe, ultime gardienne de son intimité. Le coton était humide de sa cyprine.

J’oubliais mes 70 ans, nos 50 ans d’écart. Ma langue valsait avec la sienne, je retrouvais cette jeunesse si lointaine.

Mes 20 ans, âge d’or d’une époque où à cet âge nous étions encore mineurs. Insouciance de la minorité avec déjà les pulsions d’un homme. Je me souviens qu’à son âge, j’avais déjà eu l’honneur de pénétrer une femme, et même plusieurs. 

Ma première fois, j’avais 18 ans, l’heureuse élue, enfin, c’était plutôt

moi l’heureux élu, car c’est elle qui m’avait choisi, c’est elle qui m’avait

dépucelé, elle avait 36 ans, le double de mon âge.

Un couple ami de mes parents, je ne sais pas comment ils avaient li- amitié, je les ai toujours connus amis bien que mes parents soient un peu plus âgé qu’eux. Ils louaient souvent ensemble un grand gîte, j’étais enfant unique, ils avaient un fils et une fille bien plus jeune que moi. Je ne jouais pas trop avec eux, mais nous nous entendions bien quand même. Rien d’extraordinaire, un couple d’amis qui partageaient les frais d’une location sans aucune arrière-pensée libertine.

Cette année-là le gîte était isolé au milieu de  « pas grand-chose », mais disposait d’une piscine. Je venais d’avoir mes 18 ans et commençais à regarder autrement les filles comme de simples emmerdeuses.

Simone, elle s’appelait Simone et n’avait pas cédé à cette mode du bikini et portait un sage maillot une pièce quand elle venait plonger une tête dans la piscine. Sage, mais un jeune de 18 ans puceau mais curieux ne pouvait être qu’intriguée par ce vêtement qui finalement ne cachait pas grand-chose.

L’année précédente, la location n’avait pas de piscine et nous étions trop loin de la mer pour nous y rendre, et j’étais trop jeune, je pense, pour m’arrêter sur cette adulte auparavant. Mes regards étaient aussi discrets qu’honteux. Je faisais tout ce qu’il m’était possible pour voir ces formes sans le montrer à quiconque. Elle était blonde, les yeux bleus, sa poitrine était à mes yeux magnifiques, avec le recul, je dirais qu’elle était jolie mais rien d’extraordinaire.

Personne pour remarquer mes regards ?

Personne ? C’est ce que je pensais.

Si effectivement ni mes parents, ni son mari ne s’apercevaient de rien, Simone a rapidement vu qu’elle ne me laissait pas indifférent je n’osais me mettre en maillot de bain, de peur de trop montrer ce trouble qui déformait mon maillot. Pourtant, ma tenue de bain était composée d’un boxer assez ample.

Cela l’amusa, mais ne chercha ni à s’exhiber ni à se cacher. Elle était flattée de plaire à jeune homme de 18 ans, mais ne chercha nullement à provoquer quoi que ce soit.

Pourtant

J’étais parti faire une balade à vélo, mes parents le mari de Simone avaient emmené les enfants dans un zoo à une cinquantaine de notre location. J’avais préféré une balade à vélo. Je pensais que Simone irait avec eux, mais elle avait décidé de rester à bronzer sur le bord de la piscine.

En fait, je n’avais pas envie d’aller au zoo et j’avais pris comme prétexte l’envie d’avaler quelques kilomètres afin de rester en forme. Mais j’avais à l’idée de revenir rapidement pour me plonger dans les quelques magazines « pornographiques » que m’avait donné un copain juste avant notre départ en vacances. Je les avais glissés dans ma valise en me disant que je trouverai bien en moment pour les lires. Mais partageant la chambre avec le fils de Simone, je n’avais pas pu encore le faire.

A peine étaient-ils partis que je revenais à la location. En rangeant mon vélo j’ai vu Simone qui se dirigeait vers la piscine. Je l’ai suivi sans me faire voir. Là, elle s’est déshabillée pour se mettre en maillot. A ma grande surprise, elle n’avait pas le maillot qu’elle portait habituellement, mais une simple culotte. Je découvrais ainsi ses seins nus

A l’époque, la seule vue d’une paire de sein me suffisait pour avoir une érection

Je me suis approché doucement de la piscine pour mieux la voir. Elle plongea dans l’eau, fit une longueur puis sortie pour s’allonger sur un bain de soleil. Je m’étais approché un peu plus près et je ne sais comment est-ce

arrivé, mais elle m’a alors vu. Elle a mis une serviette autour

d’elle et s’est relevé en regardant dans ma direction.

— Alors, on joue les voyeurs ? Dit-elle en faisant mine de me gronder ? Elle était en fait amusée et elle n’était nullement en colère après moi. Bien au contraire, elle se moquait de moi. Je ne savais pas si je devais fuir

— Ne te cache pas vilain garnement, montre toi

J’avançais vers elle un peu penaud  elle éclata de rire.

Elle avait toujours sa serviette autour d’elle, je ne savais

pourtant pas ou porter mon regard. Je regardais mes pieds en avançant vers

elle. Elle riait de plus belle

— Regarde-moi quand je te parle. Dit-elle en jouant la femme en colère. Je levais les yeux vers elle mais n’osant pas croiser son regard, je fixais un point immobile derrière elle mais rapidement, ce point changea et se dirigea vers le haut de sa poitrine, décolleté offert par la partie non couverte par sa serviette de bain. Elle s’avança vers moi, en marchant la serviette laissa découvrir sa jambe, rien de plus que ce que je n’avais déjà vu quand elle était en maillot de bain, mais, pourtant, cela m’excita et l’érection qui  avait disparu quand elle m’avait découvert redonna à mon sexe une forme gênante. J’avais un short de cycliste bien plus moulant que le boxer de bain habituel et elle ne pouvait ignorer la protubérance au niveau de mon entrejambe. Son regard se posa directement dessus.

Que devais-je faire ? Écarlate mes mains se placèrent sur cette bosse qui me

flatterait aujourd’hui, mais qui me faisait honte à cette époque.

Je me souviens de cet instant comme si je venais de le vivre. Justine ne semblait pas être aussi timorée que moi, même si elle était assez passive, car seul son baiser était brûlant, ses mains restaient en dehors de notre corps à corps. Il est vrai qu’elle n’a pas 18 ans et qu’à 20 ans, de nos jours, peu de filles sont encore vierges. L’est-elle ? Je n’en sais rien.

Simone a légèrement rougi, m’a regardé dans les yeux et m’a fait un petit sourire. Le mien en retour ressemblait vraisemblablement à une grimace.

Elle se trouvait à quelques pas de moi, je n’avais qu’à tendre la main pour la toucher. L’envie de le faire était là, mais l’audace ne m’était pas encore régulière compagne.

De la voir si proche, de sentir son odeur, de m’imaginer poser mes mains sur elle, eut pour conséquence d’augmenter mon érection. Celle-ci se devinait déjà, mais là il n’y avait plus de doute mon sexe dressé déformait sans aucune pudeur le tissu de mon short.

Elle fit un petit signe d’approbation de la tête

— Et bien c’est moi qui te fais cet effet-là ?

— Euh non

— Ah bon ? Tu ne me trouves pas à ton goût ? Cela m’étonnerait ?

— Euh non euh, enfin je veux dire si mais

C’est elle qui avança sa main, elle la posa sur l’excroissance et la caressa du bout des doigts

— N’aie pas peur, je suis flattée Dit-elle en libérant mon sexe de sa prison.

Mais à peine libre qu’il se retrouvait prisonnier de sa paume. Elle le caressa ainsi doucement.

Son geste était lent et ressemblait plus à une caresse qu’à une masturbation,  le dos de son autre main vint effleurer ma joue. Sa serviette de bain, attachée maladroitement,  choisie ce moment-là pour s’effondrait à

terre. Elle se trouvait là, face à moi habillée d’une seule culotte, une main sur ma joue, une autre sur mon sexe.

Tout cela était trop beaucoup trop pour moi. Je n’en pouvais plus mon

sperme macula son ventre nu et sa petite culotte avant même qu’elle ne pût faire quoi que ce soit pour l’éviter. Sans rien dire, elle est ensuite

partie en courant vers la maison.

Je restais-là sans bouger, satisfait, mais aussi honteux que devais-je faire Finalement, j’ai ramassé la serviette de bain et suis aussi rentrée dans la maison.  J’étais content de ne pas la croiser sur le chemin vers ma chambre je n’aurais pas su quoi dire et j’avais peur qu’elle soit fâchée de ce qui venait d’arriver.

Dans ma chambre, je me suis allongé sur le lit en repensant à ce que je venais de vivre. L’érection avait repris de plus belle j’avais enlevé mon short et j’étais nu sur mon lit. Ma main jouait gentiment mon sexe. Un filet blanchâtre  coulait le long de la tige.

Simone, sans même frapper ouvra la porte de ma chambre.

— Eh bien, cela ne t’a pas suffit Me dit-elle en me voyant le sexe

à la main.

— J’ai pris une douche, tu devrais en faire autant Me dit-elle en s’approchant de moi. Elle avait mis une sortie de bain en éponge et je

l’imaginais nue dessous. Pensée qui augmenta le volume de mon érection.

Simone s’en est bien entendu aperçue.

— Bon je ne peux pas te laisser dans cet état là

Quand elle était rentrée sans prévenir, je n’avais même pas eu le temps d’enlever la main de mon sexe. Ensuite, je n’avais pas osé bouger et j’étais resté allongé sur mon lit, ne sachant que faire ? Que dire ?

Elle s’est approchée de moi, a  enlevé son peignoir et j’ai eu la

confirmation qu’elle était nue.

J’avais tout à l’heure découvert sa belle poitrine, cette

fois, c’est une toison blonde et fournie qui se montrait à moi. Mon regard ne pouvait s’en détacher.

Elle hésita un peu

— Qu’allons-nous faire ?

Elle est ensuite venue s’allonger à côté de moi, m’a embrassé

sur la bouche  j’avais déjà embrassé une

fille, mais des filles de mon âge, et leur baiser avait beaucoup moins faim que les siens. Elle avait pris mon sexe en main, libéra ses lèvres des

miennes et me susurra à l’oreille.

— Essaie cette fois d’être moins rapide.

Puis, elle s’est mise à califourchon sur moi, caressa mon torse, puis me voyant trop passif, elle a pris mes mains pour les poser sur sa poitrine.

Je caressais ses seins, mon sexe de plus en plus dur. Elle leva un peu ses fesses, se tortilla pour diriger son sexe vers le mien et s’empala sur moi en laissant échapper à voix basse :

— Mais que faisons-nous !

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire