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Julie et le sexe – Chapitre 6

Julie et le sexe - Chapitre 6



Après la bonne partie de jambes en lair avec mes deux professeurs, nous avons remis ça, quelques jours plus tard dans la salle de cours, toujours avec autant dintensité.

Dernièrement, Pierre me demande, si je pouvais être libre ce dimanche, car il reçoit comme tous les ans, trois couples damis : professeurs dune autre région où il était en poste précédemment.

Nétant pas marié, et nayant pas damie, il souhaite me dit-il que je vienne laider pour le service.

Curieuse, et pour le dépanner, jaccepte de tenir ce rôle, qui je men doute un peu, vu son petit sourire, et surtout ses allusions ne devrait pas être trop triste

Pour loccasion, il ma convaincue de porter une tenue assez coquine pour faire une surprise à ses amis, ce qui confirme ce que je pensais, et de la finalité de cette réception.

Il ma loué une tenue de serveuse assez excitante que jai essayée : jupette noire très courte « ras les fesses », petit chemisier blanc transparent, des bas noirs avec porte-jarretelles assorti, et pour clore le tout, il ma demandé de ne pas porter de sous vêtement !

Nous sommes dimanche, tout est prêt, les invités commencent à arriver, accueillis par Pierre, pendant que je suis en train de mhabiller, cest vrai quavec une telle tenue, je ne vais pas passer inaperçue.

Je me sens pratiquement nue, que vont penser ces gens que je ne connais pas ?

Quand ils sont tous arrivés, Pierre me demande de le rejoindre pour quil me présente, je sens mes jambes qui tremblent tant je suis stressée de me présenter ainsi vêtue devant eux.

En même temps, je suis terriblement excitée de mexposer à leurs regards.

Quand je rentre dans le salon, les regards brillent, même les yeux des femmes me suivent avec envie, le moment de surprise passé, ils mapplaudissent.

Je dois servir lapéritif, ainsi que les amuses bouches que jai disposé sur des plateaux, je passe parmi toutes les convives pour leur en offrir, je sens tous ces regards se porter sur mes trésors qui leur sont offerts.

Cela fait une bonne heure quils sont arrivés, les esprits sont un peu échauffés par lalcool, quand je commence à sentir quelques mains baladeuses qui semblent frôler mes fesses dénudées.

Tous se positionnent autour de la table pour déjeuner, je fais le service comme convenu en présentant les plats à chaque convive pour quils se servent.

Certains, plus particulièrement les hommes me demandent de les servir, pendant ce temps, ils en profitent pour passer leurs mains sous ma jupette à la rencontre de mes fesses et même de mon sexe.

Lors des premières incursions sur mes fesses, jai fait semblant dêtre surprise, tout en faisant mine de me soustraire, mais devant les sourires de Pierre, ils nont pas été dupes.

Au deuxième passage, je sens des doigts qui sinsèrent franchement entre mes lobes fessiers et même dans mon sexe quils doigtent en faisant certains commentaires assez crus.

Les gestes de ces cochons, ne me sont pas indifférent, je commence à sentir de la mouille qui coule le long de mes cuisses, dautant que mêmes ces dames qui pourtant semblaient assez réservées, se sont mises à faire comme leurs maris.

Elles touchent mon intimité en essayant de trouver et de capturer mon petit bouton, ce quelles parviennent à faire sans trop de difficulté, étant donné mon état dexcitation.

Des réflexions fusent : regardes cette petite cochonne comme elle mouille, elle nen est sûrement pas à son coup dessais, il ne doit pas sennuyer le Pierre avec une petite salope comme elle

Tout au long du repas, lintégralité de mon corps a été exploré par tous, excité par lalcool et par ce jeune corps mis à leur disposition, les mâles sont déchaînes, tous sont obnubilés par par lidée de me sauter.

Je suis moi-même très excitée par la façon dont je suis traitée, mieux je coopère en écartant mes cuisses devant tous ces intrus, mon désir de pénétration est si intense, que je viens mempaler de moi-même sur leurs doigts, en les encourageant à aller plus profond, quelle garce je fais !

Les voisines les plus proches de ces messieurs sont également mises à contribution, la fin du repas approchant toutes ces dames, ont les jupes bien relevées, les cuisses bien écartées, les corsages ouverts, et les culottes enlevées.

Certains hommes se sont positionnés entre leurs cuisses pour aller faire une visite à leur minette, ce qui les fait glousser de plaisir.

Le repas terminé, nous passons au salon pour prendre le café que je sers, jai bien des difficultés pour remplir convenablement les tasses car je sens la pression des mains autour de mon cul, qui est de plus en plus la cible de tout ce beau monde.

Pour assouvir toutes ces envies, Pierre me demande denlever mon chemisier, et de mallonger sur la table, les cuisses et le sexe bien ouvert et à disposition de tous.

Chaque partie de mon corps est convoité, mes seins sont triturés, malaxés, pincés, tandis que ma bouche est embrassée, des langues surtout de la part des femmes tentent de sy insérer.

Mes cuisses sont minutieusement caressées, tant quà mon sexe, il est assailli par plusieurs doigts et langues qui souhaitent le pistonner et le goûter.

Une belle queue, se promène sur mes lèvres, je la prends en bouche pour tout dabord la sucer et ensuite pour la faire coulisser.

Pendant ce temps, je sens quune bitte qui semble de bonne dimension sest positionnée à lentrée de ma vulve pour menfiler, je sens la bête qui pénètre lentement dans mon abricot, pour venir se planter au plus profond de mon ventre.

Chacun leur tour, ils visiteront ma bouche et mon sexe, même les femmes viendront me brouter la minette remplie par le sperme de leurs maris.

A un moment, Pierre se couche sur la table son vit bien dressé, il me demande de venir mempaler dessus.

Tous nont dyeux que pour la petite salope que je suis, qui les cuisses biens écartées, les lèvres de ma moule bien ouvertes par mes doigts, je descends à la rencontre de cette tige qui va sinsérer au plus profond de moi.

Je descends lentement sous les encouragements, je suis à la fois impatiente de sentir cette tige me labourer, et me faire crier.

Une fois bien emmanchée par mon amant, je me courbe pour quun de ses amis me prenne mon petit trou et pendant que les deux autres me présentent leur queue pour que je les suce.

Pour ne pas être en reste, deux femmes me mangent les nichons et caresse mon corps, pendant que la troisième est en train de filmer la scène.

Écartelée, tous mes trous emmanchée, toutes les parties sensibles de mon corps assaillies, ma tête tourne, je crie, transpire, le plaisir et la jouissance étaient semblables à des vagues qui déferlent dans mon corps.

Je me lâche en mabandonnant à mes amants, je ne ressens quun plaisir intense qui envahit tout mon corps.

Jentends même une femme dire : quelle belle petite pute cette gamine, elle promet

Pendant toute la soirée et ce jusquau petit matin, nous avons forniqué, mon corps convoité par tous et toutes a été mis à rude épreuve.

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