Bonjour, je suis Jean-Christophe, laissez moi vous raconter mon histoire avec Mylène, une des plus grandes salopes de la terre.
Mylène est une jeune femme magnifique que j’ai rencontré en travaillant avec elle, 1m68 pour 50 kg, très mince mais pas maigre du tout, des petits seins très haut perchés, de longues jambes fines et fuselées, et surtout un cul minuscule que tout homme un peu vicieux rêve de percer.
Nous avions une grande différence d’âge, j’en avais 34 et elle 22, mais je suis assez bel homme et à force d’assiduité j’ai réussi à me retrouver seul avec elle dans son appartement, à ce moment là rien n’était fait et la soirée ne se passait pas franchement comme je l’espérais.
Arrivés à 23h je décide de rentrer chez moi, lassé de lui faire du gringue toute la soirée, et au moment où je me rhabille elle me dit: »J’ai pas envie d’être seule cette nuit. » Alors qu’elle avait gardé la porte fermée toute la soirée c’est elle qui me demandait de rester. J’étais un peu contrarié mais je fis abstraction et je lui dis: »Tu es sûre? Si je reste ce n’est pas pour dormir. » Sa réponse était sans équivoque, elle se mît à genoux, défît ma braguette et commença à me pomper le sexe d’une façon assez traditionnelle et classique mais techniquement c’était bien.
La nuit avançant nous pratiquâmes nombre de petits jeux mais ça restait assez bon enfant, le summum du stupre pour elle étant la levrette, et pas question de sodomie alors que j’avais son tout petit trou qui m’hypnotisait. Elle accepta tout de même un anilingus qui à priori ne lui déplût pas. C’était assez soft et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
De jour en jour nous avons continué à nous fréquenter, c’était plaisant et je ne tardais pas à éprouver des sentiments, et un jour nous décidâmes de prendre un appart à 2 car les nôtres étaient minuscules.
Nous étions à peine installés qu’elle me sort que c’est fini entre nous et que nous serions de simples colocs, en fait elle avait tout calculé et cherchait un pigeon pour la loger et l’entretenir, car bien entendu elle ne participait pas aux frais et dépensait tout son argent en trucs inutiles et coûteux. Bien évidement l’ambiance n’était pas au beau fixe et ça a empiré quand elle a commencé à ramener des mecs pour se faire baiser car elle ne voulait plus de moi mais il lui fallait sa dose.
J’ai commencé à ruer dans les brancards et elle a vite compris qu’elle allait devoir se barrer avant que ça tourne au vinaigre, elle a branché un gars qui avait l’air gentil et elle est partie dans l’optique de lui faire le même coup qu’à moi vraisemblablement, elle me devait un paquet de fric mais j’étais soulagé qu’elle soit partie sinon je pense que ça se serait très mal terminé.
Presqu’une année passa, un jour mon téléphone sonne: »Bonjour JC, c’est Mylène. »
– Je te trouve gonflée de m’appeler après ce que tu m’as fait, tu m’appelles pour me rendre mon argent?
– Non mais je suis dans la merde, j’ai besoin de toi.
– Quoi mais tu te rends compte de ce que tu demandes?
-S’il te plaît, viens me voir au café en bas de chez toi, il faut que je te parle.
Elle pleurait et poussé par la curiosité j’acceptais d’aller la voir. en arrivant au café je tombe sur une Mylène méconnaissable, pâle les traits tirés, visiblement les derniers temps ont été durs pour elle. Je lui dis bonjour sans amènité et m’asseois en face d’elle. Là elle me raconte que le mec avec qui elle est partie était un salaud mais sans entrer dans les détails.
Je dois avouer que je prends un peu mon pied à la voir vulnérable et je décide d’en rajouter:
– Pourtant un salaud et une salope ça devrait bien aller ensemble, non?
– Je l’ai pas volée celle là, je m’y attendais d’ailleurs, mais je suis quand même venue, j’ai besoin que tu me loges s’il te plaît.
– Tu plaisantes, même en rêve tu mettras pas un pied chez moi, en tout cas pas avant de m’avoir remboursé, on pourra toujours discuter après.
Et si je te dis que je te rembourse en nature, je ferai tout ce que tu voudras.