Cité des oliviers, 5 h 48 du matin.
Un bâillement sonore vint rompre la quiétude de la voiture, forçant Sarah à ouvrir les yeux et jeter un regard noir à son coéquipier.
— Pardon lieutenant, s’excusa maladroitement l’homme dont la taille de géant le rendait ridicule dans la petite Clio banalisée, avant de tenter de se justifier. C’est que je ne suis pas rentré chez moi depuis trois jours…
— Je ne veux pas entendre tes excuses, c’est pareil pour tout le monde ! répondit sèchement la policière, chez qui la fatigue se traduisait pas ses yeux gonflés de cernes. On est tous dans le même bateau Robert, ma voisine est même obligée de venir nourrir mon chat… alors tes états d’âme, on va s’en passer !
Un silence de plomb s’abattit dans la voiture, mais Sarah en savoura le calme. Les jours sans repos, les nuits d’attentes de filatures, la policière en avait l’habitude, c’était son métier, sa vie, elle ne vivait que pour ça, protéger, servir… sortant de sa torpeur, son regard se posa sur sa montre, 5 h 57 du matin, elle sourit et attrapa la radio.
— À toutes les unités, plus que trois minutes et nous serons dans la légalité, intervention imminente !
Une fraction de minutes plus tard, les unités sous le commandement du lieutenant Sarah Delgado se déversèrent dans la cité et le hall d’un appartement à la recherche de stupéfiants, suites aux informations concordantes données par de nombreuses sources. L’opération dura de longues minutes, dans le bruit, les cris, et les aboiements des chiens. Lasse et épuisée de crier des ordres à tour de bras, Sarah profita d’un moment de répit dans les opérations pour en griller une, et inspecter personnellement une rangée de caves. Espérant profiter du calme et de la froideur des lieux pour couper un peu après avoir couru toute la matinée. Une conduite qu’elle savait imprudente, puisqu’elle s’éloignait de ses hommes pour pénétrer dans les tréfonds d’un HLM.
Soudain, une odeur forte attira son attention en passant devant une porte entrouverte. Intriguée, Sarah plissa les narines. Elle y reconnut celle de la sueur, du renfermé, du vomi, et une autre odeur familière, mais qu’elle n’avait pas sentie depuis longtemps. Guidée par sa curiosité, le lieutenant poussa la porte qui grinça, à l’intérieur une cave vétuste et sale, rien qui ne sorte de l’ordinaire, hormis un matelas posé au sol et parsemé de taches. L’odeur était forte, trop forte, l’officier était sur le point de rebrousser chemin quand son regard fut soudain attiré par un magazine automobile à même le sol. Elle le feuilleta à la recherche d’un éventuel indice, se battant avec de nombreuses pages collées, sans résultat. Enfin, son regard se darda sur l’indice qui allait lui permettre de résoudre le mystère de l’odeur familière : des préservatifs usagés sur le sol.
Mais oui, l’odeur familière, mais lointaine était donc celle du sperme. Un frisson parcourut la policière, depuis combien de temps n’avait-elle pas été en contact avec la semence d’un homme, voire d’un homme tout court ? Des mois ? Des années ? Son métier ne lui laissant que peu de place pour rencontrer. Sans savoir pourquoi, sa main se tendit et Sarah attrapa l’un des préservatifs. Il était gluant, elle le passa devant ses yeux, observant comme fascinée le foutre stagnant à l’intérieur, dieu seul savait depuis quand il était là ? Inconsciemment, elle porta le réservoir sous son nez et le renifla. L’odeur était forte, amère, pourtant elle fut prise de chair de poule, et ne se contrôlant plus, fit glisser quelques gouttes sur sa langue. Sarah avala avec délectation, retrouvant une saveur perdue depuis temps de temps.
— Je te vois ! dit soudain une voix grave et puissante dans son dos.
Le cur de Sarah manqua un battement, elle était comme pétrifiée, immobile, les bras pendant le long de son corps, un préservatif usagé dans la main. Son visage alternait entre le rouge de la honte et le blême de la peur, se faire surprendre dans une situation aussi humiliante… heureusement, la voix pénétrante ne semblait pas être celle de l’un de ses hommes. Pour la première fois, l’officier se sentit faible, loin de l’image de la femme forte qu’elle se plaisait à renvoyer. Dans un élan de courage, et toujours de dos, Sarah réussit à articuler quelques mots.
— Pardon ?
— Je te vois ! dit à nouveau l’homme, dont les pas trahissaient un rapprochement de plus en plus important. Je te vois toi, la femme derrière la policière ! Derrière ce pantalon sans formes, je devine tes jambes galbes et un petit fessier à croquer. Derrière cette veste en cuir digne d’un homme, je devine un corps à goûter, une petite paire de seins fermes, un ventre plat, le tout malgré des épaules un peu trop musclées. Derrière ses cheveux bien trop souvent attachés et ce visage sans maquillage, je devine le visage d’une femme rougissante et troublée. Sache que je vois la magnifique femme en toi que plus personne ne semble voir, y compris toi.
Les dernières paroles prononcées, Sarah pouvait autant les entendre que les sentir. La bouche de l’homme étant seulement à quelques centimètres de son oreille droite, elle frissonna. L’homme était maintenant collé à elle, le lieutenant pouvait sentir son bassin collé à ses fesses. Pourtant il ne faisait rien, il resta silencieux quelques secondes, augmentant le trouble et le malaise de Sarah, maintenant rouge comme une pivoine, elle avait le souffle saccadé, jamais elle ne s’était sentie si vulnérable, fragile, si femme…
— Ma belle, tu as depuis trop longtemps oublié le fait d’être désirée, de vouloir plaire… Quelle tristesse ! Tu as quoi ? Trente ans à tout casser ? Pourtant ta fleur ne semble plus s’épanouir, alors qu’elle a temps à donner et à recevoir. Depuis combien de temps n’as-tu pas senti la chaleur d’un homme au creux de tes cuisses ? Bien trop longtemps je le sais…
L’homme s’était lancé dans un monologue avec son oreille. Sarah l’écoutait sans bouger, des frissons dans tout le corps, de la chaleur dans le bas rein. Les mots résonnaient dans son esprit, cet homme semblait lire en elle comme dans un livre ouvert. Elle était sous son influence, son contrôle. S’il lui avait demandé là à ce moment de se cambrer devant lui et de s’offrir elle se serait exécutée. Pourtant il ne semblait pas attendre cela d’elle, il continuait à lui parler, collé à elle, touchant son esprit et son corps d’une chaleur de braise. Puis lentement, il l’attrapa par les hanches et la fit pivoter pour mettre la policière perdue face au matelas jonchant le sol.
— Maintenant ma femme oubliée, je veux que tu t’imagines sur ce matelas ! Nue ou dans ta lingerie la plus sexy, heureuse et offerte. Imagine les hommes autour de toi, ils te regardent, leurs yeux en admirations, ils veulent te dévorer, ils brûlent de désir pour toi. Maintenant vois leurs sexes en érections, levés juste en te regardant, toi une femme désirable et sexy ! La star du show, excitant rien que par la vue. Imagine ton pouvoir sur les hommes… Vois-les te combler de plaisir alors qu’ils viennent maintenant prendre leur déesse. Vois-toi, rugissant de plaisir sous leurs caresses. Imagine-toi en femme comblée…
Sarah devenait moite, toute chose, elle se mordait la lèvre, n’imaginant que trop bien la scène. Depuis quand ne l’avait-on pas désirée ? Depuis quand n’avait-elle pas sentie le regard plein de désir d’un homme pour elle et la comblant ainsi de bonheur et d’amour-propre, juste par le fait de savoir que l’on est belle que l’on plaît… La policière ne tenait plus en place, ses jambes flageolantes, se croisant et se décroisant.
— Maintenant ma belle, tu sais ce qu’il te reste à faire pour retrouver la femme en toi… Viens ici, demain soir à 22 h, et tu goûteras aux plaisirs perdus. Tu redécouvriras ton corps sous un angle que tu n’imaginais plus. Tu te retrouveras… et pour cela tu as seulement besoin de venir et de t’annoncer comme venant de la part de Brahim.
Une fraction de seconde plus tard, Sarah sentit l’étreinte se relâcher, l’homme avait disparu aussi vite et mystérieusement qu’il était arrivé. La laissant là, en plan, moite, chaude, une étrange sensation au niveau de l’entrejambe. La policière s’écroula alors au sol, complètement ravagée par l’expérience troublante qu’elle venait de vivre. Le reste de la journée passa à une vitesse folle, elle se comportait de manière mécanique, l’esprit ailleurs, possédé par une voix impérieuse et des mots. Ses hommes, heureusement, mettant son comportement étrange sur l’échec des perquisitions et le manque de sommeil de leur officier.
Une fois chez elle, Sarah se comportait toujours de manière mécanique, l’estomac noué, elle ne put rien avalé, nourrit juste son chat, puis prit une longue douche froide pour refréner ses ardeurs et les pulsations de son corps. Avant d’aller se coucher. Là, son sommeil fut agité, la voix de l’homme peuplant ses rêves. Elle ne pouvait y résister, puis ses rêves prirent des tournants érotiques, où la jeune femme rougissait d’elle-même en se voyant dans des situations toutes plus équivoques et immorales les unes que les autres. Elle se réveilla soudain en criant, alertant son chat au passage qui la considéra comme une folle. Son lit était défait, ses cheveux en batailles, son corps moite, en sueur, et entre ses jambes son sexe était mouillé et humide, son short de nuit ruinée par la conséquence de ses pulsions nocturnes. Ce soir-là, elle ne put se rendormir.
La journée lui sembla durer une éternité. Le lieutenant Delgado était à cran, les sens en alertes et une boule d’excitation et d’angoisse dans le bas du ventre, sursautant au moindre bruit ou contact. Elle savait que l’homme l’avait vaincu, terrassée. Pour la première fois depuis très longtemps Sarah quitta le travail à l’heure, et fit des activités pour elle : coiffeuse, esthéticienne et un peu de shopping, elle retrouvait des activités banales de femmes ordinaires.
Cachée derrière son volant, Sarah vint de se garer au pied d’une tour de la zone des oliviers, stressée, elle en profita pour s’en griller une dernière. Dire qu’il y a encore quelques heures elle était en planque au même endroit, et maintenant voilà qu’elle y revenait dans l’espoir de se faire tirer. Elle avait autant honte d’elle qu’elle était excitée par la situation. Elle écrasa sa cigarette, maintenant, c’était son dernier espoir de fuir, elle préféra ouvrir la portière…
Ella faillit trébucher à cause de ses talons, elle n’avait clairement pas l’habitude d’en porter, elle était maladroite avec, et sa démarche guère assurée lui valait le rire des passants. Imaginer un peu la scène : une femme, belle et maquillée de manière plus que sexy, les cheveux au vent, portant une petite robe rouge moulante au milieu des HLM, plus habitués à voir des femmes pudiques et voilées. Autant dire que notre chère policière tranchait fortement dans le décor.
Sur le palier de l’hlm, trois hommes habillés façon gangsta la regardaient en se foutant ostensiblement de sa gueule. Sarah arriva au palier la boule au ventre, le regard baissé.
— Je viens pour Brahim, demanda-t-elle dans un murmure.
— Hein tu as dit quoi, là ? gronda un des hommes. On n’entend que dalle à ce que tu racontes l’allumeuse.
— Je viens pour Brahim, répéta avec conviction le lieutenant et en osant enfin croiser le regard des hommes.
Aussi tôt, leurs regards s’illuminèrent et ils sourirent. Visiblement, ils savaient tous très bien quel genre d’activité Brahim pratiquait dans sa cave. L’un d’eux posa même délicatement une main sur les fesses de Sarah qui tressaillit au contact, mais eut la force mentale de rester silencieuse et de ne pas se débattre.
— Attend un peu, je te connais-toi ! s’exclama soudain un des hommes. Sarah se pétrifia de peur, en reconnaissant l’un des suspects du trafic de drogue. Mon Dieu, s’il la reconnaissait elle risquait de se faire passer à tabac et ne pas baiser ce soir comme prévu, mais se faire violer. Mais oui, je te reconnais, tu es l’une des putes qui tapinent le long de la RN1. Vas-y passe ma beauté, je viendrai peut être faire un tour tout à l’heure quand tu auras déjà le fion bien éclaté.
Rire gras des hommes. Sarah rouge jusqu’aux oreilles fonça alors dans le hall, où elle croisa deux mamas qui l’insultèrent de tous les noms devant tant de déchéances et lui demandèrent de se respecter un peu. La policière ne pouvait que fuir devant tant d’hostilité. Elle fonça dans les caves, espérant ne plus croiser personne sur son chemin. Devant la porte de la cave, elle trouva un guetteur qui la dévisagea de la tête au pied.
— Et tu es ? demanda-t-il entre deux lattes d’un cigare.
— Sarah, répondit la jeune femme avec de la détermination, maintenant qu’elle était là autant assumer jusqu’au bout. Je viens de la part de Brahim.
— Très bien on t’attendait, enlève ta robe et rentre !
— Pardon ?
— T’es conne ou quoi ? Tu es trop habillée pour ce que tu as faire, laisse-moi ta robe, ordonna l’homme d’une voix indiquant que le refus n’était pas une option. De toute façon putasse, tu ne vas pas garder ta lingerie bien longtemps non plus à l’intérieur, alors magne.
N’ayant pas trop le choix, et cédant facilement devant les voix autoritaires, Sarah fit tomber sa robe lascivement devant le gaillard qui pervers n’en rata pas une miette.
— Hum pas mal salope, quoique tu devrais arrêter la musculation si tu veux rester féminine.
Et à ses mots, il la poussa dans la pièce sombre, où trois hommes nus attendaient tranquillement, tout en jouant avec le magazine automobile de la veille, résolvant au passage le mystère des pages collées. Ils se mirent au garde à vous en la voyant, Brahim n’avait pas menti, elle était une déesse. Les hommes la regardaient avec admiration, deux avaient même un début d’érection en la voyant, rien qu’en s’imaginant maîtresse d’autant de pouvoir, Sarah commença à humidifier son petit string.
— Présente-toi salope ! ordonna d’un coup le guetteur en fermant la porte d’un coup sec, puis en venant plaquer avec fermeté ses mains sur la poitrine de Sarah, qui gémit sous la surprise, puis grimaça devant le manque de tendresse de l’homme avec sa poitrine. Les gars c’est des vrais en plus. Brahim a vraiment le chic pour trouver de la viande fraîche. Bon tu te présentes putasse ?
— Bonsoir, moi c’est Sarah, dit la jeune femme en essayant d’être le plus sensuelle et sexy.
— Très bien les gars, la putasse de ce soir c’est Sarah, et donc Sarah tu es là pour quoi ce soir ?
— Pour me faire sauter !
À ses mots, l’homme poussa Sarah sur le petit matelas. Elle faillit se casser la figure, perdant l’équilibre à cause de ses talons, mais les hommes l’interceptèrent. Les trois hommes encerclèrent alors Sarah, la palpant sans ménagement, ils s’amusèrent même quelques minutes à faire rebondir la poitrine de Sarah, qui réfréna une grimace. Puis l’un des hommes, un grand noir, baissa d’un coup sec le string de Sarah, offrant son intimité, si longtemps cachée à la vue des hommes.
— C’est que notre vide couille du jour est toute lisse, s’exclama un des hommes. Un vrai petit bébé tombé du nid douillet de sa maman pour se faire tringler.
Un instant plus tard, un index jouait sans ménagement dans le vagin de la policière, avec aisance tant la policière était excitée par la situation. Pendant ce temps, l’un des hommes vint rouler des pelles monumentales à la jeune femme pour faire cesser des gémissements, violant sa bouche de sa langue. Le troisième lui, s’amusait à fesser Sarah, dont les fesses commençaient à rougir. Soudain elle cria de douleur, l’homme introduisait plusieurs doits dans sa chatte, sans ménagement, l’écartant comme un barbare et ayant oublié tout sens de la douceur, sans oublier ses ongles mal coupés venant râper l’intérieur de la policière. Au moment où elle voulut protester, un deuxième cri la stoppa, quand le troisième homme commença à la fister sans la prévenir. Quelques larmes coulèrent et attaquèrent son mascara.
— Sérieusement, elle commence à souler à couiner pour rien celle-là !
— Mettons une grosse bite dans sa bouche, cela la fera taire !
À ses mots, les hommes jetèrent Sarah à genoux sur le matelas, et lui présentèrent les trois sexes en érection. Là, à leur merci, elle se jeta avec appétits sur les sexes gonflés de désirs, n’en ayant pas goûté depuis trop longtemps. Dieu que l’odeur lui avait manqué, malgré la douleur et les gorges profondes, elle se sentait revivre. Pourtant, de l’extérieur elle devait être ridicule, couverte de baves, le visage ruiné par son maquillage dégoulinant, et des bittes tapant dans sa glotte, lui arrachant au passage des petits bruits indignes d’une femme bien élevée.
Enfin, il fut temps de passer à la casserole. Sarah avait compris depuis un moment que Brahim lui avait menti. Elle n’était pas la déesse de ses hommes, mais leur objet, leur vide-couilles. Ils avaient prévu de lui faire faire tous ce que leurs femmes et leurs copines ne souffriraient jamais qu’on leur fasse. Ils étaient des animaux, et hélas pour elle, Sarah était leur cochonne du jour. Malgré tout, elle y trouvait un certain plaisir, pour la première fois elle s’abandonnait, elle n’avait plus de responsabilités, elle n’était rien, juste un trou bougeant au rythme des bites. Elle prenait donc aussi son plaisir en s’évadant dans les traces de sueurs et de spermes qui la recouvraient petit à petit.
La soirée dura des heures, des hommes rentraient, d’autres partaient une fois versé leur foutre sur ou dans Sarah. Quant à elle, elle ne sentait plus rien, sa chatte n’avait plus de sensation, sa bouche était engourdie par le sperme, et son petit cul aurait pu faire rentrer une bouteille tant elle se faisait prendre sans ménagement par tous les trous ce soir. Le bruit des couilles claquant contre son corps était devenu un son régulier et normal à ses oreilles.
Puis petit à petit la pièce se vida, laissant pour la première fois Sarah sans bites. Cambrée, elle remua le cul pour inciter l’un de ses mâles à la prendre. Tout à coup, d’un coup sec, une bite puissante rentra en elle jusqu’à la garde, lui arrachant un cri de surprise.
— Tu vois, je t’avais dit que je viendrais me vider en toi quand tu aurais le cul parfaitement ouvert petite chienne de la casse. Les gars, elle est pour moi maintenant, je veux la finir seul ! ordonna le portier de l’hlm qui semblait visiblement avoir un rôle important.
L’homme agrippa Sarah par les hanches, et la pilonna par des cous secs, lui arrachant des hoquets à chaque pression de bite. Dans un état second, elle retrouva légèrement ses instincts de policière pour tenter de gagner un indice pour son enquête.
— Dieu que c’est bon ! Je peux savoir qui est l’homme sur le point de me faire jouir ? articula le lieutenant au rythme des coups de bites.
— La ferme ! Je ne suis pas venu pour t’entendre jacasser sale pute ! Mais sache que tu vas avoir le foutre d’Abdel le défourailleur dans ta foune !
— Hum, baise-moi Abdel, fais de moi ta chose ! Ouiiiiiiiiiiiiiii… hurla Sarah, vaincue par le sexe de son assaillant et perdant de nouveau le contrôle de son corps et de son esprit.
— Tu parles trop pour une pute toi. D’ailleurs vous savez à qui elle me fait penser les gars ?
— À la pute de la RN1, tu l’as dit tout à l’heure gros…
— Non, à cette policière lesbienne qui essayait de jouer le bonhomme hier, confessa Abdel en stoppant sa bite au fin fond de Sarah, dont le cur venait de s’arrêter de battre.
— La guenon ? Haha on va la retrouver frère. Le jour où elle est seule, on lui cassera sa petite gueule d’ange, elle doit en brouter des minous avec sa tête.
— Moi, je vais surtout l’enculer à sec cette catin, je lui agrandirais généreusement son petit trou de balle… dieu que ça m’énerve de repenser à cette pute. Prépare-toi salope, je suis énervé et tu vas prendre pour ton sosie.
Abdel tira les cheveux de la personne qu’il rêvait d’enculer alors qu’il le faisait déjà, et regardant sa tête avec mépris, lui cracha un molard sur le visage déjà souillé de Sarah. Puis, de ses doigts puissants, il écarta la mâchoire de sa victime, et la baisa comme jamais, sans ménagement. Sarah hurlait à la fois de plaisir et de douleur, enchaînant les sensations inconnues. Puis elle sentit Abdel prendre de l’élan et lui rentrer son imposant sexe d’un coup tellement puissant que la jeune femme fut projetée en avant, suivie d’une terrible douleur, puisque les doigts de l’homme dans sa bouche la retenaient.
L’homme était maintenant allongé de tout son long sur Sarah, la bite dégrossissant dans ses petites fesses sexys et souillées par les hommes. Abdel était en sueur. Sarah sentait son sperme gluant et chaud couler au fond d’elle. Ils restèrent comme ça quelques minutes, Sarah ne sachant pas quoi faire, puis l’homme sortit sa bite de son cul d’un ploc. Puis affectueusement, caressa le cuir chevelu de la jeune femme.
— Merci, ma belle, tu m’as bien vidé, dit l’homme d’une voix rauque. Tu as réussi à me faire passer mon stress, n’hésites pas à venir me voir si tu veux à nouveau du jus de couille.
Puis il laissa Sarah en plan, la laissant seule sur son petit matelas souillé de baves, de sueurs et de spermes. Un peu perdue par les heures de baises, elle resta plusieurs minutes à quatre pattes, cambrée, les fesses en arrière par réflexe. Puis n’en pouvant plus, elle s’effondra sur le matelas et écrasa son visage dans du sperme. Elle était comblée, heureuse, mais vidée et avec en prime un corps lui faisant souffrir le martyre. Elle ne résista pas longtemps avant de tomber dans un sommeil au milieu de sa déchéance.
…
…
Je te vois ! la réveilla la voix qui l’avait tant fait vibrer. Et toi ? Te vois-tu maintenant ?
Fin.