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La café philo – Chapitre 1

La café philo - Chapitre 1



Dans mon quartier, une fois par semaine, un café très ancien, organise des soirées philo.

Alain, mon ami et voisin s’y rend souvent, cela fait un moment qu’il me bassine pour que je l’accompagne.

-Max, je n’y vais pas pour la philo, j’en ai rien à foutre de leurs divagations métaphysiques, mais tu verrais les bourges qui viennent se faire mousser.

Effectivement, une bonne quinzaine de femmes "seules" écoutent les intervenants, ne participent jamais et semble s’ennuyer au bout d’un moment.

-Alain, elles se font chier ces femmes, qu’est-ce qu’elles font là ?

-Elles sortent de chez elles, la philo, c’est un prétexte.

-C’est elles que tu dragues ?

-Elles ne sont pas toutes baisables, mais au moins la moitié.

-Tu en as déjà eu combien ?

-Trois pour le moment, étant donné que je me suis appliqué, ça devrait payer.

-Alain, tu joues les gigolos maintenant ?

-Mais non, quand je dis payer, je veux dire que ça devrait marcher, elles se parlent et se refilent les bons tuyaux.

-Elles ont toutes dépassées la quarantaine.

-Et alors, ce sont les plus salopes Max, et celles qui sont mariées sont encore pire !

-Ah bon ?

-Bien sur, leurs maris s’endorment sur leurs lauriers mon vieux, un petit coup par semaine pour se vider les couilles, et je roupille ! Elles veulent autre chose, avec toutes les conneries qu’on leur raconte dans les magazines, il faut leur en donner, crois mois.

-Et alors, tu fais comment puisqu’on ne peut pas se parler ?

-J’ai mis un gant de toilette dans mon slip, ça me fait un gros paquet et je me touche de temps en temps en les regardant, c’est bien le diable si ça n’en excite pas deux ou trois.

-Alain, tu rêves mon ami, en plus, avec la pine que tu as, le gant de toilette est superflu.

-Toi tu le sais, mais pas les femmes, au repos ma pine n’est pas plus grosse que les autres. Max, la tienne est encore plus grosse que la mienne si mes souvenirs sont bons.

-Alain, celle avec le chignon n’arrête pas de te regarder.

-J’ai vu, c’est sa voisine qui vient de lui parler.

-Tu crois qu’elles parlent de ta bite ?

-Possible, on va le savoir, je me touche.

Ostensiblement, il passe sa main sur la bosse que fait le gant de toilette sans regarder dans leur direction, celle du chignon devient rouge et donne un coup de coude à sa voisine.

-Alain, ça marche.

-Je m’en doute.

-Qu’est ce qu’on fait ?

-Attend, je vais vers le bar, tu vas voir qu’une des deux va se lever.

Accoudé au bar, il parle avec le patron, la voisine ’’du chignon’’ se lève et va au bar, Alain se tourne vers elle et lui sourit mais je n’entends pas ce qu’ils se disent.

La discussion dure un peu, la femme fait signe à sa copine de la rejoindre, Alain me fait un geste identique de son coté, nous arrivons au comptoir ensemble.

-Max, je te présente Julie.

-Enchanté, voici Laure.

-Bonsoir Laure, je suis Alain.

Avant de leur parler, je regarde leurs mains, toutes les deux portent une alliance.

-Vous êtes habituées de ces soirées ?

-Oui, ça nous permet de nous évader de la maison.

-Ça vous plairait d’aller faire un tour ?

-Oui, mais nous aimerions mieux ne pas trop nous afficher dehors avec vous.

-Alors il ne nous reste que la solution d’aller chez l’un de nous, Alain tu peux ?

-Bien sur que je peux, j’ai même du champagne au frais, ça vous branche les filles ?

-Oui, vous savez, nous ne cherchons qu’à passer un bon moment.

Alain habite à deux cent mètres et moi en face de chez lui, il vit seul, j’héberge ma mère pour une semaine encore.

Avant de partir, je règle les consommations, le patron nous fait un signe du pouce levé, je crois qu’il a compris.

L’appartement d’Alain est au premier étage, les filles vont être bluffées par la déco qui mélange l’ancien et le moderne, mais années cinquante ou art déco quand même.

Dans le salon, à l’aise tous les quatre, nous trinquons à notre rencontre.

-Si j’ai bien compris, vous avez envie de vous éclater les filles !

-Oh oui ! En ce moment, ce n’est pas la joie.

-Mais nous sommes là pour vous être agréables, qu’est ce qui vous ferait plaisir ? Dis-je en souriant.

-Ne vous fichez pas de moi, de loin, j’ai vu ça. dit elle en montrant la bosse qui gonfle le pantalon d’Alain.

-Vous êtes amatrice de gant de toilette ?

-Comment ça ?

-C’est un subterfuge Julie, dit Alain en ouvrant sa braguette pour en extraire le gant de toilette.

-Mais c’est dégueulasse ce que vous faites, j’ai cru que vous aviez une.

-Une grosse bite ?

-Heu. Oui.

-Mais c’est le cas Julie, sauf qu’au repos ça ne se voit pas beaucoup sous un pantalon.

-Ton copain n’en met pas, lui.

-Il ne savait pas que je le faisais. Alors comme ça, vous êtes amatrices de grosses bites ?

-Oui, tant qu’a faire ! Le mari de Laure est mal doté par la nature, il là baise mais pas comme elle aime.

-Et toi, ton mari te baise bien ?

-Il me baise bien mais pas assez souvent, j’en prendrais bien un coup ou deux par jour mais lui, c’est un ou deux par mois.

-Attendez les filles, des hommes qui pourraient vous baiser, vous sortez dans la rue, vous mettez un coup de pied dans une poubelle, il en sort une dizaine !

-Justement, ce n’est pas de ceux là dont nous voulons, baiser pour baiser, autant le faire avec nos hommes ou nous branler avec nos godes.

-Alors vous cherchez quoi ?

-Des mecs qui ont envie de s’éclater comme nous, qui n’ont pas de tabous et un peu de perversité.

-Mais c’est tout à fait nous, n’est ce pas Max ?

-C’est sur Alain, d’ailleurs, rien que d’en parler, je bande déjà !

-Moi aussi qu’est ce que tu crois.

-On peut voir les garçons ?

-Bien sur, mais foutez vous à poil que ça nous excite.

Nous nous déshabillons, tous les quatre ensemble, les filles étant nues avant nous, Alain et moi leur tournons le dos et faisons demi-tour en même temps.

-Ouah ! disent les filles ensemble, en voyant nos bites raides.

-Attendez. Alain, pourquoi mets-tu un gant de toilette ?

-Parce que je ne bande pas tout le temps.

-Mais c’est incroyable, vous êtes des extra-terrestres ou quoi ?

-Ben non.

-Laure, tu as déjà vue des bites aussi grosses ?

-Non, ni aussi longues, mais on ne va pas bouder notre plaisir.

-Ça tu as raison ! Approchez les mecs. oh la vache, je ne peux même pas fermer ma main autour.

-Moi non plus Julie, mais je vais quand même essayer de la sucer cette belle queue.

Elle embouche ma pine et recule en me regardant.

-Ça c’est une vraie, qui sent et qui a goût de bite !

-Lui aussi ! Dites donc, vous avez baisé avant de venir ou quoi ?

-Heu non.

-Ta bite sent le cul chéri, tu n’aurais pas enculé une nana ce matin par hasard ?

-Non, dis-je en souriant.

Agenouillées, elles nous sucent en se regardant puis se relèvent.

-Ça donne soif de sucer !

Je remplis les coupes et nous nous assoyons face à face.

-Laure, je ne pouvais plus le sucer, il est trop gros.

-Moi idem ma chérie.

-Les filles, Alain et moi avons l’habitude de faire des plans ensemble, en général, nous aimons prendre une femme à deux.

-Mais ce n’est pas un problème, nous aussi nous aimons nous faire prendre en double, n’est ce pas Julie ?

-Oh oui ! Mais c’est la première fois que nous trouvons des hommes membrés comme vous et qui bandent aussi bien.

-Tu as raison.

-Vous aimez vous faire enculer ?

-Oh oui, mon mari ne me le fait jamais, mais j’adore ça !

-Moi aussi j’aime bien, le mien me le fait, mais pas souvent !

-Moi, si je pouvais, je ne baiserais que comme ça ! Je me fais enculer depuis que je suis ado, c’est mon oncle qui m’a dépucelé le cul, depuis je ne peux plus m’en passer.

-Et ton mari ne te le fait pas ?

-Il ne me fait rien, c’est simple ! À part baiser sa mère, c’est tout ce dont il est capable !

-Baiser sa mère ?

-Oui, il baise sa mère. Il n’y à qu’elle qui le fasse jouir comme il aime, parait-il.

-Il l’encule aussi ?

-Je n’en sais rien, mais ça ne m’étonnerait pas, le pauvre croit qu’il est seul sur le coup. Ma belle mère est une salope de la pire espèce, moi j’aime le cul mais à coté d’elle, je suis une sainte !

— Comment peux-tu le savoir ?

-Parce que je l’ai vue faire, demande à Julie.

-C’est vrai, un jour nous sommes venues chercher du linge, elle se faisait baiser par trois ouvriers du chantier d’en face de chez elle ! Prise en sandwich elle suçait le troisième.

-Rien d’exceptionnel les filles.

-Sauf que les deux, elle se les prenait dans le cul, et que l’autre a fini par lui pisser dans la bouche !

-Ma belle mère rêve de se faire baiser par un cheval, je vous jure que c’est vrai !

-Ce n’est pas possible de faire ça.

-Elle le sait, mais ça ne l’empêche pas d’en rêver !

-C’est elle qui te l’a dit ?

-Non, une de ses amies.

-Elle n’a pas de mari ta belle mère ?

-Non, mon Jule est un enfant ’’de la rue’’, sa mère n’avait pas 14 ans quand elle est tombée enceinte, on dirait le frère et la sour tous les deux !

-Ça ne te fait rien qu’il baise sa mère ?

-Bof ! Je le sais et il sait que je le sais, donc il me fiche la paix sinon je vends la mèche. Je dois dire à sa décharge, qu’il ne la baise pas souvent et de moins en moins depuis un an.

-Les filles, vous proposez quoi ?

-Vous allez nous baiser ensemble, chacune à notre tour. Vous tiendrez le coup ?

-Normalement, ça devrait aller.

-Si tu veux bien Laure, je passe la première, j’ai tellement envie de me faire baiser que je vais jouir très vite.

-Si tu veux ma chérie. Max, allonge-toi sur le dos, elle va s’empaler sur ta bite et toi Alain, tu lui bourres le cul !

-Allez-y les mecs, je vais jouir avec vos grosses pines !

Allongé, j’attends qu’elle s’emmanche, ma pine glisse dans son vagin inondé, Alain s’approche et s’enfonce dans son cul aussi facilement que moi dans sa chatte.

-Maintenant bourrez moi les garçons, je les sens bien vos grosse bites !

Alain se démène comme un beau diable, un peu bloqué je n’ai pas d’amplitude pour la pistonner mais Alain sait comment me libérer, il se relève un peu.

Je calque mes mouvements sur les siens mais en alternance, il y à longtemps que je n’avais pas senti la pine d’Alain glisser sur la mienne.

Laure commence à couiner, un rictus déforme sa bouche, ses yeux se révulsent et son orgasme arrive, brutal et puissant.

Elle crie sa jouissance, éructe quelques gros mots, bouge encore et s’affale sur moi, Alain sort doucement, je reste encore un peu dans sa chatte qui me coule sur les couilles.

Julie vient lui taper sur les fesses.

-Alors ma belle, tu as bien joui ?

-Oh oui ! Il y à longtemps que je n’en avais pas pris un coup comme ça !

-Tourne toi ma chérie, regarde ce que tu avais dans le cul !

-Oh la vache, ça ne m’étonne pas si je la sentais bien, et l’autre, elle est encore plus grosse !

-C’est bien les garçons mais vous n’avez pas joui.

-Rien ne prouve que nous allons jouir avec toi Julie !

-Bande de salauds, vous allez jouir et me remplir les trous, Laure se fera un plaisir de nettoyer tout ça !

-Oui ma chérie, fais toi bien bourrer, je veux te voir jouir !

Alain s’est allongé, Julie s’est empalée, j’ai attendu, pour lui mettre ma pine dans le cul qu’il la fasse monter ’’en puissance’’, je me suis planté d’un coup et j’ai calqué mes mouvements sur les siens.

Sentant monter mon foutre, j’ai ralenti ma cadence pour jouir en même temps qu’Alain qui semblait ’’prendre son temps’’.

C’est Julie qui déclencha les ’’hostilités’’ en jouissant bien avant nous, finalement Alain est parti avant moi, je me suis vidé le dernier en restant planté quelques instant puis j’ai libéré la place, elle s’est levée, Alain commençait à débander.

-Alors ça, je vous félicite les mecs, attendre que je jouisse pour prendre votre pied, c’est ’’seigneur’’.

-On dirait qu’ils ont l’habitude de faire ça tous les deux, je me trompe les garçons ?

-Non Laure, tu as raison, bien que nous le fassions moins ces derniers temps.

-Visiblement, vous n’avez pas perdu la main !

Pour être sur de ne rien tacher, je passe à la salle de bain, mon gland n’était pas très net, Alain me suit.

-Alors mon pote, que dis tu de ça ?

-Super, tu avais raison !

-Ce n’est pas fini, ces salopes vont en parler avec leurs copines qui voudront vérifier.

-Tu es sur de ça ?

-Sur, non, mais c’est probable, elles sont toutes en manque je te dis !

-Il ne faudrait pas que les maris nous tombent sur le râble !

-Ça mon vieux, c’est leur problème, on dira que nous ne savions pas qu’elles étaient mariée ! Rassures-toi, personne ne viendra nous faire chier !

-Qu’est ce qu’on fait maintenant ?

-On les laisse s’amuser un peu et on les fiche dehors, faut pas abuser !

-Je ne pense pas qu’elles s’éternisent, le café philo ne dure pas jusqu’à deux heures du matin !

Nous revenons voir les filles qui, allongées têtes bèches, se ’’nettoient’’ copieusement la fente sans se soucier de nous.

Rhabillé, nous les laissons finir en allant boire un coup dans la cuisine.

-Bonne pioche Alain, si tu as d’autres plans comme celui-ci, je suis preneur !

-Ça fait un moment que je voulais t’en parler mais je te croyais branché avec la fleuriste.

-Je le suis mais elle commence à me gonfler en me parlant tout le temps de mariage, je ne suis pas contre, mais ça ne fait que trois mois que nous sortons ensemble !

-Max, à ta place je n’hésiterais pas, en dehors du fait que ce soit un canon, c’est un bon parti cette femme !

-Je le sais mais je m’en fiche de son pognon, si je me marie avec elle, il ne tombera pas dans ma poche !

-Non mais tu en profiteras ! Elle baise bien au moins ?

-Pour ça, rien à dire, ce n’est plus une gamine !

-Sa mère venait au café philo, on ne la voit plus.

-Alain, je n’ai rencontré ses parents que deux fois, nous devons y aller manger un de ces soirs, j’attends de voir.

Nous retournons voir ce que font les filles, elles sont dans la salle de bain pour effacer toutes les traces ’’de baise’’, en rentrant, elles devront se coucher à coté de leur mari.

Normalement, en revenant d’une soirée philo, on ne doit pas sentir le cul !

-Nous allons y aller les garçons, il se fait tard !

-Pas de problème, vous connaissez l’adresse, venez quand vous voulez !

-Ça serait avec plaisir, mais nous ne faisons pas ce que nous voulons.

-Vous avez le café philo.

-Bien sur, mais il faut quand même se méfier, nos maris ne sont pas tombés de la dernière pluie !

-Qu’est ce que vous risquez, une bonne engueulade ?

-Oui, et plus le droit de sortir le soir !

-Vous saurez bien faire ce qu’il faut pour prendre un bon coup de pine, je vous fais confiance !

Rhabillées, elles nous quittent rapidement, c’est vrai qu’il se fait tard.

-Max, ça faisait longtemps qu’on n’avait pas fait un plan cul ensemble.

-C’est vrai qu’on se voit moins depuis quelques temps, mais je bosse mon vieux !

-Parce que moi, je ne fais rien peut être ?

-Ce n’est pas ce que je veux dire, nous avions plus de temps libre, voilà tout.

-Alain, comment va ta mère ?

-Bof ! C’est toujours pareil.

-Le traitement ne lui a rien fait ?

-Si mais c’est dans sa tète que ça se passe, elle vieillit et ça ne lui plait pas, comme toutes les femmes.

-Ma mère était dans son cas, une copine lui à suggéré de se faire remodeler les seins, depuis ce n’est plus la même femme, incroyable comme elle a changé.

-Si tu vois ma mère, parles lui de ce qu’a fait la tienne, si ça pouvait la décider, ce ne sont plus des seins mais des gants de toilettes qui lui tombent sur le ventre !

-C’était le cas de ma mère. Relookage complet, coiffeur, maquillage, fringues, méconnaissable là Clothilde ! Tu fais quoi ce week-end ?

-Rien de prévu, Clarisse bosse dimanche matin, ça aussi c’est chiant, on ne peut rien prévoir pour les week-ends !

-Elle ouvre tous les dimanches ?

-Oui, et si elle pouvait, elle ouvrirait 7 jours sur 7, de 9 heurs à 20 heures !

-Elle est barjot cette nana, si elle avait besoin de fric je comprendrais, mais là.

-Alain elle veut s’arrêter de bosser à 45 ans, alors elle engrange un maximum de fric !

-Admettons ! Tu es amoureux d’elle ?

-Oui Alain, c’est aussi pour ça que tu me vois moins !

-Oh là là, excuse-moi de t’avoir détourné du droit chemin mon ami, mais il me semble que je ne t’ai pas trop poussé.

-Alain, je ne te reproche rien et je ne culpabilise pas non plus, mais.

-Ça va j’ai compris, dans le fond c’est toi qui a raison, moi je n’ai pas de nana, c’est plus facile !

-Alain, je vais y aller aussi, tu sais que j’héberge ma mère en ce moment.

-Au moins, tu as quelqu’un pour faire ton ménage ! Elle reste encore longtemps ?

-Jusqu’à la fin du mois, ses travaux sont presque finis.

-C’est ton héritage Max, tu vas avoir un bel immeuble.

-Et ça n’aura rien couté à ma mère, elle va même faire du bénéfice, l’assurance à payé rubis sur l’ongle au vu du devis initial et c’est mon oncle qui termine les travaux !

-Pour une fois qu’ils ne se graissent pas sur le dos des assurés !

-Nous n’avons pas eu à nous plaindre en tout cas. Bon, j’y vais Alain, ne bouge pas je connais le chemin !

J’y retournerais au café philo, pas spécialement pour draguer, mais j’ai vu une femme que je connais et j’aimerais bien savoir ce qu’elle fait dans ce bar, si elle s’intéresse à la philo, je ne comprends plus rien aux femmes !

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