Le lendemain, en début d’après-midi, j’ai enfilé un jean avec un chemisier, une veste en jean et des baskets avec pour instruction de la part d’Alexa de me rendre chez une de ses amies qui s’appelle Deborah. Le problème, c’est que je lui ai obéi malgré moi en réussissant à ne pas me masturber, mais je sais qu’il suffirait d’un rien pour déclencher à nouveau cet incendie dans mon ventre. Deborah est une fille de 20 ans, 1 m 68, 58 kilos, blonde aux cheveux très courts coiffés à la garçonne. C’est elle qui m’ouvrit la porte. Elle était habillée d’un jean et dun polo.
Salut, Deb, je…
On t’attendait, entre ! m’invita-t-elle avec un mouvement de menton.
J’entrai et pénétrai dans un salon très bien décoré et lumineux. Alexa était assise sur l’un des canapés à siroter une bière. En la voyant, je baissai immédiatement les yeux. Elle portait une minijupe, un chemisier et des ballerines.
Bonjour, Dame Alexa.
Dame Alexa !? Attends, qu’est ce que c’est que ce délire ? Elle te vouvoie maintenant ? s’étonna Deborah qui retournait s’asseoir.
Oh, c’est une longue histoire, Deb… Et toi, qu’est ce que tu fous encore habillée ? m’interrogea-t-elle. À poil !
Pardon, Dame Alexa.
Je me mis entièrement nue à l’exception de ma montre. Deborah pouffa de rire en me regardant faire. Je me sentis rougir de honte.
Putain, mais c’est incroyable, ça, qu’est ce qui s’est passé ? Y a quelques jours, tu m’as raconté qu’elle t’en a encore collé une, et maintenant elle te traite avec le plus grand respect. Allez, explique-moi tout, s’il te plaît ! Je veux comprendre.
Bon, alors pour faire court, j’ai eu connaissance d’un secret très embarrassant concernant cette petite salope. Tu te doutes bien de la suite si elle ne veut pas que ça se sache, n’est-ce pas ?
Oui, pas la peine de me faire un dessin, j’ai capté. Inutile, alors, de t’interroger sur ce fameux secret, pas vrai ?
Elle hocha de la tête de façon négative pour toute réponse, et après en avoir pris une gorgée, elle posa sa boisson sur la table basse en verre face à elle.
Non, je ne peux rien te dire, si ce n’est que maintenant, c’est moi qui lui colle des gifles. Et qu’hier, non seulement, je lui ai collé une magnifique fessée cul nu, mais en plus, elle m’a dévoré le berlingot.
Non, là, tu me charries !?
Absolument pas ! Et je peux t’assurer qu’elle est plutôt douée.
Faut dire qu’avec l’autre grande asperge de Béné, elles ont l’habitude de se minouter, je suis sûre. Mais pour la fessée, je voudrais beaucoup te voir la lui donner de mes propres yeux.
Avec grand plaisir ; et en plus, j’adore l’humilier ! Viens ici, toi, et à quatre pattes, que Deb voie un peu ton cul !
Oui, Dame Alexa.
J’obéis promptement. J’étais morte de honte à m’exhiber ainsi sans retenue. Je sentais le regard moqueur de Deb que je n’osais pas affronter, posé sur mon intimité mise à nu, ainsi que les mains d’Alexa qui tapotaient doucement mes fesses.
Tu veux commencer ? proposa Alexa
Non, merci, je me contenterai de regarder le spectacle de son cul devenir rouge vif sous tes coups !
Comme tu veux !
Sans prévenir, Alexa me claqua le cul sans ménagement, m’arrachant un cri de surprise mêlée de douleur. Elle me remit une sévère fessée à l’image de celle d’hier, et mon excitation est revenue à la vitesse d’un cheval qui part au triple galop. Je me sentais fondre sous cet acte des plus humiliants et me retrouvai à nouveau très vite dans un état second.
Stop ! cria tout à coup Deb.
Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
Alexa s’arrêta net, et je sentis des doigts toucher mon intimité trempée de sève. Ce simple contact a suffi à me faire frissonner.
Oh bon sang, moi qui pensais que mes yeux me jouaient des tours, en fait non ! Elle mouille, cette pute ! J’ai l’impression qu’elle kiffe la fessée. Regarde-moi ça !
Ah ouais, la vache ! Elle mouille pas qu’un peu, qui plus est ! ajouta-t-elle.
Je sentis deux des doigts trempés de Deborah me pénétrer profondément. Mes yeux roulèrent et ma bouche s’ouvrit, laissant échapper un soupir étouffé d’extase, mais je me sentis horriblement frustrée lorsqu’elle les ressortit presque tout de suite.
Eh ben, de mieux en mieux, dis donc !
Qu’est ce que t’as découvert ?
Je retire ce que j’ai dit ! Elle ne mouille pas, elle dégouline ! Franchement, Alexa, une chatte comme celle-là, c’est une chatte qui a faim de bites. Elle a carrément aspiré mes doigts ! gloussa Deborah.
Ben crois-moi, si elle veut des bites, elle va en avoir !
Dame Alexa, puis-je dire un mot, s’il vous plaît ?
Rho, cest pas vrai, mais tu vois pas qu’on parle ? Qu’est-ce que tu veux ? s’agaça-t-elle.
S’il vous plaît, je meurs d’envie de me caresser, et…
Tu as oublié les règles ? Quand je dis que…
Attends une seconde, Alexa, j’ai une idée, coupa Deborah. Je peux ?
Bon, OK, vas-y !
Déborah saisit fermement ma mâchoire et me regarda dans les yeux de manière autoritaire.
Tu veux te caresser, Océane ?
Deborah, s’il te plaît, essaie de la convaincre de me…
Ta gueule ! Je t’ai posé une question, et je veux une réponse, pas un discours ! gronda-t-t-elle. Alors, c’est oui ou c’est non ?
C’est oui.
Alors supplie-la !
Je hochai la tête, et elle me relâcha. La bouche sèche, je déglutis péniblement, me laissant peu à peu engloutir par ce sentiment de honte mêlée d’excitation.
Dame Alexa, laissez-moi me caresser, je vous en supplie
J’entendis Alexa glousser de façon niaise, comme à son habitude, qui traduisait son mépris. Deb soupira.
Tu fais vraiment pitié, ma pauvre fille ! Non mais, tu as le toupet d’appeler ça « supplier » ? Tu te fous de ma gueule ? m’interrogea-t-elle avec une belle paire de gifles. T’as intérêt à faire mieux que ça, si tu veux avoir l’autorisation de te caresser !
Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai changé de position. Je me suis agenouillée face à elle, en baissant la tête. Il allait falloir mettre le paquet, parce que je nallais pas pouvoir pas rester dans cet état indéfiniment.
Par pitié, Dame Alexa, je vous supplie de bien vouloir accepter de laisser la salope de chienne que je suis se masturber.
Hmmm… Y a du mieux ! OK, mais à une condition : tu vas faire ça devant nous et avec ma bouteille ! dit-elle en me la donnant.
Une joie indescriptible m’envahit. Après plus de 24 heures de frustration sexuelle et au bord de l’explosion, j’avais enfin la permission de me caresser et de jouir.
Oh, merci infiniment, Dame Alexa.
Je me saisis de la bouteille vidée de son contenu et m’assis sur un coin de la table basse. J’écartai les cuisses le mieux possible, exposant ma chatte huileuse et ouverte qui avala le goulot froid de la bouteille avec laquelle je me masturbai sans honte ni retenue. Le plaisir fut immédiat et intense car ma bouche s’ouvrit, mes yeux roulèrent, et ma tête bascula en arrière. Je poussai de forts gémissements tandis que tout mon corps s’électrisa rapidement.
Quelle moule obscène ! se moqua Deborah. Elle se contente de bouteilles alors qu’elle pourrait avoir de vraies queues.
Oui, Deborah, j’ai une chatte vraiment indécente. Dame Alexa et toi, regardez-moi me donner en spectacle, s’il vous plaît.
J’entendais les gloussements, moqueries et insultes de mes spectatrices, et tout ceci contribuait à augmenter mon plaisir. Mon corps se tendit comme un arc. Ma tête se vida et je poussai un râle si rauque et profond qu’il devait être semblable à celui d’une possédée lorsque l’orgasme démentiel me submergea. Je me laissai doucement retomber sur la table basse, et savourai les dernières secondes de mon orgasme si intense que j’en tremblais encore. Je fus essoufflée, épuisée, mais épanouie après cette petite mort grâce à qui, j’ai en ce moment les yeux remplis d’étoiles. Intérieurement, je remerciais beaucoup Deborah et Alexa.
Allez, debout, Océane ; bouge ton cul de cette table ! ordonna Deborah.
Oui, Deb !
Je me levai tant bien que mal, car mes jambes tremblaient encore sous l’effet de l’orgasme lorsqu’elle me stoppa dans mon élan en me saisissant la nuque.
Oh là, oh là ! Non mais, dis donc, espèce de salope, où tu vas ? Regarde un peu ; t’as vu ce que tu as fait ? m’interrogea-t-elle en me montrant les traces de mon plaisir. T’as sali la table, alors tu vas me nettoyer tout ça avec ta langue, et au trot !
Je lui obéis sans discuter. J’étais en train de boire les quelques gouttes de mon nectar lorsqu’Alexa bondit du canapé et m’agrippa par le bras. Elle me tira sans ménagement en prenant mes affaires au passage pour me jeter hors de l’appartement comme une malpropre après me les avoir lancées au visage. Morte de honte, je me rhabillai le plus rapidement possible, en priant pour ne croiser personne. Je rentrai chez moi, et en prenant ma douche, sous le jet chaud et apaisant, je réalisai que la situation que je pensais contrôler m’échappait de plus en plus.
Une suite ?