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Elle avait 17 ans, moi 36. – Chapitre 1

Elle avait 17 ans, moi 36. - Chapitre 1



-15 septembre 2010 :

15 septembre 2010, je viens de vivre un été particulièrement riche. J’ai beaucoup pleuré, j’ai beaucoup aimé, je me suis battu, j’ai voulu mourir à nouveau comme a 20 ans quand ma soif de vie était trop forte pour une simple personne normalement constitué. Des filles ont partagé mon lit, parfois plusieurs, je les ai toutes aimés, certaines quelques minutes d’autres, plusieurs semaines, plusieurs mois, je ne compte plus. j’ai retrouvé ce sentiment d’être en vie, plus que le sentiment, je suis en vie et je n’ai pas envie que cela s’arrête. Hélas parfois on ne décide pas, c’est arrivé sans crier gare, peut être au détour d’une discussion en anglais sur l’amour avec Ross à Bruxelles, peut être dans le lit d’une fille a Cognac et cela partira rapidement quelques jours plus tard près de l’opéra. Mais ce soir je n’en sais rien, ce soir je veux juste découvrir une personne dans tout ce qu’elle est et partager avec elle tout ce qu’elle sera prête à partager, sans calcul, sans trahison, comme deux être qui ne savent pas vraiment d’où ils viennent, ni pourquoi ils sont la mais qui ont une idée d’où ils finiront même si on essaie toujours de ne pas y penser, et qui lutte contre cela.

Il est 20h20, j’attends Haina place de la bourse. Je me demande quel genre de fille j’aimerais voir sortir de cette bouche de métro. Par mail on a déjà parlé du fait quelle viendrait en jupe, avec des bas, des bottes et une guêpières lolita. Elle na pas vu de coté drague, cétait pas explicite non plus, juste lenvie de la voir désirable, quelle ai envie de me séduire avant même de me connaître.

La voila, portable a la main. Exactement le genre de fille que je n’aurais pas osé aborder dans la rue mais qui pourtant me fait craqué, d’ailleurs j’ose aborder personne dans la rue et même si je lavais fait elle maurait rembarré gentiment au bout de trois minutes ou elle m’aurait pris pour un pervers, je l’aurais pris pour une ado, rien ne se serait passé.

On est loin, culturellement, générationnellement, et malgré tout ce soir elle est là, prête à passer une soirée sympa, à être ému, intéressée par moi, par ce qu’elle pourrait être avec moi. Prête aussi à me laisser entrer en elle, à me manger le sexe, à crier de plaisir sous mes caresses, même si évidemment à ce moment ni elle ni moi ne le savons et cest cela qui est si émouvant.

On se balade en parlant beaucoup, son histoire est passionnante malgré qu’elle ne mette pas forcement beaucoup d’intensité a la raconter, peut être pour elle c’est quelque chose de commun ou de ressassé. Elle me parle de ses origines, en village de Polynésie, les surs qui l’ont élevé les premiers mois, ses parents, ses frère bien plus âgé qu’elle, l’école religieuse, la vie au quatre coin du monde, son presque prof de catéchisme pour qui elle a craqué toute jeune.

Elle me dit quelle est capricieuse, je nen doute pas. Finalement après deux heures dehors et en chemin vers Bastille, je propose daller faire un gâteau chez moi, elle dit oui tout de suite. elle me dit quelle aime bien les hommes un peu méchant avec elle, alors jai envie dêtre méchant avec elle. Méchant dune gentille façon.

On fait le gâteau au chocolat, je ne cuisine pas en chemise dhabitude, elle monte les blancs, c’est la première fois qu’elle fait ca, cest amusant. Je ne pense même pas à jouer avec la nourriture sur elle, a lui faire goûter la pâte sur mes doigts. La pâtisserie cest sacré. le gâteaux est dans le four et finalement je lui fais un thé et je viens avec elle sur le canapé. Je propose action ou vérité mais elle na pas didée, je continu les questions seul sans gage.

Je lui demande de me montrer sa guêpière couleur vishy dont elle m’a tant parlé, elle sexécute et laisse sa chemise ouverte. je la prends dans mes bras, des bisous sur loreille. à un moment je prends sa tasse et la pose pour lembrasser sur la bouche. Elle me dit quelle est sensible de partout sauf les fesses, le gâteau est fini.

Je propose quon monte, elle dit ok. Il est 23h. En haut je mets des bougies, de la musique, une lumière douce, elle nest pas super à laise, le climat nest pas terrible, on joue plus trop, sur le lit, elle dit quelle est fatiguée. Elle se relève et dit quelle va partir, elle se rhabille. Je la prend dans mes bras mais on descend, elle va partir car il est encore temps de rentrer. Elle remet sa veste et ses bottes. Je suis triste mais n’est pas envie d’insister non plus ou de la mettre mal a l’aise. J’ai pas totalement compris ce qu’il c’est passé. Je lui demande tout de même de rester encore un peu et elle dit "oui je veux bien".

Cest tout de suite à nouveau drôle et sympa. Elle a mal à la jambe, fait sa princesse, je lui masse la jambe, puis lautre. On samuse bien, très naturellement. j’aime être avec elle, découvrir qui elle est, comment elle fonctionne, elle joue souvent mais derrière le jeux je vois beaucoup de vérité. A un moment elle dit « Dan … non rien cétait juste pour entendre ton prénom ». Finalement elle sallonge à coté de moi tout près pour ne pas tomber du canapé. On parle de sexe, elle me dit ce quelle na jamais fait (truc à plusieurs/sm). Je lui demande ce quelle aime, elle me dit les trucs hard mais je naime pas la douleur. Je demande si elle aime quon lui dise quoi faire, dêtre un peu dominée, les mots crus elle dit oui a tout, c’est ce qu’elle préfère. elle aime le sexe plus doux mais elle ne prend jamais autant de plaisir et ne se lâche jamais autant que quand c’est vraiment hard. Elle aime les mots crus, qu’on la traite durant l’amour, tout les mots l’excite beaucoup sauf "pute", elle ne sait pas pourquoi. Cela arrive au bon moment pour moi, suite aux discussions avec Sarah je comprend mieux ce qui se joue dans ces demandes et je comprend mieux comment y répondre positivement et le plaisir que je pourrais aussi y prendre. a ce moment je n’ai pas encore de menotte si je me souvient bien mais je me suis bien racheté depuis.

Je lembrasse a nouveau, toujours le cou, loreille, beaucoup de caresse des cuisses juste au dessus des bas, cest très sensuel, j’aime toucher ses bas, ses jambes. On monte manger le gâteau en haut, cest beaucoup plus sympa et détendu cette fois, on parle musique et on écoute Joy Division. Le gâteau est bon et crémeux, de la même couleur que sa peau. On sallonge, elle veut que je raconte des histoires qui me sont arrivé, je parle de Sarah a Paris et de Cécile en tournée. Elle semble apprécier les histoires, je commence à lui mordiller le dos, le cou. Elle joue encore un peu à celle qui est fatigué. Jai le sentiment quelle fait exprès de mettre quelques barrières pour que je les franchisse, pour lui prouver que jai envie delle et quelle na pas le choix, je pense que cest cela qui lexcite.

La température monte, Je me déshabille, je veux retirer sa culotte sans les bas mais cest compliqué il faut retirer les attaches, on prend du temps cest amusant. Finalement je la caresse plus chaudement, elle met du temps a mouiller et je commence les mots, je commence a manger ses seins, joue avec ses oreilles, la masturbe fortement. Je la caresse à lintérieur sur la partie du dessus et le clito en même temps assez rapide, elle se laisse aller, commence les railles de plaisir, les mouvements, les cris. Elle me touche le sexe, je retire mon caleçon, je lui tire les cheveux doucement pour lembrasser, je lui demande de me sucer, a genoux, je lui tiens la tête, lui tire encore les cheveux, elle aime. Je me retire car je pourrais venir, finalement je met une capote et la prend jambes replier sur moi, elle est très serré, la position est incroyable, la vue aussi, son visage, lintensité, les mots, la confiance, elle a 17 ans, cest une enfant et une salope a la fois, cest très fort, je veux être en elle, la posséder totalement, je pourrais mourir à ce moment là, ma vie aurait eu un sens. Je ne peux pas aller très vite car jai peur de jouir tout de suite, cela fait bien longtemps quon ne mavait pas excité de la sorte. Je ressors et fait une séquence assez forte de masturbation intérieur et clitoris, jessaie aussi avec les fesses, elle dit que ca fait un peu mal, j’insiste pas alors que, vu comment elle prend du plaisir avec la masturbation, je pense qu’elle pourrait vraiment aimer. je lui astique vigoureusement le clitoris. Elle mouille beaucoup. je remet mes doigts dans son vagin. Je rentre dans la même position, plus longtemps mais doucement, jai toujours peur de venir, jose plus trop dire de truc non plus de peur de me faire jouir.

Finalement je la fais se mettre sur moi, on tient un rythme lent mais agréable, je lui caresse le clitoris en même temps. Je recommence les mots. Je lui demande de se retourner et la prend en levrette je commence a aller plus fort et à la traiter de petite salope, lui demande de répéter quelle est une chienne, quelle aime le sexe. Elle le dit et aime cela. Je la prends de coté, je lui mords le dos, les oreilles. Je recommence une longue séquence avec les doigts, intérieure et clito. elle prend le plus de plaisir, je ne sais pas si elle joui totalement mais c’est très fort.

Elle est assez crevée. on fait une pause, on discute, on s’embrasse, puis je lui demande de me sucer a genoux, elle refuse que je jouisse dans sa bouche, elle crois a un moment que je vais venir, je lui dit que jamais je ne l’aurais fait si elle ne veut pas, elle me suces les couilles, je mallonge, elle passe sa langue sur mon sexe, doucement, plusieurs fois. Je rebande très fort, elle est très douée. Jutilise une nouvelle capote et la prend en levrette assez fort, avec des pauses pour caresser son clito, elle crie pas mal, par moment je me demande si elle surjoue un peu pour se donner du plaisir, pour sexciter mais elle me dira quelle ne contrôle pas quand elle fait lamour mais qu’elle aime beaucoup répéter ce que je lui dit «dit moi que tu es une petite coquine, une petite salope, dit moi que tu aime le sexe» cela lexcite plus que tout.

Je fini par jouir en levrette cest assez intense et fou. Je me sens en pleine connexion avec elle, je me sens un peu dépassé, jamais jai pris une fille si jeune de la sorte. Jamais une fille de son age, dans mon lit, na eu conscience de son goût pour lamour hard, les jeunes étaient plutôt romantique un peu gauche et voulait de la douceur. Jaimerais lui poser 1000 questions. Je lui donne un tee shirt pour dormir, elle préfère dormir seule. On parle plus dune heure de sexe dans le lit du bas, je lui demande quand elle a eu envie de moi, ce quelle attendait de la soirée, elle ne sais pas trop. Je dis que javais remarqué quelle devait être chiante, cela la fait rire, elle mappelle son professeur a un moment quand je dis quelle pourrait progresser dans certain domaine mais que dans lensemble cest très bien. Je la caresse beaucoup, elle me dit quelle aime ma façon de la toucher, je lexcite un peu sans y faire attention, elle mouille mais on va pas plus loin je monte a 4h10 impossible de dormir avant 6h30, jai toujours son odeur sur mes mains, c’est bon. Vers 11h je me lève, jhésite a descendre la retrouver dans le lit. Elle me dira quelle a bien dormi, jen suis heureux.

Le matin elle part un peu comme une voleuse après sêtre lentement rhabillé devant moi, je suis excité elle le sait ou limagine, cela lui suffi. Je lui aurais pourtant fait lamour comme jamais, je suis bien plus performant au matin mais elle sen moque, elle a toute la vie devant elle.

Dan

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