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Danielle – Chapitre 5

Bonjour Ténériffe - Chapitre 4



Danielle est rayonnante, elle sait qu’elle est le centre de nos attentions et est décidée à en profiter. Maintenant je sais qu’elle a comprit le sens de la journée. Caroline et Sandrine aussi mais nous lui laissons le plaisir de ne pas lui en faire part. Nous faisons comme si nous ne nous en étions pas rendu compte.

Après manger, je demande de débarrasser la table et d’y étendre plusieurs serviettes épaisses l’une sur l’autre. Je demande à Danielle de se coucher sur le ventre sur les serviettes. Elle s’exécute avec un petit sourire.

— Tu souris ma chérie, mais tu ne sais pas ce qui t’attend. Écartes les jambes et met les bras en croix.

Elle fait ce que je lui demande. Sandrine sort des cordes et nous attachons Danielle aux pieds de la table. Je lui met un coussin sous le ventre. Elle a les jambes grandes ouvertes, les bras en croix et les fesses légèrement soulevées. Je vois que son sexe commence à être humide avant même que l’on commence.

— Tout va bien ma chérie?

— Oui, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux.

— Nous en avons bien l’intention, mais je veux que tu me préviennes immédiatement si tu te sens mal, ou si tu ne veux pas continuer.

— Promis chéri, mais à ton tour, je ne veux pas que tu m’épargne, vas y, fais ce que tu veux de moi, je suis à toi.

— Ok.

Je répond Ok, mais je me demande ce qu’elle a dans la tête quand elle dit « fais ce que tu veux de moi », j’ai peur qu’elle ne s’arrête pas, et qu’elle dépasse ses limites pour me prouver son amour. Je fais signe aux filles de commencer. Sandrine prend le gode gonflable et le lubrifie, elle le pose à côté des fesses de Danielle et se penche sur son fion. Elle la lèche sur toute la surface entre les fesses. Danielle soulève ses fesses, ondule du cul, Caroline lui écarte les fesses et lui lubrifie le cul. Sandrine pose le gode sur sa rondelle. Danielle donne un violent coup de rein en arrière et s’empale sur l’engin. Sandrine, surprise manque de le lâcher, mais se reprend et astique le cul de Danielle part des aller-retours rapides et violents. Danielle lève ses fesses et part dans son dixième orgasme.

— Putain, oui, vas y, défonce moi le cul, je joui, j’ai envie de jouir, vas y, vas y, oui, oui, je part, je joui, OOOOOOOOHHHHHHHHH.

Je remarque que le langage châtie de Danielle quand je l’ai connu, a disparu et évolue mais pas dans le bon sens. Sandrine détache Danielle et la fait mettre sur le dos. Elle se laisse faire, elle doit se demander ce que l’on veut faire d’elle. Je me met entre ses cuisses et lui lèche la chatte. Je jette un il sur elle et je vois qu’elle ferme les yeux. C’est le signe qu’elle veut profiter au maximum du moment. Je m’active sur sa vulve, Caroline monte sur la table et présente sa chatte à la bouche de Danielle. Elle s’en empare en levant la tête. Caroline me fait signe de monter sur Danielle. Je me lève, remonte le long du corps de Danielle, ma bite arrive sur son con et je rentre sans hésitation dans sa vulve. Son sexe est inondé, je le sent à peine tellement elle se vide de sa cyprine. Caroline me prend les lèvres dans un baiser torride. Je ne comprend pas lorsque Sandrine m’écarte et se penche sur la bouche de Caroline. Il y a un peu de jalousie là dedans. Je les laisse faire, sauf que je me retrouve dans une position pas très confortable pour baiser Danielle. Rien n’y fait, je la sent partir dans son onzième orgasme. Son ventre me pousse, s’active, son sexe se resserre et je joui à mon tour. Danielle est toujours entrain de s’occuper du sexe de sa nièce. Celle ci se cabre et joui à son tour. Sandrine lui embrasse les seins et Caroline se calme petit à petit. Elle est très tendue, je pense que c’est du à la réaction de Sandrine quand elle m’a embrassé.

Je descend de la table, détache Danielle qui se laisse faire, elle veut profiter au maximum de l’instant. Caroline et Sandrine vont s’asseoir sur le divan. Je prend Danielle dans mes bras et la porte dans la chambre de Caroline. Je la pose sur le lit.

— Chéri, j’ai envie de toi. Fait moi l’amour.

— Non, ça je ne peux pas, je suis lessivé, il faudra attendre une petite demi-heure.

— Je croyais que c’était ma journée.

Et oui, elle a tout comprit. Elle se redresse sur le lit.

— Caroline, Sandrine, j’ai besoin de vous.

Sandrine apparaît. Elle vient s’allonger à côté de Danielle, et commence à lui embrasser les seins. Danielle, comme à son habitude, ferme les yeux et apprécie. La main droite de Sandrine parcoure son corps, s’attarde sur ses parties sensibles pour finir sur son sexe. Elle la pose à plat sur son pubis et ne bouge plus. Danielle écarte au maximum ses cuisses, soulève son ventre mais Sandrine me bouge plus. Arrive Caroline avec un énorme concombre. Elle l’essuie, elle vient de le laver. Elle le lubrifie un peu et le présente à la porte du sexe de Danielle.

— Oh là là, c’est froid.

— Oui, c’est froid mais tu vas le réchauffer.

Caroline enfonce lentement mais inexorablement le concombre dans le sexe de sa tante.

— Oui ma chérie, je sent ce glaçon me pénétrer, j’aime, encore, plus profond, oui baise moi avec le concombre froid.

Caroline accentue ses mouvements, augmente la cadence et l’amplitude. Il faut à peine trois ou quatre minutes à Danielle pour jouir. Et de douze. Quand Danielle s’est calmée, Caroline sort le concombre du sexe de sa tante. Danielle s’en empare et le croque.

— Hum, c’est bon un concombre à la cyprine.

Je suis scotché, Danielle dérive, je m’inquiète, elle commence à ne penser qu’au sexe. Comment une femme équilibrée, sérieuse, travailleuse, consciencieuse, peut en quelques jours évoluer de la sorte. Elle était vierge il y a à peine trois jours. C’est devenu une bête de sexe. C’est une nymphomane, ou du moins, elle le devient.

Danielle se redresse, elle prend le bras de Sandrine et la fait basculer sur le lit. Elle se couche sur elle et l’embrasse dans un long baiser. Elle manuvre pour que leurs sexes se touchent. Elles basculent et finissent leur jambes entrelacées, et leur sexes l’un contre l’autre. Danielle bouge son ventre pour masturber Sandrine avec son clitoris. Sandrine est électrisée, elle ouvre le bouche mais l’air manque.

— MMMMMMMMMMMMMMMMM oui, tu me fait jouir.

— Moi aussi je joui, OOOHHHHHHHH

Elle jouissent ensemble. Et de treize. Je commence à me demander ou cela va finir. Je ne sais plus quoi faire mais Danielle a décidé de prendre les commandes.

— Caroline chérie, vient à côté de moi, Sandrine met toi de l’autre côté.

Les deux filles se placent de chaque côté de Danielle.

— Léchez moi, caressez moi, embrassez moi, mordez moi, faites moi vivre. Je veux vous sentir en moi, sur moi. Je veux sentir votre peau sur me peau, je veux vous lécher, vous embrasser, vous caresser, vous mordre, sentir votre corps sur le mien.

Caroline me regarde un peu dépassée par les évènements. Je lui fait signe de s’occuper de sa tante. Les filles se déchaînent, l’une s’occupe de ses seins, l’autre de sa bouche, viennent les fesses, l’anus, le sexe, les hanche et o,n recommence. Elles ont décidé de s’arrêter quand Danielle dirait stop. Je compte les orgasmes de Danielle. Quatorze, quinze, seize, dix sept, dix huit, dix neuf, vingt, vingt et un, vingt deux, vingt trois, vingt quatre, vingt cinq. Il s’est passé une heure et demie à peine, elle a eu un orgasme toutes les sept minutes en moyenne, c’est impensable. Je suis de nouveau en forme. Je monte sur le lit, écarte les filles et me couche sur Danielle. Elle est à moitié consciente, par réflexe elle m’enlace avec ses bras et avance son sexe vers le mien.

— Viens mon chéri, je t’attendais, je veux terminer avec toi.

Je la pénètre doucement, sans forcer, son sexe est inondé, ouvert, mon sexe va et vient sans contraintes, librement, lentement. Elle me serre dans ses bras plus fort et se raidi. Son ventre se soulève, ses bras m’étouffent, elle m’embrasse passionnément, elle se donne.

— Oui, je suis a toi, je suis ta chose, fais de moi ce que tu veux, vide toi, je veux sentir ton jus dans mon con.

J’éjacule en de longs jets.

— Oui, je te sent, oui, je joui.

Au bout d’un moment, elle relâche son étreinte, je me lève, mes jambes me supportent à peine. Je m’assoie sur le lit et me penche sur Danielle. Elle m’attire vers elle et me dit à l’oreille.

— Vous avez gagné, je me rend, mais avoue que je vous en ai fait voir.

Je plonge mes yeux dans ses yeux.

— Ça tu peux le dire.

Et je pose un baiser sur ses lèvres.

Tout le monde sort du climat de sensualité qui régnait dans la chambre et reprend le cour de la vie.

— Quelle heure est il? demande Sandrine.

— Dix sept heures, l’heure du thé.

Caroline va préparer le thé, un quart d’heure plus tard nous sommes entrain de boire un délicieux thé quand Danielle se penche sur l’entre cuisse de Sandrine pour lui faire une minette. C’est reparti, elle n’a pu rester calme qu’une petite demi-heure sans sexe. Quand Sandrine a joui, Danielle s’est levée et est allée s’allonger sur le divan en nous tendant les bras.

— J’ai besoin de tendresse, qui veut bien n’en donner?

— Moi tatie, je veux bien te donner toute la tendresse dont tu as besoin.

Elle se dirige vers sa tante et se positionne en soixante neuf quand la sonnette de l’appartement retenti. Caroline se lève, va vers la porte, regarde au travers du Judas.

— Sandrine, c’est Margot, qu’est ce que je fait.

Je saurais plus tard que Margot est l’ancienne maîtresse de Caroline et de Sandrine.

— Fais là entrer, on va bien s’amuser.

Caroline, toujours nue, ouvre la porte. Margot entre comme si de rien n’était. Elle découvre trois femmes et un homme nus. Une des femmes est allongée sur un divan les jambes grandes ouvertes.

— Je vois que l’on s’amuse bien ici. Caroline, tu me présentes?

— Je te présente Danielle, ma tante, et Jean, son amant.

— Ok, je vois, on ne fait pas dans la dentelle chez toi. Je peux participer?

— Si c’est pour le sexe, oui, sinon ne compte pas modifier nos rapports.

Margot nous regarde tous d’un regard circulaire et commence à déboutonner son corsage. Sandrine vient l’aider en s’occupant de sa jupe qui glisse par terre la laissant en petite culotte en dentelle. Danielle se lève, s’approche de Margot et se saisie de sa culotte. Elle la baisse doucement en embrassant toutes les parties du corps que traverse la culotte en commençant par sa vulve. Une fois la culotte enlevée, Danielle pose ses mains sur les fesses de Margot et l’attire vers elle. Sa langue s’active sur le minou de Margot. Celle ci pose ses mains sur le tête de Danielle et appuie doucement. Je vois la langue de Danielle essayer de pénétrer dans la vulve de Margot qui écarte les cuisses pour faciliter le passage. Margot se raidie, se cambre, sa respiration devient haletante, elle joui sous la langue de Danielle. Tout en admirant la présence d’esprit de Danielle, je regarde Margot. Elle est jeune, a de très jolis seins, volumineux mais sans plus, un ventre plat, des hanches en amphore, de belles jambes et un sexe coupé très raz. Danielle se lève, embrasse Margot et retourne sur la divan. Margot vient vers moi.

— Si j’étais avec Sandrine et Caroline, c’est que je suis lesbienne, donc pas touche.

Caroline vient vers elle.

— Ici, c’est moi qui dit ce qu’on peut faire, si tu n’est pas d’accord, tu n’as qu’à t’en aller.

— Ok, ok.

— Jean, fait lui une minette.

Margot la regarde furieuse. Je m’approche de Margot, je la sent prête à me griffer au moindre faux pas. Caroline la prend par les épaules et la couche sur le dos sur la table en lui ouvrant en grand les cuisses. Ses cuisses sont sur la table mais ses jambes pendent au bord. Je m’approche de Margot, je ma penche sur sa vulve, je vois qu’elle déborde de cyprine, je tire la langue et vais au contact de son clitoris qui dépasse de ses lèvres. A mon contact, elle a un sursaut, je continu à la lécher, pour finir par aspirer son clitoris. Je ne la touche qu’avec mes lèvres et ma bouche. Ma langue s’active et elle commence à onduler du bas ventre. Je mordille son clitoris doucement, ses mains se posent sur ma tête et elle part dans un orgasme violent.

— AAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGG

Son cri dure plus d’une minute, c’est long quand on a de la peine à respirer tant ses mains pressent sur ma tête et me collent à son sexe. Elle se détend.

— Salaud, tu m’as fait jouir, je te déteste.

Elle se lève, me tourne le dos et se dirige vers Danielle.

— A moi de te rendre la monnaie de ta pièce. Je vais te faire jouir jusqu’à ce que tu demande grâce.

Sandrine et Caroline me regardent avec un petit sourire. Margot se penche sur Danielle, lui embrasse les seins, le nombril et s’attarde sur le sexe. Très vite Danielle joui, Margot se place entre ses cuisses et continue, Danielle joui de nouveau, Margot recommence, Danielle joui, Margot ne s’arrête pas mais Danielle est inépuisable. Au bout d’une douzaine d’orgasme, Margot se lève, elle est épuisée, elle nous regarde.

— C’est qui cette nympho?

— Tu parles de ma tante, surveille ton langage.

— Tante ou pas, jouir comme elle joui, sans arrêt, en enfilant les orgasmes, j’appelle ça de la nymphomanie.

Danielle intervient.

— Doucement ma chérie, ton amie a raison, depuis que j’ai découvert l’amour physique je ne peux plus m’en passer. J’ai regardé sur un dictionnaire et la définition que j’ai trouvé de mon état s’appelle nymphomanie. Je suis nymphomane, mais j’assume, j’aime le sexe et je ne peux pas m’en passer, voila, c’est comme ça. Jean, tu m’as fais découvrir un merveilleux monde, je veux y rester, ,je veux en explorer toutes les facettes.

La soirée a continué, Margot s’est intégrée petit à petit, elle a même demandé que je lui caresse les seins pendant que Danielle lui faisait une minette. Ce jour là, Danielle a joui quarante deux fois, et c’est nous qui avons capitulés. Nous avons passé une journée à nous occuper de Danielle, à la faire jouir en étant sûre qu’elle allait demander grâce, et bien c’est nous qui avons demandés grâce.

Danielle est devenu de plus en plus dépendante du sexe. Je n’ai pas pu assumer de lui donner cinq à six orgasme journaliers, sans compter ceux avec Sandrine ou Caroline. Au bout de six mois, nous nous sommes séparés, j’étais sur les genoux, je ne pouvais plus assurer, j’ai préféré la quitter plutôt que de risquer l’infarctus. Danielle a continué avec sa nièce, Sandrine et Margot et quelque godemichés. Elle ne veux plus avoir de rapports avec des hommes, je suis le seul homme de sa vie et je le resterais. Du moins, c’est ce qu’elle dit maintenant.

Cinq ans plus tard, je suis tombé sur elle par hasard dans une ville du sud. Nous avons finis dans une chambre d’hôtel, mais la magie du début avait disparue et nous nous sommes quittés définitivement.

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