# Sa première sodomie
Nous décollons, elle est à côté de moi, souriante, la terre séloigne tandis que nous partons pour Prague. Ses yeux noirs me couvent, ses mains me recherchent, je la sens heureuse de voyager avec moi, de visiter un nouveau pays avec moi et daller découvrir ensemble des horizons qui nous sont inconnus.
Je ladmire. Son visage doux aux traits fins est entouré par ses longs cheveux noirs où naissent des boucles fines, les avoir relâché lui va à ravir et mettent en avant ses beaux yeux noirs au parfum dorient. Ses lèvres sont charnues et laissent deviner ses fines dents blanches. Elles ne sont pas parfaitement droites, mais cela ne la rend que plus charmante. Je lembrasse, je sens sa bouche sentrouvrir pour accepter ma langue pendant que je passe ma main dans ses cheveux pour la rapprocher de moi. Après un moment nous nous séparons, léquipe de bord ne serait surement pas ravie quon senvoie en lair en même temps que lavion. Je méloigne delle, mais laisse ma main sur sa cuisse, tandis quelle pose la sienne sur ma cuisse tout en cherchant autre chose. Je me sens durcir, le trajet va être long, je le sens, elle aime me taquiner et rien narrive à la convaincre darrêter.
Nous arrivons enfin à Prague, je nen peux plus, vivement que nous arrivons à lhôtel. La douane nous laisse filer très rapidement, rien que pour ça jadore lUnion européenne et nous sortons de laéroport pour rejoindre le centre-ville. Nous choisissons litinéraire qui semble le plus simple et le moins cher, le métro. Notre voyage se poursuit et jespère que dici trente minutes je pourrais enfin faire disparaitre cette envie brûlante qui me tiraille le bas ventre, je me sens plein, je nen peux plus.
Mais ce sera visiblement pour plus tard, alors que nous sommes dans le train, que je suis chargé comme une mule et le métro bondé, je sens sa main contre moi, me caresser et surtout caressant ma braguette et ce qui se trouve dessous, je narrive plus à me concentrer. Nous loupons notre arrêt. Nous sommes perdus. Le temps presse Nous sortons du métro et hélons un taxi, qui na pas lair des plus officiels, il est rouge, mais ce nest pas vraiment volontaire, ce nest quun tas de rouille. Je nai pas la tête à négocier, je veux arriver à lhôtel, jaccepte son prix et nous montons à bord. Le taxi qui maffirmait connaitre la route, ne semble plus tant la connaitre, nous passons puis repassons dans les mêmes rues, je mimpatiente. Le taxi le voit et ma copine le sent surtout.
Enfin ! Lhôtel, je sors les papiers, ma réservation, mon passeport, mon argent et attends les clefs. Je crois que la réceptionniste veut mourir. Elle mexplique que nous devons déjà remplir un formulaire. Jai envie de lui faire avaler son papier et de lui enfoncer dans le gosier en poussant avec le stylo quelle me tend comme une oie avant noël. Jattrape sa plume en essayant de ne pas la briser en deux, depuis 4 heures celle qui maccompagne me chauffe, jai besoin de méteindre en elle au plus vite. Jai les clefs, je monte, elle me suit. Jouvre la porte, la chambre est belle, grande, de la moquette grise au sol et un lit géant trônant au fond de la pièce. Je pose mes affaires et visite la chambre, elle sourit, je suis sur quelle sait que je nen peux plus, mais comme souvent jessaie de le cacher tant bien que mal, je naime pas trop lui montrer quelle pourrait me demander nimporte quoi dans ces moments. Elle en joue.
Elle prend son temps pour finalement sétendre sur le lit. Je la rejoins et commence à lembrasser, lui caressant les cheveux, passant mes mains sous ses vêtements pour caresser sa poitrine, je nen peux plus je ne vais pas prendre mon temps, jattrape son jeans que je tire vers le bas pour la délivrer de cette ceinture protectrice. Elle retient mon mouvement, je men fiche, mais pour une fois elle insiste, elle veut que jaille prendre une douche. Au diable la douche, jen ai pris une ce matin, je suis encore propre.
Elle insiste, je me lève furieux et part en direction de la douche, je crois que je vais juste aller me masturber et je moccuperai delle quand jen aurai de nouveau envie si elle le prend comme ça. Jentre sous la douche, leau est chaude, mon sexe droit, lenvie complète, je me dis que je ne vais pas la laisser encore jouer avec mon désir et juste lexpulser dans la rigole. Jattrape donc ce sexe qui dépasse et commence à le contenter, je ferme les yeux et me laisse envahir par mon plaisir. Jentends du bruit, mais je nen ai cure, je veux continuer, je sens la douche souvrir et son corps meffleurer, ses cheveux glisser le long de mon corps et ses mains entourant les miennes pour arrêter le mouvement, je la laisse faire, elle se met à genoux face à moi et je sens sa bouche menvelopper et jouvre les yeux. Ses cheveux sont mouillés et tombent sur sa peau aux reflets dorés. Je passe ma main alors à travers ses boucles et commence à pénétrer sa bouche au rythme de mon choix. Ca monte, je nen peux plus, je vais craquer elle le sait, elle me laisse accélérer le mouvement, elle gémit pendant que je baise sa bouche. Jéjacule soudain plusieurs fois. Je crois que cest vraiment lendroit où je préfère jouir, je my sens bien, je mabandonne. Elle se relève, les cheveux défait, souriante, le regard coquin, elle se dirige vers le lavabo puis revient vers moi. Je lembrasse et commence à la caresser, elle me demande de la savonner, je mexécute et passe du savon sur son dos, son ventre, sa belle poitrine, ses épaules et ses fesses et sent mon désir remonter. Cest ce quelle cherchait, je crois, vu son sourire en sentant mon érection le long de sa cuisse. Elle me dit « Cest bon je suis toute propre, je vais dans la chambre mhabiller, toi tu restes sous la douche » , un peu déconfit je lembrasse sur la joue et la laisse partir. Quelques minutes plus tard, plus propre que propre, je sors enfin de la salle de bain, attrape ma serviette et me sèche.
Jentre alors dans la chambre. Je vois encore aujourdhui cette scène un peu comme une première fois. Elle me regarde, lair gêné comme si elle avait quelque chose à cacher alors que jai pu la voir nue des centaines de fois, les cheveux détachés tombant sur ses épaules fines. Elle avait enfilé une nuisette noire en soie qui laisse deviner sa poitrine et tombait juste sous ses jolies petites fesses. Cétait la première fois que je la voyais dans cette tenue, cela lui allait très bien. En règle général, quand on se voyait elle navait jamais de sous-vêtements appareillés, souvent des soutiens-gorges qui avaient plusieurs années et des culottes en cotons (certaines avec loption troues-, mais je nen avais cure, je la dévorais à chaque fois en moins de deux, avec cette tenue ce sera en moins dune.
Je mavance vers elle, la serre dans mes bras tout en faisant passer mes mains sur létoffe et ce quelle protège, mal, puis la jette sur notre lit où je la rejoins très vite. Je recherche sa bouche que je veux dévorer, je sens sa langue me chercher et viens à sa rencontre. Ma main passe sur ses fesses, ses seins, son ventre, ses jambes, son dos, je crois que je cherche à ne louper aucune partie de ce corps que je désire tant. Je descends, passe ma langue sur son cou, ses épaules frêles, puis passe lentement entre ses seins pour descendre sur son ventre, bientôt jarriverai à destination, je vois son sexe perler de ce désir que je veux boire, jy colle ma bouche et commence à la lécher tout en ouvrant bien la source de ce jus avec deux de mes doigts. Je lentends gémir de plus en plus fort, ce traitement la rend folle, ses jambes se contractent, ses fesses remuent, elle ne se contrôle plus. Jutile mes bras pour lui ouvrir les cuisses et la maintenir en place, elle crie dextase, ma barbe est luisante, jabandonne ma position pour remonter vers elle et lembrasser. Pendant que nos lèvres se retrouvent elle colle ses fesses à mon sexe dur comme de la pierre, je me frotte à elle, jai quune seule envie, la pénétrer, mais je ne peux, elle est toujours vierge, jessaye de contenir mon envie et continue de me frotter à elle, puis je commence à me frotter à son petit trou qui est une zone inexplorée, mais elle est beaucoup plus ouverte de ce côté, elle aime que jy introduise mes doigts. Je pose mon sexe contre ce petit trou et continue de me frotter tout en poussant un peu sans chercher vraiment à entrer. À ma grande surprise je la sens venir à ma rencontre, je me sens petit à petit glisser en elle, puis jarrête en la voyant en peine, mon gland est en elle, planté dans son cul, je reste calme contenant mon envie de la pilonner, je lembrasse, caresse son corps, caresse son sexe pour maintenir son plaisir, je recommence à menfoncer, mais je vois quelle nest pas prête, je me retire donc et elle me termine en me masturbant.
Je suis un peu déçu, mais je me dis que je suis arrivé à passer au-delà de lune de ses barrières, dici peu jarriverai enfin à entrer en elle. Rien quà cette idée je me sens à bander à nouveau.
# Chapitre 2 : Retour à Paris
Nous sommes rentrés sur Paris, où nous avons retrouvé notre rythme usuel, cest-à-dire que lon doit davantages ressembler à des lapins spécialisés dans les préliminaires quà autre chose.
Nous nous voyons tous les jours et avons des difficultés à passer plus de 20 minutes habillés quand nous sommes ensemble dans la même pièce. Nous navons pas reparlé de ce qui sétait passé à Prague, je ne veux pas quelle se sente brusquée, mais durant nos rapports, je cherche de plus en plus à jouer avec son petit trou, à le caresser, à y insérer des doigts ou bien à le lécher. Je la caresse aussi tout en jouant avec son anus, pour que son cerveau interprète ce trou comme une source de plaisir. Ce régime dura un mois avant que les choses ne changent entre nous deux.
Cétait un samedi comme les autres, elle était arrivée peu après midi, vers 14 heures peut-être, nous nous étions installés dans ma chambre pour regarder «Cauchemar en cuisine». Cest surement un peu débile comme émission, mais cela nous amuse de voir Gordon Ramsay engueuler des restaurateurs qui ne comprennent pas quil faut mettre la viande au frais et que le plat du jours ne peut dater de la semaine dernière. Comme souvent quand nous regardons une émission ou un film, nous sommes collés lun à lautre et ne pouvons nous empêcher de chercher de la main nos différents corps. De cette manière chaque film se terminait de la même façon, nous nous sautions dessus à la première seconde du générique.
Cette fois-ci, ce fut comme souvent, je lembrasse pendant que mes mains passent sous ses vêtements pour toucher sa peau si douce, je sens mon désir monter et ne peux mempêcher de presser les choses pour quelle se retrouve nue contre moi. Alors quil ne lui reste plus que quelques centimètres de peau couverte, elle marrête pour me chuchoter à loreille. « Tu te souviens de Prague ? » Je crois que je nai même pas eu besoin de répondre, elle vient de sentir mon sexe se dresser rapidement contre son ventre. Elle sourit. « Jaimerai que lon ressaye ». Pour lui répondre je lembrasse et me lève chercher le lubrifiant qui est dans ma salle de bain.
Je reviens, la mets sur le ventre, lattrape par les hanches pour relever son adorable petit cul et commence à étaler ce produit glissant sur son petit trou en la doigtant doucement, jai juste envie de la prendre comme un sauvage là tout de suite, mais je me contrôle. Je sais que si elle a mal, elle ne voudra pas tester avant longtemps, donc je prends le temps de faire les choses bien. Une fois bien lubrifié, je la bascule sur le côté et viens me poser contre elle. Je colle ma bite sur son cul et ma main sur son clitoris pour la masturber. Maintenant je vais vers lavant, je me sens entrer petit à petit. Laccès nest pas simple, mais javance, déjà mon gland est entrée et dieu sait quil sy sent bien, là tout entouré et comprimé par cette chair chaude et humide. Elle soupire de plaisir, elle a lair de bien accueillir ce corps étranger qui continue son exploration. Maintenant que mon gland est dedans, le reste suit plus aisément. Ca y est mes boules tapes sur son cul, je ne pourrais pas mintroduire plus loin, je reste quelques instants là, sans bouger, pendant que ma main continue de la toucher et que ma bouche lembrasse , pour lui laisse le temps de bien maccepter et de shabituer à moi, puis je commence à faire des mouvements lents de vas et viens. Putain ce que jaime ça. Petit à petit je la sens maccompagner dans mes mouvements, cela me fait accélérer le rythme, je la veux. Jaccélère la cadence à tous les niveaux, ma main va vu plus vite sur son clitoris humide et dur, et mon sexe senfonce et se retire de plus en plus vite de ses fesses, je lentends commencer à gémir de plus en plus fort, je ny tiens plus et je jouis alors que je lentends avoir un orgasme. Puis nous nous écroulons lun sur lautre pour nous endormir à lissue de cette douce extase.
Avant de mendormir, je me dis que cette première fois semble avoir été plus quagréable pour nous deux, je sais que maintenant je pourrai visiter son cul régulièrement, je dépose un baiser sur son front alors quelle dort déjà, je sais que nous avons franchi un nouveau cap.