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Les grands parents de Carole – Chapitre 1

Les grands parents de Carole - Chapitre 1



Carole, c’est ma petite amie : 19 ans, jolie brune (très !) aux yeux verts, des formes pleines et des seins bien ronds et assez abondants. Nous sommes ensemble depuis six mois, et s’il y a un domaine où nous nous entendons très bien, c’est dans les galipettes. En fait, il ne se passe guère de jour où nous ne fassions l’amour, et il nous est parfois arrivé d’essayer quelques fantasmes sympas. Depuis peu, nous nous demandions si nous oserions tenter l’amour avec un autre couple. Eh bien c’est fait, mais de façon plutôt inattendue.

Pendant les dernières vacances, nous passions quelques jours chez les grands-parents de Carole. Lui, Pierre, vieux monsieur très distingué de 68 ans, grand, encore assez svelte, avec des cheveux blancs et une moustache très british. Elle, Madeleine, âgée de 65 ans, un peu boulotte mais pas trop, et surtout dotée, à en juger par ses pulls souvent un peu serrés, d’une très forte poitrine. Un matin, sortant de la chambre pour aller à la douche, j’ai aperçu Carole en arrêt devant la chambre de ses grands-parents. Une intense surprise se lisait sur ses traits. Je m’approchais, et jetais à mon tour un oil par la porte entrebâillée. Ce fut à mon tour de tomber des nues : Pierre et Madeleine étaient en train de faire l’amour. Agenouillé derrière sa femme, le grand-père la prenait en levrette, et la vigueur de ses coups de rein montrait qu’il n’était pas loin de jouir. Par moment, son sexe, très long et fin, mais absolument raide, apparaissait entièrement, avant de replonger dans l’intimité de Madeleine, sans même qu’il ait besoin de le guider entre les cuisses largement écartées de sa femme. Celle-ci, à quatre pattes, gémissait doucement, et mon regard eut du mal à se détacher du spectacle de ses seins, en effet impressionnants, ballotant librement sous elle. On aurait dit deux véritables mamelles, dont les bouts sombres émergeaient de deux larges aréoles très foncées. Carole respirait vite, à côté de moi, le regard rivé sur cette séance inattendue. Au bout de quelques instants, l’orgasme leur vint presque en même temps et ils s’effondrèrent sur le lit, basculant sur le côté tout en s’embrassant. J’eus alors le choc de découvrir le vaste triangle noir qui ornait tout le bas ventre de Madeleine, remontant presque jusqu’au nombril. Visiblement, ma brune Carole avait de qui tenir.

Prestement, nous nous sommes éclipsés dans notre chambre où nous avons fait l’amour avec une ardeur toute particulière. En fin d’après-midi, Carole me parut soudain préoccupée. Il me fallut un certain temps pour l’amener à me dire ce qui l’ennuyait. Elle m’avoua alors que sa grand-mère nous avait vus, le matin, en train de les regarder, et qu’elle lui en avait parlé.

— Elle te l’a reproché ? Ai-je demandé

— Non, au contraire. Elle m’a dit que demain, au lieu de rester bêtement plantés dans le couloir à les mater, nous ferions mieux de les rejoindre. Elle a ajouté que cela fait longtemps qu’ils n’ont pas fait l’amour avec des petits jeunes.

La surprise me cloua le bec pendant quelques minutes. C’était une situation pour le moins inattendue. En même temps, il me semblait voir une petite lueur d’envie dans les yeux de Carole, qu’elle essayait en vain de chasser.

— Qu’est-ce que tu en penses ? Lui ai-je demandé

— Cela me fait honte, mais j’en ai assez envie. Et toi ?

— Moi aussi, j’en ai envie. On avait bien dit qu’on essaierait, à quatre, non ?

— Oui, mais avec mes grands-parents.

— Justement. Ce sera encore plus excitant.

Chose dite, chose faite, le lendemain matin, nous nous sommes retrouvés dans la chambre des grands-parents, moi en simple caleçon, Carole en tee-shirt et culotte blanche, très petite fille sage. Pierre et Madeleine nous firent de la place entre eux, dans leur vaste lit en 180. Ils étaient en pyjama, mais il n’y avait pas eu de malentendu : ils nous questionnèrent aussitôt sur nos pratiques sexuelles, nous parlant des leurs. Nous avons ainsi appris qu’ils étaient depuis toujours des adeptes de l’échangisme, et qu’en nous apercevant la veille, ils avaient sauté ( !) sur l’occasion d’accomplir l’un des derniers tabous qui manquait à leur palmarès : les relations sexuelles en famille. Je fus un peu surpris, mais agréablement, de voir que c’est ma petite Carole qui passa la première aux choses sérieuses, se redressant soudain et s’asseyant à califourchon sur son grand-père. Elle défit un à un les boutons de son pyjama, tandis qu’il lui malaxait les seins à travers, puis sous, son tee-shirt. Celui-ci était depuis longtemps tombée à terre quand, agenouillée entre les jambes de Pierre, elle se pencha sur son sexe, déjà bien dressé, et commença une lente mais experte fellation. Pour ma part, à ce moment-là, j’étais en train de téter les volumineux seins de Madeleine, qui me masturbait lentement. Mais très vite, je me mis à réaliser ce qui était devenu un véritable fantasme depuis que je l’avais vue la veille : enfouir mon visage dans le buisson broussailleux de son pubis. Pierre ne fut pas long à m’imiter, plongeant à son tour entre les jambes écartées de sa petite-fille. Un peu plus tard, alors que ma langue léchait le sexe inondé de Madeleine, je m’aperçus que les deux femmes s’embrassaient à pleine bouche, se caressant mutuellement les seins. Pierre était en train de se redresser, et présentait le barreau de son long sexe devant celui de sa petite-fille. Celle-ci ne put réprimer un long gémissement quand il la pénétra lentement, m’invitant du regard à en faire autant à sa femme. Je ne me suis bien sûr pas fait prier, et bientôt nous étions tous deux en train d’aller et venir dans les chauds étuis fourrés de nos deux brunes. Avant de parvenir au sommet de son plaisir, l’aïeul se retira et retourna Carole, avant de lui lécher longuement son petit trou, puis de la sodomiser vigoureusement. Pour ma part, je m’étais aussi retiré de Madeleine pour me hisser au niveau de ses seins, pendant qu’elle se masturbait. Ma jouissance jaillit sur son visage, l’inondant de sperme, au moment où Pierre et Carole s’effondraient en criant, le long sexe du grand-père enfoncé jusqu’à la garde entre les fesses de sa petite-fille.

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