Résumé des chapitres précédents : j’ai débarassé mon adorable nièce Marine de son pucelage et elle y a pris goût… Je complète peu à peu son éducation (sur le plan sexuel uniquement) : levrette, cunilingus, fellation… L’élève est douée !
CHAPITRE 4 : LE CINEMA
Wouaouhh !… J’avais entendu dire que la scène était ’hot’, mais j’avoue que je doutais un peu. Basic instinct, le film : Marine et moi sommes venus le voir dans ce cinéma à peine à moitié rempli comme toutes les salles hors Paris en semaine. Une vraie misère ! A cette heure-ci, les gens ont tous dîné, et sont plantés devant leur téléviseur. Sortir ? Pas question ! Pourtant cette salle est vaste, bien équipée, grand écran, les fauteuils sont profonds et confortables. Mais sur la largeur de notre rangée, nous sommes seuls, et nous ne sommes même pas gênés par des gens devant. ?a ne doit pas être très rentable… Pour en revenir au film, oui, quand Demi Moore, dans une ambiance déjà passablement chargée d’érotisme, décroise et recroise ses jambes devant ce groupe d’hommes en leur dévoilant sa chatte (qu’elle a fort jolie, faut bien le dire), ça me fait chaud au ventre et je suis obligé de me tortiller un peu pour laisser à mon sexe la place nécessaire à son épanouissement. En un mot je bande. Marine se tourne vers moi et me susurre : ’alors, ça te fait de l’effet, toi ?’ En même temps elle pose sa main sur ma braguette et constate ’oh, ben mon cochon ! Elle te fait bander, hein ? Mais ta queue, elle est pour moi !’ Elle se penche vers moi comme pour me dire quelque chose à l’oreille, et s’aidant de son autre main, descend le zip de ma braguette. Le bruit me semble assourdissant, il ne trouble en tous cas pas Marine qui passe sa main à l’intérieur et farfouille, ouvre le bouton de mon caleçon, franchit le dernier obstacle et saisit mon sexe comme si elle retrouvait son bien personnel. Ces manoeuvres ont achevé de me faire bander, et c’est une bite parfaitement honorable qu’elle tient maintenant dans la main. Il lui faut encore quelques efforts pour l’extraire de mon pantalon, y parvient enfin avec un discret ’ahhh…’ de victoire. Il n’y a personne à ma gauche, mais j’entasse quand même mon pull sur mon bras de ce côté, on ne sait jamais, si quelqu’un venait s’asseoir, vu la difficulté à sortir la bête, ça serait coton de la faire rentrer… Toute contente d’elle, Marine me caresse doucement la bite, ses doigts longs et souples montant et descendant le long de ma hampe. Longtemps, elle se contente de ce geste doux que j’apprécie copieusement. Son pouce et son index forment un anneau qui frôlent toute la longueur de mon sexe, agaçant au passage le renflement de mon gland. Elle en taquine le bout avec son pouce, et explore tranquillement toute l’anatomie de mon sexe, cherchant et découvrant tous les endroits sensibles, les attouchements qui me font de l’effet. Les mouvements convulsifs de ma bite dressée la renseignent au fur et à mesure… Marine apprend. Elle est manifestement douée, elle apprend vite ! Satisfaite de ses progrès, elle enroule ses doigts autour de mon pieu et le serre fortement, sans relâcher sa pression. Je me cambre sous la décharge de plaisir, ma bite répond à sa pression, et comme elle garde sa main serrée, je palpite dans ses doigts. Elle entame un mouvement de va et vient, comprimant toujours fermement mon sexe gorgé d’excitation, elle me branle puissamment. J’ai le plus grand mal ne pas manifester mon plaisir, et j’ai l’impression que ma respiration saccadée s’entend dans toute la salle. Je ne résiste plus à la main décidée de Marine, et après une contraction décisive, je jouis et un long jet de sperme vient souiller le dossier du fauteuil qui est devant moi. Je continue à me vider abondamment inondant la main de Marine qu’elle a mise en conque au dessus de mon gland. Elle laisse les dernières palpitations de mon sexe me vider de mon sperme, puis, alors que d’un kleenex réparateur, je nettoie le plus gros de mon éjaculation, je la vois porter la main à son visage : la cochonne respire l’odeur de mon sperme, et j’ai même l’impression qu’elle y porte la langue… Elle se kleenexe aussi la main, puis je la sens gesticuler à côté de moi, se baisser, puis elle se penche à mon oreille : ’moi aussi, je peux faire comme elle’, me dit-elle en me fourrant dans la main droite quelque chose de doux et chaud, du tissu roulé en boule. Il me faut le monter à hauteur de mes yeux, dans le contre-jour de l’écran, pour constater qu’il s’agit de sa culotte ! Faute de mieux, je la mets dans ma poche. Je pose ma main sur la cuisse de Marine, et je remonte sa jupe jusqu’à atteindre sa chatte qui en effet est nue. Je caresse sa toison, je l’entends presque ronronner de contentement. Ma main s’aventure entre ses cuisses, mais l’accoudoir trop haut ne me permets pas d’aller bien loin, je dois me contenter d’effleurer le haut de sa fente. Au prix d’une contorsion qui me fait mal au bras, je parviens à caresser son clitoris, à humecter un doigt dans sa vulve liquéfiée. Je le porte à ma bouche et goûte son jus, avec un ’humm !’ sans discrétion. A côté de moi, j’entends Marine glousser. Je me remets à explorer son ventre, mais Marine a beau se contorsionner aussi, ça ne va pas plus loin. Je me contenterai de passer la fin du film avec ma main allant de son ventre à sa toison et ses cuisses, ’presque chastement’. En tous cas, j’arrive à suivre nettement mieux ce qui se passe à l’écran… Les américains sont vraiment un peu tordus, avec ces histoires de harcèlement sexuel ! Je veux bien que l’idée initial soit bonne, pour éviter des cas genre ’droit de cuissage’ à la limite du viol, mais ils ont réussi à pervertir le système. Bientôt, ils ne pourront même plus tenir la porte pour laisser passer une femme sans que ça soit pris pour du harcèlement sexuel… Ils n’assument vraiment pas bien les relations hommes-femmes, chez eux. ’The End’ : j’enlève ma main, je finis de me rajuster… Nous nous dirigeons vers la sortie, Marine me demande : ’alors, ça t’a plu ?’ – ’Oh oui, c’est très bien joué, mais c’est tellement en décalage par rapport à l’état d’esprit européen que ça ne paraît pas vraisemblable, comme scénario.’ ?Marine met un certain temps à réagir, puis rougit un bon coup : ’heu, non, ça n’était pas ça, ma question, ce n’est pas de ça dont je te parlais…’ Nous éclatons tous les deux de rire au grand étonnement des spectateurs. Nous rions encore comme des idiots en reprenant la voiture pour la trentaine de kilomètres qui nous séparent de la maison. A cette heure tardive il n’y a plus personne dans les rues, l’éclairage publique faiblard laisse des parties entière de la ville dans une demi obscurité. C’est moche, et l’obscurité totale dès que nous sommes dans la campagne nous semble plus agréable. Nous roulons au milieu des prés et des bois, sans jamais voir une autre voiture. Le reflet des phares sur la route me permet tout juste de distinguer Marine assise à côté de moi. – ’Moi aussi, je vais te faire du harcèlement’, me dit-elle soudain en relevant son t-shirt jusqu’aux aisselles. Tournée vers moi, elle me montre fièrement sa poitrine. Comme son t-shirt trop moulant la serre, ni une, ni deux, elle le passe par dessus sa tête, et toute contente d’elle, prenant ses seins dans ses paumes, les caresse lascivement puis me les présente comme deux beaux fruits à croquer. J’y pose une de mes mains, continuant à conduire de l’autre, et à tâtons je la caresse, soupesant un sein, roulant un téton entre deux doigts jusqu’à le faire durcir et pointer, passant à l’autre sein et appréciant comme si j’étais non-voyant. Je parviens pourtant à jeter de temps à autre un coup d’oeil vers elle : les yeux clos, elle jouit tranquillement de mes caresses, l’air très sérieux… Après un temps de ce petit jeu qui nous excite tous les deux d’autant plus que mes mouvements sont limités parce que je continue à conduire, elle gigote un peu, et je m’aperçois du coin de l’oeil qu’elle est en train de remonter sa minijupe en tissu élastique très haut, s’en faisant une sorte de ceinture. Et comme sa culotte est dans ma poche, Marine se trouve pratiquement nue à mon côté. Elle tourne son bassin vers moi, une jambe remontée sur le siège et appuyée contre le dossier, prend ma main et la pose sur son pubis. Ouhh ! Que c’est doux ! Je caresse son ventre avec douceur, pour autant que je puisse me concentrer en tenant le volant de l’autre main… ?à ne doit pas être suffisant, car elle guide mes doigts jusqu’à sa fente, puis guide mes caresses, appuyant plus ou moins ma main sur son sexe. Ses doigts poussent les miens à l’intérieur de sa vulve, les promènent doucement sur son clitoris, les ramènent dans sa chatte trempée. Je la laisse me guider en gardant mon attention concentrée sur la conduite de la voiture, de toutes façons Marine mène très bien sa petite affaire, je l’entends haleter doucement, en rythme avec le mouvement de nos mains. Mais la route devient sinueuse, et je dois utiliser mes deux mains pour conduire. La droite est un peu humide, ça ne paraît pas troubler le volant ni le levier de vitesses. Pendant que je négocie les virages de cette partie accidentée du trajet, j’entends Marine continuer à haleter doucement : je pense qu’elle n’a pas renoncé et qu’il faudra rapidement que je libère à nouveau ma main droite… Nous traversons un tout petit village dont le seul lampadaire blafard éclaire soudainement Marine : elle est toujours totalement nue à part la ceinture faite de sa jupe relevée, tournée vers moi et la jambe gauche relevée sur le siège, et deux doigts enfoncés dans le vagin elle se masturbe avec application. C’est comme une photo instantanée soudaine, flash érotique fantastique ! Surtout ne pas la déranger. Je ralentis un peu pour ne pas la secouer et interrompre son activité, que je suis par ses mouvements que je distingue à peine mais que je comprend mieux, et son souffle rythmé. Toute à son plaisir, elle ne voit pas arriver la lueur qui annonce une voiture face à nous. Je ne lui dis rien, ralentis légèrement et au moment du croisement, j’essaye de regarder à la fois à l’intérieur de l’autre voiture et Marine à côté de moi. Elle a curieusement un mouvement pour tourner vers le bas sa jambe gauche et cacher ainsi son sexe, réflexe bien inutile car on ne peut certainement pas distinguer le bas de son corps alors qu’au dessus sa poitrine est complètement dénudée… Pour ce que j’ai pu voir de l’intérieur de l’autre voiture, à peine deux silhouettes, je ne pense pas qu’elles aient pu distinguer la nudité de Marine. Désolé pour vous, braves gens ! Apparemment, cela ne l’a pas perturbé plus que ça, et ça l’a même sans doute excitée, car elle rouvre le compas de ses jambes et continue sa masturbation. Elle fait aller et venir ses doigts dans son sexe, au rythme de son plaisir et des mouvements de la voiture ballottée par les irrégularités et les sinuosités de la route. Les mouvements de sa main et son souffle s’amplifient, il est temps d’ailleurs car nous approchons de la maison. Sa jambe gauche commence à être agitée de mouvements saccadés et bat contre le dossier. Nous arrivons devant le portail que j’ai ouvert à distance avec la télécommande : la maison est plongée dans l’obscurité, il n’y a aucune lumière aux fenêtres, tout le monde dort. J’en fais le tour au ralenti pour me garer derrière et je coupe aussitôt le contact en éteignant les phares. Marine ne s’est pas arrêtée pour autant, et ses gémissements de plaisir emplissent la voiture. Elle a compris que nous étions arrivés et que si je ne réagissais pas, c’est qu’elle pouvait continuer sans que personne ne vienne nous déranger. Mes yeux s’habituent à l’obscurité et je la vois maintenant complètement dans la lumière blanche de la pleine lune. Je la regarde, nue, ouverte, ses doigts s’activent sur son clitoris, entre et sortent de sa vulve, fouillent profondément son sexe. Un moment, ses yeux se fixent dans les miens, le regard troublé, semblant à la fois me défier et m’appeler à partager son plaisir : regarde-moi, regarde moi jouir, pour toi et pour moi. Regarde comme je prends mon pied devant toi, comment le plaisir m’envahit, regarde comme je m’exhibe devant toi, regarde mon sexe, mes doigts qui le fouillent. Je lui réponds d’un même regard : j’aime ce que tu me donnes, j’aime ton ventre, ton plaisir, j’attends ton orgasme. Je ne fais aucun mouvement, regrettant seulement de ne pas avoir mon caméscope pour enregistrer cette scène brûlante. Dans un spasme de tout son corps, elle jouit enfin, libérant un long soupir de plaisir ! Elle ferme les yeux, deux doigts toujours enfoncés profondément en elle, laisse son souffle retrouver un rythme plus paisible. Enfin, avec un soupir, elle sort ses doigts de son vagin, les essuie sur son ventre en souriant, puis m’embrasse tendrement avec une caresse furtive pour ma braguette. – ’J’ai joui, j’ai joui ! J’avais même l’impression que tu étais dans mon ventre, que c’était toi qui le fouillais, qui me donnais tout ce plaisir ! Oh, c’est bon, de faire l’amour avec toi ! Tu as vu comme je fais ça bien ? T’as vu un peu comme je m’envoie en l’air ? Mais ça marche pas aussi bien quand t’es pas là ! Même si je pense fort à toi en même temps…’ Elle s’extraie finalement de la voiture, toujours nue, j’en fais autant et je contourne la voiture pendant qu’elle est à la recherche de son t-shirt. Être dans cette tenue superbement provocatrice, la jupe relevée, les seins nus, exhibant son sexe luisant de sa liqueur largement étalée ne la gène pas du tout, j’ai même l’impression qu’elle y prend un plaisir certain. D’ailleurs, au lieu de commencer par baisser sa jupe, elle commence par enfiler son t-shirt, m’offrant le spectacle de son corps nu, arqué, les bras tendus à la verticale remontant haut ses seins clairs, fermes gonflés et tendus par le plaisir qu’elle s’est donné. Puis, avec un petit ’au revoir !’ moqueur, elle remet en place sa jupe roulée autour de la taille et redevient une jeune fille toute sage… Nous rentrons silencieusement dans la maison, nous n’avons aucune envie de réveiller quelqu’un et d’entamer une discussion, le récit du film, etc ! Devant la porte de sa chambre, je lui mets dans la main sa culotte roulée en boule : elle avait oublié, et se met à rire doucement. Bisou, bonne nuit, et merci Marine !
—- La suite dans ’ma nièce’ chapitre 5 !