Avant d’aller plus avant dans les récits de mes aventures vécues, je pense être honnête en disant à ceux qui fantasment et qui seraient tentés de franchir le pas, qu’il leur faut avoir une bonne dose d’immoralité ou d’amoralité sur le sexe.
Lors de notre première rencontre, bien que tout à fait quelconque, j’avais demandé à Nicolas comment le contacter (sans l’informer que nous avions un 2e candidat) autrement que par le biais du minitel. Il m’avait donné une carte de visite que j’avais mise vite fait dans mon portefeuille sans autre attention.
Sur celle-ci il était écrit :
" Studio Nicolas – reportages photo : naissance, communion, mariage, portraits et entreprises " avec bien sûr l’adresse et le numéro de téléphone. Nicolas était installé dans un petit centre commercial que je connaissais.
Nicolas, spécialisé dans le reportage photo travaillait seul. Son " magasin " se composait d’un petit bureau, une grande pièce aménagée (le studio) avec tout son matériel professionnel et une autre, son labo où il faisait les développements (nous étions entre 1987 et 1990).
S’il avait répondu à mon annonce, bien qu’il se tapait de façon occasionnelle des mères de famille venant faire faire des photos de leurs enfants, c’était d’avoir la possibilité de faire l’amour et de baiser sans capote avec quelqu’un de sain de façon régulière juste pour le plaisir. Sinon en dehors de cela il se branlait tous les deux-trois jours pour se soulager, sa femme étant un peu conventionnelle et manquait de fantaisie côté sexe.
Il avait même fait une analyse de sang pour montrer qu’il était sain, et si ça marchait entre nous à 3 il n’irait plus chercher ailleurs.
J’ai abordé avec lui la période de " carence sexuelle " que Christine avait vécu avec son ex, qu’aujourd’hui il n’y avait plus que le plaisir qui comptait, car pour le reste comme disait Christine : " j’ai déjà donné "
Depuis notre journée au lac où j’avais baisé Christine devant deux jeunes voyeurs sa libido était partie en flèche, je m’étais dit qu’en lui proposant des plans à 3 cela augmenterait peut être son plaisir et rattraperai un peu son manque de sexe passé.
Je n’entrerai pas dans les détails des organes du corps humain et de leurs fonctions, pour Christine c’était devenu simple : elle avait des yeux pour voir, des oreilles pour entendre, etc… entre les cuisses un sexe pour jouir,……. et une bouche pour un peu plus d’agréments…
Tout en discutant de sexe avec Nicolas je lui ai fait part de ce qu’aimait Christine, notamment être pénétrée lentement, bien à fond, sentir éjaculer, éventuellement être prévenu quand ça venait ; mais aussi et surtout ce qu’elle n’aimait pas, en particulier se faire baiser par un lapin.
Une idée germa dans ma tête…
— Avant tu pourras nous prendre en photo ?
— Pas de problème c’est comme tu veux.
— Je ne lui dirai rien, je suis sûr qu’elle va aimer.
Le jour de notre rendez-vous avec Nicolas, juste avant d’arriver :
— Nicolas fera des photos de nous faisant l’amour.
— Non, c’est pas vrai !
Une lueur lubrique brilla dans les yeux de ma compagne ; dans chaque pupille comme dans certains dessins animés on aurait pu y voir un sexe dressé.
Je me doutai que cela lui plaira.
Dès que nous fûmes à l’intérieur du studio, après avoir fait la bise à Nicolas, sans attendre Christine se mit totalement nue. Son excitation et sa " " disponibilité " étaient visibles rien qu’en regardant son entrejambe. Sa toison taillée court laissait bien entrevoir ses petites lèvres dilatées écartant les bords de sa fente formant une petite crête avec le capuchon de son clito.
Nicolas nous a pris en photo dans toutes les positions possibles, ainsi que des " arrêts sur image " fixant sur la pellicule nos sexes emboîtés en gros plan.
Pour les dernières photos Christine me chevauchait, empalée, ondulant sur ma queue raide elle frottait l’entrée de son dernier rempart sur mon gland.
Penchée en avant, cramponnée à mes épaules elle a joui dans un long gémissement et un oooooooooohhhhhhhhhh sans fin sans se soucier de Nicolas qui rangeait son matériel la queue bien dresser à nous voir copuler.
Toujours emboîtés, Christine s’était allongée sur moi ; lentement je la fis basculer sur le dos et la baisais à mon tour, me vidangeant la grappe très vite.
Entre les cuisses de Christine, toujours planté en elle, mes dernières contractions évacuaient ma sève.
" J’ai encore envie " souffla-t-elle, joignant le geste à la parole en soulevant sa motte.
Je retirai ma queue devenue molle de son fourreau et m’allongeais à sa droite.
Nicolas prit ma place entre les cuisses écartées de Christine.
Le premier plan cul avec Nicolas s’étant passé dans la quasi-obscurité c’était vraiment la première fois que Christine, et moi par la même occasion pouvions voir ses organes génitaux.
Nicolas, bien monté, affichait une belle érection, verge raide et tendue regardant le plafond, testicules gonflés, bien remontés, prêt à baiser.
Sur le plan anatomie sexuelle, entre lui et moi il n’y avait pas grande différence ; une belle paire de couilles chacune comme un uf de poule, longueur et diamètre de son engin similaire, sauf le gland tout aussi large mais bien en pointe.
Christine se releva, en appui sur sa main gauche la droite était partie en direction des organes génitaux de Nicolas. Déçue par le plan à 3 avec Gérard où elle avait été " trompée " sur la marchandise, elle vérifiait.
Malgré sa verge en érection le gland n’était qu’aux trois quarts décalotté. Dans la main de Christine, ses doigts n’arrivant pas à enserrer la tige, le sexe paraissait plus gros. Lentement elle fit coulisser le prépuce derrière le bourrelet. L’engin tressauta quand, du bout des doigts, elle effleura le dessous du gland. Laissant glisser ses doigts le long du tube de chair jusqu’aux testicules, Christine les palpait comme si elle choisissait des fruits à maturité prêts à être pressés pour en récupérer le jus.
Satisfaite de son examen minutieux elle se rallongea, replia ses jambes très haut tout en écartant ses cuisses offrant à Nicolas sans retenue ni réserve sa vulve pour venir " jouer au jardinier " en y plantant son manche.
Nicolas avait sous les yeux la corolle de ses petites lèvres, l’entrée de sa grotte ouverte, sa mouille mélangée à ma semence commençant sans doute à s’en échapper, prête à accueillir sa grosse queue et les profondeurs de son vagin pour recueillir le jus que ses testicules allaient expulser.
Comme je l’ai dit plus haut, la femme de Nicolas était très conventionnelle, pas du genre à exhiber son intimité, et quand elle daignait sucer pas question pour Nicolas de jouir dans sa bouche ; retrait obligatoire quand il sentait venir la chose.
Il allait très vite se rendre compte qu’avec Christine ce serait différent, et qu’elle n’avait aucune retenue sexuelle.
D’acteur principal habituel je passais au rang de spectateur.
En appui sur son avant-bras Nicolas s’allongea sur Christine. Sa verge était raide, presque contre son ventre, de l’autre main entre deux doigts il la guidait vers l’entrée du vagin de ma femme.
Pour Nicolas, Christine était et a toujours été ma femme.
Tête légèrement relevée Christine regardait le gros bout pointu violacé disparaître dans sa chatte.
Nicolas s’est enfoncé lentement.
Christine, les yeux fermés, se mordait la lèvre inférieure en exhalant un long soupir. Lentement les deux ventres se soudèrent.
— Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
Christine venait se sentir Nicolas au fond d’elle.
L’avant-bras droit sous son cou, l’empêchant de remonter, la main gauche sur la taille, enfoncé de toute sa longueur Nicolas s’installait dans le ventre de ma compagne, commençait à bouger lentement, ondulant régulièrement, comme pour aller plus profond à chaque fois.
" ohhhh "……. " ohhhh "…… " ohhhhh "….. " ohhhh "………………………..
Ma compagne, cuisses repliées se laissait baiser. Ses gémissements étaient rythmés par les mouvements de la queue de Nicolas.
Les " ohhhh " devinrent vite des " oui "… " oui "… " oui "….. de plus en plus rapprochés ; Nicolas s’activait dans le ventre de Christine, plus ouverte que jamais pour le sentir éjaculer à l’entrée de son utérus.
Doigts crochetés dans les reins de Nicolas, à peine après 5 minutes de coït, Christine a joui violemment.
Quelques secondes après ce fut Nicolas, s’immobilisant d’un seul coup. Les muscles des fesses contractés, tel le scorpion qui saisi sa proie, plante son dard et inocule son venin, Nicolas jouissait à son tour en soupirant, vidant ses glandes dans le ventre de Christine.
" hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh "…… " hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh "….. " hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh "…..
Chaque soupir devait accompagner une bonne coulée de semence chaude et épaisse pour le plus grand plaisir de Christine au vu de l’expression de son visage et du " oooooohhhhhh " silencieux qui se dessinait sur ses lèvres.
Ma compagne détendait ses jambes, toujours emboîté Nicolas récupérait. Relâchant son étreinte, lentement il glissa sur le côté se retirant de la chatte de Christine. Sur le dos, les yeux mi-clos il savourait le plaisir qu’il venait de prendre. Sa queue toujours gonflée avait perdu de sa raideur et ses testicules étaient redescendus.
— J’ai envie de faire pipi ! dit Christine
— La porte derrière le rideau, répondit Nicolas
Christine se leva et disparut derrière le rideau.
— Elle a aimé, dis-je
— P…… Que c’est bon……. ça fait du bien…….. depuis qu’on s’est vu j’ai pas fait l’amour……. on voit qu’elle aime ça…… je la croyais un peu coincée…
— Là t’as tout faux, et tu n’as pas encore tout vu
Nicolas me regarda interrogatif ; avec sa femme cela ne devait pas être pareil.
— Au fait, quand on est tous les trois c’est pas un coup moi, un coup toi ; si tu as envie de remettre ça te gêne pas .
Christine revint des toilettes, s’allongea de nouveau entre nous deux, déclarant sur un ton naturel et détendu, accompagné d’un petit gloussement de satisfaction en nous faisant un bisou à chacun.
— … Qu’est-ce que vous m’avez mis tous les deux….. ça n’arrêtait pas de couler !
Visiblement Christine était satisfaite de la prestation de Nicolas en qualité et en quantité.
Nicolas me regarda un peu étonné.
J’ai pris le sein droit dans ma main, le pressant pour en faire saillir un peu plus le téton, Nico fit de même avec l’autre. Nous nous sommes mis à aspirer chacun le sien. Christine aimait déjà que je lui suce les seins, mais se faire téter les deux bouts en même temps c’était le top. Coincée entre nous elle soupirait et se tortillait de plaisir.
Son téton toujours entre les lèvres, du bout des doigts j’effleurais ses flancs et son ventre, qui sous l’effet de la caresse se creusait faisant ressortir son pubis, et faisait recouvrir son corps de chair de poule.
Mes doigts jouaient dans sa petite toison, son bassin se soulevait régulièrement réclamant une caresse plus intime….. Nicolas qui caressait l’intérieur de ses cuisses glissa deux doigts dans sa fente lui arrachant un gémissement de plaisir plus fort.
Nous étions tous les trois dans un état d’excitation intense et sur la même longueur d’onde………. le plaisir.
Christine avait saisi une queue dans chaque main.
Nicolas me regarda, je lui fis " oui " de la tête et s’installa de nouveau entre les cuisses de Christine.
Cette fois-ci il n’eut pas à guider sa verge tendue. En appui sur ses pieds, soulevant son bassin Christine allait à la rencontre de sa queue, lui offrant sa chatte.
Le gland pointu de Nicolas trouva tout de suite l’entrée du fourreau et sa queue disparue dans le ventre de ma compagne qui crocheta ses jambes autour de sa taille. Pas question d’en ressortir sans y avoir dégorgé.
Cette fois-ci Christine était plus active, son ventre suivait les ondulations de Nicolas. Ils firent l’amour plus longtemps. Visiblement elle aimait la façon dont Nicolas la baisait.
Dire que la situation ne m’excitait pas serait mentir. Je triquais comme un âne attendant mon tour pour baiser ma compagne une nouvelle fois.
Christine a joui de nouveau de façon fort sonore, Nicolas prit son plaisir, sans attendre je retournais Christine en position de levrette, croupe relevée, cuisses écartées, la tête sur le ventre de Nico. La tenant par les hanches, queue tendue, j’ai envahi tout de suite sa grotte encore ouverte par le plaisir, constatant au passage que Nicolas venait de lui tapisser le vagin d’une bonne deuxième couche de foutre.
Pendant que je la baisais Nico lui caressait le dos. Christine de sa main droite avait saisi la queue de Nicolas de nouveau en érection.
Collé à sa chatte comme un chien à une chienne je la regardai faire, embouchant le gland dilaté, tirant sur la peau pour bien le dégager et coulisser jusqu’à mi-tige.
A part le plan à 3 avec Gérard où elle avait vainement essayé de le faire bander, c’était la première fois que je voyais ma compagne tailler une pipe à un autre partenaire.
Je m’étais arrêté de limer, raide et dilaté à en avoir presque mal, planté jusqu’à la garde dans son abricot, je regardais les joues de Christine se creuser régulièrement, aspirant sur cette grosse paille pour en faire sortir les dernières gouttes de jus.
Les yeux fermés, Nicolas se laissait téter. Ses testicules étaient de nouveau bien remontés, son plaisir allait venir.
Il eut un réflexe de retrait, mais Christine n’était pas sa femme, sa tête suivit le mouvement pour le garder en bouche.
Je n’ai pu résister, sans bouger, un peu comme une éjaculation précoce j’ai joui pour la deuxième fois pendant qu’au même moment Nico lui rinçait les amygdales…..
Le plaisir était synchronisé.
Tenant le sexe de Nico entre deux doigts, Christine remonta de la base jusqu’au gland ne laissant aucune goutte de jus dans la lance, elle récoltait et avalait le foutre de Nico avec délectation.
Depuis notre journée au lac je venais de permettre à Christine de réaliser son fantasme, laisser deux hommes prendre en même temps du plaisir de son corps.
En s’allongeant sur Nico ma queue est sortie de sa chatte, elle lui roula une pelle avec sa semence.
Nico ne s’y attendait pas mais n’a pas essayé de s’y soustraire.
Il fut convenu que Nico viendra amener les photos chez nous, ce serait plus confortable aussi.
Sur le trajet du retour :
— Dis donc, qu’est-ce qu’il m’a mis……… comme toi après mes règles, et j’ai bien senti son bout…..
J’expliquais à Christine que c’était sans doute le fait qu’il n’avait pas baisé sa femme depuis 4 – 5 jours.
Réponse de Christine :
— J’espère que ce sera pareil quand il amènera les photos…… j’aime bien sa façon de faire….. et il a bon goût aussi !!
En dehors du fait que nous nous entendions bien, Christine n’avait finalement pour moi que la reconnaissance affectueuse de lui avoir permis de découvrir le plaisir et les liens qui nous unissaient étaient ceux du sexe.
J’avais trouvé mon " alter ego " version féminine du queutard.
A suivre l’anniversaire de Nicolas.