Préface. Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.
Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.
Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.
Je lui laisse la parole.
Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).
Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.
J’essaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. OK, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut-être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.
On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.
Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant…
Suite.
Humiliation ultime. Ca ne lui suffisait plus. Il a tout fait pour m’humilier devant chaque membre de sa famille en me mettant dans des positions où je me retrouvais dénudée devant eux dans des contextes différents :
Avec son papa :
Axel m’avait envoyé un SMS en disant qu’il voulait que je l’attende en l’absence de sa famille sur le canapé du salon, nue, à quatre pattes, avec ma chatte écartée.
Comme une chienne obéissante, je fis ce qu’il me demandait. J’attendis pas mal de temps
Quand la porte de l’entrée s’ouvrit, je tournai la tête et vis Axel avec un gros sourire… accompagné de son père, abasourdi par la scène.
Je me ruai vers la chambre cachant ma nudité. Imaginez un peu la situation dans la tête de mon beau-père à ce moment-là… Son fils lui propose de l’accompagner pour faire les courses, il revient chez lui et voit sa belle-fille, complètement nue dans le salon qui attend qu’on l’enfile.
Quelle est la première pensée qui vous vient à l’esprit ? Salope ? Pute ? Cochonne ?
J’écoutai à la porte et entendis dire Axel :
— Bon, je crois que le devoir m’appelle, elle demande que ça !
Gêné, son père lui répondit :
— Je vous laisse à vos occupations.
Axel rentra dans la chambre. Obéissante de nouveau, je me mis à quatre pattes sur le lit et attendis qu’il se déshabille, il se mit derrière et me lâcha :
— Kriss, je t’ai dit de m’attendre avec ta chatte écartée, putain ! T’es vraiment trop conne ma parole. Je te demande un truc et t’es pas foutu de le faire, connasse !
Soumise, je fis ce qu’il me demandait de faire.
Il me pilonna encore une fois violemment, sachant que son père rôdait aux alentours de la pièce, il commençait à râler bruyamment et à parler fort :
— OH T’AIMES ÇA HEIN ! JE TE MANQUAIS TROP ! SALOPE ! T’AIMES TROP LA BITE ! RAH RAH RAH !
Ses mots n’avaient plus d’impact sur moi, c’était devenu mon quotidien, une simple banalité mais j’avais honte que son père nous entende et Axel le savait.
Il me disait de commencer à pousser des cris de gémissements pour le stimuler et de nouveau, j’obéis.
Pour lui, mes cris n’étaient pas assez forts et il me tapait sur les côtés pour que je crie bien plus fort.
— AH AH AH AH « criais-je.
— OH C’EST BON ! T’AIME TROP LA BITE ! »
Il finit par éjaculer dans mon vagin en hurlant. Avec son hurlement, c’était obligé que son père comprenne que c’était fini.
Cinq minutes après, le temps de retrouver son souffle, je pensai que mon humiliation était terminée. J’étais loin de me douter de la suite…
Axel me demanda d’aller m’excuser auprès de mon père pour le « vacarme » que j’avais fait et me dit mot par mot ce que je devais lui raconter.
Axel savait que j’allais lui obéir, on se rhabilla. Son père était sur son ordinateur à faire je ne sais quoi. Le dialogue se passa ainsi :
— Monsieur X…, je m’excuse que vous m’ayez vue comme ça… dans votre salon… nue…
— Ce n’est rien, Kriss. C’est oublié, j’ai rien vu.
On était tous les deux gênés par la situation. On n’osait même pas se regarder en face. Quelle honte… Quant à Axel, il était tout content de mon humiliation, et me fusillait d’un regard qui signifiait : « Continue ».
— Et je m’excuse aussi… euh… c’est gênant… d’avoir poussé des cris de plaisir… quand on faisait l’amour.
— C’est rien, c’est normal à votre âge.
Axel me réprimanda :
— La prochaine fois, évite de m’attendre comme ça. Tu nous fous la honte à tous les trois. Je sais que t’aimes le sexe mais il y a des limites. Maintenant, va te doucher, tu pues !
Rouge comme une pivoine, je me rendis vers la salle de bain, humiliée. Son père avait à présent une image d’une nymphomane qui beuglait à chaque coup de reins.
Avec sa belle-mère :
Un soir alors que je dormais à côté d’Axel, il commença à me toucher. Silencieuse, je comprenais ce qu’il me voulait et me déshabillai naturellement.
Il me baisa et il m’éjacula sur le visage et une grande partie du corps, après qu’il eut fini son affaire, je me levai pour me rendre dans la salle de bain mais il m’ordonna :
— Non ! Va te laver dans l’autre salle de bain, je veux pas que tu salisses la mienne.
— Laisse-moi me laver s’il te plaît, ça pue et ça va coller.
— Je m’en fous, casse-toi et va à celle de la maison !
(On était dans le petit studio aménagé, il voulait que je me lave dans la salle de bain familial, je devais traverser le petit jardin)
Il serra les dents et me jeta des regards froids pour me montrer qu’il était sérieux.
C’est ainsi que je me retrouvai nue, couverte de sperme, dans le petit jardin familial.
Et là, stupeur, dans la maison, je croisai sa belle-maman vêtue d’un peignoir. Il était aux alentours de 22-23h, les enfants étaient couchés.
Quelle était la probabilité que je croise une personne ?
Elle me vit et me demanda :
— Mais… Kriss, qu’est que tu fais là complètement nue ?
Ne sachant pas quoi répondre, je lui répondis bêtement.
— Je trouvais plus mon peignoir.
— Pourquoi t’es pas allée dans votre salle de bain ?
— Il n’y avait plus d’eau chaude, mentis-je.
Je n’étais pas idiote et elle non plus. Elle avait compris que j’étais venu dans la salle de bain pour me nettoyer du sperme d’Axel. Je me rendis dans la salle bain et me nettoyai.
Après la fin de ma toilette, elle me demanda si ça allait et si j’avais besoin d’aide ?
Je lui rétorquai que non.
Elle partit en avalant mes sonnettes, quant à moi, je rejoignis Axel qui dormait à poings fermés.
Avec son demi-frère :
Son frère rentrait dans l’âge de l’adolescence. Comme tout jeune, il s’intéressait aux filles, son corps changeait. Bref, vous voyez le topo.
Un jour, je l’aidais pour faire ses devoirs. Il était un garçon plutôt intelligent, timide et pudique. J’adorais autant son petit frère que sa petite sur.
Pendant les exercices de mathématiques, Axel surgit dans la chambre et me demanda ce que je foutais. Lançant !
— Les maths, ça sert à que dalle…
Il fouilla dans les autres bouquins pour voir ce que révisait son demi-frère au collège, faisant un maximum de bruit. Je murmurai au petit frère de ne pas faire attention et de se concentrer sur les exercices.
On sentait de la gêne par la présence d’Axel qui s’exclama après quelques minutes:
— Voilà, ça, c’est plus intéressant ! La reproduction de l’être humain !
Il prit le bouquin et le posa sur le livre de mathématique. Le chapitre avait pour nom : De la fécondation à la naissance (Je m’en souviens comme si c’était hier)
— C’est important la reproduction, ça, c’est un cours éducatif et intéressant. Pas comme les maths. Au moins ça t’apprendra à gérer des meufs plus tard, n’est-ce pas kriss ?
Gênée, je ne pouvais qu’accepter : «
— Oui, quand tu seras dans un âge où tu auras des besoins à assouvir, que ce soit avec une femme ou même un homme.
Après une discussion gênante sur comment on fait les bébés, etc… Axel lâcha :
— Dis-moi, as-tu déjà vu une femme nue ?
Rouge comme une pivoine, il répondit :
— Non !
— Est-ce que t’aimerais en voir une en vrai ?
Il ne répondit même pas à la question.
— Bon, ça va changer aujourd’hui. Kriss, déshabille-toi !
Mon Dieu ! Avais-je bien entendu ?
Je ne cedai pas à sa demande.
A suivre…