Je sentais qu’il faisait froid, je voyais des drôles de chemins boueux dans de beaux endroits, il y avait même un moulin au loin… Bref, je rêvais. Et en même temps, j’entendais un soufle ou de l’eau coulait… Je reprenais mes esprits, ma mère prenait sa douche. Je sortais d’un sommeil très profond et réparateur. Je me leva, alla dans la cuisine, et évidement elle avait profité de mon sommeil pour nettoyer et ranger un peu ma cuisine… C’est une maman quoi. En tous cas, je regrettais toujours ce que j’avais fait, en une quizaine de minutes l’excitation commençait déjà à revenir, ce qui est normal puisque je ne m’étais pas masturbé depuis 5 jours. Presque tout était parti dans ma maman. La douche venait de s’arrêter de couler. Bon je commençais déjà à la vouloir, mais c’était pas comme tout à l’heure. Quand elle sorti de la douche, je la sentais un peu froide, et je sentais surtout qu’elle voulait éviter de parler de ce qui venait de passer. Dès qu’elle était sorti de la douche, elle marchait rapidement vers la porte d’entrée, pieds nus, pour aller chercher ses chaussures et me dit : "Bon il est déjà 23h30, faut pas que je tarde moi".
je devais la ramené puisqu’on était venu chez moi avec ma voiture. Et là je crois que le fait qu’elle était fuyante m’excitait déjà un peu plus. Elle me dit : "Désolé si la douche t’a réveillé. Tu mets tes chaussures ?". C’est clair qu’on était plus bouillant comme tout à l’heure. Je voulais la récupérer ! Je lui dis "Désolé de mettre endormi, je sais pas, je me suis laissé allé". Et là, tout en restant quand même un peu froide, j’ai vu un petit sourire se dessiner sur son visage. Elle me dit en me taquinant : "T’es un petit rapide quand même, je t’ai pas laissé indifférent on dirait ! Tu dois avoir un sérieux complexe d’oedipe". C’est bon, elle avait juste besoin que je commence à lui en parler le premier pour ne pas avoir l’impression de me forcer la main. Elle voulait bien qu’on en parle un peu. Elle terminait de remettre ses escarpins ouverts… Je lui dis : "Bah j’étais plein aussi." Je mettais mes chaussures en même temps. Je n’arrêtais pas de fixer ses pieds nus dans ses escarpins ouverts, et je pense qu’elle le voyait bien.
Je n’osais pas lui demander directement qu’on recommence, pourtant ça y est, j’en avais bien envie ! Elle tournait la clé dans la serrure de la porte d’entrée, et se tourna vers moi étonnée ! Elle me demande : "Bah alors, tu ne me retiens pas ? Qu’est-ce que t’es coincé, je vois bien que t’en as envie là". J’étais comme un con ! Qu’est-ce qu’on peut répondre à ça ? Après 5 secondes de silence et parce qu’elle voyait bien que j’étais un peu débousolé, et réplquait en rigolant : "Ta mère va pas se baiser toute seule ! J’espère que t’es plus entreprenant que ça avec les autres filles… Va falloir que tu t’entraîne un peu sur moi parce qu’il y a encore un peu de boulot là". Je lui répondis de manière un peu gênée : "Oui ben je sais pas trop si tu veux ou quoi…" Elle prit ma main, me regardant très intensément dans les yeux avec son sourire et enfourna directement sa main dans mon jean et mon calçon pour saisir ma paire de testicules tendrement et me dit. "Allez viens on va terminer de vider tout ça mon coeur.
T’étais super tout à l’heure, très entreprenant, et maintenant t’es tout gêné ! Faut pas te vexer pour rien avec les filles hein ! Profite de moi pour t’entraîner, pour me dominer ! En plus tu m’as montré que tu te débrouillais très bien tout à l’heure, du restaurant jusqu’à la baise, tu as peur de quoi ?" Elle commençait à m’énerver, même si j’avouait que le passage de la maman qui apprend comment s’occuper des filles jusqu’à l’acte m’avait pas mal plu. Je lui dis : "Mais de rien ! Bon viens sur mon lit". Elle trotinait vers mon lit au sautillant mon dieu ! En fait elle en avait grave envie depuis qu’elle prenait sa douche ! Je me disais que c’était quand même une sacrée cochonne quand même ! On aurait dit une enfant toute contente… Une fois devant le lit, elle se tourna vers moi avec une sourire coquin pour savoir comment je voulais que ça se passe. Je lui dis "Garde ta robe noire, elle est sexy, je n’aurais qu’à la soulever". Elle : "Ah non je vais l’enlever, je veux pas l’abimer.
T’as vu j’ai mis un string ?". Bon sang, je me santais pas trop dominant. Je lui dis : "Ouais franchement merci d’avoir mis un string !". Elle termina d’enlever sa robe, était debout en string et soutif devant mon lit, et me dit : "Je garde mon string, ça sera à toi de l’enlever". Je lui retira son soutif, elle avait les tous petits seins tombants devant moi… Ils étaient en plus un peu abîmés et fatigué avec le temps. Bon je m’y attendais. Elle me dit : "Je me suis pas refaire les seins c’est sur, mais bon, y’a d’autres sources d’excitation sur mon corps". J’adorais sa manière de parler. Mais elle avait raison, c’est pas sa poitrine qui allait me foutre la trique. Pas du tout même ! Je m’attaqua à son string qu’elle semblait attendre impatiement. Je lui dit : "Tu peux tourner stp, je veux contempler tes fesses". Elle me fit un sourire, me déposa un baiser sur la bouche de moins d’une seconde et se retourna. Ses fesses étaient également un peu fatiguée avec l’age, mais ça allait, elle avait toujours un popotin très excitant, et ses petites imperfections m’excitaient justement encore plus ! Enfait, maintenant, c’était le cul parfait pour moi ! Ce cul assez banal était ultra bandant pour moi ! Bordel, à 17 ou 18 ans son cul devait être explosif ! Mon père a du se faire plaisir avant moi ! Je mis des petites fessées pour voir la réactions de la chair de ses fesses sous les coups ! Effectivement ses fesses étaient quand même devenues assez lâches, mais contrairement à ses seins, je trouvais ça très excitant ! Je toura ma mère à nouveau vers moi.
baissa doucement son string poura voir sa chatte…velue. Beurk, au début je trouve toujours ça déguelasse. Il faut vraiment que je sois très excité pour arriver à trouver sa bandant. Et quand je suis bien excité, la balance s’inverse, ce que je trouve déguelasse devient excitant, en tous cas pour ce qui concerne sa chatte poilue ! J’eu un regard amusé en direction de ma mère qui comprenait bien que j’aurais préféré une chatte rasée. Elle me dit d’un coup : "Bon et toi tu me montres ta bite un peu, depuis 5 minutes tu regardes tout mes attributs sans me dire si ça t’excite et sans me montrer ton sexe. C’est dur de savoir si je peux encore te faire bander malgré mon age avec si peu d’infos là !" C’est vrai que je n’étais pas très communicatif. En même temps, depuis qu’elle m’avait dit que je n’aurais pas du la laisser repartir de chez moi tout à l’heure, qu’elle espérait que je n’étais pas comme ça avec toutes les filles, etc. je n’étais plus trop dedans, ça m’avait un peu fait perdre confiance en moi, j’avais l’impression qu’elle s’était un peu moqué de moi, qu’on était plus vraiment ensemble surtout, ça m’était un peu resté en travers quoi.
Je baissa mon froque, et elle vit que je ne bandais pas du tout, comme un saché de thé utilisé… Elle pris ma bite dans sa main et me dit : "Oh ben ça ça va pas rentrer dans ma chatte poilue mon coeur". Elle commencer à me faire des chatouilles sur ma queue avec ses doits légèrements secs. Bon sang, le toucher de ses doigts qui calinait mon zizi me déclencha rapidement une érection. C’était à ce demander si elle avait des fourmilles au bout des doigts. Seul ma mère pouvait me procurer un ressenti pareil ! J’étais debout devant elle qui était debout aussi à ma titiller mon zizi qui commençait à bander à grande vitesse. Elle me regardait dans les yeux avec un beau sourire et des yeux pétillant, elle avança ensuite chacun de ses pieds et comme nous étions face à face, ses magnifiques petits orteils vernis en noirs vinrent se poser sur les miens ! Elle me chatouiller même mes orteils en remuant les siens ! Trop bandant ! Elle commençait à me caressait mon nez avec le sien… Tout ça en même était vraiment magique.
Ma mère avait maintenant un pénis bien dur et ferme sous sa main. Elle continuait d’ailleurs de le chatouiller de ses doigts secs, ce qui risquait de me provoquer une érection par le simple contact du bout de ses doigts si j’attendais trop longtemps ! Elle continuait de me chatouiller avec son nez et nos bouche étaient tellement proche que je pense qu’elle n’attendait qu’une seule chose, c’était que je l’embrasse. Mais cet acte étant quand même assez fort, elle ne faisait que m’invitait à le faire pour me laisser le choix de le faire au moment où j’en avais réellement envie. Il faut dire que l’envie, elle me l’avait bien fait monter cette grosse coquine. Ca se voyait qu’elle ne voulait pas repartir de chez moi sans une deuxième tournée de foutre. Je lembrassa en allant immédiatement chercher sa langue avec la mienne. J’enroula mes bras autour d’elle, et en m’avançant, mon pénis venait maintenant se fourrer dans le méandre des poils de la chatte légèrement touffue de ma mère. Elle arrêta le baiser, fit un pas en arrière en fixa avec un sourire pervers et très complice.
Je ne savais pas ce qui m’attendait… Elle s’accroupie et me dit "On a pas encore fait ça !" Et pris mon pénis dans sa bouche dans un soupire de soulagement ultra excitent ! J’avais l’impression de reprendre les commandes et avait envie de bourriner de coup au fond de sa gorge, mais c’était ma mère et je n’osais pas. Je posa ma main sur tête peline de beaux cheveux chatins, et lui dis "Oh oui, tais-toi et suce !" C’était particulièrement excitant de dire ça à sa mère ! Mais je sentais que ça venait alors qu’elle n’avait commencé la pipe que depuis cinq petites secondes, je retira ma queue de sa bouche et lui dit : "Attends sinon je vais venir là, je veux pas jouir tout de suite". Elle me répondit : "Bah on voit que tu pratiques pas beaucoup si tu viens aussi rapidement pour si peux". J’avais de nouveau la honte, et je ne pouvais pas dire grand chose parce qu’elle vait raison. En même temps, j’étais quand même loin d’être puceau… Pourquoi elle réagissait comme ça à chaque fois… Elle vit que j’allait mal de nouveau, se releva et me demanda sur un ton très sérieux voir grave en faisant retomber son sourire : "Ca va ou pas ?" Je me sentais triste, j’avais les larmes qui arrivaient aux yeux, j’approcha ma tête de ses épaules, et elle me serra contre elle.
Elle passa sa mains dans mon coup et m’embrassa t’endrement. C’est vrai que ça allait déjà mieux. Et m’amena sur le lit et sous les draps en me disant "Viens mon bébé". Elle s’allongea sur le dos et me mis sur elle, j’étais en missionnaire sous la couette, et sa chatte poilue m’excitait trop. Je lui dis sur un ton d’enfant qui parle à sa mère : "Je veux qu’on se fasse un vrai calin surtout". Et comme pour s’excuser et me consoller elle pris ma bite bandante, la fourra dans sa chatte poilue et humide, passa son autre mains sur mes fesses, et mis sa première main dans mon coup. Elle me dit tendrement dans l’oreil "Baise-moi mon amour". Je sentais que la manière dont elle faisait ça n’était absolument pas sexuelle, mais uniquement tendre, comme une maman qui rassure son petit, qui lui donne l’amour dont il a besoin pour grandir, c’était trop bon. Je l’embrassais et lui donner de tendre coup de pénis dans sa chatte poilue innondée. Ses mains qui dansaient sur mes épaules, mon dos et mes fesses ne faisait qu’exprimait un calin maternel tellement appaisant et profond, j’allais bientôt jouir.
J’étais au meilleur endroit sur terre, dans les bras de ma mère. Je sentais ses pieds secs de mère qui caressaient les miens, qui caressaient mes jambes. Je lui dit : "Attends je veux gouter tes pieds". Je me redressa tout en conservant la connexion USB 2.0 de mon pénis dans son vagin intacte. Je plia ses jambes pour que ses pieds soint au niveau de mon visage. Je ne les embrassais même pas, je les léchais directement avec l’excitation, alors que je ne les avais jamais embrassés. Je continuais les va et vien avec mon sexe dans son vagin. Elle commençait à grogner "Oh oui, c’est bon". C’était bon signe, elle me laissait jouer avec ses pieds. Je mis mon nez entre ses orteils pour les sentir, et à mon grand désespoir, il n’avaient pas beaucoup d’odeur, soit à cause de la douche, soient parce qu’ils sont naturellement très secs ! Bon sang je pouvais bourriner le vagin de ma mère avec mon sexe et éjaculer dedans tout en bouffant ses pieds ! Quel bonheur ! Tiens, nous n’avions pas mis de préservatif ! Hors de question de lui en parler une fois de plus ! Pas de préservatif entre nous ! Je mordillais ses petits orteils parfaits… Je passa ma langue entre ses orteils dans l’excitation, et je commença à sucer son gros orteil ! Puis ma mère me fit signe de m’allonger sur elle à nouveau en me tendant la main et en me disant : "Viens je te veux".
Je m’allongea sur elle, elle me serra contre elle, c’était trop bon ! Elle me dit dans l’oreil : "Je t’aime mon coeur". Je lui dis "J’adore quand tu mets ta main sur mes fesses, recommence stp". Je me sentais plus du tout dominant, mais cette fois-ci j’arrivais à bander quand même car ma mère était tellement maternelle, protectrice et caline, que c’était délicieux. Ce calin était extrêmement réconfortant pour moi, malgré les méchanceté qu’elle avait pu me dire maladroitement sur mon manque de confiance en moi avec les filles. Je dois être suceptible aussi… C’est clair que c’était plutôt ma mère qui menait la danse ! Elle me serrait contre elle, enroulait même ses jambes autour des miennes comme pour m’empêcher de partir ou comme un serpent qui s’enroule autour de sa proie, proie qui n’allait bientôt plus résister et qui allait tout envoyer toute le sperme auquel ma mère semblait tenir tant. Elle me donnait tout l’amour dont j’avais besoin. Elle senti mon pénis qui s’apprétait et éjaculer durcir en elle, et je lui donna tout, puis m’endormit une fois de plus, mais sur elle cette fois, alors que je suis plus grand et plus lourd qu’elle.
Elle me repoussa sur le côté pour me laisser dormir. Sachant qu’on était venu avec ma voiture, ma mère n’était pas prête de rentrer à la maison. J’avais appris que le sexe était d’avantage une histoire de désir, d’amour et d’intensité, plutôt que de simple performance sexuelle mathématique. Mais ma mère ne faisait que commencer mon éducation sexuelle et amoureuse… Elle me réservait encore bien des choses, même si je ne le savais pas encore…