C’était un samedi matin, Mme Gérard faisait le ménage dans son grand appartement Marseillais. Cela faisait 2 ans qu’elle et son fils adoptif, Léon, de 20 ans, y avaient emménagés. Elle avait adopté son fils à 30 ans, alors qu’il en avait déjà 18. Désormais, elle avait 32 ans et lui 20, mais cela ne les dérangeait en rien.
Ce matin là, Jeanne, c’était son prénom, était comme souvent dans une petite nuisette sexy en dentelle rouge et noire. Elle avait un très beau corps mince et musclé avec des jolis seins bien ronds et fermes, et un cul à en faire tombé plus d’un. Elle lavait par-ci et aspirait par-la, quand soudain on sonna a la porte.
"Qui est-ce?
— C’est moi, Jérôme, je viens voir Léon!
— Oh entre! "
Jérôme était un très bon ami de Léon et dès l’arrivée de celui-ci à Marseille, ils s’étaient de suite rapprochés.
Ils allaient souvent sortir tard le soir, coucher avec des filles rencontrées dans les discothèques et se mataient des films de cul ensemble!
Jérôme entra alors et Jeanne lui annonça que Léon était parti sans prévenir mais qu’il ne devrait pas tarder. Elle le fit asseoir puis lui proposa un café et des cookies. Il accepta et ne put s’empêcher de regarder les fesses de la mère de son meilleur ami tandis que celle-ci s’éloignait. Il connaissait bien Jeanne et il avait fantasmer sur ses formes quelques fois mais il s’en gardait bien d’en parler à Léon.
"-Tiens, voilà ton café et tes cookies.
— Merci beaucoup.
… (elle continuait son ménage)
— Je suis désolée, mais je ne sais vraiment pas où il peut bien être.
— Ce n’est pas bien grave, je vais l’attendre ( "et votre cul me plaît bien, alors merde Léon", pensa-t-il) !
— ^^ Sinon les amours, ça va en ce moment?
— Oh, ça va, doucement, mais sûrement! Du moins je ne suis pas en couple!
— Ah, ça viendra tu sais. "
Elle entreprit alors de nettoyer la télé, et elle le fit d’une manière si sexy que Jérôme commença à bander un peu, ce qui le fit rougir. Jeanne s’en aperçut et lui sourit; elle baissa les stores car "il faisait chaud et Jérôme était tout rouge", mais elle voulait juste préserver leur intimité au cas ou ils iraient plus loin.
Elle s’approcha alors de Jérôme qui était assis sur le canapé devant la table basse, puis elle épousseta cette table, elle dut se pencher et fit des geste sensuels et érotiques avec son plumeau. Jérôme essayait de se retenir de bander, mais cette femme magnifique se tenait devant lui, jambes écartées, si bien qu’il pouvait presque apercevoir sa chatte mais voyait déjà toute sa raie car cette coquine n’avait pas mis de culotte.
Elle se retourna et se baissa vers lui, et lui épousseta le nez gentiment comme à un enfant, tandis que Jérôme se rinçait l’oeil sur son décolleté.
Jeanne remarqua alors qu’il avait mis des miettes sur lui, elle alla donc chercher son aspirateur de table, se pencha et aspira chacune des cuisses de Jérôme lentement et sensuellement. Puis, elle se rapprocha doucement de l’entrejambe et aspira les miettes tombées sur son pénis, tout en lui souriant innocemment.
Elle arrêta son aspirateur, ce qui déçut Jérôme, et elle prit sa tasse de café qu’elle lui avait apporté sur la table basse en se penchant bien cette fois de sorte que Jérôme pû voir sa chatte, elle se retourna, le café dans la main et lui dit "C’était bon?" mais avant qu’il puisse répondre, elle lui renversa du café sur le jean, à un endroit bien précis.)
Elle courut alors à la cuisine, ses seins se balançant un peu dans sa nuisette puis elle revint et commença à essuyer la tache à l’endroit ou se trouvait la bite de Jérôme.
Celui-ci n’en pouvait plus, sa bite se dressait et Jeanne n’en resta alors pas là. Elle lui malaxa le sexe à travers le jean mais cela ne semblait pas la satisfaire. Elle lui défit alors tout ses boutons, de sa chemise et de son jean, puis arracha son caleçon. Elle ôta sa nuisette et Jérôme eut alors le droit à un spectacle magnifique: deux seins parfaits, fermes et ronds, des tétons qu’on aimerait sucer, une chatte poilue, un cul bien dessiné, bref une femme de 32 ans avec un corps parfait.
Elle lui malaxa alors la bite et fit des aller-retour avec sa main pendant 5 min de sorte qu’elle soit bien prête pour une séance de sexe renversante. Elle se mit alors à genoux, Jérôme se leva et lui mit sa bite en érection dans la bouche, celle-ci devait mesurer 25 centimètres et elle était tendu, dur comme la pierre. Elle lui suça le gland, le lécha en cercle et elle se releva enfin.
Il la pris alors en levrette contre la table basse, elle jouissait comme une folle et lui s’en donnait à coeur joie, elle mouillait et elle adorait se sentir enfoncée par une bite bien poilu. Cette position était très érotique, elle hurlait de satisfaction et lui: souriant comme un malade, enfonça sa bite de plus en plus loin à chaque aller-retour.
Ensuite, comme elle en connaissait un rayon en position de sexe, elle décida de pratiquer la position du lotus: il était de debout, elle enlaça son cou avec ses mains et son bassin avec ses jambes tandis qu’il la pénétrait. Il accélérait, elle criait de joie, elle atteignit l’orgasme, le septième ciel. Il se remirent debout, corps à corps, puis il l’allongea et lui éjacula d’abord sur la chatte puis remonta jusqu’à sa bouche. Ce liquide chaud et blanc excita Jeanne qui l’avala goulûment.
Puis elle partit à la cuisine: elle revint avec des fraises et du Nutella, ce qui surpris Jérôme. Elle l’entraîna sur son lit, l’allongea, ouvrit le pot de Nut’, en prit avec son doigt et en étala sur ses abdos et continua le long du corps. Elle prit alors beaucoup de nut’ et lui en mit sur ses boules et son pénis. Elle posa ses accessoires, se pencha au dessus de lui et lécha le nut’ quelle avait déposé. Quand elle arriva à la bite, il ne put s’empêcher de crier de jouissance, et de lui éjaculer à la gueule.
Puis il la prit, la retourna et à son tour mit du nut’ sur ses seins, sa bouche, ses cuisses et remonta à la chatte. Il prit une fraise et la lui glissa dans la vulve. Il lécha alors ses seins, descendit le long de son corps, puis commença à lécher ses jambes et remonta à la chatte. Là, il attrapa la fraise qui était vraiment humide car Jeanne mouillait. Elle avait encore eu un orgasme et jouissait comme une folle.
Pour finir, il la fit se mettre à quatre pattes, la prit par derrière et la sodomisa. Au bout d’une demi-heure de va-et-vient et de cris de plaisirs érotiques, il s’écroulèrent cote à cote sur le lit. Les draps étaient mouillés, l’appart’ en bazar.
Soudain, Léon apparut, se levant d’un fauteuil en cuir positionné dans la chambre et dit:
" Alors mes gros cochons, on a pris son pied hein? Vous êtes vraiment excitants vous savez! "
Il se tenait là, debout, le pantalon et le caleçon baissés, la bite en érection et pleins de sperme sur ses vêtements et sa main.
Il expliqua qu’il était là depuis le début sans qu’aucun des deux ne soient au courant.
Alors, les trois compères se regardèrent en silence, et des yeux ils se décidèrent: ils allaient faire une partouze!
Voila, c’est fini!