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Marie – Ange & Démon – Chapitre 9

Marie - Ange & Démon - Chapitre 9



La semaine commence par une réunion de chantier plutôt houleuse. Il est plus de midi lorsque j’essaye d’appeler Marie. Sans succès.

La veille au soir, après l’avoir raccompagnée, j’étais monté chez elle et nous avions passé notre première nuit ensemble. Nous n’avions pas reparlé de ce qui s’était passé sur le chantier et de l’épisode Abdou, mais elle ne m’avait pas caché qu’elle avait apprécié cette journée et j’avais cru comprendre  à demi-mot qu’elle n’exclurait pas une nouvelle visite. Je m’étais alors souvenu des mots d’Abdou :

— Ta femme voudra recommencer, mec, c’est sûr, j’sais pas dans combien de temps, mais après avoir goûté à ça, on peut plus s’en passer, mec.

 Le matin, en arrivant sur le chantier, Abdou qui avait déjà tout organisé voulait une confirmation pour le soir. Il m’avait précisé qu’il n’était pas question que ma copine porte un masque pour la vidéo. Le fait de pouvoir reconnaître la femme comme étant une voisine, une amie d’amis,  une ancienne connaissance faisait partie de la valeur ajoutée du produit. Immédiatement après notre départ, il avait déjà tout organisé. En plus de Malik, un Algérien chargé des prises de vue et des vidéos, il avait sélectionné Nazim, un Turc et Houmam, un Syrien.

 Malik était prêt à lâcher 800 euros pour une bonne vidéo avec une belle salope blanche prête à se laisser monter par un ou deux chiens et trois jeunes migrants en manque et pleins d’énergie. Abdou avait présenté Marie comme une folle du cul qui acceptait les rapports sans préservatif ni pilule et cela les avait vraiment accrochés.

J’avoue que j’étais un peu pris de court par la tournure des événements et le désir qu’inspirait Marie. Je répondis que c’était OK sur le principe, sauf pour les préservatifs. En plus, je n’étais pas trop sûr que Marie avait tout bien compris, les chiens, les invités (on serait cinq hommes pour elle toute seule), mais aussi la vidéo. Je lui demandais un délai.

En sortant du chantier pour déjeuner, Abdou revient à la charge.

— Pour les préservatifs, j’ai réfléchi, mec, tu as raison. Mes gars n’ont pas eu le moindre contact avec une femme depuis de nombreux mois. Ils sont clean, ça, j’en suis sûr, mais je leur fais faire un test rapide pour te rassurer et on reporte ça pour mercredi. OK ?

— OK. On pourra voir ça dans la semaine, si tes gars sont toujours d’accord. J’aimerais attendre un peu. Si c’est elle qui demande, ce sera meilleur. Faut voir aussi que ma femme ne prend pas la pilule.

— Ah, Aaaah.  alors là,  pour être d’accord, ils le seront. Je leur ai dit qu’ils pourraient remplir ta femme par ses trois trous à volonté et qu’ils pourraient tous l’enculer pour 100 euros. Alors, si en plus, je leur dis que pour ce prix là, ils peuvent même prendre leur chance pour la féconder, je ne te dis pas ! Elle va prendre cher ta petite salope. Imagine ! Pour montrer la marchandise, j’ai posté deux photos de la belle Marie en sous-vêtements à deux gars du chantier et en un rien de temps, elle s’est retrouvée sur tous les smartphones et j’ai eu des dizaines de propositions. Alors là, maintenant, une belle gonzesse comme ça, pouvoir lui coller un polichinelle dans le tiroir ? Imagine un peu, c’est pas cinq bonshommes, mais cinquante qui vont faire la queue. Et moi, en premier

L’après-midi est plus calme. Le soir, je rentre directement à mon hôtel avec la ferme intention de ne pas appeler Marie et d’attendre la suite. Nous sommes lundi, le jour de Georges. Je n’ai de nouvelles que le lendemain, elle m’invite à venir dîner. Pas un mot sur ce qu’elle a pu faire ou ne pas faire la veille. Elle a préparé un bon petit repas. Nous nous retrouvons au lit très tôt.  

Cela dura comme ça jusqu’au jeudi, chaque soir à baiser comme des fous ! Le vendredi, elle m’appelle en milieu de matinée. Je suis occupé sur le chantier, elle hésite, bafouille, tourne autour du pot, je la presse et finalement elle m’avoue qu’elle a encore envie d’aller chez Abdou. J’en ai le  souffle coupé par l’excitation, je lui réponds dans un souffle que je peux voir ça pour ce soir, autour de moi, mes interlocuteurs s’impatientent, on m’interpelle, j’avise Abdou pas très loin de mon groupe.

Je lui passe mon mobile.

La journée de travail s’éternise, mais nous sommes au tout début de l’été et il fait encore jour lorsque je récupère Marie chez elle.

Elle s’est préparée avec son tailleur noir, veste cintrée avec jupe en dessous du genou, escarpins rouges. À peine assise dans ma voiture je lui demande ce qu’elle a dessous. Elle se trousse un peu,  jusqu’au me montrer une culotte noire étroite et transparente, j’ai la vision de  bas voiles à couture, très fins, qui tranchent sur sa peau blanche Je vais pour lui faire remarquer que ce n’est pas la tenue habituelle pour une visite de chantier lorsqu’elle me déclare que c’est Abdou qui lui a demandé de mettre des bas avec une guêpière noire et de venir sans culotte, mais elle a préféré en mettre une…

Elle ajoute encore qu’il a été très grossier au téléphone.

Je ne la quitte pas des yeux : elle est magnifique. Ses longs cheveux châtains clairs tombent en vagues sensuelles sur ses épaules et le long de la colonne, ils sentent bon et renvoient la lumière. Ses yeux noirs étincelants sont surlignés d’une ombre violette et ses paupières roses lui donnent un regard de braise très bandant avec comme touche finale un grand collier de perles blanches et d’épaisses boucles d’oreilles créoles en or.

Je pose une main sur sa cuisse et  me tourne vers elle.  Sentant sa chair nue entre le bas et sa jupe remontée. Elle tire dessus, machinalement.

— Allons, Marie, c’est le contraire qu’il faut faire !

En me faufilant dans la circulation, je pose sur ses jambes un regard approbateur.

— C’est beaucoup plus joli qu’un collant. Remontez encore. Je veux voir les jarretelles.

Troublée, elle murmure que ce sont des bas Dior J’éclate de rire.

— Mais ce ne sont pas les bas qui sont jolis ! Ce sont tes jambes.

Nous avançons au ralenti avec d’autres voitures. Le regard appuyé d’un conducteur qui est venu à notre hauteur lui fait vivement rabaisser  sa jupe. Je réagis aussitôt par un :

— Remonte ta jupe. Au ras de la culotte !

Sur le moment, ma réaction me surprend, car ce n’est pas dans mes habitudes de parler ainsi aux femmes, mais maintenant je sais ce qui excite Marie. Subjuguée par ma voix dure et autoritaire, elle obéit immédiatement pour le plus grand plaisir du voyeur qui s’évertue à rester à notre hauteur. Malheureusement pour lui,  il se remet à pleuvoir et, à peine remontées, les vitres se couvrent de buée. Nous quittons le centre en direction de la Joliette puis de Sainte-Marthe. Une ruelle puis un chemin couvert de terre et nous voilà devant la palissade du chantier. Le soleil est de retour. Malgré mes instructions, je constate que le portail est une nouvelle fois ouvert.  J’avance un peu la voiture dans l’allée et m’arrête pour le refermer. Je vais pour sortir, lorsque sur la gauche de l’entrée, un homme sort des toilettes mobiles en se rajustant. De la  poussière de ciment poudre les cheveux de cet ouvrier que je ne connais pas. Il vient droit sur nous, aussitôt Marie  baisse sa jupe.

— Qu’est-ce que… ?

Sans la laisser finir, je prends son visage et presse mes lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche pour accueillir ma langue et mélanger sa salive à la mienne. Elle ne proteste pas quand je découvre ses cuisses et caresse l’entrejambe de la culotte. Elle cherche même à me retenir quand je me dégage.

— Tout à l’heure ! Maintenant, je veux que tu ouvres ta veste.

Effrayée, elle ouvre néanmoins sa veste, découvrant le haut de sa guêpière aux hommes qui ont rejoint le premier et entourent la voiture. Le pare-brise et les vitres sont encore embués. On distingue mal les visages, mais ils sont nombreux et il  n’y a rien de tendre dans le désir qu’ils expriment.

Marie a peur.

— Mon Dieu, les portières Fred. Les portières, vérifie qu’elles sont bien fermées.

— N’aie pas peur. Quand je suis avec toi, tu n’as rien à craindre. De personne. Écarte ta culotte. Je ne veux pas qu’ils voient, juste qu’ils devinent. Maintenant, sors tes nichons et caresse-toi.

Marie obéit. La poitrine nue et les jambes ouvertes elle regarde les hommes qui se pressent autour de nous. Plusieurs d’entre eux se branlent. Elle caresse ses seins les yeux rivés à ceux d’un homme qui vient de coller son visage à la vitre. Je baisse sa culotte et découvre alors le gode dans son cul.

— Mais je rêve. Tu es engodée ! Et depuis quand ?

— Cest Abdou, quand tu me l’as passé au téléphone ce matin. Il m’a dit de le mettre avant de partir. Pour me préparer. Je ne voulais pas, mais il a insisté

— Et toi, tu l’as écouté Ça t’excite, hein, de te promener avec ce gros machin dans le cul.

— Euh, mais non, pas du tout il a dit que si je voulais bijou,  c’était mieux pour moi de ce côté-là, enfin.Il est très gros, alorseuhc’est très gênant.

— J’ai compris, alors maintenant tu vas soulever tes fesses, les écarter et leur montrer ce que tu as dans ton derrière. Regarde un peu l’effet que tu as sur celui-là :   

Un des types a écrasé sa langue sur la vitre et il l’a fait aller et venir en gardant les yeux sur sa chatte.

— Allez dis-le que ça t’excite de leur montrer quelle salope tu fais.

Tout en parlant, j’attrape sa main qui est venue caresser ma queue toute raide au travers de mon pantalon et la guide entre ses cuisses. La salope  est trempée. Elle gémit quand j’enfonce mes doigts dans sa chatte.

— Allez, assume ! Sors le gode et montre leur bien. Mon ton est cassant, sans appel. Visiblement, cela ne lui déplait pas. Je suis furieux de voir avec quelle facilité Abdou lui a fait faire tout ce qu’il voulait. Et il ne lui a parlé qu’une minute au téléphone. La tenue, le gode qui a-t-il d’autre encore ?  

 Celui qui avait léché la vitre s’est redressé. C’est sa bite qu’on voit maintenant. Une grosse queue presque noire qu’il branle violemment. Marie sort le gode et le porte à sa bouche. Elle le léchouille sans quitter des yeux le zob de l’arabe qui est maintenant carrément plaqué contre la vitre. Le plug est énorme, il se termine par une boule noire qui doit faire plus de 5 cm de diamètre. Elle bataille pour le remettre  en place et tout en se déhanchant, elle écrase son visage contre la vitre et sort sa petite langue. Lui s’est mis sur la pointe des pieds et son gland violacé est juste à hauteur de la langue de Marie qui se met à lécher la vitre. Complètement dépoitraillée, sa jupe roulée autour de la taille, la culotte aux genoux elle s’exhibe maintenant sans pudeur à tout ce groupe d’ouvriers en manque et avide de sexe. Deux autres se sont rapprochés. Plus petits, ils montent sur des parpaings et jouant des coudes ils se mettent à leur tour à frotter leurs grosses queues contre la vitre.

À leur demande, Marie écrase maintenant ses nichons contre la vitre. Je lui attrape les mamelles et les lui tort dans tous les sens en la traitant de salope.

— Tu aimes ça, hein, que je te triture les nichons ? Allez, enlève ta culotte maintenant, déculotte-toi complètement.

Elle s’exécute, je m’empare aussitôt du minuscule morceau de tissu et l’agite, en bien montrant qu’il est tout mouillé.

J’entrouve ma vitre et instantanément une main se tend et s’empare de la lingerie.

Dehors les types n’en peuvent plus, ils se passent sa culotte et tour à tour ils éjaculent en la reniflant. Le dernier arrivé et le premier à se vider, les deux autres suivent en criant des mots moitié français moitié arabes. Une chose est claire, ils jouissent en l’insultant, la traitant de pute française et de vide-couille.

Marie jouit à l’unisson en regardant les giclées de sperme qui coulent sur le carreau.

Les hommes s’écartent et je démarre en direction de la baraque / bungalow de notre ami Abdou.

Tout juste 200 mètres à parcourir. Marie- Jo a baissé sa jupe et refermé sa veste, elle n’a plus maintenant de culotte. Elle est cul nul sous sa jupe serrée, tout comme l’avait demandé Abdou. Rien que cette pensée suffit à me remettre en érection. Je suis le premier à sortir. Je me précipite pour lui ouvrir la portière. À peine dehors je me  plaque dans son dos et la colle contre la carrosserie.

— Alors, ma salope, tu t’es bien régalée ? Hein ?

— Euh…

— Allez réponds, dis-le que tu as pris ton pied en les excitant à mort. Salope ! Et que tu en veux encore. Tu veux ma queue maintenant ?

— Heuuuuu !!! Oui, encore Prends-moi maintenant, oui vas-y

— Ton cul, montre-moi ton cul. C’est ça que tu veux hein ? On va tous te faire le cul.

— Oui, le cul. Abdou m’a dit pour bijou, ça serait mieux avec le plug., il a dit qu’il voulait me faire enculer par son chien d’abord.

— D’abord ? Et ensuite ?

— Euh Et aussi, il m’a dit qu’il y aurait d’autres hommes et qu’ils voudraient tous me remplir le cul

— Et tu l’a laissé dire ! Salope ! Tu aimes te faire enculer. Allez dit-le. Dis que tu es une enculée.

— Non ! Non ! Oui, oui ! je suis une sodomite. Une enculée ?

— Et bien, moi, je vais te laisser ton gros plug et te bourrer la chatte. Tu vas voir comme c’est bon.

— Oui, oui, Abdou m’a forcée à mettre le plus gros.

— Forcée ? Mais comment ? Ta tenue, le plug, et puis quoi encore ? Tu l’as eu même pas une minute au téléphone.

— Euh, il m’a demandé mon numéro de portable et il m’a rappelée plus tard. Il m’a dit des choses

— Salope, tu lui as donné ton numéro ! Il t’excite, hein ? Avec sa grosse queue. Tu as aimé le sucer, hein, salope ? Et maintenant tu veux encore qu’il te la mette. Allez, en attendant soulève bien ta jupe et tends bien tes fesses en arrière.

— Oooh Fred, fais attention Fred. C’est ma période féconde. Je suis fertile Fred, s’il te plait, ne jouit pas dans mon ventre. Je t’en pris, oohh non je la sens bien. Oui encore, encore, bien à fond.

Je m’aperçois que son visage, tourné sur le côté est à la hauteur de la vitre portière passager toute couverte de foutre.

— Tu aimes ça hein ma petite cochonne ?  Tu en veux encore ? Alors, profites-en pour nettoyer ma vitre. C’est ça, comme ça Frotte bien ta joue contre et ramasse-moi tout ça avec ta langue de pute.

— Mmmmh! Ôôoôh! Oui, oui, slurp, slurp.

Cette salope était déchaînée, elle me demandait de faire attention de me retenir et elle n’arrêtait pas de remuer et de faire tourner son derrière dans tous les sens. Je pensais ne pas pouvoir me retenir bien longtemps. J’avais du mal à croire que Marie ne prenait toujours  pas la pilule alors qu’elle s’était rendue chez son médecin depuis plus d’une semaine. Je me souvenais quelques jours plus tôt avoir déclaré à Abdou que ma bigote de copine n’utilisait aucun moyen de contraception. Cela m’était venu naturellement, histoire de le titiller et d’assouvir un peu plus son désir de domination et de possession envers Marie. Mais voilà que cela semblait maintenant bien réel, il avait réussi à convaincre cette petite traînée de venir à ce rendez-vous au risque d’être engrossée. Elle devait bien le savoir qu’elle était en plein dans sa période fertile ce matin lorsqu’elle avait eu Abdou au téléphoneet elle avait accepté le rendez-vouspeut être qu’elle l’avait même mis au courant de son état cette salope.

Son vagin comprimé par l’énorme plug qui la dilate, enserre étroitement ma bitte. Je ressens nettement les contractions qui partant de son ventre et la font frémir. Elle tremble toute entière. Je la plaque violemment contre la portière et la pénètre encore plus profondément.

Deux, trois coups bien puissants. Elle pousse de petits cris tout en continuant de lécher la vitre.

— Tiens!…Tiens!…Prends ça et encore ça ma salope !

Je lâche tout. Je ne sais pas si elle ressent vraiment bien toutes mes giclées, en tout cas mes contractions sont puissantes et nombreuses, et elle jouit comme une folle en me sentant remplir son utérus fécond.

— Âââh! Encore!…Ouiii, Ouiii, c’est bon ! C’est bon !

Nous avons un peu de mal à reprendre nos esprits. Nous nous  dirigeons  vers le bungalow d’Abdou qui se trouve un peu plus haut, juste après la sortie du parking.

Quelques escaliers à monter. Nous n’avons pas le temps de sonner. La porte s’ouvre brusquement sur un Abdou impatient et encore plus imposant que dans mon souvenir. Il tient à la main un martinet et un collier de chien avec sa laisse. Il s’écarte pour nous laisser entrer. À peine le seuil franchi, il adopte à l’égard de Marie, un ton très autoritaire. Une attitude directive qui ne semble pas lui déplaire.

— Bonjour mignonne, on t’attendait. Enlève tout de suite ta veste et ta jupe.

Marie me tend son petit sac à main et s’exécute. Elle enlève docilement ses vêtements comme on enlève ses chaussures en entrant. Elle se met nue devant nous alors que la porte n’est même pas encore refermée. Abdou prend un air satisfait en voyant qu’elle ne porte pas de culotte et qu’elle a mis des bas.

— Sort tes nichons de ta guêpière, je veux qu’on te voie tout lorsque tu vas te présenter, mais avant passe-moi ce collier.

Puis, se retournant vers moi.

— Ta femme est parfaite ainsi, la chatte bien à l’air, son beau cul et ses gros nichons exposés. Une vraie petite soumise. Je vais tout de suite lui montrer qui est le boss.

Marie à quelques difficultés à attacher son collier. Je dois l’aider, Abdou s’impatiente.

— Tu vas maintenant à quatre pattes dans le séjour en tenant ta laisse entre les dents puis tu vas te présenter à mes invités et surtout à Malik en regardant bien sa caméra.

Marie Jo fait ce qu’il dit, elle ramasse la laisse, hésite un peu puis commence à avancer docilement.

Elle  aime se soumettre à l’autorité et aux ordres de ce grand noir. Elle prend plaisir à se laisser rabaisser, humilier et traiter comme la dernière des dernières. Cela Abdou l’a bien compris et il en profite. L’occasion est trop belle. Il sait qu’il va pouvoir assouvir tous ces fantasmes avec cette splendide jeune femme blanche qu’il a mis à ses pieds. Il me regarde d’un air triomphant.

— Tu vois, mec, ta femme, je la tiens par le cul, elle est prête à tout pour satisfaire ma grosse bitte.

Et de confirmer ses paroles en donnant un bon coup de martinet sur les fesses blanches Marie.

Elle pousse un petit cri en tressaillant. J’ai l’impression qu’elle en rajoute. C’est en ondulant et en remuant son cul dans tous les sens qu’elle entre dans la pièce encombrée.

Un aboiement sec suivi de quelques jappements nous parvient de la chambre.

Nazim et Houmam  avachis sur un vieux canapé au fond de la pièce se sont levés d’un bond. Malik lui, derrière sa caméra, est déjà en train de filmer.

— Cool les gars ! Pour ceux qui ont reconnu leur chef de chantier, y a pas de problème.

Aujourd’hui, sa salope de femme que vous voyez à quatre pattes devant vous n’appartient plus à son mari, mais à mon chien et à moi depuis la semaine dernière. C’est maintenant notre pute à nous et pour peu que vous sachiez y faire, ça va devenir la vôtre également. Cette chienne ne s’est pas habillée comme çà pour rien. Pas vrai, ma petite chérie ? Allez, réponds !

Un petit oui inaudible alors qu’Abdou enchaîne sans attendre sa réponse.

— Mes amis le temps presse. Nous allons tout de suite passer aux présentations, car je sens que mon chien s’impatiente. Il a senti sa femelle. Et oui, mon Bijou  va être le premier à couvrir Madame. Des objections ?

Et Abdou, de ponctuer sa tirade d’un bon coup de martinet sur la croupe offerte de Marie toujours à quatre pattes.

— Regardez-moi cette salope ! Allez, petite pute remue bien ton cul et fait le tour de la pièce qu’on te voie bien.

Mon chien va faire de cette belle femme sa femelle et elle va se laisser faire devant vous. Allez- y, donnez lui des claques au passage.

L’effet de surprise passé après cette entrée en scène des plus inattendue, les Arabes sortent de leur réserve et chacun y va de sa bonne paire de claques sur les belles fesses nues de la jeune femme.

— Tu aimes ça, hein ! Te faire claquer le cul par des migrants. Hein ma salope que ça t’excite ? Regardez-moi là, je suis sûr qu’elle est trempée.

Tout en fouillant dans le sac à main de Marie Abdou continue de donner ses instructions

— Allez, ça suffit, mets-toi debout ! Va t’allonger le torse sur la table de salle à manger, et tends le cul !

— Mieux que ça ! Cambre-toi ! Offre-toi bien !

Malik s’est approché, l’appareil mitraille.

— Maintenant, monte sur la table et remets-toi en levrette.

Puis

— Écarte tes fesses avec tes mains !

— Oh nonPas ça Je vous en prie

— Écarte tes fesses avec tes mains j’ai dit !!!

La mort dans l’âme, ses mains arrivent sur ses fesses, les écartent. Le plug est bien visible. L’appareil fait son uvre.

— Eh bien voilà ! Quelques photos de ton petit trou bien bouché !!

Il commente.

— Vous voyez ,les gars, j’ai demandé à cette petite pute de bien se dilater le cul pour recevoir mon Pit et regardez moi comme elle a bien suivi mes instructions. Je peux vous dire qu’elle aime la queue cette salope et qu’elle en a envie de ma queue et de celle de mon petit Bijou. N’est-ce pas ma chérie que tu les aimes nos grosses bites ?

— ..

— Allez, dis-le.

Et de ponctuer sa demande par une bonne claque bien sonore sur les belles fesses toujours offertes de Marie.  

— Euuh, oui, je les aime

— Tu aimes quoi ? Dis-le-nous ! Allez, allez, on attend

Une nouvelle claque bien appuyée cette fois-ci.

— Aaah, Ooohh Oh, oui, oui, j’aime vos grosses bites

— Et comment tu les aimes ? Où ? Dis-nous.

— Euuh en moi, je les aime dedans moi

— Mieux que ça ! Dans le cul ! Tu les aimes au cul ! Regarde bien Malik et répète-lui ça.

Et une claque de plus Malik derrière sa caméra émet un grognement de satisfaction. Il est ravi par la tournure des événements. Il n’en espérait pas tant pour sa première vidéo. Sûr qu’il va se faire un paquet de blé avec.

— Oui enfin oui, j’aime vos grosses bites dans mon derrière

Tout en la faisant parler, Abdou a sorti du sac tous les papiers personnels de Marie. Il fait maintenant circuler carte d’identité, carte de sécurité sociale et dernier bulletin de salaire. Allez y les gars matez moi les papiers de cette salope. Vous pouvez les photographier si vous souhaitez bien l’identifier et joindre son identité aux photos de cul que vous allez peut-être publier ensuite sur internet.

Puis s’adressant à Marie !

— Nom prénom, adresse, profession, situation maritale, mensurations, moyens de contraception, position préférée

Et toi Malik approche et filme là en gros plan qu’on voit bien son visage pendant qu’elle va se présenter.

— Et regarde bien la caméra en parlant.

À quoi bon résister, ils ont déjà tous photographié sa garde d’identité,  sans doute imaginent-ils pouvoir exercer des pressions sur elle plus tard, la faire chanter ou même pire, avec une salope pareille d’autres possibilités peuvent être envisagées  

Marie s’exécute rapidement :

Je m’appelle Marie E. j’habite 27 rue C., je travaille au Boulevard de L. comme ingénieur en informatique, 1m73, 90-62-92, ma position préférée est la levrette et je n’utilise aucun moyen contraceptif.

— Allez, c’est bon, maintenant descends. Tu nous fais encore un tour et ensuite tu vas aller gratter à la porte de la chambre pour appeler mon Pitt.

Comme ça, voilà.

Abdou continue de diriger les opérations.   

— Et toi Nazim, claque-moi la un peu plus fort pour la faire un peu accélérer. Tiens, prend mon martinet.

Deux coups bien secs. Marie se cabre et se retrouve à buter contre la porte. Bijou alterne aboiements et grognements.

Abdou veut tous nous faire participer au dressage. Il s’adresse au Syrien.

— Houmam, à toi maintenant. Prends le martinet et fesse-nous ce beau cul blanc. Je veux que tu me la fasses japper comme un chiot.

Marie est toujours immobile, collée contre la porte. Malik a laissé sa caméra à Nazim qui a pris son tour pour corriger la belle jeune femme.

Elle hésite toujours, ses fesses sont maintenant toutes rouges. Elle ne va tout de même pas se laisser soumettre par de parfaits inconnus sans résister. À chaque coup de martinet elle pousse un petit cri, tressaute, et ses gros nichons se balancent dans tous les sens.

Cela ne sert à rien de résister, mais elle réalise qu’elle aime laisser ces hommes la forcer. Insensiblement, elle commence à japper. Le plaisir provoqué par l’humiliation de céder la submerge. Elle gratte maintenant à la porte toujours fermée.

— Attention les gars, je vais ouvrir la porte de la chambre. Bijou est chaud bouillant pour cette femelle en chaleur. OK ? Donc, interdiction de vous approcher tant qu’il ne la possède pas.

Aussitôt l’animal se précipite, et immédiatement il enfouit son museau humide entre les belles fesses. Sa langue la fouille, elle écarte d’elle-même les cuisses et se penche en avant, appuyant sa joue contre le sol, s’offrant un peu plus à la langue agile ; le molosse se délecte et soudain sous son ventre apparaît un long ruban rouge, qui sous l’effet sans doute de l’excitation lui remonte frénétiquement sous le ventre. Un ordre et le chien , tout penaud ,se couche.

Prenant Marie par la main, il l’allonge sur un pouf, à plat ventre, offrant ainsi son sexe de façon béante ; le chien vient de se redresser et conduit par son maître, il vient renifler la chatte offerte ; rapidement il s’énerve, et à nouveau son mandrin sort de sa gaine ; comme lors de notre précédente visite, je ne peux m’empêcher d’être surpris de la taille ; un très gros sexe palpite, pointu et rouge. Et voilà que le chien s’excite à nouveau, essayant de grimper sur son dos ; Abdou dépose un plaid épais sur le dos de Marie puis s’adressant à moi :

— C’est le moment Fred, enlève le plug du derrière de ta femme et écarte-toi vite pour laisser la place.

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