Je rentre dans la voiture de Michel.
— Tout va bien Monsieur ?
— Très très bien Michel, merci. Commence à rouler.
— Vers où Monsieur ?
— Roule ; je te dirai.
— Bien mon Prince.
On roule, j’ai une idée, il est encore tôt j’ai le temps. J’écris à Charlotte :
— Ton petit mari est rentré ?
En attendant sa réponse j’écris à Anne-Sophie et Claire sur whatsapp :
— Demain midi Anne-Sophie, Claire et moi aurons besoin de ton bureau.
— Et vous aurez besoin de moi ?
— Tu pourras être présente oui.
— Bien.
Puis je lui écris à elle seule :
— Commence à réfléchir à comment me présenter ta fille aussi.
— Bien mon chéri. Ton chauffeur se comporte bien ?
— Ecoute, je n’ai pas à me plaindre pour l’instant.
— J’en suis ravie.
— Tu pourras lui donner un sucre ce soir.
— Ah ah, ça marche.
Elle m’envoie une photo où elle est avec sa fille, Pauline. Elles sont toutes les deux en bikini à la plage. Pauline a 20 ans, et est le portrait craché de sa mère. Elle est à la fac.
Charlotte me répond :
— Non pas encore, il sera là dans une heure.
Je souris. Je dis à Michel de me reconduire chez Charlotte. Il obéit. Il se gare. Je sonne à sa porte. Elle m’ouvre et pousse un petit cri de surprise. Elle porte un petit short en jean et un top à bretelles, elle est craquante. J’entre et la serre dans mes bras, on s’embrasse.
— Mais Isaiah, qu’est-ce que tu fais…
— J’ai envie de toi.
— Mmmmmmm
Je la déshabille et l’emmène au salon. Je m’assieds dans le canapé et la fais venir face à moi sur ma queue. Je rentre plus facilement, et assez vite je la fais sauter sur ma queue. Alors qu’elle vient de jouir et m’embrasse je la regarde :
— Je vais jouir en toi Charlotte, te remplir de ma semence, ensuite tu nettoieras ma queue dans ta bouche. Tu ne vas pas prendre de douche d’ici au retour de ton mari, ni te brosser mes dents. Quand il rentrera tu vas l’embrasser, puis lui demander de te lécher. Tu lui demanderas si tu as bon goût. Et s’il veut te baiser, tu refuseras. S’il veut que tu le suces, tu refuses. C’est compris ?
— Je… je ne sais pas si je peux faire ça Isaiah, c’est…
Je me lève d’un coup et la laisse sur le canapé.
— Salut Charlotte.
Elle me rattrape par la main.
— Attends, OK OK, je vais faire ça.
— Tu es sûre ? Je saurai si tu me mens.
— J’en ai envie.
— Vraiment ?
— Oui, je mouille tellement pour toi.
— Tu veux que je te remplisse ?
— Ouiiiiiiiiii.
Je l’embrasse et me rassieds sur le canapé. Elle s’empale de nouveau sur moi et me baise la queue comme une folle. Je me lève et la baise debout, la fais sauter sur ma bite qui la défonce. Elle jouit encore une fois. Je l’allonge sur le canapé et la baise en missionnaire jusqu’à ce qu’elle et moi jouissions ensemble. Mon sperme la remplit en jets puissants et nombreux. Elle crie son plaisir, me serre contre elle.
— Reste, reste en moi je t’en supplie.
Je me vide les couilles en elle. Puis me retire, me lève, et elle, assise sur le canapé, la chatte qui déborde de ma semence, me nettoie la queue de sa bouche.
— Mmmmmm parfait. Tu sais ce qu’il te reste à faire ma belle.
— Oui mon amour.
Je repars et Michel me dépose chez moi. Je lui dis de se tenir à ma disposition le lendemain. Il me remercie. J’ouvre le frigo et constate que mon père a fait les courses demandées, je vais ensuite dans sa chambre, il y a un nouveau lit, très grand, superbe. Je souris.
J’envoie un SMS à Catherine avec une photo du lit :
— Il faudra qu’on l’essaie.
— Ah ah, ouiiiiiiiiii.
Je prends une douche et m’habille. Je me pose sur la terrasse avec une bière et prépare le barbecue. Mets en route le jacuzzi.
Je reçois un SMS, et oh surprise, c’est Stéphanie :
— Isaiah, je réfléchissais, après ton départ et je pense qu’il vaut mieux ne pas parler à Greg de ta visite. Es-tu d’accord ?
— Oups, trop tard…
— Ah mince, c’est vrai, tu lui as dit ?
— Non, je plaisante Stéphanie, je suis d’accord avec vous… même si nous n’avons rien fait de mal. Je lui ai déjà piqué sa copine…
— En effet… Et je peux te poser une question ?
— Bien sûr Stéphanie.
— Tu voulais me dire quelque chose tout à l’heure quand tu es parti ?
— Oui.
Je ne réponds rien d’autre.
Je reçois un SMS de Charlotte :
— Je l’attends là, je pense à ta queue en moi, je pense à mon étalon noir. Je t’embrasse mon chéri. Ta petite blanche à black.
Stéphanie :
— Tu vas me faire mariner ?
— Oui;-)
— ;-)
— Je vous trouve très séduisante Stéphanie.
Elle m’envoie un smiley qui rougit et :
— Merci Isaiah. C’est agréable. Une raison de plus de ne rien dire à Greg.
— Ni à ton mari;-)
— Ni à mon mari, en effet… Autre chose ?
— Oui, petite curiosité : tu portais des bas ou des collants ?
— La curiosité est un vilain défaut.
— Au contraire, je trouve que c’est une jolie qualité.
— Tu préférerais collants ou bas.
— Bas, évidemment. Mais ça ne répond pas à ma question.
— La vraie question Isaiah, c’est ce que je porterai la prochaine fois…
Je ne réponds rien. Je bande.
J’écris à Charlotte :
— J’aimerais que tu m’envoies un SMS pendant qu’il te lèche ta jolie petite chatte pleine de moi;-) et encore mieux si tu m’envoies une photo de lui en action eh eh.
Je m’assoupis un peu en attendant les filles.
Manon m’écrit qu’elles arrivent dans 10 minutes. Je lui dis que la porte est ouverte, que je suis sur la terrasse.
Je les entends arriver, je suis devant le barbecue. Manon vient m’embrasser.
— Coucou mon chéri.
— Salut ma belle. Ça va ?
— Très bien et toi ?
— Très bien aussi. Elise, Sophie, bienvenue.
— C’est super chez toi dis donc.
— Oui, c’est pas mal. Installez-vous. Vous voulez boire quelque chose ? Champagne ? Vin rouge ? Blanc ? Champagne ?
— Ouuuuhhh tu mets les petits plats dans les grands Isaiah. Champagne pour moi.
— Moi aussi.
— Et toi Elise ?
— Pareil.
— Asseyez-vous les filles, je reviens.
Je vais chercher le champagne que Carl a mis au frais, et quatre flûtes. Je reviens sur la terrasse, Manon est seule sur la banquette, Sophie et Elise dans des fauteuils. Je sers le champagne et m’assieds à côté de Manon. On trinque, on discute, on se marre bien. On grignote à l’apéro puis on dîne, je passe un excellent moment. J’en oublie même que ces trois filles sont très bandantes. Puis Sophie dit, d’un ton que je trouve coquin :
— J’irais bien me baigner moi les filles, pas vous ?
— Ah oui excellente idée ça.
Elles se regardent et se sourient. Elles se lèvent. Manon m’embrasse puis leur dit :
— Suivez-moi les filles.
Puis à moi :
— Toi tu ne bouges pas, on revient.
— Je n’ai pas l’intention de bouger ma belle.
En les attendant j’enfile un boxer maillot de bain et vais dans l’eau. J’en sors et m’assieds au bord de la piscine quand je les vois arriver : Sophie porte un micro bikini motif léopard triangle en haut et string en bas, Elise un bikini string rose à volant, le haut est ouvert au milieu mettant en valeur ses superbes obus. Suit Manon, en micro bikini string blanc à volant, elle est sublime. Elles sont les trois en sandales à talons aiguilles en plus. Et avancent vers moi, elles me regardent toutes les trois. Elles passent devant moi et entrent dans l’eau en laissant leurs chaussures au bord de la piscine, elles commencent à jouer toutes les trois dans l’eau. Je ne manque pas une miette de ce sublime spectacle. Manon s’approche de moi :
— Tu ne viens pas dans l’eau bébé ?
— Je vais aller chercher du champagne.
— Oh, attends, je vais y aller moi.
— Tu es sûre ?
— Oui.
Elle sort de l’eau et m’embrasse. Elle passe derrière moi et me pousse dans l’eau, je me retrouve dans l’eau, sous le regard amusé de Sophie et Elise, qui s’approchent. Manon s’éloigne.
Elles s’avancent vers moi et me bloquent contre le rebord de la piscine. Je leur souris. C’est Elise qui lance les hostilités :
— Alors beau black, comment ça se passe avec Manon ?
— Très bien. Il me semble.
— Elle t’aime tu sais ça ?
— Je sais oui. Et c’est disons, réciproque. Peut-être différemment mais je l’aime, moi aussi.
— Elle nous l’a dit. Donc tu ne la feras pas souffrir ?
— Non. Je n’en ai pas du tout l’intention. Et dans notre arrangement, je ne cesse de lui dire depuis quelques jours qu’elle doit fixer les limites et être honnête avec moi. Comme je le suis avec elle. D’ailleurs si vous êtes là ce soir, c’est à cause d’elle.
— Ou grâce à elle.
— Ou grâce à elle en effet. Mais je ne l’ai pas forcée, je ne l’ai même pas encouragée.
— On ne te plaît pas ?
— Oh si, beaucoup ; mais contrairement aux autres femmes, vous êtes ses meilleures amies, et ça doit passer avant tout le reste. Je ne mettrai pas en péril votre relation.
Sophie prend le relais :
— OK, c’est pour ça que tu nous as ignorées ?
— Je ne vous ai pas ignorées les filles. Deux choses : un, je suis très occupé, et deux, je suis en couple avec Manon, je ne vais pas arriver le matin au lycée et vous rouler des pelles à toutes les trois
— Mmmm tu en aurais eu envie ?
— Pas tous les matins.
— Salaud.
Manon revient avec le champagne :
— Hey, vous ne me le torturez pas les filles.
