Le lendemain, dépassant de mon petit trou je n’aperçus que l’extrémité du gode, Aude en parfaite attentionnée se proposa de me l’enlever.
Nous nous dirigeâmes vers la salle de bain.
Face à moi, elle plaça ses bras derrière moi et saisit des deux mains le petit bout encore accessible.
Elle commença à tirer lentement, avec lenteur elle extirpait l’engin, doucement, sans se pressée; comme le "Grand Zorro" de la chanson.
Pendant ce temps là, elle avait plaqué sa bouche grande ouverte sur mon pénis, et commençait à le sucer:
" – Ton petit bouton d’amour ma chérie, hum ! Que j’aime quand il mouille…".
Je sentais dans toutes mes tripes le chemin parcouru, chaque plis ourlés, chaque recoin de mon colon étaient sollicités et le chemin à parcourir jusqu’à la sortie de mon cul promettait d’être long, au moins cinquante centimètre, si j’avais bien estimé la dimension du membre enfoncé.
Aude continuait son petit agacement sur ma bite, elle s’était dressée, mais la taille comme d’habitude restait raisonnable.
Labsence de poil, ma peau lisse, mes sous vêtements féminins, ma nouvelle coupe de cheveux, la flatterie de mon cul, tout était fait pour que maintenant, ma verge ne reste à une taille minimum, qu’elle devienne officiellement ce petit clitoris que Aude aimait tant agacer.
Arrivé aux derniers vingt centimètres, Aude arracha d’un coup sec le sexe-toy, ce fut une énorme décharge électrique dans tout mon corps, en pantin désarticulé je me cambrais en arrière, une énorme giclée de foutre remplit la bouche de mon aimée.
Aude, la bouche rivetée sur mon pénis ne lâcha pas son étreinte et reçu tout mon jus gluant au fond de sa gorge.
Elle avala tout d’une traite, ayant décidée de ne pas partagé ce petit déjeuner improvisé.
" – Je savais que cela te ferait cette effet…", me confia t-elle.
" – Et puis… j’avais besoin de quelque chose de chaud dans le ventre avant de prendre le petit déjeuner".
Une fois ma bistouquette nettoyée de ses lèvres, Aude me fit ma toilette, mais au moment de me prodiguer ses petits soins de beauté, je l’arrêtais.
" – Regarde moi faire", lui dis-je.
" – Regarde comme j’ai bien appris".
Aussitôt j’attrapais la poire de lavement et me l’introduisit, puis ayant convenablement rincé mon colon, je passais au crèmes, aux baumes.
Je les appliquais lentement, en fixant mon aimée, mes mains sur mon corps lexcitait, c’était comme si les siennes couraient sur ma peau.
Je flattais ma peau, lentement, et pendant se temps là, Aude, en me regardant faire, se caressait doucement.
Une fois terminé, je la pris par la main et commença à la laver, la frottant partout, dans les moindres recoins.
Aude continuait à se toucher, je massais ses seins, ses fesses, sa raie, son petit trou.
Ensuite vint pour elle aussi, le tour des crèmes, des huiles, appliquées lentement sur son derme sensible, par petits frôlements.
Son plaisir n’en fut que plus accru, et Aude se mit à jouir dans un grand cri libérateur.
ne fois toutes deux repues, je la laissais juste s’occuper de nos maquillages respectifs.
A table, dévorant nos tartines, Aude me dit soudain :
" – J’ai une surprise pour toi tout à l’heure" .
" – Une surprise ?" , répondis-je, l’air faussement interloqué.
Aude hésita une seconde, puis se lança :
" – Je t’emmène faire du shopping"…
Comme je lui faisait remarquer que nous étions dimanche, elle me confessa qu’une amie commerçante, à qui elle avait rendu de grands services à une certaine époque, était ravie de lui ouvrir sa boutique, juste pour elle et moi.
Je fus un moment pris de panique, jappréhendais de sortir, comment faire, habillé en homme ? En femme ?, et quel serait le regard des autres si nous croisions quelqu’un ?
Aude sentant mon malaise s’approcha de moi, elle me prit dans ses bras, et tout bas me dit :
" – Tu as confiance en moi ma chérie ?, tout ira bien, tu es belle, la seule chose que je crains moi, c’est que les hommes se retourne sur toi, et qu’il te monte des envies avec eux !".
Je fus un peu rassurer, alors très vite, elle prit les choses en mains.
Elle glissa entre mes jambes mes bourses qu’elle fixa avec un petit sparadrap, puis elle tira vers le bas ma petite verge, il ne fallait pas que mon bouton d’amour se remarque, s’esclaffa t-elle, lui aussi reçu sa petite bande collante.
Elle me passa ma culotte, de coupe brésilienne, mais au moment de lenfiler totalement, elle disposa au fond, une petite serviette hygiénique.
Elle mapporta ma tenue, il fallait faire vite, le petit top rose assorti au slip, avec un décolleté à lacets, puis un petit jean moulant coupe femme, taille 38, serré aux cuisses, mais s’ouvrant un peu dans le bas
Elle rajouta ensuite, un petit haut de coton blanc, quelques colliers fantaisies et une paire d’escarpin à haut talons.
Un petit blouson de cuir marron finissait la silhouette.
Je me regardais dans la glace, méconnaissable je vis dans le reflet, une vraie jeune fille, une vraie femme, alors, d’un coup, toutes mes craintes s’estompèrent.
Aude avait raison, je pourrais sûrement susciter la convoitise des hommes.
Nous montâmes en voiture, et roulèrent environ quinze kilomètres, ma peur avait disparue.
Une fois sur le parking, les huit cent mètres qu’il nous fallut parcourir à pied jusqu’à la boutique furent fait sans soucis.
Quelques hommes effectivement se retournaient sur moi, et moi en petit garce, je leur répondais d’un petit regard.
Aude finit par m’accrocher rapidement par la taille, comme pour marquer sa propriété sur cette silhouette tant convoitée.
Moi je jubilais de la savoir un peu jalouse.
Nous frappèrent à la vitrine, Madame Mercier vint nous ouvrir.
Nous nous fîmes la bise, et après quelques banalités d’usage sur la météo et le temps qui passe, nous commençâmes nos emplettes.
Aude en parfaite amante avait déjà sélectionné quelques tenues, des robes, des jupes, des petits hauts, des chemisiers, des blousons, et toute une panoplie d’accessoires.
Moi, je jouais les "Pretty woman" dans la cabine d’essayage, sous l’il de ma chérie.
Je sortais me regarder dans les grands miroirs, et j’entendais immanquablement Aude s’écrier :
" – Cela te va trop bien, on la prend !".
Je me sentais femme, belle, désirable, et je pensais à la joie que Aude devait éprouvée, si je ne nous avais pas freinés, nous aurions dévalisés la boutique.
Madame Mercier se proposa de nous chercher des cafés et quelques sandwiches, le tas de vêtements sélectionnés lui imposait de nous chouchouter.
Elle nous enferma dans le magasin, et nous reprîmes notre shopping.
Dans la cabine, alors que je me changeait pour la énième fois, Aude vint me rejoindre, elle s’agenouilla devant moi, baissa ma petite culotte, puis enleva le petit collant qui maintenait caché mon sexe.
" – J’ai trop envie de ton clitoris ma chérie, je ne tiens plus ! " , et déjà elle se mis à me lécher.
Sa langue sur mon prépuces, sur mon méat, sur mon gland violacé, mes bourses emprisonnées sous mon ventre, la chaleur de sa bouche, ses caresses sur mes fesses, tout fut propice à ma jouissance.
" – Aude ? Sais tu où sont les toilettes ?, j’ai envi de faire pipi !".
Elle approcha sa bouche de mon pénis, maintenant ramollit et l’ouvrit grande:
" – Là Ma Chérie… là !", et elle referma ses lèvres sur mon zizi.
Elle avait retroussée ma peau, décalotté mon prépuce, et maintenait serrées ses lèvres sur mon petit gland qu’elle flattait de sa langue.
Je baissais la tête et croisa son regard qui me fixait.
Dans ses yeux je devinais son envie, ils brillaient de mille feux et me disaient sans faillir, "vas y, fais moi ce plaisir !".
Je me lâchais enfin dans sa bouche, d’abord par petites giclées.
Aude déglutissait au fur et à mesure, et poussait de petits grognements de satisfaction à chaque rasade.
Je vidais ma vessie dans son palais, l’urine lui coulait dans la gorge, mais elle restait stoïque, ma pisse faisait son délice, je le lisais dans ses yeux.
Enhardis par sa gourmandise, je pissais maintenant de longs jets, sans vergogne, la désaltérant de tout ce que je pouvais lui donner, jusqu’à ce que je fus totalement vidé.
Aude en experte, achevait de me nettoyer de ses lèvres, quand d’un coup, nous entendîmes :
" – Oh ! Pardon Mesdemoiselles !", c’était Madame Mercier, je l’aperçus dans l’encadrement de la porte de la cabine.
Venait-elle involontairement de nous surprendre, ou nous avait-elle observé ?.
Elle rabattit rapidement le rideau et séclipsa aussitôt, un peu rouge.
Nous nous dépêchâmes d’aller la rejoindre, elle fit comme si de rien nétait.
Nous bûmes nos cafés et mangeâmes nos casse-croûtes, puis nous reprîmes notre shopping.
Deux heures plus tard, une fois notre choix fait, nous passâmes en caisse.
Aude paya pour l’ensemble des tenues.
Ma chérie ayant flashée sur l’une d’elle, j’avais décidé de la porter pour elle, Madame Mercier me l’offrit, en remerciement pour cette grosse vente.
Au moment de partir, nous discutâmes un peu avec la commerçante, elle ventait ma beauté, ma magnifique coupe de cheveux, mes yeux merveilleux:
" – Aude, vous devez être fière de votre nièce, elle a votre prestance, votre élégance. Elle à vraiment un corps de rêve, elle peut tout se permettre, elle peut tout porter, elle en a de la chance.
Dommage peut être qu’elle n’ai pas plus de sein, elle a la poitrine un peu… disons masculine… non ? ".
A ces mots, Aude ne se laissa pas démontée, et en attrapant ses gros seins qu’elle serra l’un contre l’autre, elle surenchérit :
" – Dommage sûrement qu’elle n’ait pas les roploplos de sa Tante", moi je la regardais, mais dans son regard je sentis un trouble, et je me tus.
Nous embrassâmes la commerçante, et prirent congé.
Dans la rue, nous décidâmes de flâner, nous marchions dans les rues piétonnes déserte, à chaque vitrine je me regardais dans le reflet.
La petite jupe noire, le petit haut légèrement décolleté, les bas que Aude avait sortis de son sac, mes escarpins, je me trouvais belle, troublante, désirable. Aude, elle me dévorait du regard, et parfois dans la solitude de la rue, elle glissait sa main sous ma jupe et me caressait les fesses.
Nous nous retrouvâmes devant une boutique de farces et attrapes, là exposé en plus des masques et divers cotillons, il y avait un tablier de cuisinière ornementé de gros seins en plastique.
Nous nous regardâmes et je lui adressais un petit :
" – Il est hors de question que vous m’offriez cette panoplie pour préparer les repas, Madame Mercier ! Moi qui ne sais même pas me faire cuir un uf !"; alors Aude et moi rigolâmes à gorges déployées.
Au retour, dans la voiture Aude fut soudain silencieuse… arrivés à la maison, elle s’occupa du repas, sans rien dire. Je finis par venir près d’elle, je la serrais fort, et lui demanda :
" – que tarrive t-il ma chérie ? " .
" – Rien, ce n’est rien !", soupira t-elle.
Au repas, je la sentais distante, un peu froide même.
Elle ne me dit que quelques banalités d’usage, et partit s’asseoir sur le canapé.
Je vins m’allonger sur ses genoux, elle me prit la tête et déboutonna son chemisier.
Elle sortit son sein et me le tendit à téter.
Je saisis le petit mamelon avec gourmandise, ma chérie me caressait la poitrine.
Je la trouvais bien silencieuse, et ses caresses sur mon torse étaient comme saccadées, alors au bout d’un moment, jarrêtais ma succion sur son mamelon durcit :
" – Que te passe t-il Aude ?"
" – Rien !" .
" – Je sens bien que quelque chose te tracasse, Aude… c’est la réflexion de Madame Mercier qui te travaille ?, celle sur mes nénés" , alors j’insistais.
" – Aimes tu mes seins Aude ?, aimes tu les sucer ?",
Après un long silence, elle me répondit:
" – Oui, jadore les sucer les lécher, j’adore les téter, j’adore les mordre et les manger… mais…" ,
" – Mais… Aude, ce ne ne sont pas des seins de femme ?!?", elle ne répondit rien…
" – Ce sont juste des pectoraux d’homme, qui dépareille avec ce que je suis aujourd’hui ?" ,
" – Moi aussi, Aude, un peu… enfin souvent depuis notre rencontre, j’aimerais te donner la tétée, moi aussi j’aimerais que tu t’allonges contre moi, pour les sucer, les mordre, les tordre, j’aimerais te satisfaire.
Mais il y a t-il un moyen ?" .
A ces mots, Aude sourit timidement.
Elle reprit ma tête, et la replaça sur son mamelon, et toute la nuit. Une fois couché dans son grand lit, dans son giron, je continuais ma succion.
Elle silencieuse me laissa à mon délice.