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Une semaine de soumise – Chapitre 1

Une semaine de soumise - Chapitre 1



Je me présente :

Je suis une femme de 52 ans,châtain, cheveux mi-long, une poitrine encore ferme et volumineuse. Je suis de taille moyenne, 1 65, des hanches un peu large à mon goût, 101cm, et un peu de ventre, mes chevilles sont grosses, je trouve mes jambes jolies, je m’aime pas trop mon nez que je trouve trop long, ma bouche est charnue, j’ai très peu de ride,ma peau est blanche, je mappelle Marie.

Je travaille dans une grande entreprise comme cadre autonome, cela veut dire que je n’ai personne sous mes ordres et que je suis libre de m’organiser comme je l’entends.

Je vis maritalement depuis 20 ans avec Didier.

Didier est mon maître.

Je lui suis soumise volontairement et avec un très grand plaisir et beaucoup de bonheur.

Pour comprendre notre relation, je vais vous décrire une semaine de ma vie.

Je vais prendre la semaine dernière :

Lundi :

Je me lève à 6H30. Je suis comme toujours allongée par terre au pied du lit de mon maître.Je regarde mon maître. Il dort. Je vais me laver.

Dans la salle de bain, je regarde soigneusement tout mon corps, guettant le moindre poils, à part les cils, sourcils et cheveux, je ne dois avoir aucun poil . Cela fait 30 ans que je suis lisse et maintenant les quelques poils qui poussent sont retirés à la pince à épiler. Une fois ma toilette faite, je vais chercher le café et je lamène à mon maître.

Je le réveille en lui embrassant les pieds et ensuite, je le suce jusqu’à temps qu’il se réveille. J’aime avoir sa queue dans ma bouche, la sentir gonfler. Sa main agrippe mes cheveux et pousse ma tête, son gland passe ma glotte. Que du bonheur. Mon maître tire mes cheveux. Ma bouche quitte sa queue à regrets.

— Vas t’habiller

L’ordre est sec. Sa voix rauque me fait toujours autant d’effet. Il ne crie jamais, mais le ton qu’il emploie n’admet aucune contradiction.

Je me lève. Ce matin, j’ai décidai de mettre un pantalon et un petit corsage avec des chaussures ouvertes à petit talon. Pas de sous vêtement, je n’en mets pratiquement jamais. Une fois habillée, je retourne dans la chambre, mon maître est debout, il est toujours aussi beau, j’aime le voir. Il me regarde :

— Baisses ton pantalon.

Je m’exécute. Il s’approche deux cadenas à la main.

-Ecarte les cuisses.

Il tire sur mes grandes lèvres, passe les cadenas dans les trous de mes grandes lèvres. J’ai deux trous sur chaque grande lèvre. Je sens la froideur de l’acier sur ma peau. Il passe Il ferme les cadenas. Mes grandes lèvres sont jointes.

-Voilà, femelle, ton vide couille est fermé. Tu peux remonter ton pantalon.

Tu mettras des barrettes à tes mamelles.

Il sort de la chambre.

J’ouvre mon corsage, retire les anneaux de mes tétons. Je prends une barrette, tire sur le téton gauche et enfile la barrette. Je fais de même pour le téton droit. Il est 7H20, je vais dans la cuisine, mon maître est là.

-Tournes toi, baisses ton pantalon, et penches toi sur la table de la cuisine.

Mon maître se mets derrière moi, je sens un doigt qui s’insinue entre mes fesses et rentre dans mon anus. Il tourne le doigt, me fouille. Je commence à gémir.

-Ecartes tes fesses que je puisse t’enculer.

J’écarte au maximum mes fesses, je sens sa queue presser sur mon sphincter et rentrer doucement.

Il se met à me besogner rapidement. Je gémis, je mouille; je sens ma cyprine coulée. Je le sens se raidir, sa queue gonfler. Il se retire et présente sa queue devant ma bouche. Je le suce et tout son jus coule. Je bois sa semence avec gourmandise.

Bien, tu peux y aller. Je me relève, me rhabille pour la troisième fois, prends mon sac et ma veste.

Mon maître me donne une claque sur les fesses au moment ou j’ouvre la porte.

Je ne peux voyager qu’en transport en commun. Mon maître me dit qu’une femelle ne doit pas conduire. Mais être constamment dans les transports en commun n’est pas toujours simple.

Mon pantalon n’est pas trop serré à l’entre jambe et les cadenas ne se voient pas. N’empêche que je me sens constamment épiée. Je dois être debout au milieu du couloir. A cette heure, le bus est bondé et je sens des mains baladeuses.

Je dois laisser faire. J’ai une demi heure de trajet en bus et un petit quart d’heure à pied. Aujourdhui, je sens une main insistante sur mes fesses. A un mouvement du bus, un corps se colle à moi, je sens sa queue. Il bande. A mon arrêt, je descends et jette un il pour voir qui m ’a pelotée. C’est un homme en costume cravate, assez petit et pas très joli.

J’attends une collègue de travail, Corinne, qui est ma meilleure amie depuis 30 ans. Elle arrive avec le bus d’après, la ligne 12. La mienne est la 9. Nous faisons tous les matins le trajet à pied ensemble. Bien sur, mon maître le sait. Je la trouve assez jolie, elle est divorcée et a souvent besoin de se confier. Alors en marchant, nous parlons.

Corinne arrive. Je l’embrasse et lui demande.

"Alors ta soirée, c’était bien ton rendez vous".

Elle sourit : "Pas mal, répond elle. Il était beau et endurant en plus ce qui est rare".

Je souris. "Qu’entends tu par endurant ? Dis moi".

"Bon je te parlerais du dîner plus tard réponds Corinne. J’avais mis mes dessous en dentelle noire, quand nous sommes rentrés chez moi, j’ai enlevé ma robe j’ai vu ses yeux briller. Je me suis mise à genoux, j’ai déboutonné son pantalon, baissé son boxer, et je lui ai fait une pipe. sa queue qui est assez belle à immédiatement gonflée. Il m’a demandée de me mettre en levrette et m’a prise sans autre forme de procès. Ma chatte était trempée, il est rentré très facilement et je n’attendais que ça. Et là, il a commencé à bouger, j’ai cru que cela finirait jamais. J’ai joui une première fois, lui aussi. J’ai cru que c’était fini, mais non, il a immédiatement continué. Cela a duré jusquà 2 h du matin. En tout, j’ai été baisée pendant 4H. Un vrai régal".

Je la regarde. "Et tu le classes combien celui là?"

Corinne réfléchit : "il baise bien, mais ne sait faire que cela, pas de sodomie, pas de cunnilingus, je le mettrais 3 éme. Bon c’est pas tout cela et toi qu’as tu fait ou subit peut être?".

— Ce matin, mon maître m’a enculée mais je n’avais pas le droit de jouir pourtant j’aurais aimé et il m’a mis les deux petits cadenas. Tu sais bien, il aime que mon vide couille soit fermé."

— Décidément, tu as un maître qui te connaît bien, dit Corinne, des fois je me demande si je n’aimerais pas être à ta place. Mais j’aime trop ma liberté.

— Au faite, continue t elle, je ne t’ai pas dis pour le restaurant, j’ai allumé la serveuse. J’ai vu que cela ne lui déplaisait pas. J’avais déboutonné le haut de ma robe ainsi, on pouvait bien voir ma poitrine sous la dentelle, et comme ma robe était fendue sur le coté, elle a reluqué en permanence ma cuisse avec la jarretelle qui se voyait. Quand j’ai vu cela, je me suis arrangée pour en faire voir plus, le porte-jarretelle et le string. A chaque fois qu’elle venait servir, elle se collait à moi et se penchait pour me faire voir ses seins libre sous son corsage. Je pense que je vais y retourner, cela fait longtemps que je ne me suis pas fait gouiner. Ce qui serait génial, c’est que vienne avec moi.

— Oui, mais je dois demander la permission à mon maître, et le connaissant avec sa perversité, s’il accepte , il y aura des conditions.

Nous rimes toutes émoustillées. On arrivait au bureau, après les différents bonjour, on regagna nos bureaux respectifs. Rien de notable jusqu’à 11h. Le train train habituel.

Là, je reçois un SMS de mon maître.Va aux toilettes, prends le plug moyen et encules toi.

Je vais aux toilettes avec mon sac à main. J’ouvre mon sac et sort ma trousse de chienne. sors le plug, baisse mon pantalon, suce le plug, j’humidifie mon doigt, le passe sur l’anus, fait rentrer le doigt dans mon anus. Je présente le plug et commence à pousser. Je sens mon anus se dilater, mais il en reste, il fait quand même 15 cm de long avec un beau diamètre, 5cm à la base et 8cm au plus large. Et dire que mon maître appelle cela le plug moyen. Je sens le plug s’enfoncer irrésistiblement, mon anus s’élargit, le gros du diamètre arrive. Je me pince les lèvres pour ne pas gémir. Enfin, le gros diamètre passe, mon anus essaye de se refermer mais ne peut pas.Je m’assois sur la lunette pour reprendre mon souffle.

Je ne l’ai pas mis souvent, ce plug, et cela va être difficile de tenir.

Au bout de cinq minutes, je me relève, remonte le pantalon, range ma trousse de chienne Je sors des toilettes.

Pour rejoindre mon bureau , je passe devant celui de Corinne qui a toujours sa porte ouverte. Une fois arrivée, je m’assois, soulager d’avoir fait ce petit trajet sans trop de difficulté. Juste à ce moment, le téléphone sonne. C’est Corinne.

-Qu’est ce qui t’arrive, je t’ai vu passée, tu avais une drôle de démarche.

Je ris:

-Décidément, on peut rien te cacher. Je viens de me mettre un plug sur ordre de mon maître et je ne sais pas combien de temps je dois le garder.

J’entends son souffle. Je la connais, cela doit la faire mouiller de me savoir comme cela.

A midi, Corinne débarque dans mon bureau.

-On va manger ? Tu vas pouvoir marcher.

Je me lève, je sens le plug qui change de position.

-Oui, ne t’en fais pas. On va juste marcher un peu plus lentement. On va à coté, chez Gino, il fait de bonnes salades.

Nous voilà parties toutes les deux, discutant de chose et d’autre. Discussion futile entres filles. On s’installe à table, commandons deux salades. A la fin du repas, au moment du café, je vois mon maître qui arrive. Je suis heureuse de la surprise. Il embrasse Corinne, me regarde:

— tu m’as obéie?

— Oui maître.

Il s’assoie à coté de moi et engage la conversation avec Corinne.

Je demande

-Puis je parler , maître ?

-Vas y parle.

— Voilà, Corinne a flashé sur une serveuse et aimerait que je vienne avec elle au restaurant pour que je la vois.

Mon maître regarde Corinne et lui parle directement faisant comme si je n’existais pas

— OK, elle viendra. Ce sera demain soir. Elle sera chez toi à 20H.

Au bout de cinq minutes, mon maitre dit:

Bon, il faut que j’y aille. Toi, la femelle, tu enlèves ton plug maintenant dans les toilettes homme et bien sur tu le nettoies comme d’habitude.

Je me lève me dirige vers les toilettes. Les toilettes homme et femme sont côte à côte. J’ouvre la porte des toilettes homme, tout le monde a pu me voir. Je rentre dans une cabine et la ferme, baisse mon pantalon, passe une doigt sur mon clito. Je suis toujours excitée quand mon maître me donne un ordre. Je lui appartiens. Je prend le plug , tire dessus. Il a du mal à se décoller cela fait 2 h que je l’ai. Je recommence, il vient doucement. Je continue à essayer d’enlever le plug , je sens mon anus se distendre. Ma mouille coule sur mes cuisses. Enfin , le plug sort. Mon anus essaye de se refermer.

Je regarde le plug, quelques traces de merde dessus. Je sors ma langue et le lèche entièrement. C’est comme cela que je dois nettoyer mes jouets. Je remets le plug dans ma trousse de chienne et rejoint Corinne.

Comme il reste un peu de temps avant de reprendre le travail, on fait du lèche vitrine.

Nous retournons au bureau. L’après midi fut monotone. Nous étions toutes deux occupées à nôtre travail. Le soir à 18H, nous faisons le trajet de retour ensemble. Au moment de se séparer, Corinne me dit. J’ai hâte d’être à demain soir mais en attendant, je vais contacter un mec, cela va me faire passer la soirée.

Quand mon bus arriva, il était bondé. Je me retrouvais debout coincé entre deux hommes et deux femmes, frôlement plus ou moins contrôlé. Je sens une main sur ma poitrine, je regarde, c’est une main de femme. Je suis étonnée, c’est rare. je relève les yeux, une jeune femme me sourit. Juste avant de descendre elle sert mon sein gauche plus fortement et sans va.

Arrivée chez nous, je commence par me mettre nue. Je prépare le dîner, et fait différentes occupations.

Vers 20H00, je vais dans la chambre pour me préparer. Je décide de mettre une robe très courte et très décolletée. Elle arrive à la limite de mes fesses, on peut voir les deux cadenas qui tendent un peu mes grandes lèvres. Le décolleté arrive à la limite de mes tétons, le moindre mouvement les feraient sortir. La journée a été très excitante et j’aimerai que mon maître s’occupe de moi. Je vais dans la salle de bain pour finir de mapprêter et faire les retouches nécessaire. Mon maître ne va pas tarder à rentrer.

À 20H30 , mon maître arrive. Il va sasseoir dans son fauteuil. Je lui apporte son verre de whisky. Je prends un verre vide pour moi.

Mon maître me regarde.

— Bien, ta tenue me convient.

Il me donne une grande claque sur les fesses, se lève, ouvre sa braguette, sort sa queue, prend mon verre et pisse dedans. C’est une urine jaune bien forte. Une fois fini, il se rassoit.

– Allez santé.

Je prends mon verre et commence à boire. L’urine de mon maître est mon apéritif. Maintenant, je suis habituée et j’apprécie.

Une fois mon verre fini. Je me penche et embrasse ses chaussures, je remonte, ouvre sa braguette et commence à le sucer. J’avale entièrement sa queue. Je titille son gland avec ma langue. Je m’active sur la queue de mon maître.

Mon maître prend un instrument mais lequel: cravache ? Martinet paddle ?

Je vais vite le savoir. Le premier coup sur la fesse gauche. Je sursaute C’est le martinet.

Mon maître frappe mes fesses et mes cuisses tout le temps que dure l’apéritif. Moi, je continue à le sucer.

Une fois fini, mon maître se lève et passe à table.

Je me lève. Le cul et les cuisses rougit. J’ai les larmes aux yeux et une excitation grandissante.

Mon maître s’assoit et allume la télé. Je commence à le servir et me tiens debout à coté de lui, sans rien dire. Les jambes écartées, les mains dans le dos.

-Sors tes mamelles de ton décolleté.

Je mexécute en prenant mes mamelles par les tétons et en tirant dessus et je me remets en position.

Quand mon maître a fini son assiette, je dessers et apporte le fromage, je lui sers un verre de vin et me remets à coté de lui.

Sa main vient sur les cadenas et commence à tirer dessus. Mes grandes lèvres se tendent, je gémis. Elles sont sensible. Mon maître prend la clé et enlève les cadenas.

— Voilà, ton vide couille est disponible. En position femelle.

Je mets à quatre patte, cambrant mes reins un maximum.

— Je t’ordonne de jouir femelle.

Il rentre dans mon vide couille trempé. Sa queue tape au fond. Je jouis pratiquement aussitôt, cela fait 4 semaines que je n’ai pas joui. C’est bon, un vrai tsunami me traverse, j’en tremble. Mon maître est au fond de moi en train de me besogner.

Je sens sa queue se raidir, j’entends ses halètement, mon maître se vide les couilles. Je suis heureuse.

Une fois fini, mon maître se lève.

Je vais me coucher,dit il. Demain matin je me lève à 5H.

Je me relève, range tout, mange rapidement un morceau, prépare les affaires de mon maître en faisant attention de ne rien oublier. Une fois fini, je vais à la salle de bain, me déshabille. Je vais dans la chambre, et me couche au pied du lit de mon maître. Je mets le réveil et m’endors aussitôt

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