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Clothilde – Chapitre 2

Clothilde - Chapitre 2



— Pas de problème ; de toute façon je ne voulais pas sortir avec eux, je suis un peu fatigué. Puis je retire mon short et plonge dans la piscine. Je remonte à la surface : plus personne Je fais quelques longueurs ; puis alors que je vais pour sortir, je l’entends plonger.

En me retournant je me rends compte qu’elle a perdu son haut :

— Vous avez perdu quelque chose.

Oups et elle le remet.

Je continus mes longueurs puis je sors pour me faire bronzer. Quelque instant plus tard, elle sort aussi. Je ne prête pas attention je me lève pour aller au toilette j’ai du mal à pisser tellement je bande. Je reviens à ma place et encore une fois elle a retiré le haut tant pis je me remets à ma place

-Tu ne devais te contrôler ?me dit-elle

Je lui répond du tac-o-tac

— Et vous aussi.

— Cest vrai, bon tant pis

et elle se retourne.

Je fais de même mais avec mon érection qui me gêne donc me revoilà sur le dos. Je n’ose pas regarder de peur de bander encore plus. Ne tenant plus , je regarde.

Elle me surprend à regarder

— Espèce de petit cochon, file d’ici !

— Pourquoi?

— Tas vus comme tu bande, file, je te dis

— Jy peux rien cest aussi de votre faute ; vous mettre les seins nue devant moi !

Je pars en râlant : elle se met presque à poil et c’est de ma faute: je vais me changer. Lorsque je reviens elle a la porte de ma chambre.

-Je m’excuse je n’aurais pas dû te crier dessus

— Laisse tomber je m’en fou je retourne chez ma grand-mère comme ça tu pourras faire ce que tu veux, puisque tu seras toute seule

— Non tu ne peux pas y aller

— Quoi tu comptes m’empêcher de rentrer chez moi?

— Oui puisque ta grand-mère ta confier à moi

— Cest bon, laisse-moi tranquille.

Je remonte dans ma chambre, mais je pense toujours à ce qui sest passé hier et cet après-midi. Je l’entends monter, elle tape à ma porte

— Laisse-moi tranquille.

Elle entre quand même. Moi, je suis en caleçon, à moitié bandé. Je lui tourne le dos pour qu’elle ne me voie pas comme ça; mais elle m’attrape par les épaules et me retourne pour me parler en face:

— Il faut que tu comprennes que c’est à toi de faire un effort pour te contrôler.

— Moi je veux bien, mais vous n’en faites aucun de votre côté

— Daccord je vais essayer.

Ensuite elle me serre dans ses bras et là je ne tiens plus, je bande comme jamais encore je n’ai bandé. Elle me repousse sans rien dire elle s’en va me laissant là. Il ne me reste plus qu’une chose à faire : me masturber, chose que je commence à faire quand elle revient dans ma chambre. Surpris j’essaye de me cacher: trop tard elle me regarde droit dans les yeux et se rapproche de moi et met sa mains sur ma queue en me disant

-Laisse-moi faire?

-Comment ça, laisse-moi faire ?

-Tu verras, cela sera plus agréable si c’est moi qui te masturbe.

Dit-elle en joignant le geste à la parole

— Couche-toi ! Comme tu es bien membré pour ton âge

Je me couche et me laisse faire. Elle attrape ma queue puis commence ses va et vient. Au bout de quelques minutes, elle sent que je vais éjaculer alors elle accélère ses mouvements. Saisi par des tremblements, je me lâche.

— WOUA ! Eh bien, mon cochon, tu avais les couilles pleines

Pour moi c’est une première. Je nai jamais été masturbé comme ça; je relève la tête, elle se lèche la main et déclare:

Bien voilà tu vas pouvoir te contrôler maintenant.

Me contrôler?

Avec ce qu’elle vient de me faire j’aurai un peu plus de mal à bander. Je me couche et dors comme un bébé. Le lendemain matin elle vient me réveiller et comme hier matin je suis à moitié bander et elle encore en nuisette; en plus j’ai mal aux couilles

-Mais qu’est qu’il t’arrive encore?

— Rien j’ai juste envie de pisser

— Bon, alors lève-toi

Juste quand je sors du lit elle se met à rire

-Pourquoi vous riez ?

— Regarde-toi?

Je baisse les yeux, encore la même tache qu’hier. Elle me console :

-Ce n’est rien; comme je te lai dit hier, à ton âge c’est normal.

Normal ! Depuis hier rien n’est normal. Elle s’approche de moi et met la main sur mon sexe ; je bande d’un coup.

— Tu vois ceci est aussi normal pour un garçon. Elle passe la main dans mon caleçon , prend mon sexe et lui inflige quelques va et vient; je bascule la tête en arrière.

-Hum!

Elle continue et moi je ne suis plus là ! Je descends mon caleçon pour qu’elle puisse mieux me branler. Cette fois je veux résister, mais je viens plus vite que je ne le voulais, je lâche 4 ou 5 jets de sperme. Elle est surprise, je lui ai presque craché à la figure

-Eh bien ! Mon cochon tu aurais pu te retenir.

— Cest ce que je voulais, mais la de bon matin

— Bon, file à la douche !

— Viens avec moi, tu en as besoin toi aussi .

Nous entrons dans la salle de bain et je me lave et en passant mes mains sur mon sexe jai un peu mal aux couilles. Je la laisse prendre sa douche je descends prendre le petit déjeuner Quand elle passe derrière moi, je lui dis :

— J’ai mal au bas ventre

Tu es sûr que cest le bas ventre ou bien tes couilles qui te font mal ?

— Je ne sais pas vraiment, mais c’est en bas .

Elle m’attrape la queue et me demande :

— Tu as mal là ?

— Non rien du tout.

Elle descend sa main pour saisir mes couilles :

— Et là, tu as mal ?

— Oui ! Ne serre pas si fort, tu me fais mal.

— Bon, rien de grave, c’est même normal et même un bon signe pour toi.

— Comment ça, c’est bon signe pour moi ?

-Ca veut dire que tu deviens un homme.

— Cest tout ?

— Oui tu croyais quoi?

— Je ne sais pas moi , quelque chose d’autre.

— Enfin tu n’es pas encore un homme !

— Il faudrait savoir ce que tu dis !

— ll te reste encore beaucoup de choses apprendre pour être un homme.

— Ha oui ; et quoi par exemple ?

— Ne tinquiète pas, chaque chose en son temps.

– Tu es comme mes parents, toujours à faire des promesses qu’il ne tiennent pas

— Tu verras dans quelques jours.

— Bien sûr, je vais te croire, c’est ça.

— Tu n’es pas obligé, mais fais-moi confiance.

Le reste de la journée se passe sans trop de mal. Enfin j’ai toujours mal aux couilles mais petit à petit la douleur disparaît. Deux ou trois jours plus tard, elle vient me voir :

— Bon, alors tu as toujours mal ?

— Non la douleur a disparu, pourquoi ?

— Pour rien comme ça .

— Comme ça  ?

— Oui.

Je ne prête pas plus attention. Je me rends chez ma grand-mère comme d’habitude. Lorsque je reviens elle est près de la piscine et encore seins nus, mais cette fois je ne bande pas. Je m’approche d’elle, elle remarque :

— Tu vois que tu peux te contrôler quand tu veux.

Juste au moment où elle dit ça, je commence à bander, car son maillot ne cache que la moitié de son sexe. Je suis sûr qu’elle la fait exprès. Je tourne le dos et rentre dans la maison, mais je reste dans le salon et la regarde : elle se rajuste le maillot avec un petit sourire. Je pense :

Ok tu veux jouer comme ça, tu ne perds rien pour attendre.

Je sors pour aller voir mes amis. Je reviens en début de soirée. Quand j’entre, je l’entends qui pleure. Je m’approche d’elle sans faire de bruit :

— Pourquoi tu pleures?

-Pour rien.

— Ce nest pas logique de pleurer pour rien, franchement.

— Cest personnel.

— De toute façon c’est toujours personnel avec vous les adultes.

Puis je monte dans ma chambre. Elle arrive juste derrière moi; je me retourne pour la regarder et là il se passe ce que je n’ai jamais imaginé, elle m’embrasse. Alors je fais la même chose. Ensuite elle me déshabille, je fais de même : cette fois je vois ses seins, je les prends dans mes mains et commence à jouer avec comme un enfant qui cherche à téter.

— Non pas comme ça, tu ty prends mal, laisse-moi te guider. Bien caresse-les doucement, voilà, continue bien; tu peux aussi les sucer.

Ce que je fais, j’en profite pour tété

-Oui, tète moi, voilà continue.

Puis je descends sur son ventre que je couvre de baisers. Elle me retire le caleçon, elle prend mon sexe en mains et commence à me masturber doucement.

— Bien, continue à me caresser, tire mes tétons encore plus fort. Tu peux descendre plus bas, me dit-elle en poussant ma tête vers sa chatte. Je passe la paume de ma main sur sa chatte. Elle me demande de lui retirerez sa culotte :

— Maintenant, lèche-moi.

Comme jhésite, elle reprend :

-Lèche-moi la chatte, lèche, je te dis

— Mais!

— Fais-le !

Alors je lui lèche la chatte. Au début, jai un drôle de goût dans la bouche, que je ne peux identifier ; mais je narrête, pas bien au contraire.

Elle commence à onduler.

— Hum ! Cest bien, descends encore un peu oui voilà c’est bien ho ! Que cest bon !

A SUIVRE

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