Voici le message reçu il y a quelques semaines
**Je me permets de vous écrire, séduite par vos écrits. Votre style est très plaisant. J’ai 30 ans, très cérébrale et vraie passion pour le virtuel (…écrit !), surtout celui évoquant l’interdit, le tabou, à l’exclusion de l’inceste, du S. M et du crade. Je recherche un auteur lettré, à l’imagination fertile, susceptible de mettre en scène ma mère, la cinquantaine, très ronde, dans une histoire complexe, se déroulant dans un château, où ma mère est employée comme domestique (femme de ménage). Le sujet vous inspire-t-il et êtes- vous intéressé ? Au plaisir, Cora.***
Et voilà ce que j’ai imaginé ! (4 chapitres).
La servante du château.
Chapitre 1.
Après quelques mois de chômage, j’avais enfin retrouvé une place de gouvernante chez un riche châtelain du sud de la France… J’étais contente, car à 56 ans, je ne me voyais pas traîner mon inaction pendant des années… et aussi, je savais qu’à mon âge, il n’est pas facile de retrouver un emploi, fut-ce-il dans ma branche ! Mais je devais m’éloigner de ma zone géographique habituelle.
J’avais partagé ma vie avec mon mari décédé trop tôt qui comme moi, était employé par des riches propriétaires pour tenir des maisons parfois immenses… Il était majordome et j’étais gouvernante… L’un et l’autre, nous avions gravi les échelons… de simple chauffeur et garde du corps, il était devenu au fil du temps l’homme indispensable dans toute maison où le personnel domestique est parfois nombreux.
De mon côté, d’aide-cuisinière à aide-chambrière, j’avais acquis le statut de gouvernante lorsque nous étions entrés tous les deux au service de Monsieur Vincent quinze ans auparavant.
La place était bonne… Nous avions un salaire plus que convenable et nous disposions d’un petit appartement dans une dépendance de la propriété…
Hélas, c’était trop beau pour que cela dure… Cinq ans plus tard, Jules, mon mari était décédé d’une crise cardiaque foudroyante.
Puis Monsieur Vincent était décédé à son tour, les enfants avaient vendu la propriété dont ils n’avaient que faire et je me suis retrouvée au chômage, certes avec des indemnités confortables !
Désormais, je vivais seule… Fervente catholique, je ne me voyais pas refaire ma vie ou encore moins prendre un amant qui comblerait mes besoins sexuels, car j’en avais encore ! Mais ça, c’est une autre histoire et je me sentais bien ainsi.
J’avais été élevée par mes parents qui étaient des agriculteurs céréaliers dans la Beauce et comme j’étais la dernière de la fratrie (j’avais deux frères aînés), j’avais été dirigée vers l’école hôtelière de la région qui, d’après ma mère, me préparerait à une vie de femme au service de mon futur mari…
De maison en maison, d’un emploi à un autre, je pouvais désormais prétendre au statut de gouvernante… Entre temps, j’avais eu une fille qui était confiée à mes parents… Il m’était impossible de l’élever avec mes fonctions !
Lorsque je suis entrée au service de Monsieur de la Marchelière… j’ai su quelques semaines plus tard par une indiscrétion de la cuisinière que je n’avais pas été la seule postulante, mais qu’en fait, j’avais été choisie sur l’insistance du majordome personnel de Monsieur le baron.
Pourquoi cet homme s’était-il mêlé de cela ? Je ne l’ai compris que bien des semaines après avoir été embauchée…
Avant de poursuivre mon récit, laissez-moi me présenter un peu…
J’estime être dans la cinquantaine épanouie, j’ai de longs cheveux châtain, qui la plupart de temps sont relevés en un chignon strict qui va bien à ma personnalité. J’ai hérité des gênes de ma mère et comme elle, je suis une grande et forte femme aux formes généreuses à la peau qui reste très blanche.
Ma poitrine opulente tient encore fermement (j’en prends grand soin…) et elle est toujours soutenue par des soutiens-gorge adaptés, certes diront certains, pas très sexy !
Mes hanches sont en proportion et ma taille est cambrée. Mais je n’ai pas envie de plaire ! C’est assez facile, car ma profession m’oblige à porter des vêtements stricts où la fantaisie n’a pas de place.
Jules, mon mari a été le seul homme de ma vie… et il n’y en aura pas d’autres. Fervente catholique et pratiquante, je resterai fidèle à celui qui m’a comblé pendant près de trente ans. Amant inventif, il a su me donner dans l’intimité de notre chambre tout le bonheur que j’attendais… Il m’a fait connaître de nombreuses positions amoureuses, mais la seule à laquelle je me suis toujours refusée lorsqu’il a voulu, c’est la sodomie…
J’avais considéré sa proposition dégradante, sale et contre nature… Jean avait compris mes arguments et n’en avait plus parlé. Il y avait bien des variantes…
Je ne bronze pas : jai le teint très blanc hérité de ma mère… Des grands yeux gris, un nez droit et une bouche un peu large complètent mon portrait de femme mature.
Avec l’âge, ma silhouette, déjà robuste, s’est empâtée et désormais, j’ai une poitrine et des fesses plus que généreuses. Mais cela ne me dérange pas… Je n’ai plus à plaire !
Un jour, j’ai surpris la conversation entre deux chambrières, deux jeunes femmes dans la vingtaine d’années… elles parlaient à mots couverts de Boubou’ le surnom qu’elles donnaient au majordome et faisaient des paris sur moi et son ’tournebroche’. Je ne comprenais pas ce qu’elles voulaient dire et j’oubliai bien vite cette conversation.
Mais quelques semaines plus tard, elle revenait comme un boomerang. Depuis quelques jours, j’étais en but aux avances de Maria, la cuisinière. D’après ce que j’avais compris des autres membres de la domesticité, elle était lesbienne et à près de 60 ans, elle passait pour avoir perverti la plupart des femmes du château. Celles qui ne succombaient pas partaient bien vite sous d’autres cieux.
J’éludais les allusions amoureuses de Maria et repoussait ses avances… Je n’avais aucun goût pour les relations saphiques ni pour les autres…
C’est ainsi que dépitée par mes refus, Maria finit par me dire :
Tu préfères le tournebroche’ de Boubou ! S’il ne t’a pas encore fourrée, cela ne tardera pas… Toutes celles qui t’ont précédée y sont passées et elles en ont été contentes ! Á son âge, il paraît qu’il est encore très vert…
Ce jour-là, j’ai compris que le tournebroche’ de Boubou, c’était son sexe ! Et j’imaginais aussitôt en rougissant un sexe surdimensionné ! J’ai compris aussi qu’il exerçait un droit de cuissage sur les domestiques du château… et il ne fallait pas être naïf pour ne pas croire que les deux chambrières avaient goûté à son ’tournebroche’.
Il semblait apprécier les femmes à la forte poitrine, ce qui était le cas de Julie et Mélanie, qui de ce côté-là étaient bien pourvues.
Elles avaient dû aimer les parties de sexe avec Boubou’ puisqu’elles étaient restées au château.
Cela m’a été confirmé quelques jours plus tard… Je m’étonnais après de Julie et de Maria de ne pas voir arriver Mélanie. Nous prenions notre petit-déjeuner toutes ensemble dans les communs du sous-sol du château. Boubou et Ahmed ne faisaient généralement qu’une rapide apparition, se contentant de boire un bol de café.
Ce matin-là, Mélanie me prit en tête-à-tête pour me dire :
Julie a passé une nuit d’enfer avec Boubou et Ahmed… Je les ai entendus au travers de la cloison de ma chambre… Elle va passer la matinée à s’en remettre… J’en sais quelque chose, j’y ai eu droit quelque temps avant votre arrivée !
Quelle dévergondée… Deux hommes avec elle… Ne me dis pas que c’est habituel ?
Boubou et Ahmed s’entendent comme larrons en foire… Après avoir baisé séparément, ils s’arrangent pour une partie à trois ! Et je n’ai jamais eu autant de plaisir que cette nuit-là !
Et tu recommencerais ?
Bien sûr… Plutôt deux fois qu’une !
Mais dis-moi, tu sembles être bien informée…
Oui… et ce n’est pas tout… Deux fois par mois, Boubou conduit Monsieur à la ville voisine où il a rendez-vous avec des jeunes femmes pas farouches… Vous voyez ce que je veux dire !
Oui… ces filles sont des putes !
NON je ne pense pas… Elles font ça pour leur plaisir ! Et Monsieur est encore un très bon coup ! En plus il est riche…
Comment sais-tu cela ?
Vous savez qu’à tour de rôle Julie et moi, nous faisons la toilette de Monsieur… C’est plus d’une fois qu’il s’est mis à bander quand je m’occupais de sa toilette intime et il ne se prive pas de me peloter les seins et les fesses en disant que c’est une manière de me remercier !
La conversation en est restée là, mais je suis allée voir Julie qui dormait dans son lit… Je l’ai secouée pour la réveiller et la sermonner en disant que Mélanie allait s’appuyer tout le travail ce matin.
Oh… elle me doit bien ça… Il ya quelques mois, elle est revenue dans sa chambre après la même nuit passée avec Boubou et Ahmed !
Décidément, vous formez un joli quatuor coquin !
Il ne tient qu’à vous de vous y joindre… Je suis certaine qu’avec vos formes plutôt généreuses, Boubou et Ahmed sauront vous combler ! D’ailleurs, il faut que je vous confie un secret.
Et alors ?
Quand j’ai été embauchée, Boubou m’a mis le marché en main : ou je me faisais gonfler les seins ou je prenais la porte… Comme j’étais encore à l’essai et que j’avais besoin de travail, j’ai accepté tout de suite. C’est Monsieur qui a payé les frais de la clinique. D’un petit bonnet B je suis passé à un bonnet D ou E suivant les marques de soutif’.
Je vois… Tout le monde dans cette maison aime les femmes aux formes généreuses !
Ce n’est pas un secret pour aucune d’entre nous… C’est Boubou’ qui a insisté pour que vous soyez embauchée ! Et si vous n’avez pas encore goûté au tournebroche’ de Boubou ou au sabre’ du jardinier, ça ne saurait tarder.
Mais je suis veuve… et je reste fidèle à mon homme trop vite parti !
Á d’autres…
Bon… allez, la douche et au boulot !
J’étais tourneboulée par tous ces événements et depuis bien longtemps, mes sens étaient en ébullition… Je sentais ma chatte baver… et au cours de la journée, j’ai dû changer trois fois de culotte ! Au soir, lorsque je me suis couchée, j’avais encore le sexe ruisselant de mouille et j’ai retrouvé mes habitudes d’adolescente : deux doigts au fond de mon sexe ont eu vite fait de calmer ma libido…
Quelque temps plus tard alors que j’arrangeais les oreillers de Monsieur, Boubou est arrivé derrière moi…
Beau spectacle ! J’étais sûr que t’avais un beau cul !
Mais je ne vous permets pas ! Je suis une femme sérieuse !
Á d’autres… je vois bien comment tu tortilles des miches quand tu déambules dans les couloirs !
Vous me scandalisez !
Tu seras encore plus scandalisée quand tu auras vu mon gourdin ! Tu veux y goûter ?
Certainement pas ! Julie et Mélanie ne vous suffisent pas ? Elles sont bien plus jeunes que moi !
Mais une femme comme toi… ça doit avoir de l’expérience…
Comme la cuisinière venait voir Monsieur pour établir les menus du lendemain, la conversation a cessé…
Ouf… Merci !
Je n’avais pas eu le temps de répliquer à Boubou, mais le soir, lorsque je me suis retrouvée dans mon lit, je ne pouvais plus tenir ! Pour la première fois depuis bien longtemps, je m’étais couchée nue et la sensation du drap sur mes seins et mon ventre avait allumé un brasier en moi.
Je ne voyais qu’une solution pour me calmer : le plaisir solitaire auquel j’avais déjà cédé quelques jours auparavant.
Alors que j’avais presque atteint le point de non-retour, la porte de ma chambre s’est ouverte et Boubou’ s’encadra dans l’ouverture :
Alors… On se fait plaisir ? J’ai bien les femmes dodues comme toi !
Qu’est-ce que vous faites là ?
Je t’observais en vidéo et j’ai voulu te voir en réel !
En vidéo ? Comment ça ?
J’ai planqué des caméras dans toutes les chambres… et je dois dire que ce soir, je me suis régalé… Te voir te mettre nue, faire ta toilette intime, te coucher nue dans ton lit et te masturber… LE PIED TOTAL !
Je ne savais plus où j’en étais… mais dans un éclair de folie je me suis écriée :
Tu veux me mater ? Eh bien… Profites-en bien !
Alors, tourne-toi… Montre-moi ton cul… Tes miches sont bien blanches… Ça me plaît ! Regarde… mon tournebroche’ est dressé pour toi !
Et là, Boubou a relevé son ample vêtement africain sous lequel il était nu lui aussi… Son membre se dressait sur son pubis, insolent, gonflé d’envie, le gland mauve bien décalotté…
Waouh… Quel pieu ! On ne m’avait pas menti !
Il ne tient qu’à toi d’y goûter ! Approche-toi… je ne vais pas te manger !
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête… Décidément, j’étais devenue folle ! L’atmosphère de luxure qui régnait dans la maison y était certainement pour quelque chose…
Je me suis approchée et j’ai tendu la main pour saisir le sexe de Boubou… J’arrivais à peine à faire le tour avec mes doigts et dès que ma main a entrepris de masturber cette masse de chair palpitante, ma chatte qui était déjà bien lubrifiée s’est mise à couler comme si j’avais un rapport sexuel !
Mais l’avoir dans la main ne me suffisait plus… Au point où j’en étais, je n’étais plus à ça prêt ! Jules… Pardonne-moi… Ça fait trop longtemps !
Je me suis agenouillée devant Boubou et j’ai gobé son gland et une partie de sa bite… Le reste était dans ma main… Heureusement d’ailleurs, car je ne me voyais pas gober ce Priape dont la taille était presque celle de mon poignet !
Boubou devait certainement être habitué, car il ne cherchait pas à entrer plus avant dans ma bouche et il rythmait ma fellation avec une main posée sur ma tête. Il m’encourageait en disant que j’étais bonne, que j’allais apprécier d’avoir sa bite dans ma chatte, qu’après j’en redemanderais…
Et c’est vrai… j’avais envie de prendre ce mandrin dans ma chatte… Je la sentais de plus en plus humide… ma cyprine s’en échappait et nappait mon entrecuisse…
J’ai rejeté le gland de Boubou et en m’allongeant sur mon lit, je lui ai dit :
Viens… Baise-moi… Mets-moi ton gros truc dans la chatte !
Je savais que tu y viendrais ! Elles y ont toutes goûté…
Viens… Trêve de baratin ! Enfile-moi !
Et je l’ai sentie passer…
Dès que le gland de Boubou’ a été à l’entrée de ma chatte, j’ai posé mes mains sur les fesses de mon amant et j’ai introduit son glaive tout au fond de mon sexe !
Waouh… J’étais remplie comme jamais et j’ai poussé un premier cri de satisfaction :
Oouuiii ! Baise-moi ! Je veux ton foutre au fond de moi !
Tu vas l’avoir, mais je veux prendre mon temps ! J’ai rarement une telle pouliche sur ma queue ! Julie et Mélanie sont trop jeunes pour apprécier !
Oublie-les !
Oui… Elles ont des dispositions, mais elles sont encore trop timides pour se lâcher vraiment !
Alors… qu’est-ce que tu attends ! Baise-moi ! Mes cuisses sont ouvertes et tu es au fond de ma chatte !
Et là, Boubou’ a commencé à aller et venir dans mon sexe, d’abord lentement puis de plus en plus vite au fur et à mesure qu’il sentait ma jouissance monter. Oh… Que c’était bon… Jamais Jules ne m’avait aussi bien baisée ! Chaque fois que le sexe de Boubou’ arrivait contre ma matrice, une série de décharges électriques parcourraient mes reins et je me jetais au-devant d’une nouvelle pénétration, pressant mon large bassin contre celui de Boubou’ sec et nerveux !
Soudain, au moment où je ne m’y attendais pas, je me suis mise à jouir en poussant des râles puissants quand j’ai senti les pulsations de sperme m’inonder !
Aucune parole n’avait été échangée pendant les 15 minutes de notre coït… J’étais trop concentrée sur mes sensations pour penser à autre chose que JOUIR !
Quand mon amant s’est retiré, son sperme a reflué de ma chatte et j’ai mouillé le drap ! Boubou’ a rabaissé son vêtement et m’a laissée pantelante su mon lit en disant :
T’es bonne… Je reviendrai !
Oh oui… Quand tu veux !
Je ne pouvais pas en dire plus !
A suivre.
