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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 28

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans - Chapitre 28



Les esclaves dans l’entreprise du Marquis – (4e partie)

Je venais de franchir le sas et la porte se refermait déjà derrière moi… je ressentis soudain toute l’absurdité de ma situation. Je me retrouvais nu, seul dans le couloir à l’étage de la direction et, de chef de service au lever, ce matin, j’étais devenu l’assistant du PDG mais aussi… son esclave ! Je n’arrivais pas à considérer comme vraiment réel tout ce que j’avais vécu depuis ce matin. Une sorte d’incrédulité m’habitait encore. Et pourtant j’étais bien là, nu, frôlant le mur du couloir, sans trop savoir que faire. La femme Domina qui venait de m’asséner de nouvelles règles de vie, de fonctionnement m’avait fait sortir sans autre forme de procès et surtout sans rien me dire de ce que je devais faire. J’étais comme perdu dans ce couloir, conscient soudain de façon plus forte et plus gênante de ma nudité… Et si quelqu’un survenait ? Si un de mes collègues était convoqué à l’étage, s’il me découvrait dans cette tenue ! Ou plutôt cette absence de tenue ! Comment pourrais-je expliquer ? Je me sentais comme un rat de laboratoire dans son labyrinthe, sans la moindre idée de ce que l’on attendait maintenant de moi. Un bruit de porte me fit sursauter…

La double porte menant au bureau directorial venait de s’entrouvrir. Emeline apparut. La jeune femme, secrétaire-esclave de Monsieur le Marquis, notre patron, s’avança d’un pas hors de son bureau et me fit signe de la rejoindre, ce que je fis avec empressement.

— "Heureusement que tu…"

D’un doigt barrant ses lèvres, elle me fit comprendre que le silence était de mise. Je me tus donc, reconnaissant envers elle de m’offrir une option pour échapper au couloir. Je la suivis donc à l’intérieur. Sans prononcer un mot, elle me fit signe d’ouvrir une petite porte sur le coté de son bureau. Cette porte ouvrait sur un petit espace ressemblant en tous points à une cabine d’essayage. Avec tout un pan de mur recouvert d’un vaste miroir dans lequel je découvris intégralement ma nudité et la condition humiliante dans laquelle j’avais glissé inexorablement. A une patère étaient suspendus un costume, une chemise, une cravate, il y avait aussi des chaussettes et une paire de chaussure en cuir italien, supposais-je à la vue des coutures fort soignées. Ne manquait, constatais-je, qu’un slip ou un caleçon… Un boxer comme je préférais. Mais de cela, point !

— "Habille-toi et attends", me dit simplement Emeline avant de refermer la porte…

J’obéis immédiatement, éprouvant une étrange sensation en enfilant ces vêtements de qualité… les tissus étaient fluides, la coupe élégante, les coloris sobres et distingués, je me regardais dans le grand miroir… et je trouvais l’image qui m’était ainsi renvoyée presque… incongrue ! Les quelques heures passées avaient suffi à instiller une nouvelle façon de penser. Je m’étais totalement perdu dans ce rôle d’esclave nu et battu que l’on m’avait fait subir. Le costume me redonnait au moins un semblant de prestance. Mais en même temps, je devais demeurer dans cet étroit cagibi… confronté à mon image que je n’osais trop regarder, tant j’avais le sentiment d’avoir perdu toute dignité en me pliant aux exigences de mon Patron Le Marquis d’Evans et plus encore en ayant conscience du plaisir irrépressible que j’avais ressenti en le faisant, de la sensation qui m’avait habité d’avoir trouvé ma place dans cet univers nouveau qui s’ouvrait à moi, qui me faisait peur et qui, pourtant m’attirait tant ! J’attendis ainsi un long moment… J’avais le sentiment que l’attente allait souvent faire partie de mon nouveau statut. moi qui avais l’habitude de diriger des équipes, de vivre dans l’intensité et le rythme effréné de l’actualité, je découvrais un rythme totalement différent, fait d’attente,de patience, de langueur presque…

Enfin, émeline vint me chercher. Elle semblait tout aussi sérieuse et indifférente qu’à son habitude, mais dans son regard peut-être, il me sembla deviner en elle une sorte de tension. Elle me fit signe de la suivre et je pénétrai à sa suite dans l’immense bureau de Monsieur le Marquis, notre Maître. Il se tenait dans l’un des canapés de cuir du coin salon, en compagnie de deux hommes, des asiatiques aux allures totalement opposées. L’un était presque obèse, affalé sur un fauteuil face Au Marquis, l’autre se tenait sur le même canapé que notre Patron. Il était grand, mince, presque sec, le visage anguleux et le regard acéré. Sans un mot, émeline prit place sur un fauteuil dont la position la plaçait à une distance égale des trois hommes. Elle était assise, le buste droit, les genoux serrés et je remarquai, sans trop deviner de quoi il s’agissait, qu’elle tenait à la main un objet dont j’ignorais de quoi il s’agissait, mais de couleur rose… Le Marquis me fit signe de m’avancer jusque entre les deux asiatiques afin de ne pas faire écran entre eux et la position de la secrétaire

— "Mon nouvel assistant, me présenta-t-il, … Je pense que vous l’apprécierez, il a encore peu d’expérience, mais c’est un sujet prometteur "

Sur la table basse, plusieurs documents étaient éparpillés, certains manifestement attendant une signature.

— "Range tout ça !" me lança Le Marquis en les désignant.

Immédiatement, je me penchais sur la table et commençais à rassembler les documents, lorsque je sentis une main glisser à l’intérieur de mes cuisses, me caressant à travers le tissus coûteux de mon pantalon… tandis que je poursuivais ma tache, la main remontait, se faisait plus inquisitrice, jusqu’à se saisir de mes couilles et les presser doucement… J’avais honte, mais je n’osais plus esquisser le moindre geste et je demeurais ainsi penché sur la table, les documents entre les mains… La main de l’asiatique obèse (car il était directement derrière moi) pétrissait mes couilles et je bandais ! Lentement, tout en enserrant mes boules dans son énorme main, il me tirait en arrière, vers Lui… me forçant en douceur à venir m’asseoir sur ses genoux, me renversant contre lui et passant sa main devant, saisissant à nouveau mes parties intimes, dans un geste de possession si évidente que j’en étais paralysé. Sur le côté, Le Marquis et son autre interlocuteur nous regardaient amusés…

— "Laisse-toi faire petite putain, me dit Le Marquis, sois bien gentil avec notre futur associé"…

Je m’abandonnais docilement entre les mains de l’obèse entre lesquelles je me sentais comme une poupée minuscule, qu’il pouvait désarticuler d’un geste… un léger froissement me fit alors tourner la tête… émeline avait écarté ses genoux et ouvert largement ses cuisses. Elle relevait maintenant sa jupe et révélait la blanche douceur de ses cuisses, de ses hanches, et révélait aux regards la fente rose de sa vulve lisse. S’ouvrant ainsi, elle avait mis en marche le gode vibreur en matière souple qu’elle tenait… L’objet rose que je n’avais pu définir quelques minutes auparavant… tout en se déhanchant afin d’exhiber au mieux son sexe ouvert, elle promenait doucement l’engin sur son pubis, et descendait lentement… d’une main, elle ouvrait sa chatte et de l’autre guidait le gode vibrant et le poussait lentement dans ses chairs les plus intimes… Toujours assise, mais renversée en arrière, elle offrait le plus impudique des spectacles, s’ouvrant au maximum d’une main et se fourrant le gode dans sa chatte béante de l’autre, avant que de commencer à se masturber ainsi, pour le plus grand plaisir Du Marquis et de son voisin, tandis que l’obèse avait commencé à me branler à travers le pantalon, tout en me maintenant allongé contre lui d’une main ferme…

Je me sentais comme sur un coussin moelleux, mais qui aurait eu des bras et des mains pour me maintenir contre lui et m’imposer des attouchements de plus en plus précis. Je me tortillais légèrement sous ses caresses mais sans aucune volonté de lui échapper… la puissance de ses bras rendait toute tentative totalement illusoire et de toute façon, mon Maître et Patron m’avait ordonné d’être "bien gentil"… Je découvrais donc l’un des aspects de ma nouvelle fonction d’assistant et m’y abandonnais docilement… Et l’obèse en profitait, manifestement habitué à ne pas rencontrer d’opposition à ses désirs. Il avait défait les boutons de mon pantalon, fourrant sa main dans la braguette pour se saisir de ma queue tendue qu’il branlait lentement, tandis que de l’autre, il avait fait sauter plusieurs boutons de ma chemise pour pouvoir caresser ma poitrine et titiller sans ménagement mes tétons érectiles. L’homme murmurait à mon oreille des mots incompréhensibles, probablement du chinois, mordant parfois le lobe, ou glissant dessus sa langue épaisse et humide. Je sentais sa salive qui glissait lentement sur la peau de mon cou…

Emeline avait poussé le gode tout entier entre ses cuisses et avait sans doute mis les vibrations au plus fort, car elle était maintenant comme prise d’une excitation intense, se livrant à de superbes acrobaties sur son siège, en prenant cependant garde de ne jamais manquer d’offrir une vision intégrale de son sexe rempli et dégoulinant des sucs de son plaisir… mais si elle mouillait abondamment, je savais qu’elle n’avait pas joui… et j’admirais son contrôle, moi qui peinait tant à résister sous les doigts boudinés mais experts de l’homme entre les bras duquel je n’étais plus qu’une poupée de chiffon dépenaillée. Si elle semblait experte à contrôler sa jouissance jusqu’aux plus extrêmes limites, la secrétaire ne parvenait cependant pas à retenir quelques gémissements qui venaient se mêler aux miens, moi qui n’était alors qu’un pauvre néophyte dans l’art de retenir une jouissance qui ne doit dépendre que de la volonté et du bon vouloir de Celles ou Ceux auxquels nous sommes livrés.

Le Marquis et son voisin s’étaient levés du canapé et approchaient de la femelle qui s’agitait frénétiquement dans son fauteuil, les cuisses ouvertes, le sexe dégoulinant sous les impulsions bourdonnantes du vibro qui l’emplissait… Quant à moi, j’éprouvais d’étranges sensations, saisi de stupeur par le plaisir que je prenais à être traité comme un jouet par cet homme énorme dont les mains démesurées semblaient s’emparer de la totalité de mon corps… jusqu’au moment où il cessa et commença à entreprendre de quitter son fauteuil, sans pour autant arrêter de me tenir contre lui… Ce ne fut pas le mouvement le plus facile, mais il parvint à s’extraire et me tenant sous son bras, comme un quelconque objet, il m’entraîna vers les autres. L’autre asiatique s’était placé derrière émeline et penché sur elle, avait ouvert son chemisier, pétrissant fébrilement les seins ainsi libérés de la secrétaire qui ne cessait pas de se goder, les yeux quasi révulsés… Le Marquis, quant à Lui, s’était retiré et installé dans son siège directorial. Et cest en savourant un luxueux cigare quil venait dallumer avec un briquet tout en or quil appréciait manifestement la scène qui se déroulait sous Ses yeux.

L’obèse parlait à son acolyte dans une langue que j’ignorais et leur échange semblait les réjouir… Le maigre saisit alors fermement les tétons d’émeline pour la forcer à se lever en la tirant sans ménagement… Lui, menant la secrétaire par le bout des seins et elle, avançant maladroitement pour le suivre sans perdre le gode qui vibrait encore en elle. L’obèse me traînant comme un paquet sous son bras… Ils nous menèrent jusqu’au bureau et nous placèrent à plat ventre dessus, face à notre Maître, côte à côte, seule la pointe de nos pieds touchant le sol. Tandis qu’émeline avait déjà remonté sa jupe et présentait donc un cul parfaitement nu, l’obèse n’hésita pas un instant à arracher d’un geste mon pantalon, afin que je sois moi aussi cul nu au côté d’émeline, chacun des asiatiques se tenant derrière nous… Le Marquis nous regardait depuis son siège, tirant donctueuses fumées de son Habano (cigare de La Havane) tout en relevant la tête et échangeant quelques mots avec les deux hommes.

— "Eh bien, il semble que vous plaisez à nos amis chinois ! Et j’en suis heureux, car ils ont encore quelques contrats à signer afin de valider définitivement notre accord… Alors ne me décevez pas, car ils n’ont pas tout à fait fini de s’amuser et je veux qu’ils soient parfaitement comblés…"

Tandis que notre Patron nous disait ainsi Sa volonté, le maigre s’était approché et retirait le gode vibrant de la chatte d’émeline qui ne put retenir un petit cri… moi aussi je laissais échapper un couinement lorsqu’il poursuivit son geste en me fourrant le gode entre les fesses, l’enfonçant d’un coup dans mon cul… L’engin vibrait encore, suscitant en moi une étrange sensation, jamais éprouvée auparavant… Le chinois, avait pris place derrière émeline et la fourrait maintenant, poussant son sexe là où le gode avait parfaitement "ouvert" la voie… l’obèse quant à lui avait défait son pantalon et d’un geste, me fit pivoter pour me faire mettre à genoux devant lui… tandis que le gode vibrait maintenant dans mon cul, je vis apparaître devant mes yeux une queue plutôt courte mais d’une épaisseur impressionnante ! Le chinois bandait et d’un coup de reins, il enfonça son pénis entre mes lèvres, emplissant ma bouche et l’entrée de ma gorge… J’étouffais… mais peu lui importait, tant qu’il pouvait ainsi faire aller et venir son sexe dans la gaine chaude et humide de ma bouche soumise… Sa main pesait lourdement sur ma nuque et j’étais dans l’impossibilité de résister… Je commençais à paniquer car j’étouffais vraiment. L’air manquait… mais c’est alors avec soulagement que je sentis un flot épais emplir ma gorge… Il venait d’éjaculer et sa semence abondante se répandait dans ma bouche tandis qu’il se retirait et que je restais à genoux, avalant son jus épais et acide, l’anus toujours secoué par les vibrations du gode qui y avait été enfoncé…

Presque en même temps, l’autre chinois venait également de lâcher son plaisir en émeline… qui épuisée demeurait allongée, inerte sur le bureau Du Marquis.

— "Bien !"

Lança alors notre patron, puis il échangea quelques mots en chinois avec ses invités avant de s’adresser à nouveau à nous :

-"Il nous reste quelques documents à signer, toi (me dit-il) tu restes car tu dois nous assister pour la signature… émeline, vas te changer et apportes nous du thé !"Tandis qu’émeline quittait la pièce, j’avançais à quatre pattes jusqu’à la table basse, ramasser les documents que j’avais abandonnés là lorsque l’obèse s’était saisi de moi…

(A suivre…)

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