Je ne sais même pas son nom, un numéro de téléphone, une soirée ce soir et une chaude séance de baise dans une cabine d?essayage d?un grand magasin de sport il y a 3 jours déjà et pas de prénom, juste ce numéro. Pourquoi est ce que je veux appeler, le souvenir de l?excitation et du plaisir intense, pris, l?excitation d?une nouvelle surprise car son audace avait si bien su faire jouir de mon corps.
Alors que faire, appeler ce type, qui m?a certes marquée, mais ce serait céder avant toute chose, ou bien refuser mais je meurs d?envie d?appeler. Ca se commande difficilement. Echafauder un bobard pour garder la face voilà ce qu?il me faut…
- ?Bonjour monsieur Robert? (C?est le nom de mon concierge, moche à pleurer, c?est le seul nom qui m?est passé par la tête)
- ?Non, pas du tout?
- ?Je n?ai pas fait un faux numéro, c?est le numéro écrit sur ce post it…?
- ?Et pourtant, quel numéro? demandait vous
A ce stade la conversation paraît certes peu intense, malgré ça je suis tendue, je n?arrive pas a être dans le rôle que j?avais répété.
- ?06.XX.XX.XX.XX?
- ?C?est bien mon numéro?
- ?Et comment l?aurais je eu ?? dis je de l?air le plus naturel
- ?Je te l?ai donnée en sortant de la cabine? la voix me semble presque rieuse
Ce type, j?avoue, me sèche littéralement, mon grand silence de surprise avait au moins le ton de la sincérité.
- ?Je m?appelle Edwin,? continua-t-il ?J?espère que tu te souviens de la soirée dont je t?ai parlé, car ça a être une jolie fête, pour fêter les 30 ans d?un ami, il y aura plus de 50 personnes…?
- ?C?est quel genre de fête ??
- ?C?est à Parofard, dans une vielle bâtisse, de la famille de Charly un copain rugbymen, style grillade et super musique dans un soir d?été?
- ?Pourquoi pas…??
- ?Je passe te chercher. Dis moi où et je serais là à 21h30?
Je lui ai indiqué mon prénom : Audrey, mon adresse et mon mobile, comme si on se connaissait depuis toujours, sans m?inquiéter outre mesure de partir dans un endroit inconnu avec un type rencontré dans des circonstances quelques peu particulières et (trop) brèves quelques jours avant. Quant à lui, inutile de lui rappeler mon air mutin de blonde aux yeux noisette, qui avec un joli 90C que mes 19 ans ne peuvent empêcher d?être arrogants marque le souvenir même d?un type qui ne cesse de me surprendre.
Je décidai tout de même de laisser sur la table de mon studio le lieu ou j?allais et le numéro de portable d?Edwin. Et oui, toujours les conseils de ma mère : ? laisse des nouvelles pour que l?on sache ou tu es ?.
M?habiller ensuite. Trouver le juste équilibre entre sexy et sage car j?aime jouer et choisir, et surtout je me connais, un rien m?entraîne, me fait perdre le contrôle. Mon ex disait sensualité a fleur de peau, ça avait fini par le rendre jaloux, sans raison, je le jure, et il avait fallu y mettre un terme.
J?opte pour un petite robe noire, qui met en valeur mon bronzage et pour trancher un string bleu nuit, bien sexy. Pas de soutient gorge je n?en ai pas besoin et j?en profite, ni de jarretelles ou autre, il fait trop chaud en cette saison.
A 21h30 précise il était en bas et nous avons pris sa voiture pour aller à la fête. J?ai bien aimé son regard sur ma tenue, sans me déshabiller du regard il a eu ce petit éclat dans le regard qui rassure.
La maison est immense, un grand jardin autour, presque un parc. De nombreuses personnes étaient déjà là, une soixantaine, des amis de Charly me précisa t il négligemment. Et au milieu une piscine :
– Hey tu aurais pu me dire de prendre un maillot, j?en ai un superbe trouvé dans un petit magasin très sympa, dis je avec un grand sourire complice.
– On verra plus tard fit il simplement
On s?est ainsi baladé de groupes en groupe. Charly est un grand gars, musclé, un avant autant que je comprennent le rugby. A l?aise avec les filles et très charmant, brun, l?oeil rieur et pénétrant, une assurance qui dépasse celle d?Edwin qui déjà est bien culotté mais avec moins d?élégance.
Il est avec une brune grande et fine, avec de longue jambe, Martine, mais elle s?occupe de l?organisation, alors pendant ce temps il se laisse aller aux délires, à la bière à ses amis, et aguiche littéralement une blondinette, que je trouve un peu fade.
Nous avons dansé, mangé et bu. Curieusement Edwin est resté assez prudent avec moi, pas d?avance, de léger frottements en dansant mais rien de plus. Je ne comprend pas cette attitude que car je sens son désir et cela me donne envie de le coincer contre un mur et le violer, avec tout le monde autour, mais je me maîtrise, ça pourrait créer le trouble, chez tous ces gens que je ne connais pas.
Peu à peu les invités sont repartis, vers 2h00 nous étions moins d?une dizaine autour de la piscine, avec nos verres et un CD de techno made in Ibiza en arrière fond musical. Pas trop fort mais limite pénible quand même. Il y avait là Charly, Marc, Laurent et Edwin bien sur, les quatre fêtards de l?équipe et quatre autres filles plus moi, dont Martine et Béatrice, la blonde que suivait Charly de près, plus la copine de Marc, nommée Sandrine – une jolie fille aux yeux noir, pas timide au rire fort et aux cheveux châtains bouclés courts. La dernière étant Mary, une copine anglaise de Sandrine. Elle est jolie comme tout et célibataire je crois, et elle connaît visiblement tout le monde depuis un certain temps déjà.
Charly avait la main sur le dos de Béatrice tout en parlant, il commençait même à la peloter assez précisément et sous les yeux de Martine impassible, tout en discutant. C?était assez excitant car tous le monde trouvais cela naturel et la discussions ne déviait pas : l?avenir du club et les supporter pour la saison prochaine dans la division supérieure. Nous étions tous assis dans des relax sur l?herbe a quelques mètres de l?eau et Béatrice était assise entre les jambes de Charly, sur le même siège. Lui avait une main pour rester en appui et l?autre qui parcourait le corps de la fille, presque négligemment. Elle était la seule a ne pas être indifférente au manège car visiblement l?excitation la gagnait.
Marc, Sandrine et Mary se sont levés et sont allés se baigner alors que nous restions là. Leurs éclats de voix de jeux turbulents ont commencé. Tournant la tête je suis restée captivée par le spectacle, Les deux filles déjà nues enlevaient le caleçon de Marc qui avait une érection naissante. Elle l?ont repoussé dans l?eau lui passant a coté et lui ne réussissant pas à les attraper. Finalement après un sprint en crawl il a saisi Mary et l?a attiré vers lui.
- ? Un gage ? à dit Sandrine au loin
Mary a donc commencé à embrasser Marc puis lui a saisi le sexe à deux mains et a commencé à le branler. Quand après de brèves minutes de traitement il est devenu bien dur et de bonne taille (j?aime beaucoup), elle s?est alors vivement éloignée et a replongée, le laissant dans l?eau à mi cuisse, bandé, mais seul.
Surprise et commençant a sentir ma vulve s?humecter et mon esprit s?emplir d?images de désir, je me suis retourner vers notre groupe pour voir que Charly avait carrément ouvert le chemisier de Béatrice, la petite blonde, et lui caressait les seins nus dont les pointes se dressaient sous l?excitation. Laurent avait approché Martine et commençait a la déshabiller lentement en l?embrassant dans le cou. Il commença par le tee shirt, le short ensuite, laissant apparaître son soutien gorge et sa culotte blanche. Elle même avait glissé directement un main dans le short de Laurent, s?assurant de sa prise en massant du bout des doigt le sexe que l?on voyait déjà tendu sous le caleçon
C?est ce moment qu?a choisi Edwin, assis derrière moi, pour m?embrasser sur l?épaule, glissant ses mains sous mes seins. Ce contact m?a électrisée, je ne résiste pas à une caresse sur mes seins, sous l?excitation ils sont hyper sensibles et je perd toute raison, l?appel du sexe est trop fort. Surtout après un tel spectacle. Je sens qu?il le sait. J?ouvre les jambes sous le désir, les autres assis en face s?en intéressent peu de par leurs occupation mais mon string certainement déjà brillant d?humidité est bien visible. Edwin glisse sa main le long de mon ventre, de mon aine et arrive a mon pubis, ou de deux doigts il écarte ma culotte pour frôler ma toison blonde et courte et atteindre le clitoris et les grandes lèvres. Je commence à dégouliner et je gémis sous le plaisir montant. Je suis offerte a ses mains, passive et lascive.
Sous mes yeux le spectacle se poursuit, Marc ayant capturé Sandrine pour la deuxième fois, a droit a une fellation dans le petit bassin. Elle englouti son sexe dur et long en maintenant les testicules, son regard espiègle cherchant le sien. Mary, dépitée être ainsi oubliée arrête le jeu et se rapproche pour aider Sandrine en glissant aussi une main sur le sexe tendu et l?autre entre ses propres cuisses, caressant son sexe. Je la vois de dos, dans les 20 cm d?eau, sa main s?agitant entre ses cuisses ouverte, le médium et l?index fouillant son intimité et remontant vers le clitoris. Son autre main et sa bouche cherchent la hampe de Marc et embrassant au passage Sandrine à pleine bouche qui commence aussi à se caresser et à caresser Mary.
Le doigt glissé dans mon vagin par Edwin me ramène a mon plaisir grandissant. Actrice et spectatrice, je sens un orgasme monter sourdement. Je gémis plus fort, Edwin le sens et accélère ses caresses, sur mes seins et sur mon clitoris. Ma culotte est trempée, complètement sur coté entre l?aine et mon sexe dégagé. Ses doigts fouillent mon intimité avec dextérité. Il m?embrasse dans la nuque pendant que les spasmes montent jusqu’à ce que je jouisse brusquement, comme une lame de fond, sans retenir mes gémissements. Envie. Encore. Plus.
Quand j?ouvre à nouveau les yeux, Charly assis est en train de se faire sucer par Béatrice à genou alors que à coté Martine chevauche allégrement Laurent, face a lui. Elle nous offrant une vision sur ses fesses montant et descendant sur la verge lubrifiée. De sa main droite Laurent caresse également le sexe de Béatrice, qui a relevé sa jupe, sa culotte est baissée sur ses cuisses. La main de martine stimule les testicules de Laurent, le faisant râler sourdement, comme elle au rythme des coup de reins.
Je me retourne vers Edwin, introduit mes mains directement dans le pantalon et le caleçon sans même le regarder. Je saisie la hampe dressée et commence à le masturber, il est bien bandé. Pendant ce temps il fini de me déshabiller et voyant que je reste concentrée sur sa bite, il se met a genou et se déshabille aussi. J?en profite pour me rapprocher et saisir de ma bouche ouverte son gland écarlate. Il bande a tout rompre maintenant. Je lèche le pourtour du gland et aspire sa verge pour la sentir descendre dans ma bouche, profondément. Ses gémissements me font savoir qu?il apprécie mes sucions. Je suis a genou, la bouche déchaînée et les fesses nues tendues, le sexe baillant son désir humide. Envie de Baiser. Je l?échauffe.
Je sens une présence derrière moi, qui s?appuie sur mon pubis et sur ma toison blonde et qui me caresse la vulve. Restant néanmoins concentrée je regarde et je vois que c?est Béatrice qui me caresse et commence à me lécher. Caresse nouvelle pour moi que j?apprécie, je mouille comme une folle. Charly à coté n?en perd pas une miette , la bite à la main. Concentrée sur Edwin après les caresse de Béatrice qui m?ont déjà bien émoustillée, je sens que Charly approche son gland de mes grandes lèvres et les écarte pour s?introduire. Il le fait d?une seule poussée tellement je suis mouillée et lui excité. Cela m?arrache un long râle qui stimule encore plus Edwin, si était possible. Je le sens au bord de l?explosion dans ma bouche.
Béatrice continue de triturer mon clitoris et les bourses de Charly. Je suis sure qu?elle se masturbe en même temps. Nous râlons tous les quatre à en perdre souffle. Edwin craque le premier sous les effet de ma langue et explose dans ma bouche et sur mon visage en longs jets puissants. Je continue de le lécher et je le nettoie. Il débande à peine quand j?ai fini. Pendant ce temps Charly continue ses va et viens dans mon vagin et à commencé à titiller mon anus, Béatrice le lèche aussi. Je sens que je vais jouir sous leurs caresses multiples. Les spasmes dans mon ventre s?accélèrent autour de sa queue, mes seins sont tendus comme jamais, surtout que Béatrice n?oublie pas d?en exciter les pointes.
Edwin, le sexe a nouveau pleinement érigé me fait basculer face à Charly qui s?est allongé sur l?herbe, et il est venu se placer derrière moi. Inutile de me faire un dessin, il a pointé son gland sur mon anus inondé de salive de Béatrice et détendu par les doigts de Charly. La première poussée m?a arrachée un petit cri, largement compensée par les sensations venant de mon vagin. Il s?est ensuite enfoncé doucement, sans forcer et j?ai senti les deux bites enfoncées à coté.
Sensation inédite de ces deux membres enfoncés en moi et me stimulant des deux cotés de la fine paroi. Ils ont commencé a bouger ensemble, la sensation du double ramonage multipliant mon plaisir, j?ai commencé a avoir un orgasme, puis un autre, une série s?enchaînant me déchaînant. Béatrice qui voulais que je la lèche était déçue. Emballée dans des cris et râles entremêlés de spasmes violent je n?arrive pas à me concentrer sur sa chatte trempée et délaissée et elle à fini par rejoindre Martine et Laurent. Les deux matraques me travaillaient avec une énergie que je n?avais encore jamais connue, en double piston. Avec une telle furie entre eux Charly et Edwin n?ont pas résisté longtemps et il m?ont inondés chacun dans un orifice et ils se sont retirés me laissant béante, pantelante à même le sol, en train de retrouver le souffle et éventuellement mes esprits. Cela fit le bonheur de Béatrice qui pu finalement se jeter sur Charly. Edwin prenant le temps de reprendre des forces dans la piscine.
Apres quelques brasses il s?est ensuite approché du petit bassin et de Marc, Mary et Sandrine pour compléter leur trio, à la grande joie de Mary, car Marc ne pouvant se partager, il besognait actuellement Sandrine en levrette. Et même si Sandrine léchait la petite chatte de mary qui était assise devant elle, elle désirait plus. Elle l?a réussi à le faire rebander en le prenant goulûment dans sa bouche et des qu?il a retrouvé une rigidité acceptable, elle l?a vite attiré en lui, les jambes écartées en grand, pour un corps a corps athlétique.
Une fois mes esprits retrouvés et un bain également j?ai rejoint Martine, Laurent, Charly et Béatrice qui étaient entremêlés Je me suis jetée dans la bataille, attrapant par là une bite, par ici un sein, étant moi même souvent attrapée surtout quand les quatre autres nous ont rejoint. Je n?avait jamais sucé, léché et été enfilée et aspergée comme ça de ma vie. J?avais baisée pour la première fois avec quatre mecs et quatre filles avec autant de facilités que de plaisir. A croire que j’étais une sainte avant ça, et surtout je ne m?en doutait pas, jusqu’à ce soir en tout cas.
Apres nos ébat furieux et multiples, la nuit s?est finie, Nous avons passé tranquillement le reste du temps, mangeant, fumant, vêtus de façon anarchique, sur les bord de la piscine avec de faible éclairage venant de la maison et de la piscine. Une musique, un air de salsa joué par une chaîne démodée venait à nos oreilles dans les senteurs et bruits de la nuit de début du mois de juin dans le sud de la France. La fatigue venant insidieusement sur nos corps repus, brisés mais satisfait, l?atmosphère s?adoucissait peu à peu.
Edwin m?a raccompagnée vers 7h00 du matin, après m?avoir refait l?amour plus tendrement sur un canapé du salon. Il faudra qu?il m?explique où il trouve la force… Il m?a promis de me rappeler bientôt, je lui poserais la question, peut être. En me quittant il m?a glissé un smack me laissant perplexe sur nos relations, mais trop fatiguée pour y réfléchir je décidais sans effort de ne pas y penser, pour cette journée en tout cas.
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