Comme tous les soirs où je nai rien à faire, et que jai envie de mamuser, me voilà en chemin vers lEmpire Club, une boîte de nuit se situant près de chez moi. Et comme chaque soir, je ne sais pas encore avec qui rentrer. Souvent, je cherche une belle femme, mais il mest déjà arrivé de suivre des couples, voire même finir la soirée avec un homme.
Pas grand monde ce soir, en même temps, cest en semaine, les gens sortent moins, ils attendent tous le week-end. Et dans la boîte, il y a surtout des couples, ou des groupes damis. Le seul sortant du lot, cest un grand mec. Mais genre vraiment grand, il doit bien atteindre les 2 m, et dépasse tout le monde dune tête. Même en essayant de chercher une belle demoiselle, mon regard finit toujours par tomber sur lui. Ma dernière chance de trouver la perle rare est de maventurer sur la piste de danse, et voir vers qui mes pieds mamènent. Mais, après avoir fait seulement quelques pas sur la piste, je sens une main presser fermement ma fesse droite. Étant plutôt joueur, et me doutant que seul un homme fait ce genre de chose, je passe ma main dans mon dos, et remonte la jambe jusquà arriver sur son membre. Cest la première fois que je sens quelque chose daussi gros et dur. Je commence à le palper à travers son pantalon, mais javais limpression de toucher une barre en fer.
Rejoins-moi dans les toilettes si tu veux tamuser un peu plus, me susurre-t-il à loreille en retirant sa main.
Jattends quelques instants avant de partir en direction des toilettes. À peine entré dans les toilettes, je sens une main me saisir lépaule et me retourner.
Jai failli attendre.
Lhomme que jai repéré plus tôt me dominait, et plongeait son regard dans le mien. Maintenant que jai une meilleure vue sur lui, je ne peux quaffirmer la beauté de cet homme, avec son corps bronzé et athlétique, et son visage doux.
On prend le temps de se présenter, je lui demande, ou lon sy…
Je nai même pas le temps de finir ma phrase quil enfourne sa langue dans ma bouche, me poussant vers des toilettes ouvertes, et refermant la porte après notre passage. Je passe une main dans son boxer afin de lui caresser la bite, tandis que lautre va parcourir ses fesses. Il fait de même, et nous restons comme cela quelques minutes. Ensuite, il se recule et fait tomber son pantalon ainsi que son boxer, que je mime immédiatement :
Moi, cest Jean-Marie, me dit-il.
Et moi, Henry, je lui réponds avant de me relancer vers sa bouche.
Je me mets à le branler, et il fait de même. Étant donné que sa bite fait deux fois la taille de la mienne, je suis obligé daller plus vite avec la main afin que nous restions synchronisés. Alors que sa main continue de parcourir mes fesses, comme ce que fait la mienne avec les siennes, un doigt sintroduit doucement dans mon trou. Suivant le mouvement, je fais de même, avant denchaîner rapidement avec un deuxième doigt. A peine a-t-il senti le deuxième, quil met lui aussi son deuxième doigt, avant de faire suivre le troisième, ce que je fais aussi. Je sens sa bite gonfler dans ma main, et son sperme sort très vite suivi du mien, et vient sécraser sur nos tee-shirts. Je mécarte un peu de lui et plonge mon regard dans ses yeux châtaigne.
On aurait peut-être dû enlever nos tee-shirts, lui dis-je.
Bah, cest trop tard, me répond-il. Pensons à ce que lon va faire maintenant plutôt que ce quon aurait pu faire.
Je préfère te prévenir, je suis plus du genre pénétrant que pénétré.
Il me regarde droit dans les yeux avant de prendre mon cul à deux mains.
Ecoute-moi, je fais de la manière suivante : celui qui a la plus grosse est celui qui fait la loi.
Dans ce cas, on va avoir un problème. Et de toute manière, jamais je ne pourrais prendre une bite aussi grosse.
Je sens ses deux majeurs et ses deux index entrer en moi avant de sécarter en agrandissant mon trou, me faisant lâcher un cri de pucelle.
Ne ten fais pas, je lai déjà fait avec de plus petits trous. Et je tassure que tu vas aimer.
Deux autres doigts sajoutent dans mon trou, et je sens lexcitation monter en moi.
Très bien ; mais, je vais poser deux conditions : la première, cest de le faire avec un préservatif, et la deuxième est que lon sarrête si jamais ça me fait trop mal.
Je sens ses doigts se retirer dun coup, me faisant lâcher un nouveau gémissement, et le vois récupérer un préservatif dans la poche de son pantalon.
Tu veux me le mettre pendant que je continue de jouer avec ton cul, me demande-t-il, jai limpression que tu aimes bien ça finalement.
Jai voulu le corriger, mais mes mains parcourent mon cul, trahissant le fait que jy prends plus de plaisir que je ne le pensais. Je prends le préservatif dans la main, et lui remets ses doigts dans mon cul. Je déchire le papier du préservatif, avant de commencer à le dérouler sur sa bite. Au moment où jatteins la base de son membre, il pousse ses doigts plus en profondeur, marrachant un cri de surprise.
Tu dois être prêt, me dit-il en retirant ses doigts.
Je me retourne tout seul, et me penche en maccrochant aux toilettes. Ayant déjà vu quelques gars le faire, jécarte les jambes, et commence à prendre de grandes respirations. Ses mains écartent mes fesses, et le bout de sa bite commence à se frotter à mon trou. Il retire sa bite, crache sur mon trou, et commence à pousser sa bite en moi. Il y va le plus doucement possible, mais un cri méchappe quand même.
Ça va aller, me demande-t-il, ou tu veux tarrêter ?
Je ne suis pas du genre à marrêter au milieu des choses, alors je commence à bouger afin que son pénis aille encore plus profond en moi. Me voyant bouger, il reprend bien mes fesses en mains, et senfonce plus profondément en moi. Il est à peine à moitié enfoncé en moi que je le sens commencer à faire des va-et-vient, mobligeant à me mordre la lèvre pour retenir mes cris. Plus ses mouvements saccélèrent, plus je sens le plaisir monter en moi, et ma bite se durcir. Jentends du bruit tout autour, mais la sensation de sa bite dans mon cul fait que je ne fais plus attention à rien. Mon souffle saccélère, mes gémissements arrivent à senfuir, et je sens sa bite gonfler dans mon cul. Une main commence à saventurer vers ma bite, tandis que lautre continue de jouer avec mes fesses. Jessaie de lui dire que je ne tiendrai pas sil continue de jouer avec ma bite, mais je narrive pas à enchaîner deux mots, sans quun de mes cris me coupe.
Je sens sa bite se retirer un peu plus que dhabitude avant de rentrer de nouveau, lâchant son sperme dans la capote. Au moment où je ressens la chaleur de son foutre en moi, ma bite suit, et couvre les toilettes de mon sperme. Il retire sa bite tranquillement, et commence à remettre ses vêtements. Avant même que je puisse me remettre de tout cela, je le vois sortir des toilettes, me laissant seul. Au moment où je remets mes affaires, je remarque quil a laissé une carte avec son nom et son numéro de téléphone.
Plusieurs jours passent, mais mon cul noublie pas cette sensation. Je prends mon courage à deux mains, et lui envoie un SMS lui demandant sil veut remettre cela. Très vite, je reçois une réponse. Il veut bien me revoir, mais aimerait que je me rase. En regardant la touffe entourant ma bite, et en sentant les poils sur mon cul, je pense comprendre son point de vue. Un second SMS arrive, me promettant une récompense si jamais je me rasais. Et cela me suffit à me motiver.
Une fois bien rasé, je lui envoie deux photos, une de devant, et une de derrière me montrant dans mon plus simple attirail. Cela doit lui plaire, car il me répond instantanément. Il me donne rendez-vous le soir même dans un hôtel proche de chez moi.
Jarrive à lheure, et me rends directement dans la chambre quil ma dite. En arrivant, je le vois tout seul, nu sur le lit. Avant même déchanger un mot, je me déshabille, me mets sur lui, et commence à lui lécher la bite. Je mattendais à sentir ses doigts aller dans mon cul, mais à la place, un liquide froid glisse entre mes fesses. Je sens trois de ses doigts rentrer facilement dans mon cul, alors que je commence à prendre le bout de sa bite dans ma bouche. Juste après, trois coups résonnent à la porte.
Je me mets debout, et vois trois hommes entrer. Ils se désapent rapidement tandis que Jean-Marie prononce le premier mot.
Voilà ta surprise. Je te laisse prendre place sur ma bite, jimagine que tu sais déjà ce que tu devras faire après.
Ne me faisant pas plus attendre, et ne pouvant surtout plus attendre après avoir joué tout laprès-midi avec mon cul, je mavance vers la bite de Jean-Marie, et mempale sur sa bite. Comme la dernière fois, je ne peux pas aller plus loin que la moitié de sa bite. Les trois hommes sapprochent de moi, la bite à lair. Je prends la première dans ma bouche, et commence à masturber les deux autres. Ne pouvant faire tous les mouvements, je me concentre sur mes mains, Jean-Marie fait bouger mon cul, et le dernier pousse sa bite dans ma bouche. Assez vite, je sens le mec de gauche éjaculer sur mon visage, suivi par celui de droite. Lodeur fait rapidement jouir les deux autres qui finissent sur mon visage et sur mon dos. Tout le monde a joui, sauf moi. Autant lexpérience précédente mavait bien plus, mais pas celle-là. Je me relève tout seul, remets mes vêtements, et me dirige vers la salle de bain.
Je vais me nettoyer, et y aller juste après, leur dis-je, je ne suis pas vraiment en forme.
A peine arrivé au niveau du lavabo que Jean-Marie arrive en fermant la porte derrière.
Ça va, me demande-t-il, ça ne ta pas plu.
En le voyant devant moi, je comprends pourquoi je ne vais pas bien.
La seule raison pour laquelle jétais prêt à prendre ta bite en bouche est que cétait la tienne. Je ne peux pas faire ça avec nimporte qui. Même si cest allé très vite entre nous, cest parce que je me sentais bien avec toi que je peux le faire.
Je sens des larmes couler sur mes joues. Ce nest pas lexcitation qui ma fait venir et qui ma fait me raser, cest presque de lamour. Jean-Marie prend ma main et me tire hors de la salle de bain.
On sen va, annonce-t-il aux trois hommes tout en shabillant.
Ensuite, il me tire hors de la chambre et commence à partir de lhôtel.
Où memmènes-tu ? je lui demande en le suivant.
Chez moi. Te voir avec dautres hommes ma aussi bien plus dérangé que ce que jaurais pensé.
Le chemin jusquà sa voiture, puis jusquà chez lui se fait dans un silence total. Une fois arrivé chez lui, il me mène jusquà sa chambre et commence à se déshabiller. Je fais de même et mavance vers lui. Alors quil se retourne, je vois sa bite se durcir dun coup.
Eh bien, tu es si content de me voir tout seul ?
Non, je navais pas remarqué que tu avais encore du sperme plein le visage.
Je navais pas remarqué dans le feu de laction, mais je sentais bien le sperme sur mon visage. Étant déjà nu, je mallonge sur le lit et lève les jambes.
Dois-je aller me démaquiller ? Ou bien lon profite du fait que tu es en pleine forme ?
Tu préfères que je mette un préservatif, ou bien que je jouisse sur ton ventre ?
Vas-y nature.
A peine que je lui répond quil remet un peu de lubrifiant sur sa bite et sur mon cul, avant de commencer à me pénétrer. Je prends sa tête avec mes mains et attire son visage jusquà ce que je puisse lembrasser. Au moment où nos langues se touchent, je sens sa bite gonfler. Il commence ses va-et-vient, me faisant réagir à chaque fois. Je me concentre sur sa bouche et joue avec sa langue tandis quil accélère le mouvement. Il recule son visage, et un sourire traverse son visage. Il retire sa bite de mon cul et lenfonce dun coup en entier. Un cri méchappe alors quil continue ses allers-retours. Chacun de ses mouvements me fait gémir, et cela le motive juste à accélérer le rythme. Le plaisir monte en moi, et jai enfin limpression davoir ma récompense. Il continue de bouger pendant plusieurs minutes, et je sens sa bite gonfler en moi. Jentoure son bassin de mes jambes et il réagit en accélérant le rythme.
Cette fois, cest moi qui jouis en premier, juste avant de sentir son foutre remplir mon cul. Il se retire, et je sens son sperme couler doucement de son trou tandis que mes jambes refusent de bouger. Je le vois prendre son téléphone et faire une photo de mon cul avant de me le montrer avec sa sauce coulant le long de ma raie.
Je peux plus bouger, mais je pense que ça me va.
Il sapproche de moi et membrasse de nouveau.
Cela fait maintenant trois mois que je vis chez lui. Nous baisons presque tous les soirs, et plus jamais je nai besoin daller en boîte de nuit.