A l’époque nous avions la trentaine, Gisèle mon épouse 30 et moi 31, couple à la sexualité épanouie, mais très conventionnelle, et puis un jour, tout à basculé pour notre plus grande satisfaction. Nous fûmes invités au mariage d’un de mes amis d’enfance. Pour cette occasion Gisèle avait revêtu, à nouveau cette robe qui je dois l’avouer me mettait dans tous mes états et qui la mettait particulièrement en valeur. Gisèle était d’une taille moyenne 1,68 m, cheveux bruns avec quelques reflets auburn avec un physique agréable duquel on retenait généralement une poitrine imposante, un bon 95C, qui attirait assez souvent les regards masculins et plus souvent encore mes mains et ma bouche. En la circonstance, elle portait une robe longue noire, avec un décolleté assez sage ne laissant apparaître que le commencement du début de la poitrine, de fines bretelles mais qui lui laissait nu une bonne moitié du dos empêchant le port de tout soutien gorge. Bien maquillée, les cheveux relevés en chignon, sa tenue était complétée par une paire d’escarpin assez classique. Ainsi vêtue, elle put s’assurer dans mes yeux qui la dévoraient de sa séduction. Durant le trajet qui nous menait à la cérémonie, je ne pus m’empêcher de caresser sa cuisse, libre de tout collant ou bas, à travers le fin tissu de la robe. Elle m’empêcha de poursuivre un plus haut ma caresse arguant du fait que nous ne nous attarderions pas à cette soirée et que la nuit serait remplie d’étreintes prometteuses. J’en acceptais l’augure …
La cérémonie se déroula de façon assez banale, suivie d’un vin d’honneur servi au jardin dans cette douce soirée de juin. Nous nous aperçûmes, que finalement nous connaissions pas grand monde dans cette soirée, ce qui nous conforta dans notre intention de nous éclipser le plus rapidement possible. Le dîner commença agréablement, et par moment, soit ma jambe soit celle de ma femme allait à la rencontre l’une de l’autre instaurant entre nous un climat complice. Le DJ se mettant en place, j’invitais tous naturellement Gisèle à danser. Je l’enlaçai autant que la bienséance le permettait, ce qui malgré tout me permettait de sentir contre moi la chaleur de son ventre et de ses seins. Un flirt commença entre nous :
’Tu est bien belle ce soir, tu sais, tu me donnes des envies !’
’Je crois que le fait exprès, après tout, moi aussi j’ai des envies…’
’Ah oui, lesquelles par exemple’
’Que tu m’enlève ma robe et que tu m’embrasse partout’
’Partout ?’
’Oui partout, j’ai envie aussi de sentir tes mains partout’
’Partout ?’
’Oui partout’
’Et puis quoi encore ?’
’J’ai envie de sentir ton sexe’
’Partout ?’
’Oh oui partout’
’Même ici ?’
Dis-je laissant discrètement ma main glisser ma main glisser sur ces fesses.
’Oui’
Répondit-elle dans un souffle, et serrant contre moi, ne me laissant aucun doute sur la manière dont elle entendait terminer la nuit. Je fus un peu surpris quand même, car sans refuser le moins du monde ce genre de pénétration, elle n’était pas non plus une adepte inconditionnelle de la sodomie. Je mis ce désir sur le trouble de se sentir inhabituelle ment presque nue sous son léger vêtement.
Désormais, nous étions assez étroitement collés l’un à l’autre et je ne manquais pas de caresser son dos dénudé, sa taille, le creux de ses reins jusqu’à la limite du seul sous-vêtement qu’elle portait. Ma main contourna sa hanche, épousa sa taille en remontant. Devinant mes intentions elle passa les mains autour de ma nuque, libérant ainsi l’accès à l’un de ses seins dont l’extrémité de mes doigts pouvaient dès lors caresser la partie inférieure. De son côté, elle ondulait légèrement contre moi, son ventre rivé au mien, me caressant la nuque, s’amusant du trouble qu’elle provoquait en moi et dont elle ne pouvait ignorer la manifestation physique.
’ Mon Chéri, je crois que je te fais de l’effet, si cela continue nous allons avoir du mal à regagner la maison’ me dit-elle
’Tu as raison, d’ailleurs je pense sérieusement à m’arrêter en route’
’Comment cela ?
’Pour trouver un endroit tranquille, un petit chemin, un parking, que sais-je’
’Et pourquoi faire ?’ demanda-t-elle faussement interrogative
’Je ne sais pas moi, ne connaîtrais-tu pas une jolie femme qui aurait une bouche accueillante ?’
’Oh si’
’Et ou est-elle ?’
’Entre tes bras… en attendant mieux…’
L’accord semblait scellé et je me réjouissais déjà à la perspective de ses lèvres dont je connaissais la douceur et de sa langue dont je connaissais le savoir faire.
En regagnant notre place nous croisâmes le marié en discussion avec un de ses amis, qu’il nous présenta en nous informant réciproquement de notre goût commun pour l’informatique.
La conversation s’engageât avec Patrick qui en plus d’être sympathique avait une conservation intéressante et non dépourvue d’humour. Je voyais quand même un peu en lui un importun qui allait sûrement retarder notre départ, qui m’empêchait de profiter de Gisèle et de plus je surprenais parfois non sans un mélange de fierté et d’agacement le regard posé sur le buste de cette dernière.
Une série de slows débuta et tout naturellement, il me demanda l’autorisation d’inviter Gisèle à danser, autorisation que je ne puis que lui accorder. Ils s’éloignèrent et il commencèrent à danser. A un moment donné, mon regard se porta sur le couple de danseurs, et, non ! je n’avais pas put rêver la main de Patrick m’avait bien semblé passer sur l’arrière train de Gisèle. Regardant avec un plus d’attention je m’aperçus que les mains changeaient souvent de position sur le dos dénudé, mais aussi un peu plus bas. De ma place je pouvais constater que ma femme semblait ne rien remarquer et semblait prendre plaisir à la conversation de son cavalier qui lui parlait de très près J’étais un peu abasourdi par ce manque de réaction et brutalement je commençais à entrevoir la possible réalisation d’un fantasme que nous avions en commun. En effet au début de notre mariage, j’avais remarqué que Gisèle était particulièrement excitée lors de nos rapport lorsque nous avions auparavant visionné un film pornographique mettant en scène des groupes de participants hommes et femmes et peut être plus particulièrement des scènes ou une seule femme était au prise avec plusieurs partenaires. Nous avions finit par en causer, admettant qu’il devait être excitant de faire l’amour en groupe sous les yeux de son mari et moi-même admettant que j’aimerai assez la voir se livrer à d’autres hommes devant moi; Elle était, alors, plus réticente à me voir en compagnie d’une autre femme, même si elle envisageait favorablement d’avoir rapports intimes avec une autre femme.
Puis nous n’eûmes jamais l’occasion de réaliser ces divers fantasmes qui s’enfouirent au plus profond de nos mémoires pendant plusieurs années pour ressurgir aujourd’hui.
Ils finirent de danser, et je constatais qu’une certaine rougeur colorait le visage de Gisèle qui me paraissait bien silencieuse. Patrick, lui semblait très à son aise. A mon tour, j’invitais ma compagne à danser. Immédiatement, elle se serra étroitement contre moi finissant par m’avouer qu’elle était mouillée à cause de Patrick qui lui avait fait subir une séance de pelotage en règle. ?crasant ses seins contre mon thorax elle m’avoua encore à sa grande honte que non seulement elle n’avait pas osé ou pas voulu mettre fin aux agissements de Patrick, mais que finalement elle y avait trouvé un certain plaisir. Je passai une cuisse entre les siennes de façon à ce quelle puisse y appuyer son pubis et lui demandai :
’ On dirait que tu es prêtre à franchir le pas ?’
’ Que veux-tu dire ?’ répondit-elle sur un ton hypocrite
’ Faire ce dont nous avons toujours parlé sans trouver d’occasion, je suis sûr que Patrick te trouve très à son goût’
’ Tu crois ?,Cela me fait un peu peur tu sais’
’ Je suis certain que si tu te laisse faire, tout ira bien, surtout dans l’état ou tu es’
Elle en convint et j’ajoutai
’ Et puis ne sois pas inquiète, je serai là’
’ Encore heureux’ répondit-elle
J’allais lui répondre que je la trouvai un peu gourmande lorsque le DJ annonça le désormais fameux classique :
’ Et maintenant, changement de cavalière’
Comme par magie, l’inévitable Patrick fut près de nous et après un regard complice avec Gisèle, je lui cédais ma place. Cette fois, je les observai avec attention. Il avait assez étroitement enlacé Gisèle qui ne fuyait pas l’étreinte. Elle avait passé les bras autour de ses épaules laissant la totalité de son corps à la merci des mains de son cavalier. Celui-ci ne sentant aucune réticence semblait pousser son avantage caressant sans retenue sa taille, ses hanches, le dos nu, glissant même les doigts à l’intérieur de la robe ou laissant aller ses mains sur le bas de reins voire encore plus bas. A un moment, Gisèle me tournant le dos, je ne vis plus les mains de Patrick, j’en conclus qu’il devait avoir entrepris ses seins. Pendant ce temps, il lui parlait à l’oreille, par la suite, elle me raconta qu’ayant compris que l’affaire était entendue, il l’avait couverte de compliment sur son physique et la manière dont il aimerait s’en servir. Il me sembla qu’elle détourna ses lèvres pour échapper à un baiser qui aurait put passer pour malséant aux autres convives. Ils cessèrent de danser, Patrick, tenant Gisèle par la taille vint me rejoindre.
’Gisèle vient de me dire que sous seriez prêt à tenter une expérience à plusieurs ?’ me demanda-t-il
’C’est exact n’est ce pas chérie ?’
’Oui, c’est la première fois, nous manquons peut être d’habitude’
Il nous rassura, nous confessant faire partie avec son amie (qui ne comptait pas au nombre des invités) d’un groupe d’échangiste dans la ville ou ils demeuraient à l’autre bout de la france. Puis il nous invita à le suivre dans la chambre qu’il avait retenu dans le même hôtel que celui où se déroulait la fête. Après un dernier regard échangé avec Gisèle et qui semblait vouloir sceller le destin je lui fit part de notre accord. Les dés étaient jetés…
Dès que nous fûmes arrivés à sa chambre, il attira Gisèle contre lui, déposa un baiser léger sur des lèvres qu’elle ne lui refusa pas, puis deux, puis trois et la regardant au fond des yeux, pris possession de sa bouche ou il rencontra une langue souple et agile qui vint à la rencontre de la sienne. Cette scène continua de m’émoustiller, c’était la première fois que je voyais un autre homme embrasser ma femme, et je m’approchai pour caresser le dos et les fesses de ma femme. Patrick se recula un peu, puis posa ses mains sur ses épaules nues et toujours la regardant dans les yeux commença à faire glisser les fines bretelles. Lorsque les épaules furent dégagées Gisèle baissa les bras le long de son corps et lentement la robe glissa jusqu’à terre. Il passa un bras autour de ses épaules, l’embrassa longuement, en empaumant un sein de sa main libre. Lentement, il la fit pivoter vers moi et mis ses m ains en coupe sous ses seins comme pour les soupeser puis saisissant les bourgeons érigés en ses pouces et index, il entreprit de les étirer et de les faire rouler sous ses doigts. Sous le traitement, elle laissa échapper un gémissement qui ne m’étonna pas connaissant la sensibilité des globes charnus auxquels il s’attaquait. Je me penchais à mon tour vers elle pour un baiser qu’elle me rendit avec fougue, visiblement très excitée. Tout en l’embrassant, je glissais une main à l’intérieur de son slip vers son pubis soyeux. L’humidité du fin tissu me renseigna sur son état d’excitation et fixant son regard devenu un peu trouble, je commençai à faire glisser la dernière pièce de vêtement le long de ses hanches. Elle était nue. Renversant la tête elle se laissait embrasser par Patrick et je pouvais suivre le ballet de leurs langues s’enroulant l’une autour de l’autre. Répondant à ma sollicitation elle écarta légèrement les jambes m’ouvra ainsi l’accès de son entre jambe ou je dé nichait son clitoris affin de le caresser. En gémissant, elle m’appuya sur le bras, invitant ma main à continuer son chemin. Je glissai un doigt en les lèvres de son sexe, puis pénétrait le vagin trempé, un second doigt vint aider le premier à lui offrir le plaisir que ses gémissements réclamaient, mon autre main titillant le clitoris dardé. Bientôt sous l’action de quatre mains qui s’occupaient de ses seins et de son entre-cuisse Gisèle se contracta en un spasme de plaisir dont je recueillais la preuve sur mes doigts. Patrick la retourna face à lui, et, pesant sur ses épaules, fit comprendre à mon épouse, qu’à son tour, il entendait bénéficier de ses faveurs. Lentement, elle s’agenouilla, dégrafa le pantalon, baissa rapidement son slip, qui laissa apparaître un membre gonflé par le désir qu’elle commença à caresser doucement d’une main, tandis que l’autre soupesait les testicules gonflés.
’Ne me fait pas languir’ soufflât-il
Comme dans un rêve, je vis Gisèle, humidifier ses lèvres dans un mouvement lascif de sa langue, puis commencer à lécher le gland qui lui était proposé par des mouvements circulaires de sa langue, et puis, ses yeux rivés à ceux de Patrick, comme pour guetter ses réactions, embouchât la verge tendue.
Patrick laissât échapper un long grognement d’aise puis, acheva de se déshabiller pendant qu’à ses genoux, Gisèle continuait de le sucer avec application. Je voyais ses lèvres coulisser, ses joues se creuser, avalant, aspirant le membre, sa langue le parcourir, ses mains le caresser. A mon tour, je quittas mes vêtements et m’approchais d’eux. Voyant mon érection imposante, Gisèle, délaissa le sexe objet de ses faveurs, pour engloutir le mien avec avidité. Pendant un petit moment, elle s’occupa alternativement de nous, suçant l’un, branlant l’autre, passant avec d’un sexe à l’autre avec ravissement, alternant les succions profondes, avec les coups de langues pervers. Avec étonnement, je constatais qu’elle prenait un plaisir intense à manipuler les verges tendues, à les engouffrer avec ravissement.
N’en pouvant plus, j’échappais à ses lèvres, pour m’accorder un peu de répit. Patrick en profita pour la faire relever, l’entraîner vers le lit ou la fit s’allonger, lui ouvrit largement les cuisses, et après avoir caressé sa vulve de son sexe, la pénétra d’un coup de rein puissant. Sous l’ardeur de la pénétration, elle laissa échapper un râle de plaisir et accordant son rythme à celui de son amant, noua ses jambes autour de sa taille. Après quelques va et viens, il releva ses jambes pour les placer sur ses épaules et ainsi la perforer au plus profond ce qui semblait lui procurer un plaisir intense. J’étais quand même un peu surpris de voir Gisèle se donner sans retenue, offrant sa langue à celle qui lui fouillait la bouche, allant au devant des coups de boutoir qu’il lui infligeait sans ménagement, se laissant même aller à en réclamer davantage.
’Oui, vas-y, … plus fort,… donne moi des grand coups …. Ouiii, encore,… je pars !’
Et, se faisant, je la vis se contracter, dans un léger cri accompagnant son premier orgasme. Loin de l’avoir satisfait, ce premier plaisir semblait l’avoir excité et tandis que Patrick avait recommencé à la besogner lentement elle étendit le bras pour se saisir de mon membre. Ce que voyant, Patrick se retira du vagin trempé par la jouissance, non sans provoquer chez sa partenaire une protestation dépitée :
’oh non !, Reste..’
’Attends, tu va voir, met toi à quatre pattes, oui comme ça, écarte bien les cuisses, bien … Philippe va te prendre en levrette’
Elle se mit dans position indiquée, je passais derrière elle, et à mon tour pénétrait le sexe rendu très accueillant par la précédente pénétration et l’abondance des sécrétions due à son excitation. Je la saisi par les hanches en commencer à la limer lentement mais bien à fond comme je savais qu’elle aimait.
Patrick fit le tour du lit, posa un genou sur ce dernier et présenta devant son visage un membre turgescent et luisant de mouille. Après un instant d’hésitation elle commença à lécher le gland de Patrick qui l’interrompit :
’Allez suce, ne fait pas d’histoire, tu vas voir, elle a du goût maintenant’
Et saisissant son sexe il força (Oh très peu) les lèvres qui s’arrondirent autour du sexe maculé de sécrétion vaginale. Pour la première fois de sa vie, Gisèle devait faire face à deux partenaires qui la possédaient au même rythme, chacune des pénétrations la projetant au devant du bâillon de chair. Elle allait de plus en plus rapidement au devant de mes coups de boutoirs et un deuxième orgasme la secoua intensément déclenchant chez moi un plaisir décuplé et d’une abondance peu courante. Consciente de l’avoir quelques instant délaissé, Gisèle reprit sa fellation. Patrick crispa sa main dans les cheveux de mon épouse et la prévint :
’C’est parti, prend bien tout !’ et il éjacula dans la bouche qui l’enserrait. J’entendis Gisèle déglutir et pomper le dard jusqu’à la dernière goutte. Patrick se retira de la bouche complaisante et tout en la complimentant sur ses talents de suceuse, sorti du mini-bar une bouteille de champagne dont il nous servit une coupe.
Nous étions assis sur le lit, Gisèle entre nous, et, je dirais presque naturellement, tout en buvant nous commençâmes à lui caresser, le dos, les épaules, les cuisses, nos doigts jouant avec les boucles de son pubis. L’attirant vers moi, je l’embrassais longuement, puis se fut au tour de Patrick. Elle passait ainsi d’une bouche à l’autre, offrant la langue, suçant les nôtres, se faisant mordiller ou aspirer les lèvres. Pendant ce temps nos mains ne restaient pas inactives et c’est surtout ses seins orgueilleux qui faisaient les frais de l’opération soupesés, caressés, pétris, elle nous offrait sa poitrine aux mamelons dardés qui avaient désormais une couleur rouge foncé à force d’avoir été roulés triturés, pincés, étirés…
Elle avait saisi un membre dans chaque main et s’appliquait à essayer de nous redonner la virilité souhaitée. Nous la renversâmes sur le lit et nous entreprîmes de lui sucer les seins provoquant chez elle des gémissements de plaisir, abandonnant les globes charnus à Patrick, je glissais entre les jambes de Gisèle, lui ouvrais les cuisses, et écartais les lèvres de son sexe et commençait à lécher la chatte ruisselante. J’introduisis deux doigts dans son intimité et concentrais mon exercice buccal sur son clitoris. Lorsqu’un troisième doigt vint s’adjoindre aux autres, ses hanches se mirent à onduler frénétiquement, elle cambra violemment et inonda de sa jouissance les doigts masturbateurs qui je retirais de l’antre ou ils étaient enfoncés pour lui donner à lécher – à près tout, puisse qu’elle semblait ne pas détester ça…
Nous décidâmes alors d’échanger les rôles, Patrick pris possession de l’entrejambe et passant par dessus mon épouse, je glissais ma verge entre seins l’invitant à me branler entre ses globes laiteux, ce qu’elle fit en se léchant les lèvres pour une invitation future.
A un certain moment je vis dans ses yeux une brève lueur de contrariété, puis les choses reprirent leur cours et je me mis sur le côté le sexe à hauteur de ses lèvres qui s’arrondirent aussitôt autour de mon gland.
A ce moment Patrick manifesta l’intention de sodomiser Gisèle et je ne m’aperçut qu’à ce moment que deux de ses doigts étaient nichés dans le conduit désiré afin vraisemblablement d’en élargir le diamètre, et naturellement je compris ce c’était cette pénétration qui semblait l’avoir contrarié. A ma plus grande surprise, elle me repoussa puis docilement ce mit en position, d’abord à quatre pattes, puis accoudée sur le lit, reins cambrés la croupe haut levée attendant la perforation annoncée. Devant mon air ébahi de tant de docilité Patrick me demanda :
’Cela ne te gène pas au moins’
Vu ce qui c’était déjà passé au cours de la soirée, je ne puis répondre que négativement, regrettant que ce soit à lui que Gisèle fasse l’offrande de ses reins et lui indiquant qu’elle n’était pas une grande habituée.
’Ne t’inquiète pas, ça va bien se passer’ me dit-il
Il acheva de lubrifier l’oeillet avec le produit de l’entrejambe de Gisèle, puis il s’approcha de la cible étroite et appuya le gland contre la corolle. Lentement je vis le membre s’enfoncer dans l’anus distendu. Je pouvais enfin assister au spectacle de ma compagne se faisant sodomiser sous mes yeux, ce qui avouons le une des mes fantasmes préférés. Malgré les précautions prises l’anneau résistait et j’entendais mon épouse haleter sous l’effort. PaTrick me demanda de la branler pour qu’elle détende, ce que je fis d’une main, l’autre s’activant sur sa poitrine. Soudain elle poussa un petit cri, et Patrick un soupir de satisfaction, le sphincter avait enfin cédé. La suite de la pénétration fut plus aisée, et je vis son sexe s’enfoncer doucement mais sans répit dans les fesses de ma femme. Il lui accorda un temps d’adaptation puis se retira pour la pénétrer à nouveau cette fois ci sans marquer d’a rrêt et bien à fond. Le fourreau étant désormais adapté au diamètre imposé, il la saisit par les hanches et entama un va et vient continu qui la comblait. Se retournant, elle lui offrit ses lèvres dont il s’empara goulûment. Puis il saisit ses seins à pleines mains pour la faire aller et venir en lui arrachant des gémissements de plaisir. De la voir ainsi se faire sodomiser et apparemment y prendre bien du plaisir me mit hors de moi et n’y tenant plus je m’enfonçais dans la bouche ouverte ou me je répandis en longs jets qu’elle ne put absorber en totalité et qui maculèrent le menton. Patrick la pistonnait maintenant sans retenue a grand coup de reins, de son coté Gisèle répondait en projetait au devant de la queue qui la taraudait. Puis elle se figea et dans une plainte ininterrompue souffla
’Ouiii, ouiii je vais jouir ’
’Par où tu vas jouir’ lui demanda t il
’Par derrière, oh oui c’est fort, je vais jouir par derrière’
’Dis-moi que tu va jouir par le cul’
’Aaaah, je vais jouir par le cul’
’ah je n’en peux plus moi aussi, je vais tout te donner’
’Tu es énorme, vas y donnes moi tout’ et ensemble ils poussèrent un râle de jouissance, elle cambrée au maximum et lui arc bouté lui inondant les entrailles.
Dès qu’il eut débandé un peu, il retira, laissant béant l’anus de Gisèle d’ou s’écoulait lentement le liquide blanchâtre témoin ultime du plaisir qu’il avait pris.
Après un léger temps de repos quelques baisers nous décidâmes de prendre congé de Patrick, et quelques ultimes caresses et quelques derniers baisers sur le corps de Gisèle enfila sa robe, négligeant de remettre sa culotte et nous prîmes le chemin du retour.
par Emile Hubert