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L'escalier de la luxure…ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! – Chapitre 3

L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! - Chapitre 3



Cette nuit là ma femme dormit très mal. Alors que j’étais rentré environ une heure après sa performance adultérine avec mon père, je sentis que Cécile faisait semblant de dormir. Je me glissai dans le lit, ma femme était tournée de son côté. Je fit bientôt aussi mine d’être tombé dans un sommeil profond, ne bougeant pas et imitant un ronflement léger mais assez convaincant.

Alors que Cécile était convaincue que j’étais bien endormi, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. J’attendis environ 5 minutes et l’y suivis discrètement. La porte n’étant que entrebâillée, je pus observer l’intérieur de la pièce sans me faire voir moi même. Et ce que je vis m’interpella quelque peu. Cécile était assise au fond de la baignoire, nue, les cuisses bien écartées reposant sur les bords, et d’une main  avec l’aide du pommeau de la douche diffusant un mince filet d’eau, elle se caressait et se masturbait en gémissant doucement.

Les yeux clos, la bouche entrouverte, se passant la langue sur les lèvres, elle rejetait sa tête en arrière en proie à un plaisir aussi intense, qu’elle se donnait langoureusement

En ayant assez vu après 2 ou 3 minutes de ce spectacle fort érotique, je revins dans la chambre et faisant à nouveau semblant de dormir, je réfléchissais à la situation présente

Ma femme s’était conduite de façon fort indigne à mon égard, me trompant avec mon propre père sous mon propre toit…mais l’essentiel n’était pas là. Cécile était une femme très intelligente, elle connaissait l’intelligence et le sens d’analyse de ma mère ainsi que ses penchants un peu spéciaux. Or en s’exhibant ainsi, vêtue d’une nuisette très courte et minaudant autour de mon père, elle savait qu’elle allait nécessairement s’attirer les foudres maternelles.

J’avais l’intuition que la personne, qui était l’objet de son fantasme durant sa masturbation, au demeurant fort étonnante puisque c’était la première fois que je la voyais faire cela, n’était pas mon père, encore moins moi ! Mais l’auteure de mes jours. Lors d’une confession de Cécile, plus tard, je devais apprendre qu’en effet mon intuition était exacte, ce n’était pas la première fois qu’elle se donnait du plaisir très discrètement, en pensant à sa belle-mère. En effet, lorsque je lui avais raconté les jeux de mes parents avec n=°9, et le sadisme non feint de ma mère, elle devait m’avouer plus tard que contrairement à sa répulsion feinte, Cécile avait éprouvé une vague de plaisir de pervers, qu’elle s’était aussitôt identifiée à la pauvre esclave sexuelle de ma mère, et qu’elle avait joui en un plaisir solitaire intense, qu’elle s’était donné aussitôt à l’abri des regards.

D’autres éléments troublants, qui me revenaient en mémoire, devaient effectivement me convaincre d’accepter cette voie de probabilité. Oh, des petits détails sans importance, qui pris séparément n’offraient que peu d’intérêt, mais mis bout à bout, donnaient un faisceau de preuves convergentes .

D’abord, pourquoi cette haine entre les deux femmes ?  S’il est vrai que ma mère déployait un caractère de chien et des mauvaises manières chez nous, d’ailleurs pour quelle raison ? Cécile et moi étions des personnes sensées, discrètes et peu revendicatives il en ressortait que sa haine en retour, presque viscérale envers sa belle-mère se justifiait peu.

Cécile aurait pu être, certes, ennuyée et mécontente, mais cela ne justifiait pas les tombereaux d’insultes et de récriminations dont elle abreuvait ma génitrice… cela c’était pour le climat de tension et de haines respectives qui régnait entre les deux femmes. Mais il y avait eu au cours des deux dernières années des petits fait anodins… étonnants vu le contexte.

Pour son anniversaire, ma mère avait tenu à acheter de la lingerie à ma femme, et la séance d’essayage en cabine avait duré un certain moment. Alors que ma mère avait tenu à ce que je les accompagna, mon ennui et mon impatience n’avaient fait que croître. Alors, au bord de la rupture nerveuse, j’avais un peu tourné dans les autres boutiques de la galerie marchande. Alors que j’étais revenu et que j’attendais bien sagement prés de la cabine d’essayage, je m’aperçus que ma mère y était enfermée avec ma femme, et que les deux femmes semblaient essayer des modèles en même temps, accompagnés de force éclats de rire et gloussements divers. La pensée de ma mère en petite tenue, faisant essayer des ensembles de lingerie à sa belle fille, sans doute nue, avait enflammé mon imagination fertile… pourtant quelques jours après son anniversaire, le climat s’était à nouveau tendu entre les deux femmes, ma mère se laissant à dire que : voilà ce qui arrivait quand on avait trop de générosité à l’égard de petites dindes sans cervelle, qui ne le méritaient pas !

Une autre fois, alors que nous étions à la plage avec mes parents, ma femme avait reçu un fort coup de soleil sur les omoplates. Alors qu’elle était ennuyée pour se passer de la crème solaire, ma mère se proposa pour lui en mettre. Cette sollicitude inaccoutumée à son égard m’étonna beaucoup. Cécile, allongée sur le ventre, se laissa faire. Ma mère dégrafa son soutien gorge, qu’elle fit glisser vers ses fesses et délicatement commença à passer la crème sur le dos de Cécile, ainsi que sur les côtés. Je pouvais voir ses mains toucher subrepticement ses seins, tandis que Cécile, les yeux clos ne disait rien

Sur toutes ces réflexions le sommeil me prit, et je me levai très tôt alors que tout le monde dormait.  Déplaçant ma voiture, comme pour partir au travail, je revins en réalité sur la pointe  des pieds et me cachai dans le placard à balais qui donnait sur la cuisine. Connaissant très bien ma mère, j’imaginais, peut être à tort, que sa vengeance s’exercerait sur ma femme, dès son réveil

Alors j’attendis longtemps, très longtemps et je ne pouvais même pas fumer une clope ! Il était 7h00 quand je pris place dans le compartiment exigu et 10h00, quand arriva ma femme bientôt suivie de mon père dans la cuisine. Celui ci dit poliment bonjour de loin à Cécile, qui s’en étonna quelque peu.

Et puis ma chère mère, Josiane vint les rejoindre. Elle ne répondit pas au bonjour envoyé par Cécile, alors qu’elle faisait la vaisselle. Par contre elle se dirigea silencieusement vers sa belle-fille, les mains dans l’eau de vaisselle, et lui passant directement la main entre les cuisses pour lui doigter la vulve elle s’écria :

Alors petite pute, toujours pas de culotte, ma chère bru ?

De surprise, Cécile eut un haut-le-corps… elle allait répliquer à sa belle-mère, mais elle n’en eut pas le temps. Josiane lui plaçant la deuxième main sur la nuque, lui plongea directement la tête dans l’évier et le bac à eau de lessive; ma femme, le visage dans l’eau ne pouvait plus articuler quoi que ce soit

Je vais t’apprendre à me provoquer avec tes tenues indécentes, la drague auprès de mon mari et les exercices érotiques qui s’en sont suivis, petite salope ! Cette petite plongée te remettra les idées en place… après je vais te faire payer l’affront à ma personne ! J’espère que tu aimes le fouet, parce que tu vas en tâter !

Le moins que l’on puisse dire c’est que ma mère avait le sens du commandement décidément cela commençait très fort. Je ne regrettais nullement mes 3 heures d’attentes dans ce placard à balais !

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