Mélanie était justement l’une de ces filles qui allaient bientôt atteindre l’age de 19 ans. Plus qu’une petite semaine la séparait de son destin. Cela faisait trois ans, trois longue, très longue années qu’elle attendait cela. Les dires de ses aînées l’avaient tant émoustillée… elle n’en pouvait plus, elle trépignait d’impatience, d’autant plus que son entourage avait consacré les semaines qui précédaient à la chauffer à blanc, sans possibilité de jouir. On lui avait retiré tout ses vêtements, la dernière semaine devait être signe d’une renaissance, d’innocence, de pureté ; et rien n’était plus pur que la nudité. Par ailleurs, cette nudité permettait de laisser cours aux attouchements les plus impromptus. C’était toujours la même histoire. On observait ces jeunes femmes nues dans les rues des villes, inciter les hommes à les caresser, à les faire jouir. Et ces derniers, vicieux, s’amusaient de la situation n’accordant ce privilège qu’aux plus suppliantes de ces apprenties putains.
Mélanie n’était pas différente des autres. Elle avait continuellement la chatte en feu. Elle offrait sa chatte à tout ce qu’il y avait de masculin autour d’elle. Mais, seuls les marginaux, les pervers et les sdf, lui accordaient, parfois, la faveur de la toucher.
Le premier jour de cette fatidique semaine, elle avait commencé à rédiger un journal :
Lundi : Ma chatte va exploser. Hier, on m’a attachée à un panneau de signalisation, jambes écartées, chatte offerte. Un mec a amené son chien à ma hauteur et lui a fait lécher mon cul. En fin de journée on m’a détachée et j’ai jouis libérant des flaques de plaisir.
Mardi : Aujourd’hui, il fait froid, je ne porte rien d’autre que des chaussures à talons. Mes tétons pointes tellement qu’ils me font mal. J’ai envie qu’on les étire, qu’on les caresse, qu’on les maltraite, qu’on les touche.
Mercredi : il fait encore plus froid que la veille, mes tétons n’en peuvent plus de supplier. J’aimerai que l’on vienne traire mes mamelles.
Jeudi : un congolais m’a défoncé le cul, pendant que je dormais, attachée à mon panneau de signalisation. J’ai tellement mal et je suis tellement excitée. Je ne comprend pas ce qui m’arrive. J’aimerai qu’on me viole, pour jouir enfin.
Vendredi : Je commence à aguicher sérieusement la moindre personnes qui s’approche de moi. Homme/ Femme, je m’en fiche. J’ai envie de hurler : " Laissez-moi jouir ! " Mais la boule de geisha que l’on m’a installée me l’interdit. J’écarte les jambes le plus possible pour que l’on me touche.
Samedi : enfin, la délivrance n’est pas loin. Demain, je vais morfler, mais, je n’attend que ca ( Je me mets à penser comme une salope !) J’ai envie qu’on me prenne, qu’on m’utilise, qu’on me prete, qu’on me loue, qu’on mexhibe. J’ai envie qu’on me remplisse, qu’on me souille, qu’on me marque, qu’on me frappe.
Dimanche : Ça y est ! Le jour que j’attendais depuis si longtemps est arrivé. Je suis débout depuis l’Aube. Les invités sont arrivés tous vêtus élégamment. Des hommes pour la plupart. Des collègues de mon pères, des amis de ma mère, des voisins. Je vais me prendre des queues et je sais qu’il faudra que je les savourent car celles qui viendront par la suite seront, pour sûre, d’un pedigree moins élevé.
C’est ma mère qui ouvre la cérémonie. Elle est magnifique dans son ensemble rouge ( signe qu’elle à atteint un grade de salope supérieure) Elle parle durant de longues minutes et moi je suis nue au milieu de l’assemblée. On me dévisage, je le sens, on me touche, on m’enfonce des doigts. Ce moment dure longtemps. Il doit être humiliant pour moi. J’avais entendu parler de cela. Et, c’est réussi. Je me sens humiliée.
Viens le tirage au sort qui désigne à chacun l’orifice auquel il aura droit. J’en aurais 50 pour la chatte, 30 pour le cul et 40 pour la bouche. Les coups sont rapide et les queues se succèdent. J’ai l’impression dêtre à l’usine, mais nous ne disposons pas de beaucoup de temps. Il faut que dans trois heures, la cérémonie soit achevée. Je crie, je hurle, je bave à n’en plus pouvoir. Je jouis sans discontinuer. Je suis ouverte de part en part, je dégouline de foutre, j’ai la bouche pleine de pisse. La séance prend fin, j’avale les dernières gouttes et tombe repus à même le sol. Ma mère me tend d’une main amicale, le manuel que je vais devoir potasser et qui contient toutes les règles qui régente la vie des bonnes salopes.