Cela fait déjà un si long moment que nos relations incestueuses avec mon fils ont débuté, que maintenant, nous faisons lit commun.
Il est allongé nu à côté de moi, il somnole.
Pendant de longues minutes, je contemple son corps musclé de jeune adulte, je ne peux m’empêcher de faire glisser ma main sur ses pectoraux et de jouer délicatement avec ses tétons, je les roule doucement entre mes doigts, les bouts deviennent durs rapidement.
Malgré son sommeil, Marc soupire fortement.
Je délaisse sa poitrine pour caresser son ventre, mes doigts sont maintenant dans sa toison crépue, je frôle son membre à maintes reprises, lentement l’engin se lève, je le prends très doucement dans ma main et le masturbe lentement, à chaque descente de mon poignet, je décalotte le gland, des perles de rosée s’échappent du méat.
Je pose mes lèvres sur le cèpe royal et lape le nectar qui suinte, mon fils commence à gémir.
De ma main libre, je lui caresse les bourses, les triture délicatement, ma main descend encore un peu, mon majeur tourne sur son illet.
Je nappuie pas trop fort, ma première phalange s’enfonce comme aspirée par le rectum.
Mon fils se cabre, mais n’ouvre pas les yeux, mon doigt progresse dans la gaine étroite, je tourne et fais quelques petits va-et-vient.
La bite de Marc devient dure comme du béton, ma main la branle toujours et ma langue joue avec son cèpe violacé.
Je retire mon majeur et y joins mon index.
Je les place sur la rosette légèrement entrouverte et appuie comme par enchantement, ils sont aspirés.
Mon fils se cabre, il a un sourire pointe au coin des ses lèvres, je pousse plus fort, mes doigts sont en lui jusqu’aux dernières phalanges.
Il grogne, mais dort toujours, sa bite est de plus en plus grosse.
Je la branle de plus en plus rapidement, Marc se raidit et envoie plusieurs jets puissants, son ventre et ma main sont englués de sperme épais.
Mes doigts le sodomisent encore un moment, ce qui a pour effet de le faire gicler davantage.
Avec ma langue, je m’évertue à nettoyer le gland gluant.
Marc dort toujours, je l’enjambe et dirige sa bite encore tendue contre ma chatte moite, je la frotte contre les grandes lèvres de mon vagin, je commence à mouiller comme une chienne, je m’empale doucement sur le harpon de chair jusqu’à la garde.
Je commence à onduler sur le pal puissant, mon corps monte et descend sur la colonne de chair.
Mon fils geint dans son sommeil, il râle comme un animal en rut.
Instinctivement, il s’agrippe à mes hanches, à chaque descente de mon corps, il tire sur mes hanches pour que l’empalement soit total.
Je pousse de petits cris que je tente d’étouffer avec ma main.
Soudainement, je pousse un hurlement terrible, ma jouissance est si fort que je tombe sur le torse de mon fils qui sursaute et ouvre les yeux.
Oh, maman, j’ai cru que je rêvais, nous avions fait vraiment l’amour ?
Oui mon chéri, te voir ainsi, je n’ai pas pu me retenir !
Ouah, maman, tu es insatiable !
Je vais à la fac, s’il te plaît, tu peux faire mon petit-déj:
Oui mon chéri, je vais préparer ça !
Je fonce dans la douche et me lave rapidement, je prends pour me couvrir ce qui me tombe sous la main, c’est une veste de kimono, je l’enfile et me dirige vers la cuisine.
Mon fils arrive un instant après, il est souriant, soudain, il pousse un sifflement.
Ouah maman, tu fais de la provocation avec ton kimono ?
On voit tes fesses !
Il s’approche et me caresse les fesses.
Tu as un sacré cul maman, hummm comme je t’aime !
Lentement, sa main descend dans ma raie, ses doigts jouent avec mon anus.
Je me contracte légèrement.
Un doigt s’insère profondément dans mon rectum et le ramone doucement.
Humm, comme tu es brûlante mon amour de maman !
C’est toi qui me rends dingue mon chéri !
Il retire l’intrus qui me fouille, le coquin a déjà sorti sa queue, il la frotte contre mon anus puis la dirige contre ma chatte qui suinte déjà.
Un léger coup de reins suffit pour s’enfoncer dans mon cratère en pleine irruption.
La chevauchée est terrible, la bite coulisse aisément dans mon conduit lubrifié naturellement, ma cyprine est abondante, rapidement, je geins de plaisir.
Les assauts sont redoutables, les coups de reins puissants de mon amant me font délirer de bonheur.
Il ressort entièrement son engin de ma chatte et la replonge violemment.
Mes gémissements l’excitent, il accélère en grognant, il me donne quelques claques violentes sur les fesses pour que j’agite plus vite ma croupe.
Ses couilles frappent mes fesses à chaque enfoncement de son pieu en moi.
Je couine comme une truie, je me crispe et pousse un cri terrible de jouissance, ma cyprine gicle abondamment contre le meuble d’évier.
Mon fils continue de me défoncer avec son pal large et épais, il grince des dents, grogne comme un animal et explose.
Sa semence est projetée au plus profond de mes entrailles.
Rapidement, il retire sa bite gluante de ma chatte et la place contre mon anus, il donne un coup de reins violent et s’enfonce jusqu’aux couilles dans ma gaine anale.
Je serre les dents, mais ne rechigne pas à la violente sodomie qu’il me fait subir, au contraire, j’agite ma croupe et reprends mes râles de bête blessée.
La bite puissante qui uvre dans mon canal me donne un plaisir intense.
Marc s’arc-boute et envoie sa semence dans mes entrailles, c’est comme une douce chaleur qui me traverse le corps.
Il accélère le rythme, je halète et souffle fortement, ma respiration est rapide, mon souffle est court.
J’ouvre la bouche et pousse un hurlement terrible, ma cyprine est projetée avec force, ma jouissance est très forte, surtout bruyante.
Nos corps se désaccouplent, je me retourne pour faire face à mon fils, je tombe à genoux et prends d’une main sa queue gluante et aspire le gland, je tète longuement, je veux qu’il me remplisse la gorge de son sperme suave.
Je triture les couilles velues, pendant que je suce avec force la bite épaisse.
Marc se cabre et envoie au fond de ma gorge ce que je désire avec tant de force.