Je décidai de laisser la fourgonnette pour marcher afin de ne pas me faire repérer. J’avançais au milieu des fougères quand j’entendis des bribes de paroles. Je faisais attention où je mettais les pieds pour ne pas marcher sur une branche et prévenir de ma présence. Au fur et à mesure que j’approchais, les sons étaient plus précis et je reconnus la voix de Marine. Je me tenais à une trentaine de mètres, peut-être moins quand je les vis, elle et son copain. Parlons-en du copain : il devait avoir entre 35 et 40 ans, un frimeur à la voiture de sport qui a séduit une jeune fille de 18 ans, à peine adulte, encore ado. Je me baissais au pied d’un pin, caché derrière le tronc et masqué par une multitude de fougères. Marine était appuyée sur le capot de la bagnole, les seins à l’air et se faisait peloter et embrasser par ce type. Il lui murmura quelque chose. Marine sourit et approcha sa bouche de la sienne. Alors qu’ils se roulaient un patin, Marine s’occupait de défaire le pantalon de son amant. Le vêtement tomba sur ses chevilles. Elle fit de même avec son caleçon, avant de saisir sa queue à peine dressée, comme s’il était blasé, habitué. Le baiser s’arrêta là, Marine s’accroupit devant son mec et commença à le sucer. Le mec leva la tête au ciel et appuya sur la tête de Marine pour qu’elle l’avale bien, jusqu’au fond. Il avait l’air de savourer, comme moi quelques minutes avant lui. Je décidai de me rapprocher encore un peu, à 4 pattes au milieu des fougères, presque rampant, je gagnais une bonne dizaine de mètres avant de me poster au pied d’un autre arbre. De mon poste d’observation je pouvais voir la scène et entendre distinctement. Le type dit :
"- Tu suces bien ma chérie. T’es une gourmande, une vraie bouffeuse de bite."
Marine descendit sur ses couilles qu’elle lécha à grands coups de langue avant de remonter sur le gland violacé.
"- Relève-toi, je vais te la mettre."
Marine se redressa, enleva son short et son dessous, les faisant glisser en une seule fois et se coucha sur le capot. Le mec lui ôta ses tennis de toile et lui embrassa les pieds. Puis, les jambes de Marines appuyées sur lui, les pieds à hauteur d’épaules, il pénétra la chatte de cette cochonne. Son sexe durci et tendu, contrairement à tout à l’heure, avait presque doublé de volume ; et c’est une grosse queue qui entrait et sortait de ce vagin. Marine ne retenait pas ses cris, se croyant seule avec son amant qui lui embrassait les chevilles de temps à autre. Ses seins ballottaient, emportés par le mouvement.
"- Han ! Han ! Baise-moi vieux salaud ! Vas-y, plus fort !"
Ces mots sortis de la bouche de Marine achevèrent de changer son image à mes yeux. La petite fille sage était devenue une jeune femme, cochonne à souhait. Je l’avais remarqué quand on baisait dans la camionnette, et la scène à laquelle j’assistais, ne faisait que le confirmer. Je me remémorais les aventures que j’avais eu aux Etats-Unis. Les nord américaines sont assez cochonnes et il m’était arrivé d’en baiser des qui passaient entre les bras de plusieurs mecs au cours d’une même soirée. Je me souvins de Jenny que j’avais baisée dans sa chambre d’étudiante. Je la connaissais pourtant depuis moins d’une heure. Pendant que je la pénétrais, elle criait :
"- Yes, fuck me frenchy ! Fuck my pussy ! Oh yes darling !"
Quand j’étais sorti de sa piaule, 3 mecs attendaient leur tour en file indienne, la bière à la main devant la porte. C’était comme un jeu. En voyant Marine baisée par cet inconnu après moi, j’eus l’impression que c’était aussi un jeu pour elle. Quand à moi, j’étais envahi d’une sensation étrange, mêlant excitation et jalousie. L’image de la petite soeur avait disparue. J’avais envie d’être à la place de ce type. Mon pote David n’existait plus, seule sa soeur occupait mon esprit. Le gars avait accéléré son pilonnage et en conséquence, la belle ses cris. Puis vint le moment où ce veinard éjacula. Il se branla comme un fou au-dessus du ventre de Marine, l’inondant copieusement en disant :
"- Tiens, c’est pour toi, tu l’as mérité pouffiasse !"
"Quel salaud" pensais-je. Même si je l’avais insulté pendant qu’on baisait tout à l’heure, je ne le pensais pas. Mais là, les mots sortis de la bouche de ce mec avaient une résonance nauséabonde. Puis, Marine se redressa et l’autre lui dit :
"- Comme je t’avais dit, j’ai parlé de toi à mon pote. Il est intéressé pour te baiser contre rémunération. Je l’appelle pour qu’il nous rejoigne ici."
J’étais stupéfait. Ce type qu’elle prétend être son mec, invite son ami pour la baiser et la payer. Marine se prostitue. Quelques minutes passent pendant lesquelles, le couple reste silencieux. Marine s’est nettoyée et commence à se rhabiller quand l’autre lui dit de rester nue. Soudain une voiture arrive et se gare. Ce n’est pas 1 mec mais 2 qui en descendent. Le visage de Marine a changé et s’est renfermé.
"- T’avais dit un pote qui c’est l’autre ? (demande-t-elle interloquée)
— T’inquiète, c’est son frère. Ma chérie je te présente Lionel et Patrice.
— T’avais raison, elle est bonne cette fille."
Les 2 nouveaux ont approximativement le même âge que le premier. Celui qui vient de parler commence à toucher ses seins. Marine ne bronche pas.
"- Alors, t’aimes la bite ma jolie ? Tiens en voilà une."
Il s’assied à coté d’elle sur le capot, sortit sa queue et la lui présenta.
"- Vas-y ma chérie, pompe mon ami. Il est en manque depuis que sa femme l’a quitté."
Marine commença à s’exécuter, timidement, puis se mit sérieusement à l’ouvrage. Le 3ème mec s’était penché devant elle pour la lécher. Quant à celui qui était censé être son copain, il se branlait en regardant la scène. Le tête à tête amoureux était devenu une partouze que je désapprouvais totalement. Mais je ne pouvais pas intervenir. Marine était consentante. Un des gars étala un drap de bain gigantesque sur le sol sableux couvert d’aiguilles de pins. Marine s’y installa, bientôt rejointe par les 3 types désormais nus. Alors qu’elle en suçait 2, le troisième la branlait et la léchait, lui provoquant de petits cris, la bouche pleine. Les autres commentaient bêtement.
"- Elle aime ça la salope. 3 queues bien expérimentées pour elle.
— T’avais pas menti Roger, elle suce bien ta Laurine.
Quels cons ces mecs ! Ils connaissent même pas son prénom. Ils n’en ont rien à foutre d’elle. Elle se mit à 4 pattes. Roger la prit en levrette tandis qu’elle suçait toujours, alternativement les 2 frangins. Puis, l’un des frères se coucha et elle vint le chevaucher sous les yeux des 2 autres. Marine jouait le jeu mais ne semblait pas pour autant prendre du plaisir. Gémissant de temps en temps, rien de plus. Cela commença à exaspérer les mecs.
"- T’as pas l’air heureuse. C’est nous ? On est pas à la hauteur ? (demanda sèchement un des frères)
— On va passer à autre chose." (ajoute le second frère)
Il pousse Marine vers l’avant, se place derrière elle et lui fourre sa queue dans son anus ; et voilà Marine prise en sandwich. Le mec du dessous lui léchait les tétons. La belle Marine cria tout ce qu’elle pouvait :
"- Non ! pas là ! Tu m’fais mal salaud !"
Celui qui était dans son cul reprit :
"- T’es vierge du cul ?!
— Laisse tomber Lionel. Baise-là normalement. Fous la paix à son cul." (intervint Roger)
Le type sortit sa queue du cul de Marine avant d’ajouter :
"- Cette petite pute vaut pas une vraie femme. Elle est trop jeune et connaît rien. Elle vaut pas Dominique ! Elle c’était une vraie salope !
— On finit et on se casse." (dit son frère)
Ce dernier sortit sa queue du con de Marine, se releva, et se branla au-dessus de son visage, bientôt rejoint par ses 2 compères. Marine resta sans bouger, soumise à son sort, comme un condamné face à un peloton d’exécution. Les 3 branleurs éjaculèrent à peu prés en même temps, inondant son joli visage de foutre blanc et jaunâtre.
"- Régale-toi petite pute."
Puis les 3 types se rhabillèrent. Avant de partir, Roger jeta au visage de Marine un billet de 10 euros.
"- C’est tout ce que tu mérites.
— Tu es trop généreux Roger, moi je lui donne rien. Elle nous a fait perdre notre temps." (dit Patrice)
— Oui, la prochaine fois prends en une plus âgée. Ces lycéennes sont juste bonnes à rouler des pelles." (ajouta son frère)
Les 3 montèrent dans leurs voitures et démarrèrent, créant un nuage de poussière de sable, achevant de salir Marine qui n’avait pas bougé de son drap de bain, couverte de sperme.
Je me précipitais hors de ma cachette et courus vers elle.
"- Marine !
— Bastien ! Qu’est-ce que tu fais là ?"