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Soirée entre amis – Chapitre 2

Soirée entre amis - Chapitre 2



Mia –

On est dimanche après-midi et Jérémy est parti tôt ce matin courir un marathon. J’ai la journée pour moi. Après une grasse matinée bien méritée, et une frugale collation, je profite de ce moment de liberté pour zoner dans l’appartement et faire toutes les petites choses que je n’ai pas le temps de faire en semaine.

On frappe à la porte. Je m’approche et vérifie à l’illeton l’identité de l’intrus qui ose me déranger en plein ménage. Kenny. Instantanément, des images se bousculent, souvenirs de notre plan à trois, tandis que mon bas-ventre s’enflamme, réclamant un second round. Je réprime un frisson de désir. Avec Jérémy, nous n’avons pas négocié de suite, et il me semble que les choses sont plutôt claires : maintenant que Marie a accouché, Kenny n’a en théorie plus de palliatif à trouver…

Je me décide enfin à lui ouvrir la porte.

Kenny –

L’attente m’a paru interminable, mais enfin Mia apparaît. Je suis juste venu demander du gros sel, mais en un instant j’ai totalement mis ma requête de côté. Cette femme ne se rend vraiment pas compte de son pouvoir d’attraction : elle porte un petit short, dévoilant ses cuisses musclées, et surtout un débardeur aux larges emmanchures, sans soutien-gorge.

Impossible de ne pas laisser mes yeux parcourir son corps, admirer sa peau nue. Je sens une bosse se former sous mon jean, c’est juste plus fort que moi. Elle ressent mon trouble, et machinalement, son regard se porte sur mon entrejambe. Nous n’avons toujours pas échangé un mot lorsque nos yeux se croisent. Je fais un pas en avant.

Mia –

Je deviens rouge de honte en prenant conscience de l’indécence de ma tenue. Rouge de honte… ou de désir, je ne sais plus. Je suis comme paralysée, incapable de lui dire ne serait-ce qu’un mot. Par erreur j’ai deviné son érection, et je n’ai plus qu’une envie, qu’il me prenne.

Heureusement, il prend l’initiative d’avancer, claque la porte… et me plaque contre le mur. J’en ai le souffle coupé. Il me soulève, je l’enserre de mes jambes, et sans attendre il fouille ma bouche de sa langue. Il n’y a aucun romantisme dans son baiser, juste de la passion pure. Je sors ma langue et lèche avidement tout ce qui se présente : langue, lèvres, bouche, menton. C’est n’importe quoi, tout sauf le meilleur baiser de ma vie, et pourtant j’y prends un plaisir fou. Nous nous donnons entièrement à l’autre, sans réserve.

Kenny –

Waouh quel baiser ! Je n’ai jamais connu une langue aussi aventureuse, aussi gourmande, et je n’en peux plus, mon jean va exploser, il faut que je passe la seconde. Je remets Mia sur ses pieds, et la retourne sans ménagement. Automatiquement ses mains viennent prendre appui contre le mur, me donnant un accès parfait à mes seins. Je ne m’en prive pas, mes mains s’engouffrent par les larges ouvertures de son haut, et malaxent ces magnifiques globes de chair, pleins et doux. Je les serre l’un contre l’autre, tout en plaquant son bas-ventre contre ses fesses.

Un râle de surprise lui échappe, alors que je l’écrase contre le mur, tout à mon désir.

Mia –

Il m’emporte sur le canapé. Je m’y écrase sur le dos. Le moment est fort, parfait, et je ne pense pas à prendre d’initiatives tant ses élans comblent mon désir. Il arrache mon short, mon string et mon haut. Il en fait de même de ses vêtements, dans une urgence fiévreuse. Sa queue jaillit, dure comme du béton. Il relève mes jambes, et vient littéralement me manger la vulve. Quelques secondes lui suffisent pour s’assurer que je suis complètement inondée. Il soulève mes hanches, et seules mes épaules et ma tête reposent désormais sur le sofa. Mes pieds sont quelque part au-dessus de ma tête, mes fesses pointent vers lui, toute mon intimité offerte. Il est debout, il me surplombe de toute sa hauteur.

Je vois Kenny corriger péniblement l’orientation de sa queue pour l’approcher de mon sexe. Il frôle quelques secondes mon clitoris et je crie, prête à bondir. Il me pénètre enfin, d’un coup sec, me remplissant entièrement. C’est complètement fou, j’ai l’impression d’être déjà prête à jouir. Il se met à me pilonner sans vergogne, me prenant comme dans un porno. Et comme dans un mauvais film, je hurle à chaque entrée. Son gland frotte inlassablement contre mon point G, me rendant complètement folle.

Kenny –

Rhhhaaa quelle baise incroyable ! Je crois que j’ai débranché mon cerveau. Ou alors seul le reptilien fonctionne encore… Je baise Mia sauvagement, et elle m’accompagne de ses hanches et de ses cris. Ses seins qui ballotent vont me rendre fou, c’est certain ! A moins que ce ne soient les clapotis de son vagin ravagé par mon chibre. L’excitation est trop forte, je sens que je vais venir, mais j’ai trop envie de jouir dans sa bouche.

Je la relâche, elle tombe à genoux au pied du canapé, son doux visage rougi par l’effort à quelques centimètres de ma queue.

Mia –

Il n’a pas besoin de parler, je sais très bien ce qu’il veut, et mon dieu comme j’en ai envie ! J’empoigne sa verge à pleine main et gobe son gland. Progressivement je me détends et enfonce son sexe tout au fond de ma gorge. Les mains sur ses fesses, je me mets à le pomper avidement. Il ferme les yeux, entrouvre la bouche, et un long râle d’homme préhistorique s’en échappe. Je le sens se raidir, s’immobiliser.

Je ne sais pas pourquoi mais je me retire, le regarde et lui offre comme à Jeremy quelques semaines plus tôt de jouir sur mon visage. Pourquoi ?

Peut-être y ai-je pris goût Il jouit à longs traits et je reçois son offrande, les yeux fermés. La grande majorité atterrit tout de même dans ma bouche, et je le bois avec gourmandise. Le reste a maculé mes pommettes et mon menton.

Alors que je tente de récupérer mon souffle, il se penche sur moi, récupère de sa langue ce qu’il peut et m’embrasse langoureusement. Nous fusionnons, incrédules de notre furieuse séance de baise.

Il me replace sur le canapé, me pénètre de deux doigts et se met à me branler frénétiquement. A chaque entrée son pouce vient toucher mon clitoris. Des décharges électriques parcourent mon corps, et telle une poupée de chiffon je m’en remets à sa masturbation démente. Soudain je sens que je ne contrôle plus mon corps. Secouée de convulsions, j’explose, femme fontaine.

Sans le savoir, après le plan à trois, il vient de réaliser mon second fantasme. Je suis comblée.

Kenny –

Oh ! Je suis ravi et surpris de voir Mia m’asperger de cyprine, dans un orgasme manifestement très intense. Je me jette sur elle et lui boit la vulve, les cuisses, le ventre, lui mange les seins, dégustant ses mamelons, ses tétons. Je me couche sur elle et l’embrasse indéfiniment. C’est peut-être la dernière fois que nous vivons cela, la dernière fois que je caresse son corps, que nous faisons l’amour.

Je me sens redurcir. Petit à petit j’ajuste nos positions, et la pénètre lentement, centimètre par centimètre. Elle m’accueille, m’enserrant de ses bras.

Je la lime tout doucement, à cent lieues de la sauvagerie de tout à l’heure.

Je m’immobilise un instant et nous sentons une vague de plaisir monter puis s’éteindre.

Je reprends mes va-et-vient, puis me stoppe à nouveau. La vague renaît puis disparaît. Je recommence, et c’est à chaque fois un peu plus fort, plus long. Je sens les ongles de Mia se planter dans mon dos, impatiente.

Nous finissons par venir, dans une nouvelle vague qui semble elle ne jamais vouloir s’éteindre. Je jouis, à sec tellement je me suis vidé dans ma bouche.

Tendrement enlacés, trempés de sueur et de cyprine, nous laissons ce moment parfait s’éterniser, insouciants. L’heure des conséquences viendra, mais il n’est pas temps d’y penser…

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