Je vis avec un tyran, un monstre entre les jambes.
Depuis la puberté mon sexe m’a toujours posé des problèmes tant il est énorme. Vous allez sans doute ricaner, il faut vraiment le voir pour s’en persuader, c’est un énorme bras de chair veinée, odorant et très large, presque une troisième jambe qui m’encombre et qui semble doué de sa volonté propre, paniquant mes camarades de football dans les vestiaires et faisait fuir les filles lors de mes rendez-vous galants. Le monstrueux appendice a pris ma vie en otage, grossit quand ça lui chante et déchire les coutures de mes jeans au passage. Personne ne m’a jamais satisfait sexuellement, et pour me soulager je dois m’y mettre à deux mains, et c’est loin dêtre satisfaisant, le monstre n’est jamais content. Il en faudra beaucoup plus pour rassasier une telle bête ! Il me harcèle, jour et nuit, réclamant ce que personne ne peut lui donner : une chatte, un trou à sa taille, la pénétration totale, un coït satisfaisant rien qu’une fois ! Je garde encore un souvenir ému des quelques rares fois où j’ai pu pénétrer quelqu’un plus loin que le gland, c’est dailleurs lors d’une de ces occasions mémorable que j’ai conçu mon fils Mathéo. Ce fut les plus belles années de ma vie lorsque cette magnifique femme accepta de me prendre pour époux malgré tout, lorsque j’ai pu fonder une famille. Malheureusement, le monstre précipita aussi mon divorce, ma femme n’en pouvant plus que je la harcèle avec mon sexe insatiable. Et comment pourrais-je lui reprocher?
Si je ressasse tout ça cette nuit c’est parce que le Monstre me tient éveillé une fois de plus. Je me tourne et retourne dans mon lit sans trouver le sommeil. Je me suis masturbé déjà 3 fois sans réussir à le calmer, le monstre est toujours dressé entre mes jambes, réclamant une baise. Et pas avec n’importe qui, il a choisi sa proie. Fatigué de lutter je n’y tiens plus et finis par me lever, le sévère manque de sommeil doit perturber mon jugement mais à ce moment là je ferais tout pour apaiser le monstre et le faire taire. Je prends une bouteille de lubrifiant dans mon chevet puis marche jusquà la chambre de mon fils. Le brave garçon dort paisiblement sur le ventre, il faudrait être un monstre pour le réveiller.
Oh putain regarde moi ce cul sous la couverture! Vas-y, saute lui dessus et baise le !
Mon sexe se déploie, toujours plus gros, démon tentateur contre lequel je devrais lutter. La main tremblante je l’enduis de lubrifiant, j’hésite encore une seconde puis je pose la main sur l’épaule de mon fils pour le sortir du sommeil.
Mathéo, réveille toi ! J’ai vraiment besoin que tu fasses quelque chose pour moi !
Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le !
Uh ? Quoi ?? Papa ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le ! Baise-le !
Je m’allonge sur lui pour lempêcher de se redresser, le souffle court, je le regarde dans les yeux, j’approche mon visage du sien jusquà ce que ma barbe chatouille son menton et que nos respirations se mêlent.
Mon fils, tu sais que je t’aime n’est-ce pas ? Je dois te demander de faire quelque chose pour moi, quelque chose que personne n’a jamais été capable de faire ! J’aimerais te dire que je suis désolé mais…
Qu’est-ce que tu veut Papa ? Qu’est-ce que OH !!
Mon fils vient de prendre toute la mesure de la situation, son père est nu au dessus de lui avec la plus incroyable des érections. Le pauvre est estomaqué par la taille grotesque de l’engin, et vient le tâter à deux mains pour vérifier lhallucination, ce contact avec lui m’électrise, le monstre réclame, alors je pose mes lèvres sur celles de mon fils au même moment ou le monstre se glisse entre ses fesses et le pénètre. Le brave gamin me mord la lèvre de surprise mais narrête pas notre baiser pour autant, mon gland entier le pénètre bientôt, comme c’est facile ! Je suis aussi fier que surpris ! Tout en continuant à m’enfoncer, ma main cherche la bouteille de lubrifiant. J’en recouvre mon sexe comme on asperge une volaille rôtie. Je continue à m’enfoncer sans problème, incroyable ! Le gamin est toujours agrippé à mes lèvres, notre baiser nous plonge dans une transe, un état second qui permet à nos corps leur fusion impossible. J’ai du mal à réaliser, à comprendre, la chatte de mon fils semble parfaitement adapté à la taille du Monstre, juste assez étroit pour que cela soit délicieux. Je continue à progresser implacablement dans les entrailles de Mathéo. Lorsque la pénétration est complète je marrête un instant, contemplant la situation. Cet acte terrible, cet inceste irrépressible, me permet pour la première fois d’expérimenter une baise normale. Savourant son corps, je le caresse et le lèche tandis qu’il gémit sous l’extase de la pénétration.
Le monstre commence alors des va-et-vient, je n’avais jamais connu cela ! Cette baise est de bien des façons une première fois pour moi. Pour nous ? Mon énorme queue coulisse dans son petit trou qui maccueille sans difficulté ; la différence de taille entre nos deux corps est surréaliste, j’ai peur dêtre en train de rêver. Mais le corps haletant de mon fils en dessous de moi est bien réel. Et ce sont ses murmures d’encouragements que j’entends, ses doigts sur ma poitrine velue que je sens, nos odeurs de sueurs et de foutre qui se mêlent sur nos peaux pour créer un cocktail explosif d’érotisme. Le monstre s’énerve, ivre de plaisir, il devient brutal, s’enfonçant de plus en plus vite dans les entrailles de mon fils bien aimé. Mes hanches, mes reins, mes abdominaux, tout mon corps est mis à partie pour pistonner son cul de plus en plus violemment. Le garçon crie et se tord de plaisir lorsque l’orgasme latteint. Sentant ses muscles se convulser autour de ma queue je jouis à mon tour, déversant mon foutre dans ses entrailles et me crispant à mon tour en grognant comme un ours. Mes derniers coups de reins sont si violent qu’un instant j’ai peur de briser le corps de mon fils sous mes coups de boutoir. Puis le calme arrive, la vague de l’orgasme se retire et nous nous écroulons tout deux sur le lit trempé de sueur et de foutre. Le souffle court nous nous embrassons.
C’est enfin apaisé que je me détends sur le dos, attendant que ma respiration se calme. Mathéo se repose contre moi, la tête sur mon épaule, glissant ses doigts dans la toison de mon torse. J’essaye de faire sens de ce qui vient de se passer…
Tu étais vierge mon fils ?
En quelque sorte, oui…
En quelque sorte ??
Et bien tu es le premier homme à me pénétrer comme ça mais je me suis déjà mis pas mal d’objets dans mon petit trou…
Je peux le voir qui rougit en me parlant, c’est à la fois attendrissant et diablement bandant. Dailleurs ça réveille le monstre qui se redresse entre mes jambes. Je cajole mon fils pour le rassurer et encourager ses confessions. Lorsqu’il reprend la parole je sens ses petites mains sur ma queue, essayant dexciter le Monstre.
Papa, ce que je vais dire est un peu bizarre mais… Tu sais j’ai comme une petite voix dans ma tête, elle ne me laisse pas tranquille et elle m’empêche de dormir tant que je n’ai pas… joui du cul ? Est-ce que c’est comme ça qu’on dit ? En tout cas c’est comme ça que je le ressens ! Depuis quelques années la voix m’oblige à me mettre des objets de plus en plus gros et elle exige toujours plus !
Je crois que je connais le même problème avec mon sexe, fiston…
Mais quand tu m’as enculé, la voix s’est tu. Je crois que j’ai enfin trouvé ce qui me fallait.
C’est vrai que je n’avais pas entendu le monstre depuis que j’avais baisé mon gamin… Se pourrait-il que…?
Alors que Mathéo s’assoit sur mon sexe dressé pour un deuxième round, je peux entièrement jouir du moment. La voix du monstre est partie, ayant enfin obtenu satisfaction. Le cul de mon fils semble s’adapter parfaitement aux dimensions herculéennes de mon sexe, et je le vois pousser un soupir de bonheur lorsqu’il est empalé jusqu’à la garde. Apparemment seul mon monstre peut apaiser le sien.