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Initié par des voisines – Chapitre 1

Initié par des voisines - Chapitre 1



Rentré une journée trop top de colonie de vacances avec les parents de copains sous une averse de pluie par un jour d’Août, mes parents n’étaient pas à la maison et ceux qui m’ont ramené sont repartis.

la voisine me voyant mouillé me fit rentrer direct la salle de bain et d’autorité m’enleva les vêtements pour me changer , elle remarqua des attributs supérieurs à ceux des enfants de mon âge.

son séchage commença à s’attarder autour de mon sexe qui se mettait dans tout ses états, malgré ma gène, je n’arrivait plus à me dominer.

au bout d’un instant elle est allé me chercher des vêtements secs, de retour sa fille d’une trentaine d’année l’accompagna probablement pour me voir je fis celui qui n’y connaissait rien.

sa fille me dit qu’il faut me frotter avec de l’alcool pour pas attraper froid, elle me mit une serviette sur le dos et m’emmena à la chambre, la elle me fit monter debout sur le lit et se mit à m’essuyer avec la serviette en approchant son visage de mon bas ventre tellement que je sentais son souffle chaud sur le sexe cela à eu l’effet de déclencher une rivière de lubrifiant pour la première fois de ma vie.

ça coulait sans arrêt, la dame me dit que c’est normal et que même elle en avait souvent, elle me dit en souriant que c’est dommage de l’enlever avec une serviette et que si je suis d’accord elle me montrerait comment elle pouvait le faire avec la bouche.

intrigué j’ai juste fais signe que oui pour retrouver mon sexe gonflé à bloc dans une bouche soyeuse et humide à souhait.

elle m’avalait complètement et suçant à m’arracher la moelle.

c’est là que j’ai remarqué qu’on nous épiait de la porte restée entrouverte, mais je suis resté dans un état irréel.

le liquide lubrifiant ne faisant qu’augmenter de débit elle me dit !

que si je voulais je pouvais la sécher de la même façon qu’elle.

elle s’allongeât, mit ses genoux au dessus de la tête et me demanda d’approcher ma bouche de sa fente, elle avait enlevé un slip sans que le remarques, mes yeux d’enfants voyaient qu’elle avait une fente brune toute lisse avec une grosse raie toute rose au milieu avec des bouts de chaire roses frétillants et luisant d’un liquide transparent qui, en m’y rapprochant portait un parfum à peine perceptible mais tellement envoûtant.

j’ai mis une langue hésitante puis tout de suite hardie, la lèchent tantôt avec le plat de bas en haut en incluant son anus, tantôt avec la pointe que je faisait entrer dans le vagin et même dans l’anus.

hummmm !!! ce parfum !!! à un moment j’ai introduit deux doigts dans le sexe voulant même un peu lui faire mal au lieu de cela elle me dit que même son liquide n’allait pas sécher de cette manière et qu’!

il fallait les mélanger.

sans attendre, elle me renversa sur le lit (cette fois ci je voyait nettement une forme s’agitait dans l’entrebâillement de la porte) et se mit à califourchon sur moi.

son entrée vaginale était étroite car elle à résisté à la pression de mon gland et tout son conduit vaginal me serrait la hampe à me faire perdre halène.

une fois complètement mon pénis au fond d’elle elle commença une sorte de danse circulaire qui me tiraillait le sexe dans tous les sens.

c’est ça qui m’a fait exploser en elle je sentait se vider ma colonne vertébrale dans ce fourreau, une seconde après elle émis une série de cris brefs et aigu et se dés-empala.

elle me remit la serviette et me dit d’aller voir sa mère pour lui dire qu’on a pas trouvé d’alcool.

sa mère était juste devant la porte de la chambre.

elle me dit ? toujours mouillé ? ? et tout de suite mit la main à mon sexe et ajouta ? ce n’est pas de l’eau ça ? moi tout bêtement, marchant à côté d’elle vers la cuisine mon sexe encore très en érection dans sa main je lui ai répondu que n’ayant pas trouvé d’alcool on a du mélanger nos liquides.

elle rit et arrivés à la cuisine elle me prit la mais, la mit d’autorité dans son sexe très mouillé et me dit ? par la ou par la ? en déplaçant ma main vers ses fesses.

je répondis par devant tata, alors sans hésiter elle me dit qu’il faut recommencer puisque la serviette et le mélange par devant non pas servi, sinon que j’allais attraper froid.

A genou, elle reprit mon sexe dans sa bouche, il ne se fit pas prier se remit debout plus fort que tant tôt.

puis elle se leva sans lâcher mon sexe d’une main, mit tout son buste sur la table, releva sa robe de l’autre main et me guida vers son anus.

la sensation de ma première pénétration anale est restée à ce jour, je la retrouve à chacune de mes sodomie.

Son anus était très tendre, tellement tendre qu’après qq va et viens j’en suis ressorti pour le lécher goulûment et cette fois ci sur mon initiative, puis sans l’avertir je l’enfila d’un trait et avec même une certaine violence, je lui écrasais son fessier avec mon pubis toute les fois que mon sexe a terminer toute sa longueur en son fond, chacun de mes coup de boutoir était accompagné par un Haaannn très bruyant de sa part, elle me demanda d’accélérer, encore plus vite puis se retira au moment où elle a senti que je venait pour me prendre dans sa bouche.

aucune goutte de sperme n’est tombée par terre, elle a tout avalé.

en se relevant, elle me dit que pour le moment je suis propre mais que ce soir elle vérifiera si je n’est pas de fièvre ou si je ne suis pas mouillé.

Personnes n’a refait allusion à rien du tout.

mais la nuit elles se sont relayé ? A MON CHEVET ? certaines fois je les entendait arriver d’autres fois c’est une fellation qui me réveille, je n’est plus compté, je ne savais plus qui est qui ni même dans quel fourreau se trouvait mon pénis tant leur anus étaient aussi dilatés que leur vagins.

quand l’une d’elle me mettait sa chatte sur la bouche je la suçait, mordillais, et pénétrais de la langue, quand je sentais mon gland se présenter devant une entrée, je donnais un coup de bassin et faisais des vas et viens lents puis rapides.

certaines fois j’éjaculais d’autres non mais c’était plus qu’agréable sauf que je ne pouvais pas le raconter je savais que personne de mes copains ne me croirait.

La tata à expliqué à mes parents effrayés qu’elle et sa fille m’ont veillé toute la nuit car tout mouillé elles avaient eu peur pour moi : le garçon adorable que j’étais.

Nos relations (publiques) sont restées très sereines et sans coup férir alors qu’elles sont restée !

un peu mes maîtresses (séparément) même longtemps après le remariage de la fille

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